Trump says jailed US election denier a ‘patriot’, demands release

Donald Trump called Thursday for the release of a Colorado official jailed on charges linked to efforts to overturn the 2020 presidential election, as he renews his attacks on the US voting system.”FREE TINA PETERS, a brave and innocent Patriot,” Trump wrote on his Truth Social platform, threatening to take “harsh measures” if she is not freed from her nine-year prison sentence.Peters, a former official in Colorado’s Mesa County, was sentenced in October 2024 for allowing an unauthorized Trump supporter to access confidential voting information several months after the 2020 election won by Democrat Joe Biden.The man was seeking to prove election fraud as part of a conspiracy theory touted by Trump that the vote was “rigged” — despite multiple courts having upheld that there were no major issues.Trump’s demand echoed a similar post he made on Truth Social in early May, in which he called her a “hostage” being held in prison by Democrats for “political reasons.”Peters is jailed under state charges, making her ineligible for a presidential pardon from Trump.The 79-year-old Republican has continued to spread a string of misinformation about US elections.On Monday, he announced a fresh assault on mail-in balloting — a method used by nearly a third of Americans that Trump has wrongly claimed is linked to election fraud.He also promised to bring “honesty” to next year’s midterm elections, without giving further details, and has teased the idea of running for a third term in 2028 — something barred by the US Constitution. 

Malnourished Gaza children facing death without aid, says UN

Severely malnourished children in the Gaza Strip will be “certainly condemned to death” unless aid gets to them quickly, UNRWA chief Philippe Lazzarini warned Thursday.The head of the UN agency for Palestinian refugees said hunger was particularly acute in the north — where Gaza City is — where an estimated one million people remain.Lazzarini said an evaluation on how famine has evolved in the Gaza Strip was due to be published soon, adding UNRWA health centres had seen a six-fold increase in the number of severely malnourished children since March.”If no measures are taken immediately, they are certainly condemned to death,” he told the Geneva Press Club.People in the Palestinian territory are already dying of hunger and “there will be more, there’s no doubt about it”, said Lazzarini.Rights group Amnesty International earlier this week accused Israel of enacting a “deliberate policy” of starvation in Gaza.Without naming Israel, Lazzarini labelled it a “manufactured famine” and said food had been used “as a weapon of war”.Israel heavily restricts aid coming into Gaza but has repeatedly rejected claims of deliberate starvation.Israel has announced a plan to take over Gaza City and has warned that the north of the territory will be evacuated.The UNRWA commissioner-general warned that a weakened, hungry population would struggle to withstand a new military operation in the city.”We had described hell on Earth in Gaza,” he said.”If this scenario were to unfold, even if we talk about the evacuation of people from Gaza to the south, many will no longer even have the strength to move.”

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Le train reste majoritairement plus cher que l’avion pour les trajets européens, selon Greenpeace

Voyager en train plutôt qu’en avion à travers l’Europe est plus cher dans 54% des cas, selon une étude publiée jeudi par Greenpeace Europe.L’ONG a analysé 109 trajets transfrontaliers et 33 trajets au sein d’un même pays. Pour tous, l’itinéraire en train était “raisonnablement” praticable, soit dans la journée, soit en train de nuit. Le train est jusqu’à 26 fois plus cher que l’avion, selon les comparaisons réalisées par Greenpeace, qui cite le cas extrême d’un trajet Barcelone – Londres réservé un mois à l’avance: 389 euros pour le train contre 14,99 euros pour l’avion.”Il est clair que les gens sont encouragés à prendre l’avion pour voyager en Europe, même lorsqu’il existe une liaison ferroviaire raisonnable”, avance l’ONG environnementale.La France est le pays où les voyages ferroviaires transfrontaliers sont les plus chers par rapport aux vols, où “95% de tous les itinéraires étaient plus chers en train au moins 6 jours sur 9”, selon ce même rapport.Les trains de nuit constituent, selon l’ONG, “la meilleure option pour les trajets longue distance respectueux du climat”, même s’ils sont “généralement plus chers” que les vols à bas coût.Greenpeace souhaite que le transport ferroviaire soit “systématiquement moins cher sur tous les itinéraires à travers l’Europe”, et dénonce le fait que le kérosène ne soit pas taxé alors que “les opérateurs ferroviaires sont soumis à des taxes sur l’énergie, à la TVA et à des redevances élevées d’accès aux voies dans de nombreux pays”. Ces redevances, ou péages ferroviaires, sont “la principale raison de la différence de prix entre avion et train”, explique François Guénard, associé en charge du secteur ferroviaire chez Roland Berger. “L’infrastructure ferroviaire coûte très cher à entretenir, et une partie de ces financements se font par les péages” développe le spécialiste. Pour lui, une des solutions pour améliorer l’offre de trains en Europe serait d'”adapter petit à petit les infrastructures pour que les trains puissent circuler aisément entre plusieurs pays”, notamment unifier l’écartement des rails ou les courants d’alimentation.À l’échelle nationale, les liaisons en train sont moins chères que celles en avion pour “70% d’entre elles” selon Greenpeace.Le train est l’un des modes de transport les moins émetteurs en CO2 par passager-kilomètre contrairement à l’avion qui est le plus polluant. 

