Wes Anderson and his A-list cast dazzle at CannesSun, 18 May 2025 20:20:51 GMT

US director Wes Anderson brought his latest A-list cast led by Benicio del Toro to the Cannes film festival on Sunday, ramping up the star power as the competition reaches the halfway mark.Anderson’s typically whimsical “The Phoenician Scheme”, which also finds roles for Tom Hanks, Scarlett Johansson and Kate Winslet’s daughter, Mia Threapleton, is in …

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Retailleau l’emporte largement face à Wauquiez et se place dans la course à la présidentielle

Le favori Bruno Retailleau a très largement remporté dimanche la course à la présidence des Républicains face à son rival Laurent Wauquiez, un succès qui le renforce à droite comme candidat potentiel à la présidentielle.    Avec 74,3% contre 25,7%, les plus de 120.000 adhérents des Républicains ont accordé leur confiance au Vendéen, 64 ans, qui depuis son arrivée à Beauvau en septembre a donné une nouvelle dynamique à un parti moribond il y a un an à peine. La participation a atteint plus de 80%.”Notre famille politique est à même aujourd’hui de porter notre projet pour la présidentielle”, s’est félicité sur TF1 Bruno Retailleau, plaçant son succès dans la perspective de 2027.Appelant les électeurs qui ont tourné le dos aux Républicains ces dernières années à revenir au parti, il a confirmé qu’il resterait à Beauvau, la question de la participation de son parti au gouvernement ayant été “tranchée” à ses yeux par le large soutien des adhérents à sa candidature.Au siège des Républicains, où il a été accueilli par ses partisans au cri de “On a gagné!” ou encore “Bruno président”, il a adressé un message à son adversaire Laurent Wauquiez, dont il a dit “qu’il s’est beaucoup donné dans cette campagne”.”Il pourra donner (…) encore beaucoup à notre mouvement. Je le souhaite sincèrement parce que je veux rassembler largement toute notre famille politique”, a-t-il assuré, entouré par les ténors du parti qui l’on soutenu, parmi eux le président du Sénat Gérard Larcher, l’ex-Premier ministre Michel Barnier ou encore l’eurodéputé François-Xavier Bellamy. Présente parmi les militants, la présidente des Jeunes Républicains Manon Deliot a salué un “très beau score”. “C’est le synonyme d’une parole franche, d’une parole nette, et puis d’un homme d’Etat, qu’on attendait depuis très longtemps chez les Républicains”, a-t-elle dit.- “Poison de la division” -Depuis son fief du Puy-en-Velay (Haute-Loire), Laurent Wauquiez a reconnu sa défaite et appelé à éviter “le poison de la division (qui) a tant de fois affaibli la droite”.Il a toutefois campé sur positions de la campagne, assurant que la droite ne pourra mener son “projet de rupture (…) si nous sommes dilués dans le macronisme”.Le Premier ministre François Bayrou a salué cette “magnifique victoire”, qui conforte la participation des Républicains à son gouvernement. “Les Français engagés souhaitent, je le crois, que nous fassions cause commune pour sortir, autant que possible, notre pays des difficultés qu’il traverse”, a-t-il réagi sur X.Cette élection a été marquée jusqu’au bout par l’incertitude provoquée par la multiplication du nombre d’adhérents au cours de la campagne, passant de 43.859 à 121.617 en deux mois, sans qu’il soit possible de déterminer de façon certaine à qui profiteraient ces recrutements.La victoire écrasante de Bruno Retailleau intervient au terme d’une campagne très à droite. Son rival Laurent Wauquiez a fait feu de tout bois, proposant notamment l’envoi des étrangers dangereux sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF) à Saint-Pierre-et-Miquelon ou la mise en place d'”un cordon sanitaire” autour de LFI. Omniprésent sur le sujet de l’immigration, Bruno Retailleau a lui multiplié les mesures en tant que ministre de l’Intérieur, durcissant les critères de naturalisation des étrangers et appelant sans succès à un bras de fer pour que l’Algérie reprenne ses ressortissants frappés d’une obligation de quitter le territoire.Ce succès sans contestation lui permettra de se renforcer comme candidat de la droite à la prochaine présidentielle, face à la candidature déjà bien installée d’Edouard Philippe qui prétend lui aussi rassembler la droite.Pendant la campagne, M. Retailleau s’est déclaré favorable à ce que les adhérents de LR désignent leur candidat. – Primaire ouverte -Une idée que ne partagent pas certains soutiens du ministre, qui n’ont pas attendu les résultats pour mettre la pression, à l’image du président centriste de Normandie Hervé Morin, porte-parole du mouvement Nouvelle Energie, présidé par David Lisnard.Il a exigé samedi dans les colonnes d’Ouest-France que le candidat de la droite soit “désigné au cours d’une grande primaire ouverte, de Renaissance aux Républicains”. Bruno Retailleau entend désormais “remettre au travail” un parti encore convalescent depuis le psychodrame de l’alliance il y a près d’un an entre son ancien président Eric Ciotti et le RN. Reste aussi à savoir comment Bruno Retailleau va s’entendre avec Laurent Wauquiez, l’affaibli patron des députés LR qui plaide pour un rassemblement de la droite allant du garde des Sceaux, l’ex-LR Gérald Darmanin, à l’eurodéputée zemmouriste Sarah Knafo. 

