‘More sad than shocked’: TikTok users brace for ban

“I almost, like, don’t know how to define myself without TikTok,” content creator Ayman Chaudhary sighed, reflecting the consternation of millions over US authorities’ scheduled banning Sunday of the hugely popular app.After months of legal tussles, the US Supreme Court on Friday upheld a law that would ban the video-sharing platform — used by 170 million Americans — in the name of national security, unless its Chinese owners reach an 11th-hour deal to sell it to American buyers.”I’m more sad than shocked,” the 24-year-old Chaudhary told AFP. “But still, it’s sad and disappointing that the US government has come together to ban an app instead of banding together to adopt a law that matters about health or education.” It remains uncertain whether TikTok will turn out the lights Sunday — for a single day or forever. Potential buyers exist, though TikTok’s owner, Chinese tech company ByteDance, has systematically refused to part with its crown jewel.President-elect Donald Trump, just days from his second inauguration, said Friday that he “must have time” to decide whether to enforce the high court’s ruling. He promised a decision “in the not too distant future.”Until then, Ayman and countless other content creators have been left gloomily contemplating a future without TikTok.- Mandarin ‘out of spite’? -“I started five years ago in 2020 during (the Covid-19) quarantine, and I’ve been employed, like, through TikTok, and now it just feels like suddenly I’m unemployed,” said Ayman, an avid reader who offers book recommendations on the platform, earning enough from ads and sponsors to pay her bills. Like thousands of other worried TikTok users, she has protectively created a profile on Xiaohongshu (“Little Red Book”), a Chinese social media network similar to Instagram. Nicknamed “Red Note” by its American users, it was the most-downloaded app on the American Apple Store this week. People are turning to Red Note, Ayman said, as “kind of a protest, because it is a Chinese-owned app, and TikTok is being banned because it’s, like, Chinese-owned.”The language-teaching app Duolingo made a clear pitch to people looking for life after TikTok.”Learning Mandarin out of spite? You’re not alone,” Duolingo posted on X. “We’ve seen a 216% growth in new Chinese (Mandarin) learners in the US compared to this time last year.”On TikTok, many American creators have published videos combining their favorite moments on the app with farewell messages urging fans to follow them to other platforms, including Xiaohongshu — while openly mocking the concerns of American lawmakers. – ‘Micro-influencers’ -“Most students don’t buy the narrative that there’s Chinese spies that are controlling the algorithm” on TikTok, said Chris Dier, a history teacher who shares educational videos on TikTok and uses them as well in his classes.He said students “think that the United States government is not a fan of TikTok because… the government can’t easily control it.”Xiaohongshu, which is entirely in Mandarin, would not appear to provide a realistic long-term alternative for frustrated American users. Popular even before the pandemic, TikTok exploded among young people living in quarantine, and became a must-have resource for many small companies and start-ups.”It’s a scary time for a lot of smaller creators, because I think TikTok is one of the very few platforms on the internet where micro-influencers can really thrive,” said Nathan Espinoza, who has more than 550,000 subscribers on the app. Indeed, the social network has built its success not so much via personal recommendations as through its ultra-powerful algorithm, which lets it rapidly identify users’ interests and funnel content of particular interest to them. “I’m a more YouTube-centric creator now,” Espinoza said. “But I wouldn’t be where I am today without TikTok, because that first viral video showed me that it’s possible, and there’s an audience for the type of videos that I make.”