Le train reste majoritairement plus cher que l’avion pour les trajets européens, selon Greenpeace

Voyager en train plutôt qu’en avion à travers l’Europe est plus cher dans 54% des cas, selon une étude publiée jeudi par Greenpeace Europe.L’ONG a analysé 109 trajets transfrontaliers et 33 trajets au sein d’un même pays. Pour tous, l’itinéraire en train était “raisonnablement” praticable, soit dans la journée, soit en train de nuit. Le train est jusqu’à 26 fois plus cher que l’avion, selon les comparaisons réalisées par Greenpeace, qui cite le cas extrême d’un trajet Barcelone – Londres réservé un mois à l’avance: 389 euros pour le train contre 14,99 euros pour l’avion.”Il est clair que les gens sont encouragés à prendre l’avion pour voyager en Europe, même lorsqu’il existe une liaison ferroviaire raisonnable”, avance l’ONG environnementale.La France est le pays où les voyages ferroviaires transfrontaliers sont les plus chers par rapport aux vols, où “95% de tous les itinéraires étaient plus chers en train au moins 6 jours sur 9”, selon ce même rapport.Les trains de nuit constituent, selon l’ONG, “la meilleure option pour les trajets longue distance respectueux du climat”, même s’ils sont “généralement plus chers” que les vols à bas coût.Greenpeace souhaite que le transport ferroviaire soit “systématiquement moins cher sur tous les itinéraires à travers l’Europe”, et dénonce le fait que le kérosène ne soit pas taxé alors que “les opérateurs ferroviaires sont soumis à des taxes sur l’énergie, à la TVA et à des redevances élevées d’accès aux voies dans de nombreux pays”. Ces redevances, ou péages ferroviaires, sont “la principale raison de la différence de prix entre avion et train”, explique François Guénard, associé en charge du secteur ferroviaire chez Roland Berger. “L’infrastructure ferroviaire coûte très cher à entretenir, et une partie de ces financements se font par les péages” développe le spécialiste. Pour lui, une des solutions pour améliorer l’offre de trains en Europe serait d'”adapter petit à petit les infrastructures pour que les trains puissent circuler aisément entre plusieurs pays”, notamment unifier l’écartement des rails ou les courants d’alimentation.À l’échelle nationale, les liaisons en train sont moins chères que celles en avion pour “70% d’entre elles” selon Greenpeace.Le train est l’un des modes de transport les moins émetteurs en CO2 par passager-kilomètre contrairement à l’avion qui est le plus polluant. 

