Asian markets track Wall St rally as US inflation eases rate fears

Asian markets rose Monday after big gains on Wall Street, with traders welcoming below-forecast US inflation data that tempered worries that the Federal Reserve will take a more hawkish tone with interest rates next year.A holiday-thinned week got off to a healthy start after last week’s sell-off sparked by the US central bank’s outlook that suggested officials will not lower borrowing costs as much as previously hoped over the next 12 months. Sharp losses in reaction to the forecasts were pared after data showed the personal consumption expenditures (PCE) index, the Fed’s preferred gauge of inflation, came in at 2.4 percent on-year in November.While the reading was up slightly from October, it was lower than expected, providing some optimism that policymakers were winning the battle against prices and would have room to keep cutting rates.The figures led to a pullback in US Treasury bond yields that had jumped last week to their highest levels since May, helped by comments from Chicago Fed chief Austan Goolsbee, who expressed confidence that inflation was returning to the bank’s two percent target.Still, there remains some trepidation among investors as Donald Trump prepares to return to the White House, pledging to cut taxes, slash regulations and impose tariffs on imports, which some economists warn could reignite inflation.Ronald Temple, chief market strategist at Lazard, said in a commentary: “The initial response to the US election was positive as investors focused on the obvious tailwinds to profitability: lower corporate tax rates and less regulation. “However, I expect much more dispersion within the equity market when the reality of a much-less-friendly trade environment sets in.”All three main indexes in New York ended more than one percent higher.Asia followed suit, with Tokyo, Hong Kong, Sydney, Singapore, Seoul, Taipei, Mumbai, Bangkok and Manila all in the green. Shanghai was the sole decliner.London, Frankfurt and Paris were all lower in early European trade.The dollar also held losses suffered in the wake of the PCE data, with the yen, pound and euro all stronger than Thursday.Investors were also cheered by news that US lawmakers had reached a deal to avert a Christmastime government shutdown following marathon talks on Friday.The last-minute scramble came after Trump and billionaire Elon Musk pressured Republicans to abandon an earlier bipartisan funding compromise. Lawmakers then spent several days trying to hammer out another deal, with massive halts to government services hanging in the balance.Non-essential operations would have ground to a halt if no deal had been struck, with up to 875,000 workers furloughed and 1.4 million more required to work without pay.”This agreement represents a compromise, which means neither side got everything it wanted,” President Joe Biden said on signing the bill on Saturday.”But it rejects the accelerated pathway to a tax cut for billionaires that Republicans sought.”- Key figures around 0900 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 1.2 percent at 39,161.34 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.8 percent at 19,883.13 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.5 percent at 3,351.26 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.2 percent at 8,065.68Euro/dollar: DOWN at $1.0419 from $1.0431 on FridayPound/dollar: UP at $1.2576 from $1.2567Dollar/yen: UP at 156.52 yen from 156.45 yen Euro/pound: DOWN at 82.85 pence from 82.98 penceWest Texas Intermediate: UP 0.5 percent at $69.78 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.4 percent at $73.24 per barrelNew York – Dow: UP 1.2 percent at 42,840.26 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.3 percent at 8,084.61 (close)

Mayotte: dix jours après le cyclone, journée de “deuil national” et minute de silence

La France observe lundi un deuil national fixé par le président Emmanuel Macron en solidarité avec Mayotte, frappé il y a dix jours par le cyclone Chido qui a dévasté l’archipel et causé le décès d’au moins 35 personnes dans ce département ultra-marin.Pour cette journée de “deuil national”, le chef de l’Etat, qui s’est rendu la semaine dernière sur ce territoire français de l’océan Indien, a annoncé que les drapeaux seraient en berne et qu’une minute de silence serait observée à la mi-journée, notamment dans les services publics. Il a également appelé les Français, partout sur le territoire, à l’observer.Il observera lui-même la minute de silence à 11H00 dans la cour d’honneur de l’Elysée. Le Premier ministre François Bayrou en fera de même à Matignon.Le cyclone le plus dévastateur qu’ait connu Mayotte depuis 90 ans, a détruit le 14 décembre la totalité de l’habitat précaire et causé des dommages colossaux dans le département le plus pauvre de France, où les secours sont depuis à pied d’œuvre pour rétablir les services essentiels comme l’eau, l’électricité et les réseaux de communications.”90% de Mayotte est détruite, 90% des habitations n’ont plus de toit. On n’a pas d’eau, pas de nourriture, les secours ont encore du mal à arriver dans les zones”, s’est alarmée lundi matin Estelle Youssouffa, députée de la première circonscription de Mayotte, interrogée sur France Inter.”Je suis avec notre population qui n’a pas d’eau, pas vu de secours. Je demande désespérément qu’on envoie l’armée pour essayer d’éviter qu’on bascule dans l’anarchie. On est en train de piller les quelques maisons qui n’ont simplement plus de toit. Il n’y avait pas assez d’aide, il n’y a pas assez de secours”, a-t-elle poursuivi, se disant “profondément indignée” par une classe politique dont “l’obsession générale” est “le remaniement” ministériel alors que l’île “est dans une grande détresse humanitaire”.”En fait, on s’en fout de Mayotte. Et ça, franchement, c’est grave”, a lâché la députée, prise par l’émotion.Le bilan provisoire de la catastrophe naturelle, facilitée par le réchauffement climatique, s’élève à 35 morts et environ 2.500 blessés, mais les autorités, qui craignent un nombre de victimes plus élevé, ont diligenté une mission de recherche. Au Mozambique, le cyclone a provoqué la mort d’au moins 94 personnes, selon les autorités locales. Au Malawi, il a tué 13 personnes. A Mayotte, où un couvre-feu nocturne reste en vigueur, Emmanuel Macron a également promis une loi spéciale pour “rebâtir Mayotte” et “mettre fin” aux bidonvilles, ce qui pourrait prendre deux ans selon le nouveau Premier ministre François Bayrou. 

