Asian markets rise on hopes over shutdown deal, rate cut

Equities rose in Asia on Wednesday as the US shutdown nears an end and after fresh jobs data boosted the chances of a third successive Federal Reserve interest rate cut.However, a mixed day on Wall Street highlighted worries about elevated tech valuations following a breathtaking AI-fuelled rally this year.After passing the Senate, a spending bill to reopen the US government is due before the House of Representatives and then Donald Trump, with hopes services can resume as soon as Friday.In a dig at Democrats who he blamed for the closure, the US president said in a Veterans Day speech at Arlington National Cemetery on Tuesday: “We’re opening up our country — it should have never been closed.””Only people that hate our country want to see it not open,” he told ESPN later.Investors have welcomed the deal, which will end a shutdown that began on October 1 and saw a million federal workers unpaid, food benefits for low-income Americans threatened and thousands of flights cancelled.It has also meant a string of key data points have not been released, leaving traders and the Fed unable to make informed decisions on policy.However, analysts pointed out that while some reports could come out soon, others remained unclear.”September payrolls should be relatively quick, it was set to be published the day after the start of the shutdown,” said Taylor Nugent at National Australia Bank.”Data where collection was disrupted could take longer and it is not clear yet what approach will be taken for missing data.”The unemployment rate for October, which relies on household surveys, and many October consumer prices which are actively surveyed, are key challenges.”Adding to the upbeat mood were expectations for a Fed rate cut in December after data from private payrolls firm ADP showed US companies shed 11,250 jobs per week on average in the four weeks ended October 25.The figure followed a number of reports pointing to a softening labour market, which is putting pressure on the Fed to cut, even as it looks to keep a lid on stubbornly high inflation.A report this month from outplacement firm Challenger, Gray & Christmas revealed US layoffs hit the highest level in 22 years in October.Markets in Hong Kong, Tokyo, Seoul, Mumbai, Singapore, Taipei, Wellington and Manila were all in the green. However, Shanghai, Sydney and Bangkok dipped.The gains continued in London, Paris and Frankfurt.Wall Street was less euphoric, ending on a mixed note, with tech firms struggling to match the soaring performances that have characterised this year.The Nasdaq ended slightly down and the broader S&P 500 marginally higher, but the Dow closed more than one percent higher, with observers saying that suggested a shift into industrial sectors.Tech’s tepid run of late has come amid talk that a bubble has formed in the sector, with some warning it could burst, as investors worry that investment returns could take time to be realised.”Valuation concerns have intensified as the (S&P 500) index has climbed higher throughout the year,” said Fabien Yip, a market analyst at IG.”Investors are questioning whether current price levels can be sustained, particularly on stocks boosted by the AI boom if interest rates remain elevated for longer than expected.”Traders were also spooked by news that Japanese tech investment titan SoftBank had sold all its shares in US chip giant Nvidia for $5.8 billion, without giving a reason.Shares in Nvidia fell three percent, and SoftBank plunged as much as 10 percent in Tokyo after opening Wednesday but finished just 3.5 percent off.Mary Pollock of CreditSights said that “while the picture today is rosy, the risk that AI valuations are frothy cannot be disregarded”.”It is far from certain that confidence in AI’s value proposition, the timeline by which revenues are achieved, and investors’ expectations for growth all continue to evolve in-step.”- Key figures at 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 0.4 percent at 51,063.31 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.9 percent at 26,922.73 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 4,000.14 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,914.53 Euro/dollar: DOWN at $1.1582 from $1.1588 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3144 from $1.3168Dollar/yen: UP at 154.62 yen from 154.10 yenEuro/pound: UP at 88.12 pence from 87.99 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.5 percent at $60.76 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.4 percent at $64.89 per barrelNew York – Dow:  UP 1.2 percent at 47,927.96 (close)

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

En Ethiopie, le fléau du prosopis, l’arbre qui a “tout envahi”

