Macron est arrivé au Liban pour soutenir ses nouveaux dirigeants

Le président français Emmanuel Macron est arrivé vendredi matin à Beyrouth pour apporter son soutien aux nouveaux dirigeants du Liban et à leurs efforts pour former un gouvernement capable d’ouvrir un nouveau chapitre dans l’histoire du pays.Sa visite express de 12 heures coïncide avec celle du secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, arrivé jeudi soir à Beyrouth, et il est possible que les deux hommes se voient sur place, selon une source diplomatique française. La France est impliquée dans la surveillance du cessez-le-feu qui a mis fin le 27 novembre à la guerre entre Israël et le Hezbollah.Ce déplacement du président français vise à “aider” son homologue Joseph Aoun, élu il y a une semaine après deux ans de vacance à ce poste, et le Premier ministre désigné Nawaf Salam “à consolider la souveraineté du Liban, à assurer sa prospérité et à maintenir son unité”, a déclaré l’Elysée.”Il y a maintenant un président légitime, fort, et qui bénéficie de la confiance de toute la région”, s’est félicité Emmanuel Macron dans une interview accordée au quotidien libanais indépendant L’Orient-Le Jour.Son entourage se félicite du tournant dans ce pays qui a pour Paris, ancienne puissance mandataire, “une valeur symbolique et une valeur stratégique particulière dans le Moyen-Orient d’aujourd’hui”.La diplomatie française y voit une “victoire”, car Nawaf Salam, un juge international respecté, était son candidat mais butait, jusqu’ici, sur les réserves du Hezbollah.Le mouvement armé pro-iranien, incontournable au Liban, a critiqué sa nomination et a refusé de prendre part aux consultations, non contraignantes, menées par Nawaf Salam pour la formation de son cabinet.”La France a toujours demandé au Hezbollah de déposer les armes, d’adhérer à un projet strictement libanais et de devenir un acteur politique responsable”, a souligné Emmanuel Macron dans l’interview au quotidien libanais.- “Diplomatie régionale” -L’Elysée a indiqué jeudi qu’Emmanuel Macron et le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane avaient apporté “tout leur soutien” à la formation d’un “gouvernement fort” lors d’un entretien téléphonique.Un tel gouvernement devrait être “capable de rassembler la diversité du peuple libanais, d’assurer le respect du cessez-le-feu entre Israël et le Liban et de mener les réformes nécessaires à la prospérité, à la stabilité et à la souveraineté du pays”, a ajouté la présidence française.Emmanuel Macron a souligné dans l’interview que Paris et Ryad avaient “travaillé ensemble” sur le Liban, ajoutant que “l’élection de Joseph Aoun et la désignation de Nawaf Salam sont aussi le fruit de ce travail de diplomatie régionale”.Selon Ziad Majed, professeur à l’université américaine de Paris, plusieurs facteurs ont contribué au déblocage: “la guerre dévastatrice” entre Israël et le Hezbollah, “l’affaiblissement” de celui-ci par l’armée israélienne, “la crise économique qui dure”. Mais aussi la chute de Bachar al-Assad en Syrie, allié de l’Iran, et “une crainte de l’arrivée de Donald Trump” à la Maison Blanche, avec son “soutien à Israël”.Emmanuel Macron doit échanger dans la matinée avec le chef d’état-major de la force de paix de l’ONU (Finul), le général Jean-Jacques Fatinet, ainsi qu’avec les chefs du mécanisme mis en place sous la houlette de la France et des Etats-Unis pour vérifier l’application du cessez-le-feu arraché par les deux puissances entre l’armée israélienne et le Hezbollah.Le président français va plaider pour “compléter dans le temps imparti par l’accord de cessez-le-feu”, c’est-à-dire d’ici au 26 janvier, le retrait de l’armée israélienne du sud du Liban et le déploiement de l’armée libanaise. Il pourrait aussi revenir sur l’accord de cessez-le-feu et de libération des otages annoncé mercredi soir entre Israël et le Hamas à Gaza.L’Elysée promet par ailleurs des “gestes symboliques” pour mobiliser la communauté internationale au chevet du Liban, après une conférence d’aide organisée à Paris en octobre.

