L1: Brest plombe Lille dans la course à la Ligue des champions

Lille, battu 2-0 samedi à Brest pour la 33e et avant-dernière journée de Ligue 1, a perdu toute chance de se qualifier directement pour la Ligue des champions, et n’a plus vraiment son destin entre les mains pour arracher la quatrième place, synonyme de barrages pour la C1.Avec 57 points, l’équipe de Bruno Genesio occupe la 5e place, devancée par Nice à la différence de buts (+15 contre +19). Strasbourg, avec le même nombre de points, est 6e. Il faudra aux Nordistes battre Reims lors de la dernière journée et espérer un faux pas de Nice, qui accueillera Brest.Après son nul heureux la semaine dernière contre Marseille (1-1), le LOSC a semblé sans solution face à un Brest pourtant diminué.Privés de Benjamin André et Bafodé Diakité, les Nordistes ont sombré sur des buts de Ludovic Ajorque (1-0, 42e) et Kamory Doumbia (2-0, 64e).Ajorque a récompensé les Bretons de leur domination en première période, en ouvrant le score à la réception d’un centre enroulé de Romain Del Castillo, d’une tête croisée imparable pour le gardien lillois Lucas Chevalier. Malgré quelques tentatives de rébellion des Lillois, Brest n’a pas relâché son emprise après la pause. Et sur un contre en solitaire, conclu par un petit slalom dans la surface, Doumbia a confirmé le succès des Brestois face à des Nordistes maladroits et peu inspirés.Le score aurait même pu être plus lourd sans Lucas Chevalier, auteur d’un bel arrêt sur une reprise de volée d’Abdallah Sima en fin de match (89e).De son côté, Lille a peiné à se montré dangereux, si ce n’est sur un duel perdu par Ismaïly en début de match face à Marco Bizot (27e) ou sur un tir sur la barre d’Akpom (90’+2).

L1: Nice freiné par Rennes dans la course à la Ligue des Champions

Battu à Rennes (2-0), l’OGC Nice voit s’éloigner une qualification en Ligue des champions, samedi lors de la 33e journée de Ligue 1.Malgré ce revers, les Azuréens (57 pts) pointent à la quatrième place, qualificative pour le barrage d’accession à la phase de poules de la C1.Maîtres de leur destin grâce lorsqu’ils recevront Brest lors de la dernière journée, ils n’auront cependant pas le droit à l’erreur: Lille et Strasbourg comptent également 57 points et ne sont devancés qu’à la différence de buts.Pourtant Nice avait bien entamé le match en étant vite dangereux par la tête d’Ali Abdi, servi par Evan Guessand (7e).Malgré cette emprise, Rennes a ouvert le score, avec le 16e but de la saison de son avant-centre Arnaud Kalimuendo (1-0, 15e).Piqués dans leur orgueil et bien conscients de l’enjeu de ce déplacement en Bretagne, les Aiglons ont failli revenir illico par Antoine Mendy qui a trouvé, d’une tête, le poteau de Brice Samba (20e).Dans la foulée, Guessand est venu buter sur le portier rennais (23e), puis Bouanani a vu Samba bien de détendre pour empêcher l’égalisation (26e).Après cette poussée azuréenne, Rennes a pensé doubler son avantage, d’un tir sublime de Djaoui Cissé, mais une poussette de Kalimuendo a provoqué l’annulation du but (35e).Au retour des vestiaires, l’OGC Nice a changé de visages au sens propre, avec les entrées de Dante, Gaëtan Laborde et Jérémy Boga qui a manqué d’un rien l’égalisation, une nouvelle fois à cause de Samba, décidément impérial (56e).A l’heure de jeu, Haise a choisi de faire ses derniers changements, avec Sofiane Diop et Tom Loucht pour pousser encore.Nice a même cru obtenir un pénalty par Bouadoui mais le VAR l’a annulé (65e).Le doublé de Kalimuendo, d’un joli piqué, est venu mettre un terme aux derniers espoirs des Aiglons (80e) et peut-être apaiser un peu les supporters rennais qui avaient exprimé leur mécontentement au terme d’une saison décevante.