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Incendies: plus d’un million d’hectares brûlés dans l’UE depuis début 2025, un record

Les incendies ont déjà ravagé plus d’un million d’hectares (10.000 km2) dans l’Union européenne depuis le début de 2025, une année d’ores et déjà record, alors que plusieurs feux continuent de sévir particulièrement en Espagne et au Portugal.Le bilan atteignait précisément 1.015.731 hectares brûlés jeudi à la mi-journée, une superficie plus grande que la Corse, dépassant en moins de huit mois le précédent record de 988.524 hectares sur l’ensemble de l’année 2017.En plus de ce tableau global, calculé par l’AFP à partir des estimations par pays fournies par le système européen d’information sur les feux de forêt (EFFIS), quatre pays de l’Union européenne ont eux aussi déjà battu leur record annuel depuis vingt ans de relevés : l’Espagne, Chypre, l’Allemagne et la Slovaquie. En proie à de nombreux feux dans l’ouest du pays, ayant fait quatre morts, l’Espagne est de loin le pays de l’Union européenne le plus touché par les incendies, avec plus de 400.000 hectares (4.000 km2) partis en fumée, soit près de 40% des surfaces brûlées dans l’UE cette année.Quant au Portugal, il conserve son record de 563.530 hectares brûlés en 2017 (le maximum pour un pays de l’UE), mais il n’avait jamais atteint, à la date du 21 août, une telle superficie calcinée. Les flammes ont déjà ravagé plus de 274.000 ha de forêt portugaise, causant la mort de trois personnes. En 2017, les incendies avaient causé 119 décès dans le pays.Derrière les deux pays ibériques, suit la Roumanie, avec 126.000 ha brûlés. En France, 35.600 hectares de forêt ont été réduits en cendres, notamment dans l’Aude ravagée par un gigantesque incendie début août.- 10 décès -Hors UE, le Royaume-Uni connaît également déjà une année record, après des incendies au printemps, lors d’une vague de chaleur précoce, ainsi que dans le nord de l’Ecosse fin juin. Dans les Balkans, la Serbie enregistre aussi sa pire année depuis le début des relevés.Ces estimations d’EFFIS, un indicateur de l’observatoire européen Copernicus, prennent uniquement en compte les incendies ayant brûlé au moins 30 hectares.Entre début janvier et le 19 août, les feux de forêt dans 22 des 27 pays de l’UE avaient émis 35 mégatonnes de dioxyde de carbone (CO2), un niveau inédit à ce stade de l’année, selon EFFIS, laissant présager un dépassement du record annuel de 41 mégatonnes établi en 2017.Cette année là, les incendies avaient tué plus de 200 personnes dans l’UE, notamment au Portugal, en Italie, en Espagne et en France.En 2025, deux personnes sont décédées à cause des feux à Chypre, une en France, et sept dans la péninsule ibérique, soit un bilan provisoire de 10 décès, selon un décompte de l’AFP.

Incendies: plus d’un million d’hectares brûlés dans l’UE depuis début 2025, un record

Les incendies ont déjà ravagé plus d’un million d’hectares (10.000 km2) dans l’Union européenne depuis le début de 2025, une année d’ores et déjà record, alors que plusieurs feux continuent de sévir particulièrement en Espagne et au Portugal.Le bilan atteignait précisément 1.015.731 hectares brûlés jeudi à la mi-journée, une superficie plus grande que la Corse, dépassant en moins de huit mois le précédent record de 988.524 hectares sur l’ensemble de l’année 2017.En plus de ce tableau global, calculé par l’AFP à partir des estimations par pays fournies par le système européen d’information sur les feux de forêt (EFFIS), quatre pays de l’Union européenne ont eux aussi déjà battu leur record annuel depuis vingt ans de relevés : l’Espagne, Chypre, l’Allemagne et la Slovaquie. En proie à de nombreux feux dans l’ouest du pays, ayant fait quatre morts, l’Espagne est de loin le pays de l’Union européenne le plus touché par les incendies, avec plus de 400.000 hectares (4.000 km2) partis en fumée, soit près de 40% des surfaces brûlées dans l’UE cette année.Quant au Portugal, il conserve son record de 563.530 hectares brûlés en 2017 (le maximum pour un pays de l’UE), mais il n’avait jamais atteint, à la date du 21 août, une telle superficie calcinée. Les flammes ont déjà ravagé plus de 274.000 ha de forêt portugaise, causant la mort de trois personnes. En 2017, les incendies avaient causé 119 décès dans le pays.Derrière les deux pays ibériques, suit la Roumanie, avec 126.000 ha brûlés. En France, 35.600 hectares de forêt ont été réduits en cendres, notamment dans l’Aude ravagée par un gigantesque incendie début août.- 10 décès -Hors UE, le Royaume-Uni connaît également déjà une année record, après des incendies au printemps, lors d’une vague de chaleur précoce, ainsi que dans le nord de l’Ecosse fin juin. Dans les Balkans, la Serbie enregistre aussi sa pire année depuis le début des relevés.Ces estimations d’EFFIS, un indicateur de l’observatoire européen Copernicus, prennent uniquement en compte les incendies ayant brûlé au moins 30 hectares.Entre début janvier et le 19 août, les feux de forêt dans 22 des 27 pays de l’UE avaient émis 35 mégatonnes de dioxyde de carbone (CO2), un niveau inédit à ce stade de l’année, selon EFFIS, laissant présager un dépassement du record annuel de 41 mégatonnes établi en 2017.Cette année là, les incendies avaient tué plus de 200 personnes dans l’UE, notamment au Portugal, en Italie, en Espagne et en France.En 2025, deux personnes sont décédées à cause des feux à Chypre, une en France, et sept dans la péninsule ibérique, soit un bilan provisoire de 10 décès, selon un décompte de l’AFP.

