Los Angeles 2028 Olympic Games schedule revealed

The 2028 Los Angeles Olympics competition schedule was unveiled on Wednesday by organizers, including a showcase spot for the women’s 100 meters and a Super Saturday session.LA28 revealed a detailed schedule earlier than usual. It starts with the opening ceremony on July 14 and ends with the closing ceremony on July 30.The biggest-ever Games will feature 11,200 athletes in 51 sports across 49 venues.Every team sport will feature an equal or greater number of women’s teams compared to men’s teams for the first time with 50.5 percent of total athletes being women.On day one, July 15, the most women’s finals ever held on one day will be contested, starting with women’s triathlon with a spotlight on the women’s 100 meters.”We want to come out in these Games with a bang. We want to start day one with a showcase of the fastest females in the world,” LA28 chief of sport Shana Ferguson said.Doing so will mean women must run three 100m heats in one day.”We did speak at length with athletes. It was a largely positive conversation,” Janet Evans, LA28 chief athlete officer, said.”We’re kicking off the athletic competition with one of the marquee events for women athletes.”When we presented it to the athletes that way, there was excitement. They said let me know early and I’ll train to run three 100s in one day.”Organizers flipped swimming and athletics from the traditional schedule so the opening ceremony venue, SoFi Stadium, could also host swimming in the second week.Track and field events will be held in the first week of the Games, with swimming in the second week.”You move to the second week. You have 38,000 people in the stands,” Evans said. “Having 38,000 fans watch my favorite sport is exciting as well.”Swimmers also have a better chance to attend the opening ceremony without next-morning races to consider.A “Super Saturday” schedule on July 29 includes 26 finals sessions in 23 sports, including 15 gold and bronze medal team matches and finals in 15 individual sports.Among Olympic champions to be crowned on that day are those in athletics, basketball, beach volleyball, boxing, cricket, golf, football, swimming and tennis.The last Olympic champions will be crowned in swimming just before the closing ceremony.Organizers scheduled the marathons on the final weekend, the women’s race on July 29 and the men’s marathon on July 30.- No dynamic pricing -About 14 million tickets will be available for Olympic events, with pricing details to be announced later, but dynamic pricing is not being considered, Ferguson said.Olympic and sport federation officials have helped create the LA28 schedule.”We don’t do any of this schedule without them,” Ferguson said.Weather considerations went into the plan, with some sessions moved into the evening to have cooler conditions, including for horses at Santa Anita for equestrian events.Baseball and softball will return to the Olympic lineup. Baseball will be played at Dodger Stadium, home of the reigning Major League Baseball champion Los Angeles Dodgers, with medal games July 19.Baseball will begin on July 13, a day ahead of the opening ceremony, with a new competition window to allow MLB players to compete in the Olympics.Cricket rejoins the Olympic lineup after more than a century with the women’s final on July 20 and the men’s final on July 29.Lacrosse, on the 1908 London Olympic calendar and later a demonstration sport, will return with the men’s and women’s finals on July 29.Los Angeles will also introduce American flag football and squash on July 15 for Olympic debuts.Details for the Olympic football tournament, to be staged across the United States, and the Los Angeles Paralympics will be announced later.Ticket registration for the LA Olympics will begin in January.