“A cause de cette plante, nous sommes devenus pauvres”, s’émeut l’éleveuse Khadija Humed. Introduit pour lutter contre la désertification, le prosopis se répand désormais en Ethiopie, menaçant l’écosystème et la survie des communautés locales.Ce petit arbre épineux originaire d’Amérique latine a été planté pour la première fois dans les années 1970 dans la région de l’Afar (nord-est), où vit Khadija Humed, et au Kenya voisin. Résistant aux fortes chaleurs, le prosopis portait initialement la promesse, pour cette région aride, de réduire l’érosion des sols, réguler le microclimat, servir d’ombrage et favoriser la production de charbon de bois.Mais aujourd’hui, les prosopis, aux longues branches épineuses et qui peuvent mesurer jusqu’à une dizaine de mètres de haut, s’étendent à perte de vue sur les vastes plaines de la région. Chacun d’entre eux peut pomper jusqu’à sept litres d’eau par jour grâce à ses longues racines, asséchant les terres et entravant l’agriculture. L’arbre est également nuisible pour le cheptel des pastoralistes, nombreux dans l’est de l’Ethiopie.”La plante s’est retournée contre nous, déplore Hailu Shiferaw, chercheur au Centre éthiopien de ressources pour l’eau et la terre, interrogé par l’AFP. Personne n’aurait pu prévoir ses effets néfastes.”- “Tout a changé” -Près d’Awash, une ville à environ 200 kilomètres de la capitale Addis Abeba, le prosopsis a “envahi” tout le village de Khadija Humed, regrette cette femme qui ne connaît pas son âge, mais affirme à l’AFP avoir “plus de 40 ans”. “Personnellement, j’ai dix vaches et plus de 20 chèvres et moutons. Mais avant le prosopis, les gens ici avaient entre 50 et 100 têtes de bétail”, témoigne-t-elle. “Les gousses rendent les vaches malades, bloquent leur bouche et leur estomac, et beaucoup meurent”, appauvrissant les communautés, énumère-t-elle. Depuis l’arrivée de l’arbre dans la région, “tout a changé”, dénonce Yusuf Mohammed, 76 ans, expliquant que son feuillage dense attire des animaux sauvages, qui attaquent le bétail. “Des lions, des hyènes, des chats sauvages et des renards ont envahi nos villages”, regrette le vieil homme.”Les épines du prosopis blessent nos animaux, les rendant trop faibles pour parcourir de longues distances à la recherche de nourriture. Leur état se détériore”, déplore Yusuf Mohammed, qui habite près d’Awash.Le prosopis fait partie des espèces exotiques envahissantes qui ont été introduites par l’homme et menacent la qualité de vie sur terre. Dans un rapport publié en 2023, l’agence onusienne pour la biodiversité (IPBES) a estimé le coût global des quelque 3.500 espèces invasives à 423 milliards de dollars, l’équivalent du PIB du Danemark.Un montant “probablement grandement sous-estimé”, qui quadruple chaque décennie depuis 1970, souligne cet organisme, considéré comme le “GIEC de la biodiversité”.Pour Ketema Bekele, professeur associé d’économie environnementale à l’université éthiopienne d’Haramaya, les pertes économiques causées par le prosopis dans l’Afar “s’élèvent à 602 millions de dollars (517 millions d’euros) au cours des 30 dernières années, soit environ quatre fois le budget annuel de cette région”.- “Hors de contrôle” -Le prosopis, “hors de contrôle”, a envahi quelque 20.000 km2 dans l’Afar et se répand dans les régions voisines de l’Amhara et de l’Oromia, pointe-t-il. Selon un article publié en décembre 2024 dans le “Journal of Environmental Management”, la surface couverte par la plante a quadruplé en Ethiopie, passant de 2,16% en 2003 à 8,61% en 2023, tandis que les pâturages ont diminué de plus de 25%. D’ici 2060, la plante “pourrait occuper 22 % des terres” éthiopiennes, géant d’Afrique de l’Est d’environ 1,1 million de km2, selon cette publication.Sa propagation est facilitée par les chameaux, nombreux dans la région, qui mangent les gousses de l’arbre et répandent ses graines dans leurs déjections.Pour tenter de contenir la menace, l’ONG CARE a monté depuis 2022 plusieurs programmes en Afar : les feuilles séchées du prosopis, mélangées à d’autres céréales, sont transformées en nourriture animale. La plante sert aussi à confectionner des parpaings et briquettes de charbon de bois. L’ONG, avec le soutien du fonds danois Danida, déracine également les prosopis pour les remplacer par des arbres fruitiers, permettant aux communautés locales de vendre la production sur les marchés. “Cela nous a pris 20 jours pour les retirer sur cette parcelle” de plusieurs hectares, souligne Dawud Mohammed, responsable des opérations de CARE en Afar. Mais si le le fléau est “contrôlable”, “nous ne pouvons pas y faire face seuls”, avance M. Dawud, qui estime que “cela nécessite des ressources”.En attendant, des colonnes de chameaux continuent de s’élancer sur les plaines de l’Afar, et dispersent inexorablement le prosopis.

