Air Canada flights grounded as government intervenes in strike

All Air Canada planes remained grounded late Saturday despite the Canadian government intervening to end a strike by cabin crew members that saw hundreds of flights cancelled and triggered summer travel chaos.Canada’s largest airline, which has 130,000 daily passengers and flies directly to 180 cities worldwide, said that all flights would be cancelled until Sunday afternoon pending a decision by the country’s industrial relations board.Air Canada had stopped all operations after some 10,000 flight attendants began industrial action fueled by a wage dispute just after midnight on Saturday.Hours later, Canada’s labor policy minister, Patty Hajdu, moved to invoke a legal provision that would halt the strike and force both sides into binding arbitration. “This is not a decision that I have taken lightly. The potential for immediate negative impact on Canadians and our economy is simply too great,” Hajdu told journalists.However, she said it could still take five to 10 days for Air Canada to resume regular services after the disruption.Air Canada said in a statement later Saturday that all flights remained grounded pending a decision by the Canada Industrial Relations Board on the government’s arbitration order.The airline also said customers on cancelled flights were being offered a full refund.It had earlier urged customers not to go to the airport if they have a ticket for Air Canada or its lower-cost subsidiary Air Canada Rouge.It said flights by Air Canada Express, which are operated by a third party, would not be impacted by the walkout.- ‘Terrible precedent’ – The Canadian Union of Public Employees (CUPE), which is representing the workers, said its members would remain on strike until the government formally issues an order that they return to work.”Please remember there is only a referral, we are still in a legal position to strike and will continue to do so, we must show the company we are in control of this,” the union’s Air Canada branch wrote on Facebook. In a separate statement, CUPE slammed the Canadian government’s intervention as “rewarding Air Canada’s refusal to negotiate fairly by giving them exactly what they wanted.””This sets a terrible precedent,” it added. The union later pointed out that Maryse Tremblay, the chair of the Canada Industrial Relations Board, previously worked as legal counsel for Air Canada.Tremblay ruling on whether to end the strike was “an almost unthinkable display of conflict-of-interest,” the union said on Facebook.- Unpaid ground work -In addition to wage increases, the union says it wants to address uncompensated ground work, including during the boarding process. Rafael Gomez, who heads the University of Toronto’s Center for Industrial Relations, told AFP it is “common practice, even around the world” to compensate flight attendants based on time spent in the air. An average passenger, not familiar with common industry practice, could think, “‘I’m waiting to board the plane and there’s a flight attendant helping me, but they’re technically not being paid for that work,'” he said before the strike began. Air Canada detailed its latest offer in a Thursday statement, specifying that under the terms, a senior flight attendant would on average make CAN$87,000 ($65,000) by 2027.CUPE has described Air Canada’s offers as “below inflation (and) below market value.”The union has also rejected requests from the federal government and Air Canada to resolve outstanding issues through independent arbitration. Canada’s economy, though showing resilience, has begun feeling the effects of US President Donald Trump’s trade war, with his tariffs hitting crucial sectors like auto, aluminum and steel. In a statement issued before the strike began, the Business Council of Canada warned an Air Canada work stoppage could add further pain. “At a time when Canada is dealing with unprecedented pressures on our critical economic supply chains, the disruption of national air passenger travel and cargo transport services would cause immediate and extensive harm to all Canadians,” it said. 