Ultimatum des alliés de Kiev à Moscou pour un cessez-le-feu de 30 jours

L’Ukraine et ses principaux alliés européens, de concert avec les États-Unis, ont adressé samedi un ultimatum à la Russie pour accepter un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours à partir de lundi, faute de quoi Moscou s’exposerait à de nouvelles “sanctions massives” occidentales.L’annonce a été faite lors d’une visite à Kiev des dirigeants français Emmanuel Macron, allemand Friedrich Merz, britannique Keir Starmer et polonais Donald Tusk, qui affirment avoir également le soutien du président américain Donald Trump, soit une rare démonstration d’unité occidentale.”Nous devons y réfléchir. Il s’agit d’un nouveau développement”, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à la télévision américaine CNN, selon la presse officielle russe. “Mais essayer de faire pression sur nous est tout à fait inutile”, a-t-il ajouté.Auparavant, sans répondre directement à cette proposition, M. Peskov avait regretté auprès des journalistes l’attitude de “confrontation” des Européens envers la Russie.”Nous entendons des déclarations contradictoires de la part de l’Europe. Elles sont généralement axées sur la confrontation plutôt que sur des tentatives visant à ressusciter nos relations d’une manière ou d’une autre”, a-t-il regretté.Une proposition d’une trêve de 30 jours a déjà été formulée à plusieurs reprises par l’Ukraine ces dernières semaines, mais rejetée par la Russie qui veut d’abord des engagements sur ses demandes, notamment que cessent les livraisons occidentales d’armes à Kiev.Selon le président français, une vingtaine de pays membres d’une “coalition des volontaires” de soutiens à l’Ukraine, qui ont échangé par visioconférence avec les dirigeants réunis à Kiev autour de l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, ont “décidé de soutenir un cessez-le-feu” de 30 jours, “avec une surveillance assurée principalement par les Etats-Unis d’Amérique” et à laquelle “tous les Européens contribueront”.Si la Russie refuse ce cessez-le-feu ou l’accepte mais le viole, “nous sommes agréés que des sanctions massives seraient préparées et coordonnées entre Européens et Américains”, a-t-il précisé.”La position à laquelle nous sommes parvenus aujourd’hui est une unité absolue entre toute une série de pays à travers le monde, y compris les États-Unis”, s’est félicité Keir Starmer.- Appel à Trump  -Friedrich Merz a évoqué la poursuite d’une “aide massive” à Kiev faute de réaction du Kremlin et estimé que la guerre russe en Ukraine “vise à détruire l’ordre politique européen tout entier”.Un “cessez-le-feu complet et inconditionnel sur terre, dans les airs et en mer” peut “ouvrir la voie à des négociations de paix” directes entre Moscou et Kiev, après plus de trois ans d’invasion russe, a estimé le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga.Volodymyr Zelensky et les quatre dirigeants européens ont téléphoné à Donald Trump pour l’informer des résultats de leurs entretiens. Sur des photos officiels du déplacement, on peut voir les cinq hommes assis autour d’une table basse avec un téléphone portable allumé dans le palais présidentiel à Kiev. Ils ont utilisé le portable d’Emmanuel Macron pour cet appel, a indiqué à l’AFP un responsable qui était présent dans la salle. La visite du quatuor européen à Kiev répond symboliquement aux commémorations en grande pompe des 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie tenues vendredi sur la place Rouge autour du président russe Vladimir Poutine et d’une vingtaine de dirigeants étrangers, dont le président chinois Xi Jinping.Sur la chaîne américaine ABC, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a estimé qu’un cessez-le-feu devrait être précédé d’un arrêt des livraisons d’armes occidentales, faute de quoi cela donnerait “un avantage à l’Ukraine” à un moment où “les troupes russes avancent de manière assurée” sur le front. “Manoeuvre dilatoire”, a répliqué Emmanuel Macron.- Avertissement américain -Moscou a rejeté jusqu’à présent les appels au cessez-le-feu, se contentant de décréter unilatéralement une trêve de trois jours, qui s’est achevée samedi soir à minuit (21H00 GMT).L’Ukraine n’a pas fait état de frappes de missiles russes de longue portée sur ses villes depuis le début de cette trêve mais elle a accusé la Russie de centaines de violations sur la ligne de front. Non loin du front dans le nord-est de l’Ukraine samedi, le porte-parole de la brigade militaire ukrainienne Khartia a assuré à l’AFP qu’il n’y avait “pas de trêve” et que l’intensité des combats est “à peu près la même” que d’habitude, ses troupes ayant essuyé des tirs à l’arme lourde depuis jeudi, début du cessez-le-feu annoncé par Vladimir Poutine.L’ambassade américaine en Ukraine a de son côté mis en garde vendredi contre le risque d’une importante “attaque aérienne” russe ces prochains jours.Des médias ukrainiens ont aussi affirmé samedi que la Russie avait notifié la fermeture de l’espace aérien au-dessus de son site militaire utilisé pour le lancement en 2024 de son missile de dernière génération Orechnik, signe potentiel de préparatif d’une nouvelle frappe balistique.