Retailleau l’emporte largement face à Wauquiez et se place dans la course à la présidentielle

Le favori Bruno Retailleau a très largement remporté dimanche la course à la présidence des Républicains face à son rival Laurent Wauquiez, un succès qui le renforce à droite comme candidat potentiel à la présidentielle.    Avec 74,3% contre 25,7%, les plus de 120.000 adhérents des Républicains ont accordé leur confiance au Vendéen, 64 ans, qui depuis son arrivée à Beauvau en septembre a donné une nouvelle dynamique à un parti moribond il y a un an à peine. La participation a atteint plus de 80%.”Notre famille politique est à même aujourd’hui de porter notre projet pour la présidentielle”, s’est félicité sur TF1 Bruno Retailleau, plaçant son succès dans la perspective de 2027.Appelant les électeurs qui ont tourné le dos aux Républicains ces dernières années à revenir au parti, il a confirmé qu’il resterait à Beauvau, la question de la participation de son parti au gouvernement ayant été “tranchée” à ses yeux par le large soutien des adhérents à sa candidature.Au siège des Républicains, où il a été accueilli par ses partisans au cri de “On a gagné!” ou encore “Bruno président”, il a adressé un message à son adversaire Laurent Wauquiez, dont il a dit “qu’il s’est beaucoup donné dans cette campagne”.”Il pourra donner (…) encore beaucoup à notre mouvement. Je le souhaite sincèrement parce que je veux rassembler largement toute notre famille politique”, a-t-il assuré, entouré par les ténors du parti qui l’on soutenu, parmi eux le président du Sénat Gérard Larcher, l’ex-Premier ministre Michel Barnier ou encore l’eurodéputé François-Xavier Bellamy. Présente parmi les militants, la présidente des Jeunes Républicains Manon Deliot a salué un “très beau score”. “C’est le synonyme d’une parole franche, d’une parole nette, et puis d’un homme d’Etat, qu’on attendait depuis très longtemps chez les Républicains”, a-t-elle dit.- “Poison de la division” -Depuis son fief du Puy-en-Velay (Haute-Loire), Laurent Wauquiez a reconnu sa défaite et appelé à éviter “le poison de la division (qui) a tant de fois affaibli la droite”.Il a toutefois campé sur positions de la campagne, assurant que la droite ne pourra mener son “projet de rupture (…) si nous sommes dilués dans le macronisme”.Le Premier ministre François Bayrou a salué cette “magnifique victoire”, qui conforte la participation des Républicains à son gouvernement. “Les Français engagés souhaitent, je le crois, que nous fassions cause commune pour sortir, autant que possible, notre pays des difficultés qu’il traverse”, a-t-il réagi sur X.Cette élection a été marquée jusqu’au bout par l’incertitude provoquée par la multiplication du nombre d’adhérents au cours de la campagne, passant de 43.859 à 121.617 en deux mois, sans qu’il soit possible de déterminer de façon certaine à qui profiteraient ces recrutements.La victoire écrasante de Bruno Retailleau intervient au terme d’une campagne très à droite. Son rival Laurent Wauquiez a fait feu de tout bois, proposant notamment l’envoi des étrangers dangereux sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF) à Saint-Pierre-et-Miquelon ou la mise en place d'”un cordon sanitaire” autour de LFI. Omniprésent sur le sujet de l’immigration, Bruno Retailleau a lui multiplié les mesures en tant que ministre de l’Intérieur, durcissant les critères de naturalisation des étrangers et appelant sans succès à un bras de fer pour que l’Algérie reprenne ses ressortissants frappés d’une obligation de quitter le territoire.Ce succès sans contestation lui permettra de se renforcer comme candidat de la droite à la prochaine présidentielle, face à la candidature déjà bien installée d’Edouard Philippe qui prétend lui aussi rassembler la droite.Pendant la campagne, M. Retailleau s’est déclaré favorable à ce que les adhérents de LR désignent leur candidat. – Primaire ouverte -Une idée que ne partagent pas certains soutiens du ministre, qui n’ont pas attendu les résultats pour mettre la pression, à l’image du président centriste de Normandie Hervé Morin, porte-parole du mouvement Nouvelle Energie, présidé par David Lisnard.Il a exigé samedi dans les colonnes d’Ouest-France que le candidat de la droite soit “désigné au cours d’une grande primaire ouverte, de Renaissance aux Républicains”. Bruno Retailleau entend désormais “remettre au travail” un parti encore convalescent depuis le psychodrame de l’alliance il y a près d’un an entre son ancien président Eric Ciotti et le RN. Reste aussi à savoir comment Bruno Retailleau va s’entendre avec Laurent Wauquiez, l’affaibli patron des députés LR qui plaide pour un rassemblement de la droite allant du garde des Sceaux, l’ex-LR Gérald Darmanin, à l’eurodéputée zemmouriste Sarah Knafo. 