Macron est arrivé au Liban pour soutenir ses nouveaux dirigeants

Le président français Emmanuel Macron est arrivé vendredi matin à Beyrouth pour apporter son soutien aux nouveaux dirigeants du Liban et à leurs efforts pour former un gouvernement capable d’ouvrir un nouveau chapitre dans l’histoire du pays.Sa visite express de 12 heures coïncide avec celle du secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, arrivé jeudi soir à Beyrouth, et il est possible que les deux hommes se voient sur place, selon une source diplomatique française. La France est impliquée dans la surveillance du cessez-le-feu qui a mis fin le 27 novembre à la guerre entre Israël et le Hezbollah.Ce déplacement du président français vise à “aider” son homologue Joseph Aoun, élu il y a une semaine après deux ans de vacance à ce poste, et le Premier ministre désigné Nawaf Salam “à consolider la souveraineté du Liban, à assurer sa prospérité et à maintenir son unité”, a déclaré l’Elysée.”Il y a maintenant un président légitime, fort, et qui bénéficie de la confiance de toute la région”, s’est félicité Emmanuel Macron dans une interview accordée au quotidien libanais indépendant L’Orient-Le Jour.Son entourage se félicite du tournant dans ce pays qui a pour Paris, ancienne puissance mandataire, “une valeur symbolique et une valeur stratégique particulière dans le Moyen-Orient d’aujourd’hui”.La diplomatie française y voit une “victoire”, car Nawaf Salam, un juge international respecté, était son candidat mais butait, jusqu’ici, sur les réserves du Hezbollah.Le mouvement armé pro-iranien, incontournable au Liban, a critiqué sa nomination et a refusé de prendre part aux consultations, non contraignantes, menées par Nawaf Salam pour la formation de son cabinet.”La France a toujours demandé au Hezbollah de déposer les armes, d’adhérer à un projet strictement libanais et de devenir un acteur politique responsable”, a souligné Emmanuel Macron dans l’interview au quotidien libanais.- “Diplomatie régionale” -L’Elysée a indiqué jeudi qu’Emmanuel Macron et le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane avaient apporté “tout leur soutien” à la formation d’un “gouvernement fort” lors d’un entretien téléphonique.Un tel gouvernement devrait être “capable de rassembler la diversité du peuple libanais, d’assurer le respect du cessez-le-feu entre Israël et le Liban et de mener les réformes nécessaires à la prospérité, à la stabilité et à la souveraineté du pays”, a ajouté la présidence française.Emmanuel Macron a souligné dans l’interview que Paris et Ryad avaient “travaillé ensemble” sur le Liban, ajoutant que “l’élection de Joseph Aoun et la désignation de Nawaf Salam sont aussi le fruit de ce travail de diplomatie régionale”.Selon Ziad Majed, professeur à l’université américaine de Paris, plusieurs facteurs ont contribué au déblocage: “la guerre dévastatrice” entre Israël et le Hezbollah, “l’affaiblissement” de celui-ci par l’armée israélienne, “la crise économique qui dure”. Mais aussi la chute de Bachar al-Assad en Syrie, allié de l’Iran, et “une crainte de l’arrivée de Donald Trump” à la Maison Blanche, avec son “soutien à Israël”.Emmanuel Macron doit échanger dans la matinée avec le chef d’état-major de la force de paix de l’ONU (Finul), le général Jean-Jacques Fatinet, ainsi qu’avec les chefs du mécanisme mis en place sous la houlette de la France et des Etats-Unis pour vérifier l’application du cessez-le-feu arraché par les deux puissances entre l’armée israélienne et le Hezbollah.Le président français va plaider pour “compléter dans le temps imparti par l’accord de cessez-le-feu”, c’est-à-dire d’ici au 26 janvier, le retrait de l’armée israélienne du sud du Liban et le déploiement de l’armée libanaise. Il pourrait aussi revenir sur l’accord de cessez-le-feu et de libération des otages annoncé mercredi soir entre Israël et le Hamas à Gaza.L’Elysée promet par ailleurs des “gestes symboliques” pour mobiliser la communauté internationale au chevet du Liban, après une conférence d’aide organisée à Paris en octobre.