Foot: le PSG frappe fort en s’offrant Kvaratskhelia

Paris tient enfin son renfort de poids en attaque. Après une tentative avortée l’été dernier, l’attaquant géorgien Khvicha Kvaratskhelia s’est engagé vendredi jusqu’en 2029 avec le PSG, où il sera chargé de muscler le côté gauche et d’apporter de la concurrence dans un secteur en quête d’efficacité.”Le Paris Saint-Germain est heureux d’annoncer la signature de Khvicha Kvaratskhelia. L’ailier de 23 ans, qui portera le numéro 7, devient ainsi le premier joueur géorgien de l’histoire du club”, a annoncé le PSG dans un communiqué vendredi soir.Qu’il reprenne l’ancien numéro de Kylian Mbappé, parti l’été dernier au Real Madrid, donne un peu plus de poids symbolique, encore, à cette arrivée.C’est “l’un des joueurs les plus excitants du football mondial”, qui “se bat pour l’équipe avant tout”, a souligné Nasser Al-Khelaïfi, cité dans le communiqué, en allusion au nouveau projet du club moins centré sur les stars.”C’est un rêve d’être ici. On m’a dit énormément de choses très positives à propos du PSG. Je ressens une immense fierté en rejoignant ce grand club et j’ai vraiment hâte de porter mes nouvelles couleurs”, a déclaré de son côté Khvicha Kvaratskhelia.Son transfert, dont le montant serait compris entre 70 et 80 millions d’euros selon plusieurs médias, avait connu de nombreux rebondissements ces derniers mois. Alors qu’il était déjà la priorité pour remplacer Mbappé à l’intersaison, les dirigeants parisiens – et en particulier le conseiller sportif Luis Campos – s’étaient heurtés à l’intransigeance de Naples, qui a cette fois a accepté de laisser partir son meilleur élément.”Kvaradona”, comme l’ont surnommé les tifosi napolitains, n’a pas souhaité prolonger son contrat qui se terminait en 2027 et a voulu donner une nouvelle dimension à sa carrière après avoir été l’un des acteurs principaux du sacre du club lors de la saison 2022-2023, son premier “Scudetto” depuis 33 ans.Elu alors meilleur joueur de Série A, il était un des attaquants européens les plus recherchés à ce moment-là. Depuis, il a été moins en vue, même s’il a marqué 11 buts (8 passes décisives) la saison dernière.”Il a demandé à être cédé. Je suis déçu (…) On parle d’un joueur important”, déclarait le week-end dernier Antonio Conte, le coach de Naples, où “Kvara” évoluait depuis juillet 2022. Capable de jouer ailier comme dans l’axe derrière l’attaquant, vif, percutant et élégant balle au pied, le jeune joueur donne régulièrement le tournis aux défenses adverses avec ses dribbles. – Absent contre City et Stuttgart -Avec l’arrivée de cet ailier gauche, le PSG a donc décidé de développer son attaque et de concurrencer Bradley Barcola, moins efficace depuis quelques semaines, et Désiré Doué. Ce dernier pourra jouer davantage dans l’axe, ce qui est son poste de prédilection.Paris cherche dans le même temps à se délester de Randal Kolo Muani, qui n’entrait plus dans les plans de Luis Enrique et doit être prêté six mois à la Juventus Turin. Mais la transaction se heurte à des complications administratives, le PSG ayant déjà atteint le nombre maximal de joueurs en prêt cette saison.L’entraîneur espagnol, qui a validé l’option Kvaratskhelia depuis plusieurs mois avec Luis Campos, a donc fait le pari d’un joueur de côté de plus, avec un profil assez créateur comme Dembélé ou Barcola, plutôt que celui d’un pur avant-centre, qui a pourtant manqué lors des matches de Ligue des champions cette saison.De toute façon, en vertu des règles de l’UEFA, Kvaratskhelia ne pourra pas participer aux deux derniers matches de la phase de groupe de Ligue des champions, contre Manchester City le 22 janvier et Stuttgart le 29 janvier. Auteur de 12 buts et 13 passes décisives lors de la saison du titre avec Naples et de 17 buts en 40 sélections avec la Géorgie, il aurait été d’une grande d’aide pour les Parisiens, en mal d’efficacité offensive dans la compétition européenne. Il a été toutefois moins fringuant en cette première partie de saison avec cinq réalisations et n’a plus marqué depuis le 29 octobre après avoir frappé les esprits avec la Géorgie lors de l’Euro cet été en Allemagne.Il pourrait faire ses grands débuts avec le PSG au Parc des Princes le 25 janvier en Ligue 1 face à Reims.