La suspension de la réforme des retraites en passe d’être votée à l’Assemblée

La suspension de la réforme des retraites de 2023, dont l’examen a enfin débuté à l’Assemblée, a de grandes chances d’être votée mercredi, même si les échanges s’annoncent houleux à gauche.Les députés ont commencé à débattre de l’article du projet de loi de financement de la Sécurité sociale qui suspend jusqu’à janvier 2028 la marche en avant vers les 64 ans, tout comme le relèvement du nombre de trimestres à cotiser.Concrètement, la génération née en 1964 partirait à 62 ans et 9 mois (comme la précédente) au lieu des 63 ans prévus par la réforme. Ces assurés partiraient avec 170 trimestres cotisés au lieu de 171.Si aucune autre réforme n’était votée après la présidentielle, l’application de la réforme Borne reprendrait ensuite, avec un trimestre de décalage.Pour s’assurer du vote des socialistes, voire de certains écologistes et communistes, le gouvernement a déposé un amendement pour élargir cette suspension, notamment aux carrières longues, aux catégories “actives” et “superactives” de la fonction publique (pompiers, aides-soignantes…) et aux personnes nées au premier trimestre 1965.Une ouverture qui a un coût : évaluée à 100 millions d’euros en 2026 et 1,4 milliard en 2027 par le gouvernement, la suspension coûterait avec l’élargissement 300 millions en 2026 et 1,9 milliard en 2027. Elle pourrait être financée par une hausse de la CSG sur les revenus du capital votée dans le même budget.Et si les socialistes ne boudent pas leur plaisir d’avoir réussi à faire bouger Emmanuel Macron sur sa principale réforme du second quinquennat, les Insoumis restent vent debout contre “une trahison” du PS sur “l’abrogation” de la réforme, revendiquée par le Nouveau Front populaire aux législatives-2024.”Nous ne voterons pas cette compromission PS-Lecornu !”, dénonce Eric Coquerel (LFI) selon qui voter “ce décalage de 3 mois” revient à valider de facto aussi pour la première fois l’âge légal de 64 ans.Le “rapport de force, il porte ses fruits”, se réjouit au contraire Jérôme Guedj (PS).Une ligne de partage qui divise aussi les syndicats, la CFDT ayant salué une “vraie victoire”, quand la CGT fustige un “simple décalage”.De quoi susciter des interrogations à gauche. Les écologistes voteront pour. Les députés communistes voteront majoritairement contre ce qu’ils considèrent comme un simple “décalage” et non une “suspension”, selon leur président Stéphane Peu.- “On peut continuer” -Pour des raisons diamétralement opposées, une majorité du groupe LR devrait s’opposer à cette suspension, à l’instar des députés Horizons d’Édouard Philippe, qui a désapprouvé une concession “trop importante” au PS.Ces oppositions ne suffiront pas car “tous les députés RN” voteront pour la suspension, selon leur cheffe de file Marine Le Pen. Et les députés Renaissance s’abstiendront majoritairement, souvent à contrecœur, pour ne pas faire dérailler l’accord avec les socialistes. “Cinq ou six” devraient voter contre, selon une source au groupe.Le chemin sera de toute façon encore long pour l’adoption finale de cette suspension, qui sera accueillie en terrain hostile au Sénat, probablement à partir de samedi.En raison du retard accumulé, les députés n’auront peut-être pas la possibilité de voter en première lecture sur l’ensemble du budget de la Sécurité sociale, dont l’examen doit s’achever à ce stade mercredi à minuit, avec près de 400 amendements encore à examiner.Y a-t-il encore une chance d’aller au vote ? “Non”, estimait sobrement un député PS mercredi matin. “On peut continuer” les débats au-delà de minuit, insiste le député LFI Hadrien Clouet, interpellant le gouvernement, arguant que ce dernier peut à partir de minuit transmettre le texte au Sénat, mais n’est pas obligé de le faire.Les Insoumis estiment que socialistes et gouvernement se sont entendus pour jouer la montre pour ne pas prendre le risque d’un rejet du budget dans l’hémicycle.Car, si le RN vote pour la suspension de la réforme des retraites, il entend voter contre le texte dans son ensemble avec la suspension incluse.Cela pourrait contraindre les socialistes à voter avec les macronistes en faveur du texte global alors qu’ils préfèreraient s’abstenir, n’en cautionnant pas toutes les mesures.En l’absence de vote, le texte sera quoi qu’il arrive transmis au Sénat et le gouvernement s’est engagé à envoyé la copie de l’Assemblée, dans son état au moment de l’interruption des débats.parl-far-sac/sde/dch   