Apple sidelines AI news summaries due to errors

Apple pushed out a software update on Thursday which disabled news headlines and summaries generated using artificial intelligence that were lambasted for getting facts wrong.The move by the tech titan comes as it enhances its latest lineup of devices with “Apple Intelligence” in a market keen for assurance that the iPhone maker is a contender in the AI race.Apple’s decision to temporarily disable the recently launched AI feature comes after the BBC and other news organizations complained that users were getting mistake-riddled or outright wrong headlines or news summary alerts.Apple deployed the update to developers working with a beta version of its software, sidelining the AI feature for news headlines.The tech giant plans to restore the feature when it is working properly and eventually roll it out to all users.Apple in June of last year unveiled new iPhones built with generative AI as it seeks to boost sales and show it is keeping up in the technological arms race.The company has a lot riding on the new iPhone 16 and hopes that customers are attracted to buy the latest models by its new AI powers.”We are thrilled to introduce the first iPhones designed from the ground up for Apple Intelligence and its breakthrough capabilities,” Apple chief executive Tim Cook said at an event at the iPhone-maker’s Silicon Valley headquarters.”Apple Intelligence” is a new suite of software features for all devices that was announced at the company’s annual developers conference, where it also announced a partnership with ChatGPT-maker OpenAI.In the short-term, the new powers include AI-infused image editing, translation, and small, creative touches in messaging, but not more ambitious breakthroughs promised by other AI players, such as OpenAI or Google.The features are similar to tools recently released by Meta, Microsoft and Google, which can produce well-crafted content simply by querying in everyday language.Google last year released AI-infused Pixel 9 smartphones, its challenge to the iPhone.Pixel phones account for a tiny sliver of the global smartphone market dominated by Samsung and Apple, but Google argued its new line is a chance to answer what — after all the hype — AI can actually do for customers.Samsung has also showcased AI across its line, and is expected to unveil a new flagship Galaxy smartphone at an event next week in Silicon Valley.

Trêve à Gaza: le cabinet israélien se réunit après finalisation des derniers détails