Mozambique tensions mount ahead of disputed election resultsMon, 23 Dec 2024 06:33:37 GMT

Mozambique is braced for the validation Monday of disputed election results, with the opposition leader vowing “chaos” if the ruling party is confirmed as the winner in a standoff that has already claimed at least 130 lives.The southern African country has been rocked by unrest since the election commission said that the October 9 vote …

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Mayotte: dix jours après le cyclone, journée de “deuil national” en France

La France observe lundi un deuil national fixé par le président Emmanuel Macron en solidarité avec Mayotte, frappé il y a dix jours par le cyclone Chido qui a dévasté l’archipel et causé le décès d’au moins 35 personnes dans ce département ultra-marin.Pour cette journée de “deuil national”, le chef de l’Etat, qui s’est rendu la semaine dernière sur ce territoire français de l’océan Indien, a annoncé que les drapeaux seraient en berne et qu’une minute de silence serait observée à la mi-journée, notamment dans les services publics. Il a également appelé les Français, partout sur le territoire, à l’observer.Le cyclone le plus dévastateur qu’ait connu Mayotte depuis 90 ans, a détruit le 14 décembre la totalité de l’habitat précaire et causé des dommages colossaux dans le département le plus pauvre de France, où les secours sont depuis à pied d’œuvre pour rétablir les services essentiels comme l’eau, l’électricité et les réseaux de communications. Le bilan provisoire de la catastrophe naturelle, facilitée par le réchauffement climatique, s’élève à 35 morts et environ 2.500 blessés, mais les autorités, qui craignent un nombre de victimes plus élevé, ont diligenté une mission de recherche. Au Mozambique, le cyclone a provoqué la mort d’au moins 94 personnes, selon les autorités locales. Au Malawi, il a tué 13 personnes. A Mayotte, où un couvre-feu nocturne reste en vigueur, Emmanuel Macron a également promis une loi spéciale pour “rebâtir Mayotte” et “mettre fin” aux bidonvilles, ce qui pourrait prendre deux ans selon le nouveau Premier ministre François Bayrou. 

