Mozambique opposition leader sets conditions for post-vote talksFri, 22 Nov 2024 19:11:05 GMT

Mozambique’s opposition leader said Friday he would accept the president’s offer of talks after deadly post-election unrest on terms including they be held virtually and legal proceedings against him are dropped.President Filipe Nyusi invited Venancio Mondlane to his office in Maputo on November 26 after the killing of dozens of people in a police crackdown …

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S.Sudan’s Kiir holds urgent talks over shootout at ex-spy chief’s homeFri, 22 Nov 2024 18:58:06 GMT

South Sudan’s President Salva Kiir held an urgent meeting of top security brass on Friday after a shootout at the home of powerful former spy chief Akol Koor, who was sacked almost two months ago amid rumours of a coup plot.Gunfire erupted on Thursday evening in the capital Juba, sparking concerns about the stability of …

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Kenya knew about arrest of opposition figure: Uganda govtFri, 22 Nov 2024 18:42:59 GMT

The arrest of a Ugandan opposition figure in Kenya was carried out with Nairobi’s knowledge, a Ugandan government spokesperson told AFP Friday.His comments came two days after a senior Kenyan official said Nairobi had launched an investigation into the affair.Uganda has faced international condemnation following the abduction from Nairobi of veteran opposition figure Kizza Besigye, …

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La justice ordonne à Sciences Po Paris de maintenir une conférence de la Franco-Palestinienne Rima Hassan

Le tribunal administratif de Paris a ordonné vendredi à Sciences Po Paris de laisser se tenir une conférence de l’eurodéputée de La France insoumise, la Franco-Palestinienne Rima Hassan, dans un premier temps interdite par l’école.”Les juges des référés du tribunal administratif de Paris enjoignent à Sciences Po Paris de permettre la tenue de cette conférence dans des conditions garantissant son bon déroulement et de nature à prévenir les risques de troubles à l’ordre public”, écrit le tribunal dans un communiqué.Sciences Po Paris a annoncé faire “appel de cette décision”. “Alors qu’un appel à manifester devant Sciences Po a été lancé quelques minutes après la décision du tribunal administratif par le +comité Palestine+ et +urgence Palestine+, le risque de trouble à l’ordre public semble caractérisé”, estime l’école.Selon elle, “la liberté d’expression est pleinement assurée à Sciences Po, elle ne saurait se traduire par un droit à y causer des troubles”.Sur X, le ministre de l’Enseignement supérieur Patrick Hetzel a apporté son soutien à la direction de l’établissement. “Je continuerai de soutenir les présidents d’université dans une de leurs missions essentielles : garantir l’ordre et la sérénité au sein de leurs établissements”, a-t-il écrit.”Le projet de conférence de Rima Hassan (…) suscite de vives inquiétudes pour le maintien de l’ordre et de la sécurité”, a-t-il ajouté.La conférence, intitulée “Perspectives humanitaires, juridiques et géopolitiques sur un embargo sur les armes à Israël”, organisée par l’association Students for justice (SJP), devait initialement se tenir vendredi.”Immense victoire”, a réagi vendredi sur X Rima Hassan. “Il est enjoint à l’IEP de Paris de trouver une nouvelle date”, a aussi indiqué sur X son avocat Vincent Brengarth.Le directeur de Sciences Po n’avait pas autorisé cette conférence en invoquant un risque d’atteinte à l’ordre public.Dans son ordonnance, le juge des référés “estime qu’aucun élément circonstancié ne permet de considérer que cette conférence, dont le sujet est technique et pour laquelle les organisateurs ont prévu différentes méthodes de maintien de l’ordre, inciterait les étudiants à recourir à des actions illégales pour exprimer leurs convictions”.Il considère également “qu’en l’absence d’appel à des contre-manifestations et au regard du déroulement des précédentes conférences sur la Palestine, le directeur de l’IEP pouvait, en recourant à d’autres mesures de police, éviter les heurts éventuels avec des personnes hostiles à Rima Hassan”.Il en conclut “qu’en interdisant la conférence projetée, le directeur de l’IEP de Paris a porté une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté d’expression et de réunion garantie aux usagers du service public de l’enseignement supérieur”.D’autres établissements ont interdit la tenue de conférence par la juriste de 32 ans, élue de LFI au Parlement européen, comme l’université de Lille, Paris-Dauphine (une annulation finalement interdite) et cette semaine, Strasbourg.