La suspension de la réforme des retraites en passe d’être votée à l’Assemblée

La suspension de la réforme des retraites de 2023, dont l’examen a enfin débuté à l’Assemblée, a de grandes chances d’être votée mercredi, même si les échanges s’annoncent houleux à gauche.Les députés ont commencé à débattre de l’article du projet de loi de financement de la Sécurité sociale qui suspend jusqu’à janvier 2028 la marche en avant vers les 64 ans, tout comme le relèvement du nombre de trimestres à cotiser.Concrètement, la génération née en 1964 partirait à 62 ans et 9 mois (comme la précédente) au lieu des 63 ans prévus par la réforme. Ces assurés partiraient avec 170 trimestres cotisés au lieu de 171.Si aucune autre réforme n’était votée après la présidentielle, l’application de la réforme Borne reprendrait ensuite, avec un trimestre de décalage.Pour s’assurer du vote des socialistes, voire de certains écologistes et communistes, le gouvernement a déposé un amendement pour élargir cette suspension, notamment aux carrières longues, aux catégories “actives” et “superactives” de la fonction publique (pompiers, aides-soignantes…) et aux personnes nées au premier trimestre 1965.Une ouverture qui a un coût : évaluée à 100 millions d’euros en 2026 et 1,4 milliard en 2027 par le gouvernement, la suspension coûterait avec l’élargissement 300 millions en 2026 et 1,9 milliard en 2027. Elle pourrait être financée par une hausse de la CSG sur les revenus du capital votée dans le même budget.Et si les socialistes ne boudent pas leur plaisir d’avoir réussi à faire bouger Emmanuel Macron sur sa principale réforme du second quinquennat, les Insoumis restent vent debout contre “une trahison” du PS sur “l’abrogation” de la réforme, revendiquée par le Nouveau Front populaire aux législatives-2024.”Nous ne voterons pas cette compromission PS-Lecornu !”, dénonce Eric Coquerel (LFI) selon qui voter “ce décalage de 3 mois” revient à valider de facto aussi pour la première fois l’âge légal de 64 ans.Le “rapport de force, il porte ses fruits”, se réjouit au contraire Jérôme Guedj (PS).Une ligne de partage qui divise aussi les syndicats, la CFDT ayant salué une “vraie victoire”, quand la CGT fustige un “simple décalage”.De quoi susciter des interrogations à gauche. Les écologistes voteront pour. Les députés communistes voteront majoritairement contre ce qu’ils considèrent comme un simple “décalage” et non une “suspension”, selon leur président Stéphane Peu.- “On peut continuer” -Pour des raisons diamétralement opposées, une majorité du groupe LR devrait s’opposer à cette suspension, à l’instar des députés Horizons d’Édouard Philippe, qui a désapprouvé une concession “trop importante” au PS.Ces oppositions ne suffiront pas car “tous les députés RN” voteront pour la suspension, selon leur cheffe de file Marine Le Pen. Et les députés Renaissance s’abstiendront majoritairement, souvent à contrecœur, pour ne pas faire dérailler l’accord avec les socialistes. “Cinq ou six” devraient voter contre, selon une source au groupe.Le chemin sera de toute façon encore long pour l’adoption finale de cette suspension, qui sera accueillie en terrain hostile au Sénat, probablement à partir de samedi.En raison du retard accumulé, les députés n’auront peut-être pas la possibilité de voter en première lecture sur l’ensemble du budget de la Sécurité sociale, dont l’examen doit s’achever à ce stade mercredi à minuit, avec près de 400 amendements encore à examiner.Y a-t-il encore une chance d’aller au vote ? “Non”, estimait sobrement un député PS mercredi matin. “On peut continuer” les débats au-delà de minuit, insiste le député LFI Hadrien Clouet, interpellant le gouvernement, arguant que ce dernier peut à partir de minuit transmettre le texte au Sénat, mais n’est pas obligé de le faire.Les Insoumis estiment que socialistes et gouvernement se sont entendus pour jouer la montre pour ne pas prendre le risque d’un rejet du budget dans l’hémicycle.Car, si le RN vote pour la suspension de la réforme des retraites, il entend voter contre le texte dans son ensemble avec la suspension incluse.Cela pourrait contraindre les socialistes à voter avec les macronistes en faveur du texte global alors qu’ils préfèreraient s’abstenir, n’en cautionnant pas toutes les mesures.En l’absence de vote, le texte sera quoi qu’il arrive transmis au Sénat et le gouvernement s’est engagé à envoyé la copie de l’Assemblée, dans son état au moment de l’interruption des débats.parl-far-sac/sde/dch   

Ousted Gabon leader’s wife and son sentenced to 20 years for graftWed, 12 Nov 2025 14:35:51 GMT

A Gabon court on Wednesday sentenced the former first lady and son of the oil-rich country’s deposed leader Ali Bongo to 20 years in prison following a two-day graft trial.Sylvia Bongo, 62, and Noureddin Bongo, 33, both tried in absentia, were found guilty of embezzlement of public funds, among other charges.The wife of Ali Bongo, …

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Le colloque sur la Palestine annulé par le Collège de France finalement organisé dans un autre lieu