Foot: le PSG frappe fort en s’offrant Kvaratskhelia

Paris tient enfin son renfort de poids en attaque. Après une tentative avortée l’été dernier, l’attaquant géorgien Khvicha Kvaratskhelia s’est engagé vendredi jusqu’en 2029 avec le PSG, où il sera chargé de muscler le côté gauche et d’apporter de la concurrence dans un secteur en quête d’efficacité.”Le Paris Saint-Germain est heureux d’annoncer la signature de Khvicha Kvaratskhelia. L’ailier de 23 ans, qui portera le numéro 7, devient ainsi le premier joueur géorgien de l’histoire du club”, a annoncé le PSG dans un communiqué vendredi soir.Qu’il reprenne l’ancien numéro de Kylian Mbappé, parti l’été dernier au Real Madrid, donne un peu plus de poids symbolique, encore, à cette arrivée.C’est “l’un des joueurs les plus excitants du football mondial”, qui “se bat pour l’équipe avant tout”, a souligné Nasser Al-Khelaïfi, cité dans le communiqué, en allusion au nouveau projet du club moins centré sur les stars.”C’est un rêve d’être ici. On m’a dit énormément de choses très positives à propos du PSG. Je ressens une immense fierté en rejoignant ce grand club et j’ai vraiment hâte de porter mes nouvelles couleurs”, a déclaré de son côté Khvicha Kvaratskhelia.Son transfert, dont le montant serait compris entre 70 et 80 millions d’euros selon plusieurs médias, avait connu de nombreux rebondissements ces derniers mois. Alors qu’il était déjà la priorité pour remplacer Mbappé à l’intersaison, les dirigeants parisiens – et en particulier le conseiller sportif Luis Campos – s’étaient heurtés à l’intransigeance de Naples, qui a cette fois a accepté de laisser partir son meilleur élément.”Kvaradona”, comme l’ont surnommé les tifosi napolitains, n’a pas souhaité prolonger son contrat qui se terminait en 2027 et a voulu donner une nouvelle dimension à sa carrière après avoir été l’un des acteurs principaux du sacre du club lors de la saison 2022-2023, son premier “Scudetto” depuis 33 ans.Elu alors meilleur joueur de Série A, il était un des attaquants européens les plus recherchés à ce moment-là. Depuis, il a été moins en vue, même s’il a marqué 11 buts (8 passes décisives) la saison dernière.”Il a demandé à être cédé. Je suis déçu (…) On parle d’un joueur important”, déclarait le week-end dernier Antonio Conte, le coach de Naples, où “Kvara” évoluait depuis juillet 2022. Capable de jouer ailier comme dans l’axe derrière l’attaquant, vif, percutant et élégant balle au pied, le jeune joueur donne régulièrement le tournis aux défenses adverses avec ses dribbles. – Absent contre City et Stuttgart -Avec l’arrivée de cet ailier gauche, le PSG a donc décidé de développer son attaque et de concurrencer Bradley Barcola, moins efficace depuis quelques semaines, et Désiré Doué. Ce dernier pourra jouer davantage dans l’axe, ce qui est son poste de prédilection.Paris cherche dans le même temps à se délester de Randal Kolo Muani, qui n’entrait plus dans les plans de Luis Enrique et doit être prêté six mois à la Juventus Turin. Mais la transaction se heurte à des complications administratives, le PSG ayant déjà atteint le nombre maximal de joueurs en prêt cette saison.L’entraîneur espagnol, qui a validé l’option Kvaratskhelia depuis plusieurs mois avec Luis Campos, a donc fait le pari d’un joueur de côté de plus, avec un profil assez créateur comme Dembélé ou Barcola, plutôt que celui d’un pur avant-centre, qui a pourtant manqué lors des matches de Ligue des champions cette saison.De toute façon, en vertu des règles de l’UEFA, Kvaratskhelia ne pourra pas participer aux deux derniers matches de la phase de groupe de Ligue des champions, contre Manchester City le 22 janvier et Stuttgart le 29 janvier. Auteur de 12 buts et 13 passes décisives lors de la saison du titre avec Naples et de 17 buts en 40 sélections avec la Géorgie, il aurait été d’une grande d’aide pour les Parisiens, en mal d’efficacité offensive dans la compétition européenne. Il a été toutefois moins fringuant en cette première partie de saison avec cinq réalisations et n’a plus marqué depuis le 29 octobre après avoir frappé les esprits avec la Géorgie lors de l’Euro cet été en Allemagne.Il pourrait faire ses grands débuts avec le PSG au Parc des Princes le 25 janvier en Ligue 1 face à Reims.