Vu comme un recours, Cazeneuve refuse de “spéculer” sur la chute du gouvenrement Barnier

Serait-il un recours? L’ex-Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve refuse de “spéculer” sur la chute du gouvernement Barnier et appelle à trouver “un compromis” pour éviter une “crise de régime”, tout en se projetant à plus long terme, avec la préparation d’un “projet” pour la France.Son nom avait déjà circulé à la fin de l’été pour une éventuelle nomination à Matignon, mais le président de la République lui avait préféré Michel Barnier, issu de la droite. Avec les menaces de censure sur l’actuel gouvernement, l’hypothèse d’un gouvernement Cazeneuve refait surface, mais l’intéressé n’est “pas dans cet état d’esprit”, a-t-il assuré vendredi dans un entretien à l’AFP.”S’il y avait une censure du gouvernement, combien de temps durerait le suivant? Personne ne le sait et personne ne sait comment on résoudrait les problèmes urgents”, constate-t-il, évoquant l’affaissement institutionnel, le décrochage dans l’industrie, la crise agricole, la situation internationale, l’affaiblissement de l’Europe ou le risque sur les marchés.Inquiet de “la crise de régime” qui pourrait survenir, l’ex-Premier ministre puis ministre de l’Intérieur de François Hollande appelle gouvernement et parlementaires à trouver au contraire un “compromis” sur le budget, autour de “quelques priorités, qui permettent d’aller jusqu’à la fin du quinquennat”.D’ailleurs, celui qui a quitté le PS en 2022 pour marquer son opposition à l’alliance de gauche avec La France insoumise “ne pense pas que la chute du gouvernement Barnier aboutisse mécaniquement à un gouvernement Cazeneuve, ni à un gouvernement (Xavier) Bertrand, ni à un gouvernement de centre gauche”. “Le risque le plus grand, c’est celui d’une grande confusion” qui, selon lui, pourrait faire le jeu des populistes et aboutir à l’arrivée du Rassemblement national au pouvoir.- Pas de casus belli -La semaine dernière, à l’Assemblée nationale, une cinquantaine de parlementaires hétérogènes – PS, macronistes, indépendants ou non-inscrits – s’étaient réunis autour de lui, sur une initiative du député radical Harold Huwart. Un rassemblement similaire avait déjà eu lieu quelques semaines plus tôt au Sénat. De quoi laisser penser qu’il pourrait être le “recours”? “Je pense que Bernard Cazeneuve est l’homme de la situation”, avait répondu le socialiste Philippe Brun.”Il a un désir d’apaiser le débat et d’offrir à gauche une perspective, une alternative”, confirme le député indépendant Liot David Habib (autrefois encarté au PS), persuadé que si son champion était nommé Premier ministre, “il n’y aura pas de censures des députés socialistes”. Le PS avait pourtant refusé en septembre de s’engager a priori à ne pas censurer un tel gouvernement, provoquant la colère de certains élus socialistes. Quant aux autres formations du Nouveau Front populaire, il est peu probable qu’elles soient favorables à ce recours, lui reprochant toujours la mort du militant Rémi Fraisse lors d’une manifestation sur le barrage de Sivens (Tarn) en 2014 ou sa loi sur la réponse policière aux refus d’obtempérer, que LFI dépeint comme un “permis de tuer”. La députée écologiste Dominique Voynet s’est montrée plus conciliante: “Il nous faut quelqu’un d’expérimenté pour Matignon”, observe-t-elle, jurant ne pas faire de l’hypothèse Cazeneuve “un casus belli”.- “Reconquérir un électorat” -Une partie du camp macroniste, notamment le MoDem, pourrait également regarder cette perspective avec bienveillance. Mais l’ancien Premier ministre dit avoir “trop conscience de la gravité de la situation” pour “en faire une opération d’autopromotion personnelle”.Il ne veut pas être chef de gouvernement “quoi qu’il en coûte”, résume Guillaume Lacroix, président du PRG, qui le soutient dans sa démarche, en soulignant que M. Cazeneuve “ne peut se résoudre à la crise de régime qui pourrait survenir”.En attendant, l’ancien maire de Cherbourg a entamé une série de déplacements, sorte de “Tour de France” des “salles des fêtes de sous-préfecture et de chefs-lieux de cantons”.Après une première première réunion publique à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) début novembre, il s’est rendu vendredi à Bordeaux pour rencontrer des étudiants avant une réunion publique à Villemur-sur-Tarn (Haute-Garonne).  “Il veut reconquérir un électorat”, développe le patron du PRG. “On peut le trouver vieux, dire qu’il se sape mal, qu’il n’y a que des têtes blanches dans ses meetings, mais à Saint-Nazaire, il y avait 500 personnes, c’est pas banal, c’est tangible”, ajoute-t-il.Bernard Cazeneuve promet un “projet pour le pays au début de l’été”. “De gauche, d’inspiration républicaine, socialiste, social-démocrate”, énumère-t-il, “mais qui peut rassembler bien au-delà, compte tenu du contexte”.