Le cabinet de sécurité israélien doit se réunir vendredi après la finalisation des derniers détails d’un accord pour une trêve à Gaza et la libération des otages, a indiqué le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu, Washington se disant “confiant” sur un début du cessez-le-feu dimanche. La trêve, annoncée mercredi par le Qatar et les Etats-Unis, doit prendre effet dimanche si elle est votée par le gouvernement israélien. Elle prévoit dans une première phase de six semaines la libération de 33 otages retenus dans le territoire palestinien, en échange de centaines de prisonniers palestiniens détenus par Israël.La fin définitive de la guerre sera négociée durant cette première phase.”Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a été informé par l’équipe de négociation que des accords ont été conclus pour la libération des otages”, a indiqué son bureau dans un communiqué.”Le Premier ministre a ordonné au cabinet politique et de sécurité de se réunir demain (vendredi). Le gouvernement se réunira ensuite pour approuver l’accord”, a déclaré le bureau de M. Netanyahu.Il a ajouté que les familles des otages avaient été informées et que des préparatifs étaient en cours pour les accueillir. Les dirigeants des pays du G7 ont qualifié l’accord d'”importante nouvelle” et appelé le Hamas et Israël à “garantir sa pleine mise en Å“uvre et la fin définitive des hostilités”, dans un communiqué.Le Premier ministre israélien est assuré d’obtenir une majorité malgré l’opposition de ministres d’extrême droite. L’un d’eux, le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben Gvir, a déclaré jeudi qu’il démissionnerait si le gouvernement adoptait l’accord de trêve “irresponsable” avec le Hamas, sans pour autant quitter la coalition autour de M. Netanyahu.Israël avait affirmé jeudi que le Hamas était revenu “sur certains points” de l’accord pour “extorquer des concessions de dernière minute”. Mais un haut dirigeant du Hamas, Sami Abou Zouhri, a rejeté ces accusations.Le mouvement islamiste a aussi averti que “toute agression, tout bombardement” israélien sur Gaza mettait les otages en danger.Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, s’est toutefois dit “confiant” sur l’entrée en vigueur de l’accord. “Je m’attends à ce que la mise en Å“uvre commence, comme nous l’avons dit, dimanche”, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse d’adieu à Washington. L’Egypte, qui a participé aux efforts de médiation avec le Qatar et les Etats-Unis, a appelé à la mise en oeuvre “sans délai” de l’accord.Dans la bande de Gaza, où l’annonce de la trêve avait déclenché des scènes de joie, des frappes israéliennes ont fait 81 morts en 24 heures, avait indiqué le ministère de la Santé du Hamas jeudi. La Défense civile a fait état d’une “forte intensification” des bombardements, qui se sont poursuivis durant la journée. L’armée a déclaré avoir frappé environ “50 cibles” en 24 heures. – Accélération des négociations -La guerre, qui a provoqué à Gaza un niveau de destructions “sans précédent dans l’histoire récente”, selon l’ONU, avait été déclenchée le 7 octobre 2023 par l’attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien. Cette attaque a entraîné la mort de 1.210 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles israéliennes. Sur 251 personnes enlevées, 94 sont toujours retenues en otages à Gaza, dont 34 sont mortes selon l’armée.Au moins 46.788 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans la campagne militaire israélienne de représailles dans la bande de Gaza, selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l’ONU.L’annonce de l’accord a suivi une accélération des négociations, qui piétinaient depuis plus d’un an, à l’approche du retour lundi de Donald Trump à la Maison Blanche.Ce dernier a assuré jeudi que l’accord n’aurait jamais été conclu sans la pression exercée par lui et sa future administration.”Nous avons changé le cours des choses, et nous l’avons changé rapidement, et franchement, il vaudrait mieux que ce soit fait avant que je ne prête serment”, a-t-il ajouté s’exprimant dans un podcast conservateur.L’accord doit entrer en vigueur dimanche pour une première phase comprenant “un cessez-le-feu total”, selon le président américain Joe Biden, la libération de 33 otages, parmi lesquels des femmes, des enfants et des personnes âgées, un retrait israélien des zones densément peuplées et une augmentation de l’aide humanitaire.Israël de son côté “libèrera des centaines de prisonniers palestiniens”, a indiqué M. Biden.La deuxième phase doit permettre la libération des derniers otages, a-t-il ajouté.- L’après-guerre en suspens -La troisième et dernière étape doit être consacrée à la reconstruction de Gaza et à la restitution des corps des otages morts en captivité.Pendant la première phase seront négociées les modalités de la deuxième phase, à savoir “une fin définitive de la guerre”, selon le Premier ministre du Qatar, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani.Déjà minée par un blocus israélien imposé depuis 2007, la pauvreté et le chômage, la bande de Gaza assiégée a été ravagée par la guerre et la quasi-totalité de ses 2,4 millions d’habitants ont été déplacés. Le cessez-le-feu laisse en suspens l’avenir politique de Gaza, où le Hamas s’est emparé du pouvoir en 2007. Pilonné pendant 15 mois par l’armée israélienne, le mouvement islamiste apparaît très diminué mais encore loin d’être anéanti, contrairement à l’objectif qu’avait fixé Benjamin Netanyahu.

Trêve à Gaza: le cabinet israélien se réunit après finalisation des derniers détails