Les avions d’Air Canada cloués au sol par une grève, le gouvernement intervient

Le gouvernement canadien a décidé samedi d’intervenir pour tenter de mettre fin à une grève d’hôtesses et de stewards paralysant les activités d’Air Canada, la principale compagnie aérienne du pays avec des centaines de vols annulés.La ministre de l’Emploi, Patty Hajdu, a sommé les parties de “reprendre et poursuivre leurs activités et leurs fonctions”.La grève, initiée par le personnel navigant pour obtenir une meilleure rémunération, ne ferait qu’alourdir le “fardeau financier” des Canadiens, a-t-elle prévenu.Le gouvernement fédéral a sollicité un arbitre indépendant, le Conseil canadien des relations industrielles (CCRI), pour régler les différends entre la compagnie aérienne et le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP).Le CCRI a le pouvoir d’ordonner la reprise des activités, mais devra commencer par examiner les déclarations des parties et décider s’il souhaite intervenir, ce qui peut prendre “entre 24 et 48 heures”, selon la ministre.En attendant, la grève, qui impacte 130.000 passagers par jour selon Air Canada, se poursuit donc.”Les vols sont annulés au moins jusqu’à l’après-midi du dimanche 17 août. Le processus du CCRI est en cours, de sorte que d’autres annulations pourraient suivre”, a indiqué la compagnie dans un communiqué dans la soirée.”Nous sommes profondément attristés pour nos passagers. Personne ne veut voir des Canadiens bloqués ou inquiets pour leurs projets de voyage, mais nous ne pouvons pas travailler gratuitement”, a insisté Natasha Stea, une représentante des hôtesses de l’air.- Travail au sol non rémunéré -Le syndicat SCFP, qui représente quelque 10.000 personnels navigants, est entré en grève dans la nuit de vendredi à samedi pour réclamer de meilleures rémunérations.Au-delà d’une augmentation de salaire, le personnel navigant réclame d’être rémunéré pour les heures de travail au sol, y compris lors de l’embarquement, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.En réponse à la grève, Air Canada et sa filiale à bas coût Air Canada Rouge ont a déclenché “un lock-out”.Natasha Guwen fait partie des nombreux passagers dont le vol a été annulé. “Ils essaient de nous mettre sur un autre vol, mais rien n’est sûr”, rapporte à l’AFP cette touriste indienne depuis l’aéroport de Toronto.Avant même le début officiel de la grève, la compagnie aérienne avait progressivement réduit ses opérations. Vendredi soir, elle avait annoncé avoir déjà annulé 623 vols au cours des derniers jours, touchant plus de 100.000 passagers.- Effets sur l’économie -L’entreprise avait par ailleurs détaillé jeudi une offre de compromis prévoyant de porter le salaire annuel moyen d’un agent de bord senior à 87.000 dollars canadiens (54.000 euros) d’ici 2027, mais le SCFP avait jugé les propositions insuffisantes au regard notamment de l’inflation.Le syndicat avait également rejeté les demandes de la compagnie et du gouvernement canadien de recourir à un arbitrage indépendant.Ce n’est pas la première fois que le gouvernement canadien intervient dans un conflit social. En novembre 2024, il avait ainsi ordonné la reprise immédiate des opérations dans plusieurs ports canadiens, puis en août de la même année le retour au travail des cheminots.Air Canada estime qu’il faudra entre cinq et dix jours pour que ses activités reprennent leur rythme habituel.L’économie canadienne, bien que montrant des signes de résilience, commence à éprouver les effets de la guerre commerciale engagée par le président américain Donald Trump, avec des droits de douane affectant des secteurs cruciaux pour le pays comme l’automobile, l’aluminium et l’acier.Dans ce contexte, le Conseil des affaires canadien, qui regroupe des dirigeants de plus d’une centaine de grandes entreprises, a jugé que la grève était susceptible de causer “un préjudice immédiat et considérable à tous les Canadiens”.