Incendies: plus d’un million d’hectares brûlés dans l’UE depuis début 2025, un record

Les incendies ont déjà ravagé plus d’un million d’hectares (10.000 km2) dans l’Union européenne depuis le début de 2025, une année d’ores et déjà record, alors que plusieurs feux continuent de sévir particulièrement en Espagne et au Portugal.Le bilan atteignait précisément 1.015.731 hectares brûlés jeudi à la mi-journée, une superficie plus grande que la Corse, dépassant en moins de huit mois le précédent record de 988.524 hectares sur l’ensemble de l’année 2017.En plus de ce tableau global, calculé par l’AFP à partir des estimations par pays fournies par le système européen d’information sur les feux de forêt (EFFIS), quatre pays de l’Union européenne ont eux aussi déjà battu leur record annuel depuis vingt ans de relevés : l’Espagne, Chypre, l’Allemagne et la Slovaquie. En proie à de nombreux feux dans l’ouest du pays, ayant fait quatre morts, l’Espagne est de loin le pays de l’Union européenne le plus touché par les incendies, avec plus de 400.000 hectares (4.000 km2) partis en fumée, soit près de 40% des surfaces brûlées dans l’UE cette année.Quant au Portugal, il conserve son record de 563.530 hectares brûlés en 2017 (le maximum pour un pays de l’UE), mais il n’avait jamais atteint, à la date du 21 août, une telle superficie calcinée. Les flammes ont déjà ravagé plus de 274.000 ha de forêt portugaise, causant la mort de trois personnes. En 2017, les incendies avaient causé 119 décès dans le pays.Derrière les deux pays ibériques, suit la Roumanie, avec 126.000 ha brûlés. En France, 35.600 hectares de forêt ont été réduits en cendres, notamment dans l’Aude ravagée par un gigantesque incendie début août.- 10 décès -Hors UE, le Royaume-Uni connaît également déjà une année record, après des incendies au printemps, lors d’une vague de chaleur précoce, ainsi que dans le nord de l’Ecosse fin juin. Dans les Balkans, la Serbie enregistre aussi sa pire année depuis le début des relevés.Ces estimations d’EFFIS, un indicateur de l’observatoire européen Copernicus, prennent uniquement en compte les incendies ayant brûlé au moins 30 hectares.Entre début janvier et le 19 août, les feux de forêt dans 22 des 27 pays de l’UE avaient émis 35 mégatonnes de dioxyde de carbone (CO2), un niveau inédit à ce stade de l’année, selon EFFIS, laissant présager un dépassement du record annuel de 41 mégatonnes établi en 2017.Cette année là, les incendies avaient tué plus de 200 personnes dans l’UE, notamment au Portugal, en Italie, en Espagne et en France.En 2025, deux personnes sont décédées à cause des feux à Chypre, une en France, et sept dans la péninsule ibérique, soit un bilan provisoire de 10 décès, selon un décompte de l’AFP.