Le cabinet de sécurité israélien doit se réunir vendredi après la finalisation des derniers détails d’un accord pour une trêve à Gaza et la libération des otages, a indiqué le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu, Washington se disant “confiant” sur un début du cessez-le-feu dimanche. La trêve, annoncée mercredi par le Qatar et les Etats-Unis, doit prendre effet dimanche si elle est votée par le gouvernement israélien. Elle prévoit dans une première phase de six semaines la libération de 33 otages retenus dans le territoire palestinien, en échange de centaines de prisonniers palestiniens détenus par Israël.La fin définitive de la guerre sera négociée durant cette première phase.”Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a été informé par l’équipe de négociation que des accords ont été conclus pour la libération des otages”, a indiqué son bureau dans un communiqué.”Le Premier ministre a ordonné au cabinet politique et de sécurité de se réunir demain (vendredi). Le gouvernement se réunira ensuite pour approuver l’accord”, a déclaré le bureau de M. Netanyahu.Il a ajouté que les familles des otages avaient été informées et que des préparatifs étaient en cours pour les accueillir. Les dirigeants des pays du G7 ont qualifié l’accord d'”importante nouvelle” et appelé le Hamas et Israël à “garantir sa pleine mise en Å“uvre et la fin définitive des hostilités”, dans un communiqué.Le Premier ministre israélien est assuré d’obtenir une majorité malgré l’opposition de ministres d’extrême droite. L’un d’eux, le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben Gvir, a déclaré jeudi qu’il démissionnerait si le gouvernement adoptait l’accord de trêve “irresponsable” avec le Hamas, sans pour autant quitter la coalition autour de M. Netanyahu.Israël avait affirmé jeudi que le Hamas était revenu “sur certains points” de l’accord pour “extorquer des concessions de dernière minute”. Mais un haut dirigeant du Hamas, Sami Abou Zouhri, a rejeté ces accusations.Le mouvement islamiste a aussi averti que “toute agression, tout bombardement” israélien sur Gaza mettait les otages en danger.Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, s’est toutefois dit “confiant” sur l’entrée en vigueur de l’accord. “Je m’attends à ce que la mise en Å“uvre commence, comme nous l’avons dit, dimanche”, a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse d’adieu à Washington. L’Egypte, qui a participé aux efforts de médiation avec le Qatar et les Etats-Unis, a appelé à la mise en oeuvre “sans délai” de l’accord.Dans la bande de Gaza, où l’annonce de la trêve avait déclenché des scènes de joie, des frappes israéliennes ont fait 81 morts en 24 heures, avait indiqué le ministère de la Santé du Hamas jeudi. La Défense civile a fait état d’une “forte intensification” des bombardements, qui se sont poursuivis durant la journée. L’armée a déclaré avoir frappé environ “50 cibles” en 24 heures. – Accélération des négociations -La guerre, qui a provoqué à Gaza un niveau de destructions “sans précédent dans l’histoire récente”, selon l’ONU, avait été déclenchée le 7 octobre 2023 par l’attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien. Cette attaque a entraîné la mort de 1.210 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles israéliennes. Sur 251 personnes enlevées, 94 sont toujours retenues en otages à Gaza, dont 34 sont mortes selon l’armée.Au moins 46.788 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans la campagne militaire israélienne de représailles dans la bande de Gaza, selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l’ONU.L’annonce de l’accord a suivi une accélération des négociations, qui piétinaient depuis plus d’un an, à l’approche du retour lundi de Donald Trump à la Maison Blanche.Ce dernier a assuré jeudi que l’accord n’aurait jamais été conclu sans la pression exercée par lui et sa future administration.”Nous avons changé le cours des choses, et nous l’avons changé rapidement, et franchement, il vaudrait mieux que ce soit fait avant que je ne prête serment”, a-t-il ajouté s’exprimant dans un podcast conservateur.L’accord doit entrer en vigueur dimanche pour une première phase comprenant “un cessez-le-feu total”, selon le président américain Joe Biden, la libération de 33 otages, parmi lesquels des femmes, des enfants et des personnes âgées, un retrait israélien des zones densément peuplées et une augmentation de l’aide humanitaire.Israël de son côté “libèrera des centaines de prisonniers palestiniens”, a indiqué M. Biden.La deuxième phase doit permettre la libération des derniers otages, a-t-il ajouté.- L’après-guerre en suspens -La troisième et dernière étape doit être consacrée à la reconstruction de Gaza et à la restitution des corps des otages morts en captivité.Pendant la première phase seront négociées les modalités de la deuxième phase, à savoir “une fin définitive de la guerre”, selon le Premier ministre du Qatar, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani.Déjà minée par un blocus israélien imposé depuis 2007, la pauvreté et le chômage, la bande de Gaza assiégée a été ravagée par la guerre et la quasi-totalité de ses 2,4 millions d’habitants ont été déplacés. Le cessez-le-feu laisse en suspens l’avenir politique de Gaza, où le Hamas s’est emparé du pouvoir en 2007. Pilonné pendant 15 mois par l’armée israélienne, le mouvement islamiste apparaît très diminué mais encore loin d’être anéanti, contrairement à l’objectif qu’avait fixé Benjamin Netanyahu.