En Ethiopie, le fléau du prosopis, l’arbre qui a “tout envahi”

“A cause de cette plante, nous sommes devenus pauvres”, s’émeut l’éleveuse Khadija Humed. Introduit pour lutter contre la désertification, le prosopis se répand désormais en Ethiopie, menaçant l’écosystème et la survie des communautés locales.Ce petit arbre épineux originaire d’Amérique latine a été planté pour la première fois dans les années 1970 dans la région de l’Afar (nord-est), où vit Khadija Humed, et au Kenya voisin. Résistant aux fortes chaleurs, le prosopis portait initialement la promesse, pour cette région aride, de réduire l’érosion des sols, réguler le microclimat, servir d’ombrage et favoriser la production de charbon de bois.Mais aujourd’hui, les prosopis, aux longues branches épineuses et qui peuvent mesurer jusqu’à une dizaine de mètres de haut, s’étendent à perte de vue sur les vastes plaines de la région. Chacun d’entre eux peut pomper jusqu’à sept litres d’eau par jour grâce à ses longues racines, asséchant les terres et entravant l’agriculture. L’arbre est également nuisible pour le cheptel des pastoralistes, nombreux dans l’est de l’Ethiopie.”La plante s’est retournée contre nous, déplore Hailu Shiferaw, chercheur au Centre éthiopien de ressources pour l’eau et la terre, interrogé par l’AFP. Personne n’aurait pu prévoir ses effets néfastes.”- “Tout a changé” -Près d’Awash, une ville à environ 200 kilomètres de la capitale Addis Abeba, le prosopsis a “envahi” tout le village de Khadija Humed, regrette cette femme qui ne connaît pas son âge, mais affirme à l’AFP avoir “plus de 40 ans”. “Personnellement, j’ai dix vaches et plus de 20 chèvres et moutons. Mais avant le prosopis, les gens ici avaient entre 50 et 100 têtes de bétail”, témoigne-t-elle. “Les gousses rendent les vaches malades, bloquent leur bouche et leur estomac, et beaucoup meurent”, appauvrissant les communautés, énumère-t-elle. Depuis l’arrivée de l’arbre dans la région, “tout a changé”, dénonce Yusuf Mohammed, 76 ans, expliquant que son feuillage dense attire des animaux sauvages, qui attaquent le bétail. “Des lions, des hyènes, des chats sauvages et des renards ont envahi nos villages”, regrette le vieil homme.”Les épines du prosopis blessent nos animaux, les rendant trop faibles pour parcourir de longues distances à la recherche de nourriture. Leur état se détériore”, déplore Yusuf Mohammed, qui habite près d’Awash.Le prosopis fait partie des espèces exotiques envahissantes qui ont été introduites par l’homme et menacent la qualité de vie sur terre. Dans un rapport publié en 2023, l’agence onusienne pour la biodiversité (IPBES) a estimé le coût global des quelque 3.500 espèces invasives à 423 milliards de dollars, l’équivalent du PIB du Danemark.Un montant “probablement grandement sous-estimé”, qui quadruple chaque décennie depuis 1970, souligne cet organisme, considéré comme le “GIEC de la biodiversité”.Pour Ketema Bekele, professeur associé d’économie environnementale à l’université éthiopienne d’Haramaya, les pertes économiques causées par le prosopis dans l’Afar “s’élèvent à 602 millions de dollars (517 millions d’euros) au cours des 30 dernières années, soit environ quatre fois le budget annuel de cette région”.- “Hors de contrôle” -Le prosopis, “hors de contrôle”, a envahi quelque 20.000 km2 dans l’Afar et se répand dans les régions voisines de l’Amhara et de l’Oromia, pointe-t-il. Selon un article publié en décembre 2024 dans le “Journal of Environmental Management”, la surface couverte par la plante a quadruplé en Ethiopie, passant de 2,16% en 2003 à 8,61% en 2023, tandis que les pâturages ont diminué de plus de 25%. D’ici 2060, la plante “pourrait occuper 22 % des terres” éthiopiennes, géant d’Afrique de l’Est d’environ 1,1 million de km2, selon cette publication.Sa propagation est facilitée par les chameaux, nombreux dans la région, qui mangent les gousses de l’arbre et répandent ses graines dans leurs déjections.Pour tenter de contenir la menace, l’ONG CARE a monté depuis 2022 plusieurs programmes en Afar : les feuilles séchées du prosopis, mélangées à d’autres céréales, sont transformées en nourriture animale. La plante sert aussi à confectionner des parpaings et briquettes de charbon de bois. L’ONG, avec le soutien du fonds danois Danida, déracine également les prosopis pour les remplacer par des arbres fruitiers, permettant aux communautés locales de vendre la production sur les marchés. “Cela nous a pris 20 jours pour les retirer sur cette parcelle” de plusieurs hectares, souligne Dawud Mohammed, responsable des opérations de CARE en Afar. Mais si le le fléau est “contrôlable”, “nous ne pouvons pas y faire face seuls”, avance M. Dawud, qui estime que “cela nécessite des ressources”.En attendant, des colonnes de chameaux continuent de s’élancer sur les plaines de l’Afar, et dispersent inexorablement le prosopis.