Ultimatum des alliés de Kiev à Moscou pour un cessez-le-feu de 30 jours

L’Ukraine et ses principaux alliés européens, de concert avec les États-Unis, ont adressé samedi un ultimatum à la Russie pour accepter un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours à partir de lundi, faute de quoi Moscou s’exposerait à de nouvelles “sanctions massives” occidentales.L’annonce a été faite lors d’une visite à Kiev des dirigeants français Emmanuel Macron, allemand Friedrich Merz, britannique Keir Starmer et polonais Donald Tusk, qui affirment avoir également le soutien du président américain Donald Trump, soit une rare démonstration d’unité occidentale.”Nous devons y réfléchir. Il s’agit d’un nouveau développement”, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à la télévision américaine CNN, selon la presse officielle russe. “Mais essayer de faire pression sur nous est tout à fait inutile”, a-t-il ajouté.Auparavant, sans répondre directement à cette proposition, M. Peskov avait regretté auprès des journalistes l’attitude de “confrontation” des Européens envers la Russie.”Nous entendons des déclarations contradictoires de la part de l’Europe. Elles sont généralement axées sur la confrontation plutôt que sur des tentatives visant à ressusciter nos relations d’une manière ou d’une autre”, a-t-il regretté.Une proposition d’une trêve de 30 jours a déjà été formulée à plusieurs reprises par l’Ukraine ces dernières semaines, mais rejetée par la Russie qui veut d’abord des engagements sur ses demandes, notamment que cessent les livraisons occidentales d’armes à Kiev.Selon le président français, une vingtaine de pays membres d’une “coalition des volontaires” de soutiens à l’Ukraine, qui ont échangé par visioconférence avec les dirigeants réunis à Kiev autour de l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, ont “décidé de soutenir un cessez-le-feu” de 30 jours, “avec une surveillance assurée principalement par les Etats-Unis d’Amérique” et à laquelle “tous les Européens contribueront”.Si la Russie refuse ce cessez-le-feu ou l’accepte mais le viole, “nous sommes agréés que des sanctions massives seraient préparées et coordonnées entre Européens et Américains”, a-t-il précisé.”La position à laquelle nous sommes parvenus aujourd’hui est une unité absolue entre toute une série de pays à travers le monde, y compris les États-Unis”, s’est félicité Keir Starmer.- Appel à Trump  -Friedrich Merz a évoqué la poursuite d’une “aide massive” à Kiev faute de réaction du Kremlin et estimé que la guerre russe en Ukraine “vise à détruire l’ordre politique européen tout entier”.Un “cessez-le-feu complet et inconditionnel sur terre, dans les airs et en mer” peut “ouvrir la voie à des négociations de paix” directes entre Moscou et Kiev, après plus de trois ans d’invasion russe, a estimé le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga.Volodymyr Zelensky et les quatre dirigeants européens ont téléphoné à Donald Trump pour l’informer des résultats de leurs entretiens. Sur des photos officiels du déplacement, on peut voir les cinq hommes assis autour d’une table basse avec un téléphone portable allumé dans le palais présidentiel à Kiev. Ils ont utilisé le portable d’Emmanuel Macron pour cet appel, a indiqué à l’AFP un responsable qui était présent dans la salle. La visite du quatuor européen à Kiev répond symboliquement aux commémorations en grande pompe des 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie tenues vendredi sur la place Rouge autour du président russe Vladimir Poutine et d’une vingtaine de dirigeants étrangers, dont le président chinois Xi Jinping.Sur la chaîne américaine ABC, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a estimé qu’un cessez-le-feu devrait être précédé d’un arrêt des livraisons d’armes occidentales, faute de quoi cela donnerait “un avantage à l’Ukraine” à un moment où “les troupes russes avancent de manière assurée” sur le front. “Manoeuvre dilatoire”, a répliqué Emmanuel Macron.- Avertissement américain -Moscou a rejeté jusqu’à présent les appels au cessez-le-feu, se contentant de décréter unilatéralement une trêve de trois jours, qui s’est achevée samedi soir à minuit (21H00 GMT).L’Ukraine n’a pas fait état de frappes de missiles russes de longue portée sur ses villes depuis le début de cette trêve mais elle a accusé la Russie de centaines de violations sur la ligne de front. Non loin du front dans le nord-est de l’Ukraine samedi, le porte-parole de la brigade militaire ukrainienne Khartia a assuré à l’AFP qu’il n’y avait “pas de trêve” et que l’intensité des combats est “à peu près la même” que d’habitude, ses troupes ayant essuyé des tirs à l’arme lourde depuis jeudi, début du cessez-le-feu annoncé par Vladimir Poutine.L’ambassade américaine en Ukraine a de son côté mis en garde vendredi contre le risque d’une importante “attaque aérienne” russe ces prochains jours.Des médias ukrainiens ont aussi affirmé samedi que la Russie avait notifié la fermeture de l’espace aérien au-dessus de son site militaire utilisé pour le lancement en 2024 de son missile de dernière génération Orechnik, signe potentiel de préparatif d’une nouvelle frappe balistique.