Les avions d’Air Canada cloués au sol par une grève, le gouvernement intervient

Le gouvernement canadien a décidé samedi d’intervenir pour tenter de mettre fin à une grève d’hôtesses et de stewards paralysant les activités d’Air Canada, la principale compagnie aérienne du pays avec des centaines de vols annulés.La ministre de l’Emploi, Patty Hajdu, a sommé les parties de “reprendre et poursuivre leurs activités et leurs fonctions”.La grève, initiée par le personnel navigant pour obtenir une meilleure rémunération, ne ferait qu’alourdir le “fardeau financier” des Canadiens, a-t-elle prévenu.Le gouvernement fédéral a sollicité un arbitre indépendant, le Conseil canadien des relations industrielles (CCRI), pour régler les différends entre la compagnie aérienne et le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP).Le CCRI a le pouvoir d’ordonner la reprise des activités, mais devra commencer par examiner les déclarations des parties et décider s’il souhaite intervenir, ce qui peut prendre “entre 24 et 48 heures”, selon la ministre.En attendant, la grève, qui impacte 130.000 passagers par jour selon Air Canada, se poursuit donc.”Les vols sont annulés au moins jusqu’à l’après-midi du dimanche 17 août. Le processus du CCRI est en cours, de sorte que d’autres annulations pourraient suivre”, a indiqué la compagnie dans un communiqué dans la soirée.”Nous sommes profondément attristés pour nos passagers. Personne ne veut voir des Canadiens bloqués ou inquiets pour leurs projets de voyage, mais nous ne pouvons pas travailler gratuitement”, a insisté Natasha Stea, une représentante des hôtesses de l’air.- Travail au sol non rémunéré -Le syndicat SCFP, qui représente quelque 10.000 personnels navigants, est entré en grève dans la nuit de vendredi à samedi pour réclamer de meilleures rémunérations.Au-delà d’une augmentation de salaire, le personnel navigant réclame d’être rémunéré pour les heures de travail au sol, y compris lors de l’embarquement, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.En réponse à la grève, Air Canada et sa filiale à bas coût Air Canada Rouge ont a déclenché “un lock-out”.Natasha Guwen fait partie des nombreux passagers dont le vol a été annulé. “Ils essaient de nous mettre sur un autre vol, mais rien n’est sûr”, rapporte à l’AFP cette touriste indienne depuis l’aéroport de Toronto.Avant même le début officiel de la grève, la compagnie aérienne avait progressivement réduit ses opérations. Vendredi soir, elle avait annoncé avoir déjà annulé 623 vols au cours des derniers jours, touchant plus de 100.000 passagers.- Effets sur l’économie -L’entreprise avait par ailleurs détaillé jeudi une offre de compromis prévoyant de porter le salaire annuel moyen d’un agent de bord senior à 87.000 dollars canadiens (54.000 euros) d’ici 2027, mais le SCFP avait jugé les propositions insuffisantes au regard notamment de l’inflation.Le syndicat avait également rejeté les demandes de la compagnie et du gouvernement canadien de recourir à un arbitrage indépendant.Ce n’est pas la première fois que le gouvernement canadien intervient dans un conflit social. En novembre 2024, il avait ainsi ordonné la reprise immédiate des opérations dans plusieurs ports canadiens, puis en août de la même année le retour au travail des cheminots.Air Canada estime qu’il faudra entre cinq et dix jours pour que ses activités reprennent leur rythme habituel.L’économie canadienne, bien que montrant des signes de résilience, commence à éprouver les effets de la guerre commerciale engagée par le président américain Donald Trump, avec des droits de douane affectant des secteurs cruciaux pour le pays comme l’automobile, l’aluminium et l’acier.Dans ce contexte, le Conseil des affaires canadien, qui regroupe des dirigeants de plus d’une centaine de grandes entreprises, a jugé que la grève était susceptible de causer “un préjudice immédiat et considérable à tous les Canadiens”.