Global equities rally, pushing London and Frankfurt to new records

Global equities rallied on Friday as traders digested corporate results and prepared for US President-elect Donald Trump’s inauguration next week, pushing London’s benchmark FTSE 100 and Frankfurt’s DAX 40 index to new all-time highs.All three major indices on Wall Street closed higher, with the Nasdaq Composite propelled by a rise in tech stocks. “The sentiment in the market has changed dramatically,” Steve Sosnick from Interactive Brokers told AFP, noting the rally had been “very broad-based.”He added that there seemed to be “a bit of enthusiasm” that Trump’s likely economic policies would be good for the financial markets. Trump is due to be sworn in as US president on Monday.- Buoyant markets -The UK’s index of blue-chip companies jumped to 8,533.43 points, surpassing an intra-day record achieved in May last year. “After years of trying, and failing, to play catch up (with peers), the FTSE 100 appears to have finally caught the ball of investor enthusiasm,” noted Susannah Streeter, head of money and markets at Hargreaves Lansdown. “Although fresh volatility is expected on global markets after President Trump returns to the White House, there may be more appetite to shelter in the resilience of the UK market,” she added.In Frankfurt, the DAX struck 20,924.50, besting a peak set just last month.Chinese markets also closed higher Friday after fresh data showed the country’s economy grew slightly quicker than expected last year.The five-percent expansion was in line with the government’s target but the weakest since 1990 — excluding the pandemic years — as leaders fought to address weak consumption and a real estate debt crisis.A surge in the final quarter was helped by a string of stimulus measures and a boost in retail sales.”Amid a relentless barrage of economic pessimism, China’s economy defied expectations with a robust five-percent growth last year, nailing the government’s ambitious target,” said independent analyst Stephen Innes. “Although slightly outpacing analyst forecasts, this growth fell just shy of the 5.2 percent expansion seen in 2023, painting a picture of an economy with both promising highs and undeniable challenges,” Innes added.- UK concerns -In London, stocks have been boosted in recent days by a drop in UK government bond yields after a spike in state borrowing costs last week sent the pound tumbling.Sterling was lower Friday, reflecting ongoing strains for the British economy, which is struggling to grow despite falling inflation. Official data Friday revealed a surprise drop in UK retail sales in December.The FTSE 100 contains numerous multinationals whose revenues are largely earned in dollars, enabling them to profit from a falling pound.London and its European peers — along with Wall Street — have won support this week also as traders forecast more interest-rate cuts this year from major central banks.Indices have also rallied thanks to some positive company earnings and easing geopolitical concerns.- Key figures around 2145 GMT -New York – Dow: UP 0.8 percent at 43,487.83 points (close)New York – S&P 500: UP 1.0 percent at 5,996.66 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 1.5 percent at 19,630.20 (close)London – FTSE 100: UP 1.4 percent at 8,505.22 (close)Paris – CAC 40: UP 1.0 percent at 7,709.75 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.2 percent at 20,903.39 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.3 percent at 38,451.46 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.3 percent at 19,584.06 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,241.82 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0272 from $1.0306 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.2168 from $1.2237Dollar/yen: UP at 156.20 yen from 155.17 yenEuro/pound: UP at 84.41 pence from 84.18 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.6 percent at $80.79 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 1.0 percent at $77.88 per barrelburs-bcp/rl/gv/da-tmc/aha

Wall Street termine la semaine en hausse avant l’investiture de Trump

La Bourse de New York a terminé en nette hausse vendredi, après une semaine chargée en indicateurs et résultats d’entreprises et avant l’investiture de Donald Trump à la Maison Blanche.Le Dow Jones a grimpé de 0,78%, l’indice Nasdaq a bondi de 1,51% et l’indice élargi S&P 500 a progressé de 1,00%.”La semaine dernière, le marché s’était fortement replié à la suite de la publication de chiffres de l’emploi meilleurs que prévu. Mais aujourd’hui, le sentiment sur le marché a changé de façon spectaculaire”, souligne auprès de l’AFP Steve Sosnick, d’Interactive Brokers.L’optimisme de la place américaine découle notamment de la publication de plusieurs indices d’inflation dans la semaine, dont l’indice des prix à la consommation (CPI), mercredi, qui donne un signal sur la direction que pourrait prendre la Réserve fédérale américaine (Fed) sur son calendrier de baisse de taux.Pour la prochaine réunion, prévue les 28 et 29 janvier, la grande majorité des acteurs du marché prévoient un maintien des taux à leur niveau actuel, compris entre 4,25% et 4,50%, selon les données rassemblées par l’outil de veille du groupe CME, FedWatch.”Il y a eu un énorme changement” puisque “les rendements obligataires se sont nettement améliorés ces derniers jours (et) les actions ont suivi le mouvement”, explique M. Sosnick.Le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans s’établissait à 4,62% contre 4,61% la veille en clôture. Mardi, il avait touché 4,79%, un plus haut depuis octobre 2023.Le climat reste toutefois attentiste avant l’investiture de Donald Trump lundi et la perspective de mise en place de politiques inflationnistes voulues par le président élu, dont une possible augmentation des droits de douane. Lors de la campagne présidentielle américaine, M. Trump indiquait vouloir imposer 10 à 20% de droits de douane sur l’ensemble des produits entrant aux États-Unis, et même jusqu’à 60% voire 100% sur ceux venant de Chine.Lundi, jour de l’investiture de Donald Trump, les marchés américains seront fermés pour observer le Martin Luther King Day.L’indice VIX, qui mesure la nervosité des investisseurs, était toutefois en nette baisse depuis lundi, ce qui indique “que la perception du risque à court terme par les investisseurs a radicalement changé, passant d’un état relativement nerveux à un état relativement optimiste”, note M. Sosnick.Vendredi, les plateformes d’échanges Coinbase (+4,92%) et Robinhood (+4,49%) ont grimpé, de même que le “mineur” (créateurs de monnaie numérique) Riot Platforms (+0,75%), portés par des informations de Bloomberg, qui cite des sources proches du dossier, selon lesquelles Donald Trump prévoit de publier un décret élevant le Bitcoin au rang de priorité politique et donnant aux acteurs du secteur une voix au sein de son administration. L’article rapporte également qu’est bel et bien envisagée la création d’une réserve stratégique nationale de bitcoins, qui engloberait les avoirs existants que le gouvernement détient dans cette cryptomonnaie.Ailleurs à la cote, les entreprises chinoises cotées à New York comme Alibaba (+3,26%) et ses concurrents dans le secteur du commerce électronique, PDD (+5,30%) et JD.com (+10,11%) ont profité de l’enthousiasme de Donald Trump qui s’est félicité vendredi d’un “très bon” appel téléphonique avec le dirigeant chinois Xi Jinping et a déclaré s’attendre à ce que Washington et Pékin puissent résoudre “de nombreux problèmes ensemble”, selon une publication sur son réseau Truth Social. Le géant pharmaceutique danois Novo Nordisk, connu pour ses best-sellers Ozempic et Wegovy, traitements pour le diabète et la perte de poids, a fini en large baisse (-5,27%), lesté par l’annonce vendredi du gouvernement de Joe Biden concernant une nouvelle liste de 15 médicaments, notamment contre le cancer ou le diabète, dont il va négocier les prix avec les laboratoires pharmaceutiques.Le fabricant de semi-conducteurs Intel (+9,25%) profitait lui d’informations de presse selon lesquelles une entreprise, dont le nom n’a pas été révélé, serait prête à acquérir le groupe.