East African trio score unexpected hat-trick as CHAN hostsThu, 21 Aug 2025 15:17:06 GMT

The African Nations Championships (CHAN) quarter-finals begin Friday after a bruising group stage, with security controversies and the unexpected successes of the host nations dominating discussion.The month-long championship, co-hosted by Kenya, Tanzania and Uganda, has brought a football revival to a region that has rarely hosted, or shone in, continental competitions.The three hosts all topped …

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Palestinian camps in Lebanon to start disarming: committee

Armed Palestinian groups in refugee camps in Lebanon will start handing over their weapons to the authorities on Thursday, a joint committee said, following a deal reached in May.The announcement comes after the Lebanese government also tasked the army with formulating a plan to disarm the militant group Hezbollah by the end of the year.”Today marks the beginning of the first phase of the process of handing over weapons from inside the Palestinian camps,” Lebanese-Palestinian Dialogue Committee chairman Ramez Dimashkieh said in a statement.The process would begin with the Burj al-Barajneh camp in Beirut, where an initial batch of weapons would be placed in the custody of the Lebanese army, Dimashkieh added.An AFP photojournalist saw dozens of fighters in military fatigues holding Kalashnikov rifles as crowds gathered in front of the Beirut headquarters of Palestinian president Mahmud Abbas’s Fatah movement.A Palestinian security official told AFP on condition of anonymity that “Fatah will begin handing over its weapons in Burj al-Barajneh camp within the framework of the coordination with the Lebanese army”.Abbas visited Beirut in May and reached an agreement with Lebanese President Joseph Aoun that all arms in Palestinian camps would be surrendered to the state.A Palestinian security source at Burj al-Barajneh camp said “Fatah’s initiative in beginning to hand over weapons is symbolic, and came as a result of an agreement between Aoun and the Palestinian president’s son, Yasser Abbas, who is currently visiting Beirut”.It aims to “encourage the remaining (Palestinian armed) factions to take the same step”, the source said, noting that the other influential factions in the camp “have not yet decided to hand over their weapons”.The Palestinian Authority does not exercise power over the remaining factions in the camps, most notably Hamas.- ‘Illegitimate weapons’ -Lebanon has come under heavy US pressure to disarm Hamas’s ally Hezbollah after the Iran-backed Lebanese movement was dealt a massive blow during its war with Israel last year.That conflict was the culmination of a year of hostilities launched by Hezbollah in support of Hamas after the Palestinian group’s October 2023 attack on Israel that sparked the Gaza war.Lebanon hosts about 222,000 Palestinian refugees, according to the United Nations agency UNRWA, with many living in overcrowded camps outside of the state’s control.The Ain al-Hilweh camp near the southern city of Sidon, for instance, is the largest in the country and houses individuals wanted by the Lebanese authorities.The handover of weapons was expected to begin in mid-June, but in an interview with Saudi-owned broadcaster Al Arabiya last week, Aoun attributed the delay to the Iran-Israel war that broke out that month, as well as to “internal considerations within the Palestinian Authority”.Badie al-Habet, a member of the Fatah leadership in Beirut, told AFP that Thursday would see the “turning over of illegitimate weapons in the hands of illegitimate individuals”.The weapons held by Palestinian security personnel in the refugee camps, however, were not included in the handover, he added.Palestinian armed factions, including Hamas, have repeatedly fired at Israel from Lebanon since the start of the Gaza war and the ensuing conflict between Israel and Hezbollah, which a November ceasefire sought to end.The ceasefire stipulated that only the Lebanese military would bear arms and that all forces would withdraw from the country’s south, with the exception of the army and UN peacekeepers.Israel has nonetheless continued to strike Lebanon regularly, and its troops still hold five positions in the south that it deems strategic.Hezbollah, meanwhile, has said it will resist efforts to disarm it.