Ultimatum des alliés de Kiev à Moscou pour un cessez-le-feu de 30 jours

L’Ukraine et ses principaux alliés européens, de concert avec les États-Unis, ont adressé samedi un ultimatum à la Russie pour accepter un cessez-le-feu “complet et inconditionnel” de 30 jours à partir de lundi, faute de quoi Moscou s’exposerait à de nouvelles “sanctions massives” occidentales.L’annonce a été faite lors d’une visite à Kiev des dirigeants français Emmanuel Macron, allemand Friedrich Merz, britannique Keir Starmer et polonais Donald Tusk, qui affirment avoir également le soutien du président américain Donald Trump, soit une rare démonstration d’unité occidentale.”Nous devons y réfléchir. Il s’agit d’un nouveau développement”, a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à la télévision américaine CNN, selon la presse officielle russe. “Mais essayer de faire pression sur nous est tout à fait inutile”, a-t-il ajouté.Auparavant, sans répondre directement à cette proposition, M. Peskov avait regretté auprès des journalistes l’attitude de “confrontation” des Européens envers la Russie.”Nous entendons des déclarations contradictoires de la part de l’Europe. Elles sont généralement axées sur la confrontation plutôt que sur des tentatives visant à ressusciter nos relations d’une manière ou d’une autre”, a-t-il regretté.Une proposition d’une trêve de 30 jours a déjà été formulée à plusieurs reprises par l’Ukraine ces dernières semaines, mais rejetée par la Russie qui veut d’abord des engagements sur ses demandes, notamment que cessent les livraisons occidentales d’armes à Kiev.Selon le président français, une vingtaine de pays membres d’une “coalition des volontaires” de soutiens à l’Ukraine, qui ont échangé par visioconférence avec les dirigeants réunis à Kiev autour de l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, ont “décidé de soutenir un cessez-le-feu” de 30 jours, “avec une surveillance assurée principalement par les Etats-Unis d’Amérique” et à laquelle “tous les Européens contribueront”.Si la Russie refuse ce cessez-le-feu ou l’accepte mais le viole, “nous sommes agréés que des sanctions massives seraient préparées et coordonnées entre Européens et Américains”, a-t-il précisé.”La position à laquelle nous sommes parvenus aujourd’hui est une unité absolue entre toute une série de pays à travers le monde, y compris les États-Unis”, s’est félicité Keir Starmer.- Appel à Trump  -Friedrich Merz a évoqué la poursuite d’une “aide massive” à Kiev faute de réaction du Kremlin et estimé que la guerre russe en Ukraine “vise à détruire l’ordre politique européen tout entier”.Un “cessez-le-feu complet et inconditionnel sur terre, dans les airs et en mer” peut “ouvrir la voie à des négociations de paix” directes entre Moscou et Kiev, après plus de trois ans d’invasion russe, a estimé le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga.Volodymyr Zelensky et les quatre dirigeants européens ont téléphoné à Donald Trump pour l’informer des résultats de leurs entretiens. Sur des photos officiels du déplacement, on peut voir les cinq hommes assis autour d’une table basse avec un téléphone portable allumé dans le palais présidentiel à Kiev. Ils ont utilisé le portable d’Emmanuel Macron pour cet appel, a indiqué à l’AFP un responsable qui était présent dans la salle. La visite du quatuor européen à Kiev répond symboliquement aux commémorations en grande pompe des 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie tenues vendredi sur la place Rouge autour du président russe Vladimir Poutine et d’une vingtaine de dirigeants étrangers, dont le président chinois Xi Jinping.Sur la chaîne américaine ABC, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a estimé qu’un cessez-le-feu devrait être précédé d’un arrêt des livraisons d’armes occidentales, faute de quoi cela donnerait “un avantage à l’Ukraine” à un moment où “les troupes russes avancent de manière assurée” sur le front. “Manoeuvre dilatoire”, a répliqué Emmanuel Macron.- Avertissement américain -Moscou a rejeté jusqu’à présent les appels au cessez-le-feu, se contentant de décréter unilatéralement une trêve de trois jours, qui s’est achevée samedi soir à minuit (21H00 GMT).L’Ukraine n’a pas fait état de frappes de missiles russes de longue portée sur ses villes depuis le début de cette trêve mais elle a accusé la Russie de centaines de violations sur la ligne de front. Non loin du front dans le nord-est de l’Ukraine samedi, le porte-parole de la brigade militaire ukrainienne Khartia a assuré à l’AFP qu’il n’y avait “pas de trêve” et que l’intensité des combats est “à peu près la même” que d’habitude, ses troupes ayant essuyé des tirs à l’arme lourde depuis jeudi, début du cessez-le-feu annoncé par Vladimir Poutine.L’ambassade américaine en Ukraine a de son côté mis en garde vendredi contre le risque d’une importante “attaque aérienne” russe ces prochains jours.Des médias ukrainiens ont aussi affirmé samedi que la Russie avait notifié la fermeture de l’espace aérien au-dessus de son site militaire utilisé pour le lancement en 2024 de son missile de dernière génération Orechnik, signe potentiel de préparatif d’une nouvelle frappe balistique.