US grounds SpaceX’s Starship after fiery mid-air explosion

The United States on Friday grounded SpaceX’s Starship and ordered Elon Musk’s company to investigate why the spaceship spectacularly disintegrated in a fiery cascade over the Caribbean during its latest test mission.Authorities in the Turks and Caicos Islands confirmed they diverted all flights from their airspace during the incident and urged residents not to touch fallen debris, warning it could be hazardous.”The FAA (Federal Aviation Administration) is requiring SpaceX to perform a mishap investigation into the loss of the Starship vehicle during launch operations on Jan. 16,” the agency said.  “There are no reports of public injury, and the FAA is working with SpaceX and appropriate authorities to confirm reports of public property damage on Turks and Caicos.”It added that during the event, it briefly activated a “Debris Response Area” protocol to slow aircraft outside the area where the debris was falling or stop aircraft at their departure location.”Several aircraft requested to divert due to low fuel levels while holding outside impacted areas.”Under established procedures, SpaceX will now be required to carry out a “mishap investigation” — including the identification of any corrective actions, which the FAA will review before determining the launch vehicle can return to flight. Alternatively, the company may seek an early return to flight if it can demonstrate sufficient safety measures and confirm the mishap posed no public risk.The government of the Turks and Caicos Islands, a British-controlled archipelago, confirmed the diversion of all flights during the incident, which lit up social media with dazzling photos and videos of the meteor-like shower of debris.Officials also met with UK Space Agency experts and reiterated warnings to residents to avoid fallen debris.”If possible, take a photograph of the object (without touching it) alongside another object for scale,” a public advisory read, emphasizing, “Space debris remains the property of the spacecraft owner.”- Mars rocket – Starship is the biggest and most powerful rocket ever built, and is key to Musk’s ambitions of colonizing Mars. NASA hopes to use a modified version of the rocket as a human lunar lander for its Artemis missions to return to the Moon. Thursday’s uncrewed launch was Starship’s seventh orbital test, and the first involving a taller, upgraded version of the rocket.SpaceX, which dominates the commercial launch market through its workhorse Falcon 9 rocket, underscored its technical prowess by catching Starship’s first stage booster in the “chopstick” arms of its launch tower for a second time. But the triumph was short-lived when teams lost contact with the upper-stage vehicle. SpaceX later confirmed it had undergone “rapid unscheduled disassembly,” the company’s euphemism for an explosion.”Success is uncertain, but entertainment is guaranteed!” Musk quipped on X , sharing one of the many viral clips of the event. He added the cause of the explosion appeared to be an “oxygen/fuel leak” that caused an excess buildup of pressure. “Nothing so far suggests pushing next launch past next month,” he ventured.