The perils of S. Africa’s illegal mining sectorFri, 17 Jan 2025 05:20:35 GMT

The derelict Stilfontein shaft, which became a hell hole for hundreds of trapped miners, is just one of 6,000 that have been abandoned by South Africa’s gold extraction companies. The vast Witwatersrand goldfield, where the Stilfontein mine is located, was the focus of a heady gold rush in the 19th century. But the once-flourishing commercial gold mining …

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Nintendo shares tumble as Switch 2 teaser disappoints

Nintendo shares tumbled as much as seven percent on Friday after the Japanese games giant failed to impress with a teaser video of its hotly awaited Switch 2 console.The brief clip released Thursday showed a gadget that is bigger but broadly similar in appearance to the original hybrid Switch, which can be handheld or connected to a television.Nintendo gave no technical specifications such as screen resolution or processing power for the sleek-looking machine, which will be on sale — for an undisclosed price — at some point in 2025.This kept gamers and analysts guessing until a live-streamed presentation on April 2 and subsequent real-world “experience” events in the following days in major cities worldwide.The stakes are high for the eagerly awaited announcement, with gaming websites in recent weeks reporting on “industry whispers” and glimpses of purported prototypes.The first Switch has sold more than 146 million units since its launch in 2017, making it the world’s third-bestselling console after Sony’s PlayStation 2 and Nintendo’s DS.Krysta Yang of the Kit & Krysta Podcast said in a YouTube reaction video that the flood of unofficial previews and rumours may have spoiled the surprise.”I guess because of all the information that was already out there, maybe people were just like, ‘this is what I expected’,” she said.”I’m sure there’s going to be more details that are fun and exciting, hopefully, and more games obviously, that we’ll see in the coming months.”Nintendo’s share price had also risen strongly in recent months, gaining more than 12 percent in the last half-year.- Investor concerns -The Switch 2’s screen is larger, as are the overhauled detachable “Joy-Con” controllers that snap on — possibly with magnets — rather than sliding into position as before.Eagle-eyed gaming websites noted what they said appeared to mouse-like functionality for the Joy-Con, a mysterious extra button and a new USB-C port.Key will be the games, and Nintendo’s two-minute trailer also showed off a new version of the long-running Mario Kart series both on the new console’s built-in screen and on a TV.The previous instalment of the game, “Mario Kart 8”, has sold more than 64 million copies.The company said the new machine “plays Nintendo Switch 2 exclusive games, as well as both physical and digital Nintendo Switch games” — which would fulfil a November promise on backwards compatibility.But it added that “certain Nintendo Switch games may not be supported on or fully compatible with Nintendo Switch 2”, promising further details to come.Bloomberg Intelligence technology analyst Nathan Naidu said while the new Mario Kart game was a “bright spot”, investors could be concerned about the release timeline.”As Switch 2’s release will be at least three months behind its predecessor, it might fail to top the 15 million units the Switch achieved in its first full year,” he said.With sales of the original Switch falling, Nintendo had promised to unveil the new console by the end of March.- No pressure -Serkan Toto from Tokyo firm Kantan Games said that making the Switch 2 “just a bigger and better version of the original console… might be all that Nintendo needs”.”There was really no pressure from gamers for Nintendo to reinvent the wheel,” Toto told AFP.”Gamers are surely not blown away by the reveal like they were when the original Switch was shown for the first time, but I think year-one demand at least will be very high.”The Kyoto-based company has been diversifying into theme parks and funding films based on its characters such as the huge 2023 live-action hit “The Super Mario Bros. Movie”.”However, Nintendo still generates approximately 91 percent of its revenue from its Nintendo Switch business, which shows the importance of the Switch 2,” said Darang Candra, an analyst with games market research firm Niko Partners.In afternoon trade, Nintendo shares were down 4.84 percent, having pared its earlier steep losses.