Bangladesh bans ousted PM’s party

Bangladesh’s interim government on Saturday banned the Awami League, the political party of former prime minister Sheikh Hasina, pending the outcome of a trial over its crackdown on mass protests that prompted her ouster last year.According to the United Nations, up to 1,400 protesters died in July 2024 when Hasina’s government launched a brutal campaign to silence the opposition.Hasina remains in self-imposed exile in India and has defied an arrest warrant from Dhaka over charges of crimes against humanity.”It has been decided to ban the activities — including in cyberspace — of the Awami League under the Anti-Terrorism Act until the trial of the Awami League and its leaders ends,” Asif Nazrul, a government advisor on law and justice, told reporters.Bangladesh’s interim leader, Nobel Peace Prize winner Muhammad Yunus, has led an interim government since Hasina was overthrown. Nazrul said the decision was taken to ensure the country’s “sovereignty and security” and “the security of the protesters” along with safeguarding “the plaintiffs and the witnesses of the tribunal.”Yunus’s administration also simultaneously approved an amendment to the country’s International Crimes Tribunal Act, allowing authorities to prosecute political parties and their affiliated bodies. The Awami League rejected the administration’s move, calling it “illegitimate.”The ban comes a day after thousands of people rallied outside Yunus’s residence, demanding a ban on Hasina’s party. On Thursday, former Awami League leader Abdul Hamid — also under investigation — successfully left the country. At least three police officers responsible for overseeing airport arrivals and departures have been dismissed for negligence in the wake of Hamid’s departure, officials said.

US, China conclude first day of trade talks in Geneva

Senior US and Chinese officials on Saturday concluded the first of two days of talks aimed at resolving the trade war sparked by President Donald Trump’s sweeping tariffs, with Chinese state media calling the negotiations an “important step.”US Treasury Secretary Scott Bessent and Trade Representative Jamieson Greer met with Chinese Vice Premier He Lifeng for the first such negotiations between the world’s two largest economies since Trump slapped steep new levies on China last month, sparking robust retaliation from Beijing. The discussions are expected to restart on Sunday in the Swiss city, according to an individual familiar with the talks, who was not authorized to speak publicly. “The contact in Switzerland is an important step in promoting the resolution of the issue,” a commentary published by China’s state news agency Xinhua said.It provided no further details on the progress of closed-door discussions, which began mid-morning Saturday.The negotiations took place at the residence of the Swiss ambassador to the United Nations in Geneva, a discrete villa with sky blue shutters near a large park on the left bank of Lake Geneva.Tariffs imposed by Trump on the Asian manufacturing giant since the start of the year currently total 145 percent, with cumulative US duties on some Chinese goods reaching a staggering 245 percent.In retaliation, China slapped 125 percent levies on US goods, cementing what appears to be a near trade embargo between the two countries.Trump signalled Friday that he might lower the sky-high tariffs on Chinese imports, taking to social media to suggest that an “80% Tariff on China seems right!”