Le Premier ministre français Michel Barnier en Italie début décembre pour rencontrer son homologue Meloni

Le Premier ministre français Michel Barnier se rendra début décembre en Italie pour y rencontrer notamment son homologue Giorgia Meloni.Le rendez-vous avec la cheffe du gouvernement italien aura lieu le 5 décembre après-midi, selon l’agenda de celle-ci.”J’ai beaucoup de respect pour l’Italie. Je vais d’ailleurs lui rendre une visite officielle dans quinze jours pour rencontrer Mme Meloni (…) et puis je vais visiter les pays européens un par un prochainement, enfin dans le temps que j’aurai devant moi”, avait affirmé quelques heures aurparavant le chef du gouvernement français.Michel Barnier est menacé en France de censure par la gauche et l’extrême droite sur son projet de budget, dont l’adoption finale est attendue avant la fin de l’année.Il s’exprimait devant le 6e Forum économique trilatéral France-Allemagne-Italie, qui réunit jusqu’à vendredi le patronat français Medef et ses homologues allemand et italien, le BDI et la Confindustria.”Nous avons des raisons de travailler (avec l’Italie) plus étroitement et c’est pour ça que ce que fait depuis maintenant six-sept ans le patronat français” avec ses homologues “est extrêmement important”, a souligné le Premier ministre.Evoquant par ailleurs le “tandem” franco-allemand, qui a actuellement du plomb dans l’aile, il a estimé que cette coopération était “de plus en plus nécessaire et de moins en moins suffisante”.Par conséquent, “il faut qu’on ouvre et on ne doit pas être exclusif”, a-t-il poursuivi, en faisant valoir que “l’Italie est un très grand pays que la France a souvent négligé”.Pour son premier déplacement hors de France, Michel Barnier s’était rendu brièvement à Bruxelles pour une réunion du PPE, la formation politique de droite au Parlement européen dont il est issu.Il s’était ensuite déplacé à la frontière franco-italienne pour saluer la coopération entre les deux pays en matière migratoire. Il avait rencontré à cette occasion deux ministres du gouvernement de Giorgia Meloni, qui associe la droite et l’extrême droite, Antonio Tajani (Affaires étrangères), qu’il connaît bien et fut comme lui Commissaire européen, et Matteo Piantedosi (Intérieur).