Le colloque sur la Palestine annulé par le Collège de France en raison de la “polémique entourant sa tenue” se tiendra finalement bien jeudi et vendredi, délocalisé au Centre arabe de recherches et d’études politiques de Paris (Carep), a annoncé mercredi ce centre, co-organisateur de l’événement.”Notre colloque se tiendra, comme prévu, les 13 et 14 novembre prochains”, a annoncé le Carep sur les réseaux sociaux.”Nous tenons à remercier les intervenants d’avoir confirmé leur venue en France et leur participation, ainsi que les nombreux universitaires, chercheurs et étudiants qui ont exprimé leur attachement à la liberté académique et à l’indépendance de la recherche”, a-t-il ajouté.Le Carep précise que “la décision d’annulation, intervenue durant un weekend prolongé, a rendu la réorganisation de l’événement particulièrement complexe” et que le nouveau lieu choisi, ses locaux dans le 13e arrondissement de Paris, “ne permettra malheureusement pas d’accueillir l’ensemble du public prévu”. Mais l’événement sera “diffusé en direct” et enregistré, assure-t-il.Pour le Carep, “ce déplacement hors des murs du Collège de France devient l’occasion d’affirmer un principe fondamental: le savoir académique ne se limite pas à un lieu et il a vocation à être diffusé au plus grand nombre”.”En dépit des annonces faites par le ministre de l’Éducation et de la Recherche et de l’administrateur du Collège de France, nous vous attendons nombreux”, ajoute-t-il.Le Collège de France avait annulé dimanche ce colloque prévu de jeudi à vendredi, co-organisé par l’historien Henry Laurens et le Carep, “en réaction à la polémique” entourant l’événement. Le colloque avait été qualifié d’événement “propalestinien” par plusieurs personnalités.Le ministre de l’Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, avait qualifié dimanche sur X l’annulation de “responsable”. “Défendre la liberté académique, c’est défendre un débat libre, respectueux et pluriel. C’est le message que j’ai porté auprès de l’administrateur du Collège de France au cours des derniers jours”, avait-il indiqué. Or, pour lui, ce colloque, intitulé “Palestine et Europe : poids du passé et dynamiques contemporaines”, risquait fort de ne pas réunir ces conditions”.Dans une déclaration à l’AFP, mercredi, le ministre a assuré ne pas avoir “demandé l’annulation de ce colloque”.”La responsabilité d’organiser, d’annuler ou de maintenir un colloque est celle des dirigeants d’établissement. Mon rôle en tant que ministre est de relayer auprès d’eux les alertes que je peux recevoir et dont certaines émanaient ici de la communauté académique. C’est ce que j’ai fait dans le cadre de mes échanges avec l’administrateur du Collège de France”, a-t-il souligné. Plus de 2.200 chercheurs, enseignants et étudiants ont signé une pétition demandant la démission de Philippe Baptiste, estimant que la décision d’annuler le colloque “constitue une grave atteinte aux libertés académiques et scientifiques”.

Assemblée: les Insoumis réclament un vote sur le budget de la Sécu

Le groupe LFI à l’Assemblée a de nouveau réclamé mercredi de pouvoir aller jusqu’au vote sur l’ensemble du budget de la Sécurité sociale, alors qu’il pourrait être transmis sans vote au Sénat à minuit par le gouvernement.”On peut continuer” les débats au-delà de minuit, “et nous demandons à continuer l’examen”, a déclaré le député Hadrien Clouet lors de la conférence de presse de son groupe.La cheffe des députés LFI Mathilde Panot en a exprimé le voeu lors de la conférence des présidents mercredi matin. Le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, a suggéré que la présidente de l’Assemblée nationale fasse un point à 20H00 sur le sujet en fonction de l’avancée des débats, selon son entourage.Près de 400 amendements restent à discuter sur la partie dépenses du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, alors que le délai d’examen échoit à minuit.La Constitution prévoit en effet que le gouvernement saisisse le Sénat après 20 jours d’examen à l’Assemblée.L’entourage du ministre des Relations avec le Parlement souligne que ce couperet est un “outil constitutionnel à la disposition du gouvernement”, qui “peut l’utiliser une fois le 20e jour achevé” mais “aurait tout à fait le droit de l’utiliser après”. Sous réserve toutefois que “le Sénat ait son temps imparti, donc 15 jours” et que le budget soit in fine adopté avant le 31 décembre.Or, l’Assemblée doit aussi débattre du projet de loi de finances dès jeudi matin à 09H00, sur lequel elle a pris beaucoup de retard.La France insoumise, soutenue par les écologistes et par les communistes lors d’un vote à main levée, avait déjà demandé dimanche soir la prolongation des débats au-delà de minuit sur le budget de la Sécu, mais n’a pas réussi à réunir une majorité, la plupart des députés souhaitant être présents dans leur circonscription pour le 11-Novembre.Les Insoumis soupçonnent aussi le PS de vouloir s’éviter un vote inconfortable: pour que le texte passe, et avec lui la suspension de la réforme des retraites pour laquelle les socialistes ont bataillé de haute lutte, il faudrait que le PS vote pour, ce à quoi il n’est pas prêt.Interrogé par la presse, le député PS Philippe Brun a affirmé mercredi que les socialistes s’orienteraient plutôt vers une abstention en cas de vote sur l’ensemble du budget de la sécurité sociale.