.”The president would like to work it out with China,” US Commerce Secretary Howard Lutnick told Fox News on Friday. “He would like to de-escalate the situation.”Trump’s press secretary Karoline Leavitt clarified that the United States would not lower tariffs unilaterally, and that China would need to make concessions.In any case, a move to that level would be a symbolic gesture, since the tariffs would remain prohibitively steep.- ‘Not good’ relationship -“The relationship is not good” between Washington and Beijing, said Bill Reinsch, a senior advisor at the Center for Strategic and International Studies. “We have trade-prohibitive tariffs going in both directions. Relations are deteriorating,” said Reinsch, a longtime former member of the US-China Economic and Security Review Commission, a bipartisan committee that advises Congress. “But the meeting is a good sign.””I think this is basically to show that both sides are talking — and that itself is very important,” said Xu Bin, professor of economics and finance at the China Europe International Business School. “Because China is the only country that has tit-for-tat tariffs against Trump’s tariffs,” he told AFP. Bessent has said the meetings in Switzerland would focus on “de-escalation” and not a “big trade deal”.Beijing has insisted the United States must lift tariffs first and vowed to defend its interests.”Trade wars and tariff battles yield no winners,” said a commentary piece run by Xinhua early Sunday.- 10-percent ‘baseline’ – China’s vice premier went into the discussions buoyed by news on Friday that China’s exports rose last month despite the trade war.The unexpected development was attributed by experts to a re-routing of trade to Southeast Asia to mitigate US tariffs.Bessent and He were meeting two days after Trump unveiled a trade agreement with Britain, the first deal with any country since he unleashed his blitz of sweeping global tariffs.The five-page, non-binding deal with London confirmed to nervous investors that the United States is willing to negotiate sector-specific relief from recent duties — in this case, on British cars, steel and aluminium. In return, Britain agreed to open up its markets to US beef and other farm products.But a 10 percent baseline levy on most British goods remained intact and Trump remains “committed” to keeping it in place for other countries, Leavitt told reporters on Friday.A few hours later, Trump appeared to contradict her, suggesting there could be some flexibility to the baseline — but only if the right deals could be reached. “There could be an exception at some point. We’ll see,” he said. “If somebody did something exceptional for us, that’s always possible.”burs-nl-da/sst