A Toulouse, une grande fresque en hommage à Jaurès pour les 100 ans de sa panthéonisation

Pour les 100 ans de la panthéonisation de Jean Jaurès, une grande fresque en l’honneur de l’homme politique a vu le jour à Toulouse, une des villes les plus importantes de son parcours.La fresque recouvre la façade d’un bâtiment situé dans le centre de la Ville rose, où se situaient les locaux du Midi socialiste, un journal publié entre 1908 et 1944 pour lequel Jaurès a écrit.Le peintre Rémi Tournier, originaire du Lot, y a reproduit la statue en bronze du sculpteur Paul Ducuing “Jaurès orateur”, tirée d’une des rares photo de l’ancien député, prise en 1913 lors d’un discours au Pré-Saint-Gervais.”La panthéonisation est une sorte de deuxième enterrement, donc pour moi, peindre une sculpture est une façon de rendre un hommage à l’hommage”, explique l’artiste de 40 ans.A Toulouse, Jaurès a successivement été enseignant à la faculté de Lettres et au lycée Saint-Sernin, journaliste et adjoint à la mairie, avant d’être assassiné à Paris en 1914.Il a ensuite été panthéonisé dix ans plus tard, en 1924. Une cérémonie est organisée à cette occasion au Panthéon par le Parti Socialiste vendredi.Des allées centrales de la ville portent son nom, tout comme l’Université toulousaine ainsi que la principale station de métro.Sur la fresque de 90m², Jaurès, pris sur le vif en plein discours, est accompagné d’un empilement de caisses de batterie, qui renvoie notamment à l’association culturelle toulousaine Samba Résilles, occupant désormais le bâtiment du Midi socialiste.L’œuvre, intitulée “La mélodie des contrastes”, a été réalisée en sept jours, et vise, d’après son auteur, à célébrer “l’unité dans la diversité” chère à Jaurès et sa vision politique, ainsi que “le vivre ensemble”.

Dollar gains amid escalating geopolitical tensions

The dollar and gold gained Friday amid escalating tensions in the Russia-Ukraine war, while stocks got a boost from data.Bitcoin pushed on further with its march towards the $100,000 mark, as the cryptocurrency benefits from US president-elect Donald Trump’s pledge to ease regulation around digital tokens.The dollar, considered a safe haven asset, was bolstered by geopolitical uncertainty after Russia said the conflict in Ukraine had the characteristics of a “global” war and did not rule out strikes on Western countries.Meanwhile, the Russian ruble slumped to its lowest level since March 2022 against the US dollar, a day after Moscow fired a hypersonic missile on Ukraine and Washington sanctioned a key Russian bank.Yields on government bonds, another safe haven asset, fell as investors snapped them up, while the gold price rose.”Escalating tensions between Russia and Ukraine, which triggered safe haven gold inflows, pushed the precious metal price to new all-time highs in euros and the pound sterling,” said IG analyst Axel Rudolph.Gold also posted strong gains in US dollars.The euro sank to a two-year-low against the dollar and the pound retreated after closely watched surveys showed contractions in business activity in November in the eurozone and Britain. Paris and Frankfurt stocks initially fell after a survey showed that Germany and France, the eurozone’s two biggest economies, were once again driving the weakness, with the latter posting the fastest fall in activity since January. But as the euro fell both Paris and Frankfurt stocks managed to recover their losses and advance.”The eurozone data has increased the chance of more rate cuts from the ECB next year,” said Kathleen Brooks, research director at XTB, as well a cut of 50 basis points next month.”Investors have been jolted into recalibrating interest rate expectations on the back of this bleak economic news,” she added.London managed to gain 1.4 percent despite data showing that retail sales figures for October undershot forecasts, as the pound fell against the dollar.Wall Street stocks mostly advanced, comforted by positive economic data.”US indices were propped up by the strongest US private sector growth since 2022,” said IG’s Rudolph.In Asia, Tokyo climbed as the government prepared to announce a $140 billion stimulus package to kickstart the country’s stuttering economy.However, Hong Kong and Shanghai sank on a sell-off in tech firms caused by weak earnings from firms including Temu-owner PDD Holdings and internet giant Baidu.Bitcoin set a new record high of $99,505.45 Friday morning before easing back slightly.It is broadly expected to soon burst through $100,000 as investors grow increasingly hopeful that Trump will pass measures to deregulate the crypto sector.Bitcoin has soared more than 40 percent since his election victory this month and has more than doubled since the turn of the year.The recent surge has also been “driven by news that Trump could set up an official crypto department that would sit in the heart of US government”, said XTB’s Brooks.In a further boost, the top US securities regulator Gary Gensler, who oversaw measures to rein in cryptocurrencies, announced Thursday that he intends to step down when Trump takes office in January.The move clears the way for the president-elect to pick Gensler’s successor.- Key figures around 1630 GMT -New York – Dow: UP 0.6 percent at 44,113.57 pointsNew York – S&P 500: UP 0.1 percent at 5,956.74New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.2 percent at 18,944.74London – FTSE 100: UP 1.4 percent at 8,262.08 (close)Paris – CAC 40: UP 0.6 percent at 7,255.01 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.9 percent at 19,322.59 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.7 percent at 38,283.85 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.9 percent at 19,229.97 (close)Shanghai – Composite: DOWN 3.1 percent at 3,267.19 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0396 from $1.0476 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.2513 from $1.2587Dollar/yen: UP at 154.88 yen from 154.54 yenEuro/pound: DOWN at 83.10 pence from 83.20 penceWest Texas Intermediate: UP 0.9 percent at $70.75 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.8 percent at $74.81 per barrelburs-rl/sbk