Les avions d’Air Canada cloués au sol par une grève, le gouvernement intervient

Le gouvernement canadien a décidé samedi d’intervenir pour tenter de mettre fin à une grève d’hôtesses et de stewards paralysant les activités d’Air Canada, la principale compagnie aérienne du pays avec des centaines de vols annulés.La ministre de l’Emploi, Patty Hajdu, a sommé les parties de “reprendre et poursuivre leurs activités et leurs fonctions”.La grève, initiée par le personnel navigant pour obtenir une meilleure rémunération, ne ferait qu’alourdir le “fardeau financier” des Canadiens, a-t-elle prévenu.Le gouvernement fédéral a sollicité un arbitre indépendant, le Conseil canadien des relations industrielles (CCRI), pour régler les différends entre la compagnie aérienne et le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP).Le CCRI a le pouvoir d’ordonner la reprise des activités, mais devra commencer par examiner les déclarations des parties et décider s’il souhaite intervenir, ce qui peut prendre “entre 24 et 48 heures”, selon la ministre.En attendant, la grève, qui impacte 130.000 passagers par jour selon Air Canada, se poursuit donc.”Les vols sont annulés au moins jusqu’à l’après-midi du dimanche 17 août. Le processus du CCRI est en cours, de sorte que d’autres annulations pourraient suivre”, a indiqué la compagnie dans un communiqué dans la soirée.”Nous sommes profondément attristés pour nos passagers. Personne ne veut voir des Canadiens bloqués ou inquiets pour leurs projets de voyage, mais nous ne pouvons pas travailler gratuitement”, a insisté Natasha Stea, une représentante des hôtesses de l’air.- Travail au sol non rémunéré -Le syndicat SCFP, qui représente quelque 10.000 personnels navigants, est entré en grève dans la nuit de vendredi à samedi pour réclamer de meilleures rémunérations.Au-delà d’une augmentation de salaire, le personnel navigant réclame d’être rémunéré pour les heures de travail au sol, y compris lors de l’embarquement, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.En réponse à la grève, Air Canada et sa filiale à bas coût Air Canada Rouge ont a déclenché “un lock-out”.Natasha Guwen fait partie des nombreux passagers dont le vol a été annulé. “Ils essaient de nous mettre sur un autre vol, mais rien n’est sûr”, rapporte à l’AFP cette touriste indienne depuis l’aéroport de Toronto.Avant même le début officiel de la grève, la compagnie aérienne avait progressivement réduit ses opérations. Vendredi soir, elle avait annoncé avoir déjà annulé 623 vols au cours des derniers jours, touchant plus de 100.000 passagers.- Effets sur l’économie -L’entreprise avait par ailleurs détaillé jeudi une offre de compromis prévoyant de porter le salaire annuel moyen d’un agent de bord senior à 87.000 dollars canadiens (54.000 euros) d’ici 2027, mais le SCFP avait jugé les propositions insuffisantes au regard notamment de l’inflation.Le syndicat avait également rejeté les demandes de la compagnie et du gouvernement canadien de recourir à un arbitrage indépendant.Ce n’est pas la première fois que le gouvernement canadien intervient dans un conflit social. En novembre 2024, il avait ainsi ordonné la reprise immédiate des opérations dans plusieurs ports canadiens, puis en août de la même année le retour au travail des cheminots.Air Canada estime qu’il faudra entre cinq et dix jours pour que ses activités reprennent leur rythme habituel.L’économie canadienne, bien que montrant des signes de résilience, commence à éprouver les effets de la guerre commerciale engagée par le président américain Donald Trump, avec des droits de douane affectant des secteurs cruciaux pour le pays comme l’automobile, l’aluminium et l’acier.Dans ce contexte, le Conseil des affaires canadien, qui regroupe des dirigeants de plus d’une centaine de grandes entreprises, a jugé que la grève était susceptible de causer “un préjudice immédiat et considérable à tous les Canadiens”.

Hurricane Erin intensifies offshore, lashes Caribbean with rain

Hurricane Erin rapidly strengthened offshore to a “catastrophic” Category 5 storm on Saturday, as rain lashed Caribbean islands and weather officials warned of possible flash floods and landslides.The first hurricane of what is expected to be a particularly intense Atlantic season, Erin is expected to drench Caribbean islands with rain and strong winds but not make landfall.”The center of Erin is expected to move just north of the Virgin Islands and Puerto Rico through Sunday, and pass to the east of the Turks and Caicos Islands and the southeastern Bahamas Sunday night and Monday,” the US National Hurricane Center (NHC) said in its latest report. The storm’s maximum sustained winds were blowing at 150 miles (241 kilometers) per hour, the report said.Hurricane Erin was located about 160 miles (257 kilometers) northwest of Anguilla in the northern Leeward Islands, an area that includes the US and British Virgin Islands.Tropical storm watches were in effect for St Martin, St Barthelemy, Sint Maarten and the Turks and Caicos Islands.”Erin is now a catastrophic Category 5 hurricane,” the NHC announced earlier Saturday, denoting highly dangerous storms with sustained wind speeds above 157 mph.The storm reached the highest level on the Saffir-Simpson scale just over 24 hours after becoming a Category 1 hurricane, a rapid intensification that scientists say has become more common due to global warming.The storm could drench the islands with as much as six inches (15 centimeters) of rain in isolated areas, the NHC said.”Continued rapid strengthening is expected today, followed by fluctuations in intensity through the weekend,” the agency said in an earlier report.It also warned of “locally considerable flash and urban flooding, along with landslides or mudslides.”- Climate hazard -Swells generated by Erin will affect portions of the northern Leeward Islands, Virgin Islands, Puerto Rico, Hispaniola, and the Turks and Caicos Islands through the weekend. Those swells will spread to the Bahamas, Bermuda and the US East Coast early next week, creating “life-threatening surf and rip currents,” the NHC said.The hurricane is expected to turn northwest on Saturday night, then turn northward early next week. It is expected to weaken from Monday.While meteorologists have expressed confidence that Erin will remain well off the US coastline, they said the storm could still cause dangerous waves and erosion in places such as North Carolina.The Atlantic hurricane season, which runs from June until late November, is expected to be more intense than normal, US meteorologists predict.Several powerful storms wreaked havoc in the region last year, including Hurricane Helene, which killed more than 200 people in the southeastern United States.The National Oceanic and Atmospheric Administration — which operates the NHC — has been subject to budget cuts and layoffs as part of US President Donald Trump’s plans to greatly reduce the size of the federal bureaucracy, leading to fears of lapses in storm forecasting.Human-driven climate change — namely, rising sea temperatures caused by the burning of fossil fuels — has increased both the possibility of the development of more intense storms and their more rapid intensification, scientists say.