US, China conclude first day of trade talks in Geneva

Senior US and Chinese officials on Saturday concluded the first of two days of talks aimed at resolving the trade war sparked by President Donald Trump’s sweeping tariffs, with Chinese state media calling the negotiations an “important step.”US Treasury Secretary Scott Bessent and Trade Representative Jamieson Greer met with Chinese Vice Premier He Lifeng for the first such negotiations between the world’s two largest economies since Trump slapped steep new levies on China last month, sparking robust retaliation from Beijing. The discussions are expected to restart on Sunday in the Swiss city, according to an individual familiar with the talks, who was not authorized to speak publicly. “The contact in Switzerland is an important step in promoting the resolution of the issue,” a commentary published by China’s state news agency Xinhua said.It provided no further details on the progress of closed-door discussions, which began mid-morning Saturday.The negotiations took place at the residence of the Swiss ambassador to the United Nations in Geneva, a discrete villa with sky blue shutters near a large park on the left bank of Lake Geneva.Tariffs imposed by Trump on the Asian manufacturing giant since the start of the year currently total 145 percent, with cumulative US duties on some Chinese goods reaching a staggering 245 percent.In retaliation, China slapped 125 percent levies on US goods, cementing what appears to be a near trade embargo between the two countries.Trump signalled Friday that he might lower the sky-high tariffs on Chinese imports, taking to social media to suggest that an “80% Tariff on China seems right!”.”The president would like to work it out with China,” US Commerce Secretary Howard Lutnick told Fox News on Friday. “He would like to de-escalate the situation.”Trump’s press secretary Karoline Leavitt clarified that the United States would not lower tariffs unilaterally, and that China would need to make concessions.In any case, a move to that level would be a symbolic gesture, since the tariffs would remain prohibitively steep.- ‘Not good’ relationship -“The relationship is not good” between Washington and Beijing, said Bill Reinsch, a senior advisor at the Center for Strategic and International Studies. “We have trade-prohibitive tariffs going in both directions. Relations are deteriorating,” said Reinsch, a longtime former member of the US-China Economic and Security Review Commission, a bipartisan committee that advises Congress. “But the meeting is a good sign.””I think this is basically to show that both sides are talking — and that itself is very important,” said Xu Bin, professor of economics and finance at the China Europe International Business School. “Because China is the only country that has tit-for-tat tariffs against Trump’s tariffs,” he told AFP. Bessent has said the meetings in Switzerland would focus on “de-escalation” and not a “big trade deal”.Beijing has insisted the United States must lift tariffs first and vowed to defend its interests.”Trade wars and tariff battles yield no winners,” said a commentary piece run by Xinhua early Sunday.- 10-percent ‘baseline’ – China’s vice premier went into the discussions buoyed by news on Friday that China’s exports rose last month despite the trade war.The unexpected development was attributed by experts to a re-routing of trade to Southeast Asia to mitigate US tariffs.Bessent and He were meeting two days after Trump unveiled a trade agreement with Britain, the first deal with any country since he unleashed his blitz of sweeping global tariffs.The five-page, non-binding deal with London confirmed to nervous investors that the United States is willing to negotiate sector-specific relief from recent duties — in this case, on British cars, steel and aluminium. In return, Britain agreed to open up its markets to US beef and other farm products.But a 10 percent baseline levy on most British goods remained intact and Trump remains “committed” to keeping it in place for other countries, Leavitt told reporters on Friday.A few hours later, Trump appeared to contradict her, suggesting there could be some flexibility to the baseline — but only if the right deals could be reached. “There could be an exception at some point. We’ll see,” he said. “If somebody did something exceptional for us, that’s always possible.”burs-nl-da/sst