Israeli cabinet to meet on ceasefire after PM says hostage deal finalised

Israel’s security cabinet was set to meet Friday after final details of a Gaza ceasefire and hostage release deal were ironed out, Prime Minister Benjamin Netanyahu’s office said, with the United States “confident” the truce would begin as planned this weekend. If approved by Israel’s cabinet, the ceasefire agreement would take effect Sunday and involve the exchange of Israeli hostages for Palestinian prisoners, after which the terms of a permanent end to the war would be finalised.Away from the diplomacy, Israeli strikes killed dozens of people, Gaza rescuers said Thursday, while Israel’s military reported hitting about 50 targets across the territory over the past day.Netanyahu’s office had accused Hamas on Thursday of reneging on key parts of the agreement to extort last-minute concessions — an allegation Hamas denied.His office said early Friday a “deal to release the hostages” had been reached and he had ordered the political-security cabinet to meet later in the day.”The government will then convene to approve the deal,” it added.At least two cabinet members have voiced opposition to the ceasefire, with far-right National Security Minister Itamar Ben Gvir saying that he and his party colleagues would quit the government — but not the ruling coalition — if it approved the “irresponsible” deal.Far-right Finance Minister Bezalel Smotrich also opposes the truce, calling it a “dangerous deal”.But US Secretary of State Antony Blinken, who has been involved in months of mediation efforts, said Thursday he believed the ceasefire would go ahead on schedule.”I am confident, and I fully expect that implementation will begin, as we said, on Sunday,” he said.- Continued strikes – Gaza’s civil defence agency said Israel pounded several areas of the territory after the deal was announced on Wednesday, killing at least 80 people and wounding hundreds since then.Hamas’s armed wing, the Ezzedine al-Qassam Brigades, warned that Israeli strikes were risking the lives of hostages due to be freed under the deal, and could turn their “freedom… into a tragedy”.The war was triggered by the October 7, 2023 Hamas attack on Israel, which resulted in the deaths of 1,210 people, mostly civilians, according to an AFP tally of official Israeli figures.During the attack, the deadliest in Israeli history, Palestinian militants also took 251 people hostage, 94 of whom are still being held in Gaza, including 34 the Israeli military says are dead.Israel’s ensuing campaign has destroyed much of Gaza, killing 46,788 people, most of them civilians, according to figures from the Hamas-run territory’s health ministry that the UN considers reliable.- Mixed feelings -The ceasefire agreement followed intensified efforts from mediators Qatar, Egypt and the United States, after months of fruitless negotiations to end the deadliest war in Gaza’s history.If finalised, it would pause hostilities one day before the inauguration of US President-elect Donald Trump, who claimed credit for the agreement.”If we weren’t involved in this deal, the deal would’ve never happened,” Trump said in an interview Thursday.Envoys from both the Trump team and the outgoing administration of President Joe Biden were present at the latest negotiations, with a senior Biden official saying the unlikely pairing had been a decisive factor in reaching the deal.In Israel and Gaza, there were celebrations welcoming the truce deal, but also anguish.Saeed Alloush, who lives in north Gaza, said he and his loved ones were “waiting for the truce and were happy”, until overnight strikes killed many of his relatives.”It was the happiest night since October 7″ until “we received the news of the martyrdom of 40 people from the Alloush family”, he said.In Tel Aviv, pensioner Simon Patya said he felt “great joy” that some hostages would return alive, but also “great sorrow for those who are returning in bags, and that will be a very strong blow, morally”.- ‘Permanent end’ -Qatari Prime Minister Sheikh Mohammed bin Abdulrahman bin Jassim Al-Thani, announcing the agreement on Wednesday, said an initial 42-day ceasefire would see 33 hostages released, including women, “children, elderly people, as well as civilian ill people and wounded”.Also in the first phase, Israeli forces would withdraw from Gaza’s densely populated areas and allow displaced Palestinians to return “to their residences”, he said.Biden said the second phase of the agreement could bring a “permanent end to the war”.He added the deal would “surge much needed humanitarian assistance to Palestinian civilians, and reunite the hostages with their families”.Egyptian President Abdel Fattah al-Sisi also underscored the “importance of accelerating the entry of urgent humanitarian aid” into Gaza.Cairo said it was ready to host an international conference on reconstruction in Gaza, where the United Nations has said it would take more than a decade to rebuild civilian infrastructure.In a statement Thursday, G7 leaders called the ceasefire deal “a significant development” and urged Israel and Hamas to work on its “full implementation.”The World Health Organization’s representative in the Palestinian territories, Rik Peeperkorn, said Thursday that at least $10 billion would probably be needed over the next five to seven years to rebuild Gaza’s devastated health system alone.The UN Palestinian refugee agency UNRWA, facing an Israeli ban on its activities set to start later this month, welcomed the ceasefire deal.”What’s needed is rapid, unhindered and uninterrupted humanitarian access and supplies to respond to the tremendous suffering caused by this war,” UNRWA head Philippe Lazzarini wrote on X.burs-ser/ami/tym/kma