L’épisode caniculaire en déclin dimanche sur une grande partie de la France

L’épisode caniculaire va régresser dimanche et se concentrer sur la moitié sud du territoire et le sud-Bretagne, avec 36 départements placés en vigilance orange par Météo-France, au dixième jour de la vague de chaleur qui devrait toucher à sa fin lundi soir.Sur le pourtour méditerranéen, les températures prévues dimanche après-midi oscillent entre 35 et 37 degrés et atteindront dans l’intérieur du Languedoc et du Roussillon jusqu’à 41 degrés. Perpignan et Montpellier devraient dépasser la barre des 40 degrés selon Méteo-France.La France connaît son deuxième épisode caniculaire depuis le début de l’été et le 51e depuis 1947, ces phénomènes étant rendus plus fréquents et plus intenses par le changement climatique.L’air plus frais présent au nord du pays gagne progressivement du terrain vers le sud et va faire descendre les températures partout en France. Les maximales ne dépasseront plus les 29 à 31 degrés dans toute la partie centre et nord. Les prévisionnistes tablent sur une fin de la vigilance orange dimanche matin pour les départements d’Auvergne-Rhône-Alpes, de Bretagne, ainsi que pour les départements corses et les Hautes-Alpes.Météo-France a aussi placé la Corse en vigilance jaune pour les orages dimanche.La vague de chaleur a débuté le 8 août en France. D’abord cantonnée au Sud, avec des températures particulièrement élevées sur le Midi méditerranéen, elle a atteint un niveau exceptionnel entre lundi et mercredi du Sud-Ouest au Centre-Est, où de nombreux records ont été battus. Dans l’Hexagone, 266 stations météo ont enregistré au moins une fois une température de 40°C ou plus entre le 9 et le 12 août 2025 inclus. Soit plus que sur toute la seconde moitié du XXème siècle (235). Une nouvelle accentuation notable de la chaleur s’est opérée par le Sud-Ouest vendredi. La fin de l’épisode caniculaire est prévue entre lundi soir et mardi matin.Le sud de l’Europe n’est pas en reste avec notamment l’Espagne qui entre dans sa troisième semaine d’alerte vague de chaleur et n’en finit pas de combattre les incendies qui se concentrent dans le nord-ouest et l’ouest du pays.