Northeast capital bounces back as conflict rages in Nigeria countrysideWed, 12 Nov 2025 08:19:45 GMT

Thomas Marama is praying less often these days.His faith hasn’t waned, but with the height of the Boko Haram conflict behind him, the Nigerian pastor no longer feels the need to plea to God each time he goes to a crowded market or gets caught in a traffic jam.”You were always scared that maybe there …

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Osimhen, Mbeumo potential key figures in African World Cup play-offsWed, 12 Nov 2025 07:50:40 GMT

Star African strikers Victor Osimhen of Nigeria and Bryan Mbeumo of Cameroon want to grace the 2026 World Cup tournament, but only one of them can succeed. Nigeria face Gabon and Cameroon meet the Democratic Republic of Congo on Thursday in Rabat in the semi-finals of an African play-offs series for the global showpiece.The winners clash …

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La cathédrale Saint-Guy de Prague enfin dotée d’un orgue à sa hauteur

La cathédrale Saint-Guy de Prague va enfin être dotée d’un orgue monumental à la hauteur de son faste et de sa grandeur, près de 700 ans après la pose de la première pierre de ce chef d’oeuvre du gothique.Siège de l’archevêché, l’édifice, qui s’affiche sur la plupart des cartes postales vantant le centre de la capitale tchèque, a déjà accueilli une douzaine d’orgues. Le dernier en date avait été installé en 1931 mais s’est avéré inadéquat pour l’acoustique de l’immense espace.”Il était initialement prévu que ce soit le plus grand au monde, mais comme souvent avec les grands projets cela ne s’est pas réalisé”, explique à l’AFP l’organologue Stepan Svoboda. “Nous attendons donc un grand orgue depuis presque un siècle”.Le nouvel instrument, très aérien, semble flotter au-dessus du chœur, côté mur ouest de la cathédrale, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, et dont la construction s’est étalée de 1344 jusqu’au début du XXe siècle. Ses décorations en verre, conçues par le Slovaque Peter Olah, le designer des trophées du Tour de France, reflètent la lumière qui pénètre par une grande rosace, accentuant cette impression de légèreté alors qu’il pèse pas moins de 45 tonnes.Composé de plus de 6.000 tuyaux d’une longueur allant de quelques millimètres à onze mètres, l’imposant instrument a été fabriqué dans les ateliers de l’Allemand Gerhard Grenzing, en Espagne, avant d’être démonté et transporté à Prague par camion. – “Oreille tchèque” -Le facteur d’orgues a pris soin de “proposer un son agréable à l’oreille tchèque, en faisant le tour des églises et en étudiant attentivement les orgues locaux”, dit, enthousiaste, Vojtech Matl, qui dirige la Fondation de l’orgue de Saint-Guy.Il a dû aussi opérer des révisions de dernière minute après avoir constaté que les murs en grès poreux de la cathédrale, qui a accueilli entre autres les couronnements des rois de Bohême et les funérailles du président Vaclav Havel en 2011, absorbaient les sons.L’orgue, dont l’installation a démarré en mars, est actuellement en cours d’accordage, et le public ne pourra l’entendre pour la première fois que le 15 juin 2026, à l’occasion de la Saint-Guy, lors d’un concert organisé avec l’Orchestre philharmonique tchèque.Les réglages devraient nécessiter 900 heures, ce qui oblige l’édifice, qui a reçu 2,6 millions de visiteurs en 2024, à fermer ses portes plus tôt pour permettre aux harmonistes d’opérer dans un silence absolu. De 16H00 à minuit, ils ajustent le son de chaque tuyau, un travail que le chef harmoniste français André Lacroix espère terminer d’ici janvier.- Elan patriotique -“Nous devons travailler sur tous les paramètres sonores, tuyau par tuyau”, dit à l’AFP le sexagénaire qui a glissé sa silhouette élancée à l’intérieur de l’orgue et fait résonner les pièces métalliques avec un petit marteau. Sa fabrication, lancée en 2017, est entièrement financée par des donateurs, dont des dizaines de milliers de Tchèques qui ont jusqu’à présent contribué à hauteur de 114 millions de couronnes (4,7 millions d’euros). Parmi eux, un homme a offert 5.000 dollars, une retraitée a vendu un objet de famille et un autre a livré un sac en plastique rempli de dollars australiens récoltés parmi la diaspora, énumère M. Matl. Beaucoup ont contribué en “parrainant” un tuyau, sur lequel sera gravé leur nom à jamais. Un élan patriotique qui rappelle celui suscité par la souscription lancée pour la construction du théâtre national à la fin du XIXe siècle, en plein réveil du sentiment national.

Tanzania politicians in shock as cabal takes over after massacreWed, 12 Nov 2025 07:27:17 GMT

Tanzanian politicians are in shock over the massacre of hundreds of young protesters during its recent election, insiders told AFP, but are too afraid to speak out as a tiny cabal of hardliners around the president takes control.Gruesome images of dead Tanzanians have flooded the internet in the wake of the October 29 elections that …

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