Retailleau et Wauquiez affichent leur bonne entente en Haute-Loire

“Un ami”, “une chance pour le pays”, “un vrai patron de groupe” : les ténors de LR Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez ont affiché vendredi leur unité lors d’une visite du ministre de l’Intérieur dans le fief de Haute-Loire du chef des députés LR.Les deux hommes, à qui l’on prête une rivalité feutrée, ont fait assaut d’amabilité, répondant côte à côte aux questions des journalistes à Monistrol-sur-Loire et multipliant les marques de sympathie.Le ministre était venu prendre acte du “bouclier de sécurité”, un dispositif de lutte contre la délinquance qui mise sur la vidéoprotection, mis en place par Laurent Wauquiez.”On a la chance d’avoir un ministre de l’Intérieur qui a des valeurs fortes, des idées claires et qui n’a pas la main qui tremble”, a loué le député de Haute-Loire, présentant Bruno Retailleau comme “un ami”.”J’ai une immense confiance dans le travail qu’il fait. Et c’est une chance pour notre pays de l’avoir comme ministre de l’Intérieur”, a poursuivi l’ancien président de la région Auvergne-Rhône-Alpes. “On a besoin que Bruno réussisse, a-t-il encore dit. On a besoin qu’il réussisse pour notre pays. On a besoin qu’il réussisse pour la sécurité des Français. Et nous aussi, pour notre famille politique.”L’ancien sénateur, dont la popularité est en hausse selon un sondage Elabe/Les Echos, a pour sa part loué l’initiative “remarquable” de Laurent Wauquiez en Haute-Loire, tout en admettant que leurs relations avaient pu être conflictuelles.”Ce lien entre nous n’a pas toujours été un lien évident. On s’est parfois affronté. Ça n’a pas toujours été facile”, a-t-il déclaré, soulignant le caractère “parfois rugueux” des Vendéens (comme lui) et des habitants du Puy-en-Velay (le bastion de Laurent Wauquiez). “Quand on arrive dans des vies personnelles, politiques aussi, à surmonter ces difficultés, ça permet de renforcer les liens”, a poursuivi Bruno Retailleau, en assurant que le fait de partager les mêmes “convictions” cimentait ce rapprochement.”Et moi, je ne peux pas réussir – je le dis devant Laurent – sans avoir un président qui est un vrai patron de son groupe parlementaire”, a-t-il assuré.Après avoir visité une nouvelle brigade de gendarmerie, M. Retailleau s’est rendu au Puy-en-Velay dans les locaux du quotidien l’Eveil, où doit être installé le futur commissariat, avant de se rendre à Brives-Charensac, une commune sinistrée par l’épisode cévenol du mois d’octobre.