L’épisode caniculaire en déclin dimanche sur une grande partie de la France

L’épisode caniculaire va régresser dimanche et se concentrer sur la moitié sud du territoire et le sud-Bretagne, avec 36 départements placés en vigilance orange par Météo-France, au dixième jour de la vague de chaleur qui devrait toucher à sa fin lundi soir.Sur le pourtour méditerranéen, les températures prévues dimanche après-midi oscillent entre 35 et 37 degrés et atteindront dans l’intérieur du Languedoc et du Roussillon jusqu’à 41 degrés. Perpignan et Montpellier devraient dépasser la barre des 40 degrés selon Méteo-France.La France connaît son deuxième épisode caniculaire depuis le début de l’été et le 51e depuis 1947, ces phénomènes étant rendus plus fréquents et plus intenses par le changement climatique.L’air plus frais présent au nord du pays gagne progressivement du terrain vers le sud et va faire descendre les températures partout en France. Les maximales ne dépasseront plus les 29 à 31 degrés dans toute la partie centre et nord. Les prévisionnistes tablent sur une fin de la vigilance orange dimanche matin pour les départements d’Auvergne-Rhône-Alpes, de Bretagne, ainsi que pour les départements corses et les Hautes-Alpes.Météo-France a aussi placé la Corse en vigilance jaune pour les orages dimanche.La vague de chaleur a débuté le 8 août en France. D’abord cantonnée au Sud, avec des températures particulièrement élevées sur le Midi méditerranéen, elle a atteint un niveau exceptionnel entre lundi et mercredi du Sud-Ouest au Centre-Est, où de nombreux records ont été battus. Dans l’Hexagone, 266 stations météo ont enregistré au moins une fois une température de 40°C ou plus entre le 9 et le 12 août 2025 inclus. Soit plus que sur toute la seconde moitié du XXème siècle (235). Une nouvelle accentuation notable de la chaleur s’est opérée par le Sud-Ouest vendredi. La fin de l’épisode caniculaire est prévue entre lundi soir et mardi matin.Le sud de l’Europe n’est pas en reste avec notamment l’Espagne qui entre dans sa troisième semaine d’alerte vague de chaleur et n’en finit pas de combattre les incendies qui se concentrent dans le nord-ouest et l’ouest du pays.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

L’épisode caniculaire en déclin dimanche sur une grande partie de la France

L’épisode caniculaire va régresser dimanche et se concentrer sur la moitié sud du territoire et le sud-Bretagne, avec 36 départements placés en vigilance orange par Météo-France, au dixième jour de la vague de chaleur qui devrait toucher à sa fin lundi soir.Sur le pourtour méditerranéen, les températures prévues dimanche après-midi oscillent entre 35 et 37 degrés et atteindront dans l’intérieur du Languedoc et du Roussillon jusqu’à 41 degrés. Perpignan et Montpellier devraient dépasser la barre des 40 degrés selon Méteo-France.La France connaît son deuxième épisode caniculaire depuis le début de l’été et le 51e depuis 1947, ces phénomènes étant rendus plus fréquents et plus intenses par le changement climatique.L’air plus frais présent au nord du pays gagne progressivement du terrain vers le sud et va faire descendre les températures partout en France. Les maximales ne dépasseront plus les 29 à 31 degrés dans toute la partie centre et nord. Les prévisionnistes tablent sur une fin de la vigilance orange dimanche matin pour les départements d’Auvergne-Rhône-Alpes, de Bretagne, ainsi que pour les départements corses et les Hautes-Alpes.Météo-France a aussi placé la Corse en vigilance jaune pour les orages dimanche.La vague de chaleur a débuté le 8 août en France. D’abord cantonnée au Sud, avec des températures particulièrement élevées sur le Midi méditerranéen, elle a atteint un niveau exceptionnel entre lundi et mercredi du Sud-Ouest au Centre-Est, où de nombreux records ont été battus. Dans l’Hexagone, 266 stations météo ont enregistré au moins une fois une température de 40°C ou plus entre le 9 et le 12 août 2025 inclus. Soit plus que sur toute la seconde moitié du XXème siècle (235). Une nouvelle accentuation notable de la chaleur s’est opérée par le Sud-Ouest vendredi. La fin de l’épisode caniculaire est prévue entre lundi soir et mardi matin.Le sud de l’Europe n’est pas en reste avec notamment l’Espagne qui entre dans sa troisième semaine d’alerte vague de chaleur et n’en finit pas de combattre les incendies qui se concentrent dans le nord-ouest et l’ouest du pays.