Algeria pardons writer Boualem Sansal

Algeria has pardoned French-Algerian writer Boualem Sansal after a request from Germany, to where he will be transferred for medical treatment after a year in detention, it was announced Wednesday.After German President Frank-Walter Steinmeier on Monday urged Algeria to free the 81-year-old, “the president of the republic decided to respond positively”, the Algerian presidency said.The statement said Germany would take charge of the transfer and treatment of Sansal, who has prostate cancer, according to his family.Sansal was given a five-year jail term in March, accused of undermining Algeria’s territorial integrity after he told a far-right French outlet last year that France had unjustly transferred Moroccan territory to Algeria during the 1830 to 1962 colonial period.Algeria views those ideas — which align with longstanding Moroccan territorial claims — as a challenge to its sovereignty.He was arrested in November 2014 at Algiers airport. Because he did not appeal March’s ruling, he was eligible for a presidential pardon.Steinmeier urged Algeria to make a humanitarian gesture “given Sansal’s advanced age and fragile health condition” and said Germany would take charge of his “relocation to Germany and subsequent medical care”.- ‘Mercy and humanity’ -French President Emmanuel Macron had also urged Tebboune to show “mercy and humanity” by releasing the author.Sansal’s daughter Sabeha Sansal, 51, told AFP by telephone from her home in the Czech Republic of her relief.”I was a little pessimistic because he is sick, he is old, and he could have died there,” she said. “I hope we will see each other soon.”A prize-winning figure in North African modern francophone literature, Sansal is known for his criticism of Algerian authorities as well as of Islamists.He acquired French nationality in 2024.Appearing in court without legal counsel on June 24, Sansal had said the case against him “makes no sense” as “the Algerian constitution guarantees freedom of expression and conscience”.When questioned about his writings, Sansal asked: “Are we holding a trial over literature? Where are we headed?”His case has become a cause celebre in France, but his past support for Israel and his 2014 visit there have made him largely unpopular in Algeria.The case has also become entangled in the diplomatic crisis between Paris and Algiers, which has led to the expulsion of officials on both sides, the recall of ambassadors and restrictions on holders of diplomatic visas.Another point of contention was the sentencing to seven years in prison of French sportswriter Christophe Gleizes in Algiers on accusations of attempting to interview a member of the Movement for the Self-Determination of Kabylie (MAK), designated a terrorist organisation by Algeria in 2021.Both Sansal and Gleizes’s prosecution came amid the latest rise in tensions between Paris and Algiers, triggered in July 2024 when Macron backed Moroccan sovereignty over the disputed Western Sahara, where Algeria backs the pro-independence Polisario Front.- Civil servant turned novelist -An economist by training, Sansal worked as a senior civil servant in his native Algeria, with his first novel appearing in 1999.”The Barbarians’ Oath” dealt with the rise of fundamentalist Islam in Algeria and was published in the midst of the country’s civil war which left some 200,000 people dead according to official figures.He was fired from his post in the industry ministry in 2003 for his opposition to the government but continued publishing.His 2008 work “The German Mujahid” was censored in Algeria for drawing parallels between Islamism and Nazism.He has received several international prizes for his work, including in France and Germany.In recent years Germany has offered refuge to several high-profile prisoners from other countries.The late Russian opposition leader Alexei Navalny was treated at Berlin’s Charite hospital after being poisoned in August 2020.Last year Germany welcomed several other high-profile Russian dissidents as part of a historic prisoner swap with Moscow.