Biden warns of threats to ‘fragile’ democracy

President Joe Biden warned Thursday against the dangerous erosion of the fundamental guardrails protecting an increasingly “fragile” American democracy.A day after urging Americans to stand firm against an “oligarchy” forming under Donald Trump, Biden highlighted the specific threat posed by a cowed Supreme Court and Congress unable to keep an autocratic presidency in check.Biden, in a recorded interview with MSNBC — his last before leaving office on Monday — also revealed details of his conversations with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu and discussed the situation in Ukraine.”I really am concerned about how fragile democracy is,” Biden said. “I really think we’re in an inflection point in history here where, unrelated to any particular leader, things are going to change drastically.””So I guess what I’m worried about is that the thing that keeps it on track are the guardrails, that there’s a Supreme Court that’s independent,” Biden said, and a Congress where you “speak your mind but you’re held accountable to basic standards.”He said the president may be the “top dog” but “you can’t dictate everything.”Biden said he did not have any recent discussions with Trump about the negotiations that led to the Gaza ceasefire deal, for which the incoming president has sought to take credit.As for Netanyahu, Biden said he still considers him a “friend” although “we don’t agree on a whole lot lately.”Biden recounted one of his early conversations with Netanyahu after the October 7, 2023 attack on Israel by Hamas.”I told them we were going to help, but Bibi, I said, you can’t be carpet-bombing in these communities.”And he said to me: ‘Well you did it… You carpet-bombed Berlin. You dropped a nuclear weapon. You killed thousands of people because you had to in order to win a war,'” Biden recounted.Biden said he also kept reminding Netanyahu “that he has to find a way to accomodate the legitimate concerns of a large group of people called Palestinians who have no place to live independently.”Touching on the conflict in Ukraine, Biden said Russia has suffered more than 670,000 wounded or dead since the invasion.”They’re losing big time too,” he said. “It doesn’t mean they’re going to lose everything but it means they’re not going to be able to have the kind of win (Russian leader Vladimir Putin) thought,” he said.- ‘Too much time on the policy’ -Putin wants to “reestablish the old Warsaw Pact,” Biden said. “I can’t let that happen.”Biden also said he was not concerned about his safety when he made his visit to Ukraine.The Secret Service were “very unhappy,” he said, “but I didn’t think that Putin would dare to take out an American president.”Biden, who dropped his reelection bid after a disastrous debate performance against Trump, also reflected briefly on his political failings.”Ironically, I almost spent too much time on the policy and not enough time on the politics,” he said.The hour-long sit-down interview with MSNBC was one of just a handful Biden gave to the media during his four years as president.He also rarely held full-fledged news conferences, and his White House had an occasionally tense relationship with the press, which it accused of unfairly focusing on the 82-year-old president’s age and cognitive abilities.