Ukraine: les alliés de Kiev se concertent sur le plan de paix voulu par Trump

Les alliés de l’Ukraine se concertent dimanche, lors d’une visioconférence de la “coalition des volontaires”, au sujet de l’accord de paix sans cessez-le-feu préalable voulu par Donald Trump après sa rencontre avec Vladimir Poutine.Le sommet en Alaska, qui était censé être crucial pour l’Ukraine et l’Europe, a offert au président russe un retour spectaculaire sur la scène internationale sans déboucher ni sur une pause dans les hostilités, encore moins sur de nouvelles sanctions visant la Russie.Le président américain soutient même une proposition de la Russie renforçant sa présence dans l’est de l’Ukraine, a indiqué à l’AFP un responsable au courant d’échanges téléphoniques entre Donald Trump et des dirigeants européens.Selon cette source anonyme, le président russe “demande dans les faits que l’Ukraine quitte le Donbass” et cède donc totalement ce territoire rassemblant les régions de Donetsk et Lougansk dans l’est de l’Ukraine. Il propose par ailleurs un gel du front dans les régions de Kherson et Zaporijjia (sud).Quelques mois après avoir lancé son invasion de l’Ukraine, la Russie avait proclamé en septembre 2022 l’annexion de ces quatre régions ukrainiennes, même si ses troupes n’en contrôlent toujours aucune en totalité.Volodymyr Zelensky, qui a jusqu’ici rejeté toute concession territoriale, disant avoir les mains liées par la constitution ukrainienne, sera reçu lundi après-midi par Donald Trump dans le Bureau ovale de la Maison Blanche.Se disant “reconnaissant de l’invitation”, le président ukrainien a toutefois prévenu samedi soir que le refus d’un cessez-le-feu par Moscou “compliqu(ait) la situation”.- Garantie de sécurité -En amont de son déplacement à Washington, le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Friedrich Merz réuniront dimanche à 13H00 GMT en visioconférence la “coalition des volontaires” alliés de Kiev, qui regroupe la plupart des grands pays européens, l’UE, l’Otan, et des pays non-européens comme le Canada.Les participants devraient aborder, selon des diplomates, la question des garanties de sécurité qui seraient accordées à Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix. Donald Trump a évoqué au profit de Kiev une garantie de sécurité similaire à celle de l’article 5 de l’Otan, en dehors toutefois du cadre de l’Alliance atlantique, considérée par Moscou comme une menace existentielle qui s’étend à ses frontières.D’après la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, il s’agirait pour commencer de définir “une clause de sécurité collective qui permettrait à l’Ukraine d’obtenir le soutien de tous ses partenaires, y compris des Etats-Unis, prêts à agir dans le cas où elle serait à nouveau attaquée”.- Sommet tripartite ? -Après trois ans et demi du conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde guerre mondiale, l’armée russe occupe environ 20% du territoire ukrainien dont la quasi totalité de la région de Lougansk et une grande partie de la région de Donetsk, où sa progression s’est accélérée récemment.Ce n’est pas le cas des régions de Zaporijjia et Kherson, dont les principaux centres urbains sont toujours sous contrôle ukrainien.L’abandon par Donald Trump du scénario d’une trêve semble favoriser Vladimir Poutine qui veut négocier directement un accord global et définitif. Kiev et ses alliés européens dénoncent au contraire une manière de gagner du temps afin de poursuivre son offensive et élargir ses conquêtes territoriales.C’est pourtant “la meilleure façon de mettre fin à la guerre horrible entre la Russie et l’Ukraine”, a justifié le milliardaire américain sur son réseau Truth Social. “Un simple accord de cessez-le-feu (…) souvent ne tient pas”, a insisté Donald Trump, lui qui avait pourtant menacé Moscou de “conséquences très graves” si les hostilités ne cessaient pas.Il a laisser envisager un sommet tripartite avec MM. Poutine et Zelensky si “tout marche bien” lorsqu’il recevra le président ukrainien, six mois après l’avoir humilié avec son vice-président JD Vance dans le Bureau ovale, une scène incroyable en direct à la télévision qui avait consterné nombre d’alliés européens.burs-seb-nr/gmo/phs