Reportée, l’annonce du gouvernement au plus tôt lundi

Nouveau report et feuilleton connu. Donnée comme probable dimanche soir, la présentation du gouvernement de François Bayrou a été repoussée, ce qui laisse très peu de possibilités pour une annonce avant Noël, objectif affiché par le Premier ministre.De nominations de Premiers ministres en remaniements, la classe politique s’est habituée à devoir patienter au gré des ajustements de calendriers de l’exécutif.Une annonce est désormais envisagée lundi, une date que l’Elysée et Matignon voulaient éviter car elle correspond à la journée de deuil national pour Mayotte décrété par le président Emmanuel Macron après le passage du cyclone Chido qui a dévasté le département d’outre-mer.Une minute de silence doit être observée dans tout le pays à 11H00 en hommage aux victimes de la catastrophe, dont le bilan provisoire s’élève à 35 morts et 2.500 blessés.Si l’annonce devait être encore retardée, le gouvernement ne serait connu que mardi 24 décembre, veille de Noël et début de la trêve des fêtes de fin d’année.Le leader centriste, 73 ans, quatrième Premier ministre en 2024, espère composer un gouvernement de poids lourds, à même d’éviter la censure, avec à la fois des personnalités de droite, du centre et de gauche.Son entourage avait fait savoir dimanche que le Premier ministre en était “aux derniers réglages de son gouvernement”. Plusieurs échanges téléphoniques avec Emmanuel Macron ont eu lieu dimanche, ainsi qu’un entretien dans la soirée à l’Elysée.”Cela avance. (…) La structuration des grands pôles ministériels est fixée”, avait assuré durant le week-end le président des députés MoDem, Marc Fesneau, proche de François Bayrou, confirmant que la liste complète du gouvernement devrait être présentée “en une seule fois” et “avant Noël”.-Peu de monde à gauche-Mais la composition d’un gouvernement répond à un subtil dosage devant notamment respecter les équilibres politiques, la parité entre hommes et femmes, et les susceptibilités de personnes. Les ministres devront surtout préparer dans l’urgence un budget pour 2025, sous la pression des oppositions et des marchés financiers.Les noms de l’ex-Première ministre Elisabeth Borne ou de l’ex-ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sont évoqués pour entrer dans l’équipe de François Bayrou, tout comme celui de Xavier Bertrand, président des Hauts-de-France et figure du parti de droite Les Républicains (LR).Ce dernier, cité pour la Justice, est un irritant pour le Rassemblement national, qu’il a longtemps combattu. D’autant que Marine Le Pen attend son jugement, avec une éventuelle inéligibilité, dans le procès des assistants du Parlement européen.”Qui comprend ce que veut faire François Bayrou ? À part recycler ceux qui se sont trompés”, s’est agacé le vice-président du Rassemblement national Sébastien Chenu dimanche sur BFMTV, rappelant néanmoins que la formation d’extrême droite n’était “pas partie pour voter une motion de censure immédiate”. Quant à Gerald Darmanin, ex-LR rallié à la macronie, il a publiquement fait acte de candidature pour le Quai d’Orsay où l’actuel ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot (MoDem) aimerait rester.A gauche, l’ancien ministre socialiste François Rebsamen, 73 ans, a annoncé dans La Tribune dimanche être “prêt” à rejoindre le gouvernement, vantant sa “relation de confiance” de longue date avec François Bayrou.  Mais rien ne filtre ou presque d’autres personnalités issues de la gauche qui pourraient être tentées de rejoindre François Bayrou. Le parti socialiste a formellement refusé de participer au gouvernement et son chef Olivier Faure est sorti déçu de Matignon jeudi dernier, se disant “consterné de la pauvreté de ce qui (a été) proposé” et n’excluant pas de censurer le tout nouveau Premier ministre, allié de la première heure d’Emmanuel Macron.Parmi les sortants, Catherine Vautrin (Territoires), Rachida Dati (Culture) et Sébastien Lecornu (Armées) devraient rester, probablement aux mêmes portefeuilles.Samedi soir, le chef des députés Les Républicains Laurent Wauquiez a confirmé à ses troupes qu’il s’orientait vers une participation de son parti au gouvernement, moyennant des engagements écrits du Premier ministre “avec des précisions sur la feuille de route” notamment budgétaire. Il avait cependant indiqué qu’il n’entrerait pas lui-même dans l’équipe Bayrou après avoir ambitionné de prendre le portefeuille des Finances.En revanche, le ministre sortant de l’Intérieur Bruno Retailleau est bien parti pour rester.Le socle gouvernemental du centriste serait ainsi finalement assez proche de celui du LR Michel Barnier, renversé le 4 décembre par une motion de censure de l’Assemblée nationale, après trois mois en poste.

Honda and Nissan expected to begin merger talks

Honda and Nissan were poised Monday to announce the start of talks on a merger to help the Japanese giants catch up with Chinese rivals and Tesla on electric vehicles.Their collaboration would create the world’s third largest automaker, expanding development of EVs and self-driving tech while coming to the rescue of struggling Nissan.The pair have not released any details publicly but it was widely reported in Japanese media that they would sign a memorandum of understanding on Monday afternoon.Honda and Nissan — Japan’s number two and three automakers after Toyota — are aiming to finalise a merger deal in June 2025, several media outlets said.Mitsubishi Motors, which could join the new holding company early next year, is also expected to take part in Monday’s announcement, after Honda and Nissan hold board meetings.In the morning, the presidents of Honda, Nissan and Mitsubishi Motors told the industry and transport ministries of their plan to start negotiations, Kyodo News reported.Honda and Nissan’s partnership could include a manufacturing tie-up where they build vehicles at each other’s plants, Kyodo said, citing sources close to the matter.Lacklustre consumer spending and stiff competition in several markets is making life hard for many automakers.Business has been especially tough for foreign brands in China, where electric vehicle manufacturers such as BYD are leading the way as demand grows for less polluting vehicles.China overtook Japan as the biggest vehicle exporter last year, helped by government support for EVs.”We hope Japanese companies will take steps to respond to these changes and take measures to survive and win amid international competition,” top government spokesman Yoshimasa Hayashi said Monday.He declined to comment on the merger reports but highlighted the “importance of strengthening competitiveness in areas such as… batteries and in-vehicle software”.Debt-laden Nissan last month announced thousands of job cuts as it reported a 93 percent plunge in first-half net profit, making a merger with Honda welcome news.But Taiwanese electronics manufacturer Foxconn has also reportedly sensed an opportunity.Foxconn, which builds devices for tech companies including Apple’s iPhones, first unsuccessfully approached Nissan with a bid to acquire a majority stake, according to Bloomberg.Then a Taiwanese media outlet said Foxconn’s Jun Seki — a former Nissan executive — had visited France to ask Renault to sell its 35 percent share of Nissan, although reports later said this pursuit had been put on pause.Honda and Nissan had already agreed in March to explore a strategic partnership on software and components for EVs among other technologies.This partnership was joined in August by Mitsubishi Motors, of which Nissan is a majority shareholder.Nissan has weathered a turbulent decade, including the 2018 arrest of former boss Carlos Ghosn, who later jumped bail and fled Japan concealed in a music equipment box.Kyodo said that Honda would ask Nissan to achieve a “V-shaped recovery” in performance as a condition for the merger.