Ukraine: les alliés de Kiev se concertent sur le plan de paix voulu par Trump

Les alliés de l’Ukraine se concertent dimanche, lors d’une visioconférence de la “coalition des volontaires”, au sujet de l’accord de paix sans cessez-le-feu préalable voulu par Donald Trump après sa rencontre avec Vladimir Poutine.Le sommet en Alaska, qui était censé être crucial pour l’Ukraine et l’Europe, a offert au président russe un retour spectaculaire sur la scène internationale sans déboucher ni sur une pause dans les hostilités, encore moins sur de nouvelles sanctions visant la Russie.Le président américain soutient même une proposition de la Russie renforçant sa présence dans l’est de l’Ukraine, a indiqué à l’AFP un responsable au courant d’échanges téléphoniques entre Donald Trump et des dirigeants européens.Selon cette source anonyme, le président russe “demande dans les faits que l’Ukraine quitte le Donbass” et cède donc totalement ce territoire rassemblant les régions de Donetsk et Lougansk dans l’est de l’Ukraine. Il propose par ailleurs un gel du front dans les régions de Kherson et Zaporijjia (sud).Quelques mois après avoir lancé son invasion de l’Ukraine, la Russie avait proclamé en septembre 2022 l’annexion de ces quatre régions ukrainiennes, même si ses troupes n’en contrôlent toujours aucune en totalité.Volodymyr Zelensky, qui a jusqu’ici rejeté toute concession territoriale, disant avoir les mains liées par la constitution ukrainienne, sera reçu lundi après-midi par Donald Trump dans le Bureau ovale de la Maison Blanche.Se disant “reconnaissant de l’invitation”, le président ukrainien a toutefois prévenu samedi soir que le refus d’un cessez-le-feu par Moscou “compliqu(ait) la situation”.- Garantie de sécurité -En amont de son déplacement à Washington, le président français Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le chancelier allemand Friedrich Merz réuniront dimanche à 13H00 GMT en visioconférence la “coalition des volontaires” alliés de Kiev, qui regroupe la plupart des grands pays européens, l’UE, l’Otan, et des pays non-européens comme le Canada.Les participants devraient aborder, selon des diplomates, la question des garanties de sécurité qui seraient accordées à Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix. Donald Trump a évoqué au profit de Kiev une garantie de sécurité similaire à celle de l’article 5 de l’Otan, en dehors toutefois du cadre de l’Alliance atlantique, considérée par Moscou comme une menace existentielle qui s’étend à ses frontières.D’après la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, il s’agirait pour commencer de définir “une clause de sécurité collective qui permettrait à l’Ukraine d’obtenir le soutien de tous ses partenaires, y compris des Etats-Unis, prêts à agir dans le cas où elle serait à nouveau attaquée”.- Sommet tripartite ? -Après trois ans et demi du conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde guerre mondiale, l’armée russe occupe environ 20% du territoire ukrainien dont la quasi totalité de la région de Lougansk et une grande partie de la région de Donetsk, où sa progression s’est accélérée récemment.Ce n’est pas le cas des régions de Zaporijjia et Kherson, dont les principaux centres urbains sont toujours sous contrôle ukrainien.L’abandon par Donald Trump du scénario d’une trêve semble favoriser Vladimir Poutine qui veut négocier directement un accord global et définitif. Kiev et ses alliés européens dénoncent au contraire une manière de gagner du temps afin de poursuivre son offensive et élargir ses conquêtes territoriales.C’est pourtant “la meilleure façon de mettre fin à la guerre horrible entre la Russie et l’Ukraine”, a justifié le milliardaire américain sur son réseau Truth Social. “Un simple accord de cessez-le-feu (…) souvent ne tient pas”, a insisté Donald Trump, lui qui avait pourtant menacé Moscou de “conséquences très graves” si les hostilités ne cessaient pas.Il a laisser envisager un sommet tripartite avec MM. Poutine et Zelensky si “tout marche bien” lorsqu’il recevra le président ukrainien, six mois après l’avoir humilié avec son vice-président JD Vance dans le Bureau ovale, une scène incroyable en direct à la télévision qui avait consterné nombre d’alliés européens.burs-seb-nr/gmo/phs