Global chip giants converge on Taiwan for Computex

Global semiconductor chip giants will gather at Taiwan’s top tech expo this week to showcase “the next frontier” for an industry dominated by artificial intelligence.Nvidia boss Jensen Huang will make a keynote speech on Monday, the eve of Computex, as the tech sector grapples with the impact of US tariffs and disrupted supply chains. The four-day event will draw computer and chip companies from around the world to Taiwan, whose semiconductor industry is critical to the production of everything from iPhones to the servers that run ChatGPT.Taiwan produces the bulk of the world’s most advanced chips, including those needed for the most powerful AI applications and research.”I have many amazing announcements to make,” Huang told reporters in Taipei on Friday.”We are at the heart of the technology ecosystem and so there are many partners of ours here and we’re looking forward to announcing many collaborations, many new projects, many new technologies and initiatives together.” Top executives from Qualcomm, MediaTek and Foxconn will also speak at Computex, where advances in moving AI from data centres into laptops, robots and cars will be in the spotlight.”From Agentic AI driving smarter personal devices to Physical AI reshaping autonomy, the show maps out the next frontier,” specialist research firm Counterpoint said in a note.Tech expert Paul Yu told AFP the industry was at a “critical juncture” for AI hardware development.”Over the past two and a half years, significant investment has driven rapid advances in AI technology,” said Yu, of Witology Markettrend Research Institute.”2025 to 2026 will be the crucial period for transitioning AI model training into profitable applications.”- ‘Taiwan to continue to thrive’ -While US tariffs were the biggest issue facing the sector, most companies at Computex “will shy away from addressing tariffs directly as the situation is too uncertain,” said Eric Smith of specialist platform TechInsights.Last month, Washington announced a national security probe into imports of semiconductor technology, which could put the industry in the crosshairs of President Donald Trump’s trade bazooka and inflict potentially devastating levies.Since taking office in January, Trump has threatened hefty tariffs against many of America’s biggest trade partners with the aim of forcing companies to move production to US soil.Export-dependent Taiwan has pledged to increase investment in the United States as it seeks to avoid a 32 percent US tariff on its shipments.But there are concerns the island could lose its dominance of the chip sector — the so-called “silicon shield” protecting it from an invasion or blockade by China and an incentive for the United States to defend it. TSMC, the Taiwanese contract chipmaking giant, has unveiled plans to inject an additional $100 billion into the United States, on top of the $65 billion already pledged. TSMC-supplier GlobalWafers also announced plans last week to increase its US investment by $4 billion as the Taiwanese company opened a wafer facility in the US state Texas.But Huang was optimistic on Friday when asked about the impact of tariffs on Taiwan, saying the island would “remain at the centre of the technology ecosystem”.”There are so many smart companies here, there are so many innovative and spirited companies,” Huang said.”I fully expect Taiwan to continue to thrive… before, after, throughout.”

Panne à l’aéroport de Paris-Orly, 130 vols supprimés dimanche, pas d’annulation prévue lundi à ce stade

Des milliers de passagers qui devaient décoller de l’aéroport de Paris-Orly ou y atterrir dimanche ont vu leur vol annulé à la dernière minute, parfois même alors qu’ils étaient déjà installés dans l’avion, après une panne de contrôle aérien, non résolue dans la soirée.La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a cependant précisé à l’AFP dimanche soir n’avoir, à ce stade, requis aucune annulation de vol pour la journée de lundi.”On gère. Ce n’est pas réparé”, a également précisé à l’AFP une source aéroportuaire, qui avait indiqué auparavant qu'”il s’agit d’une panne de radar”.Dimanche, 130 vols environ ont été annulés, pour moitié au départ de l’aéroport, pour moitié à l’arrivée, soit 40% des quelque 330 vols prévus, a indiqué à l’AFP un porte-parole d’Aéroports de Paris (ADP).La DGAC a en effet “demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 40% sur l’aéroport de Paris-Orly pour la fin de journée”, jusqu’au couvre-feu de 23H30, “suite à une panne des dispositifs de contrôle aérien de la tour d’Orly”.De longues files d’attentes de passagers se sont alors formées aux guichets de l’aéroport.Debout près de valises à roulettes samedi après-midi, Agnès Zilouri, 46 ans, cherche où faire asseoir sa mère de 86 ans qui se rend au Maroc pour les obsèques de son frère. “Notre vol pour Oujda, prévu à 21H20, est annulé. Heureusement que j’accompagne ma mère”, dit-elle, au côté de son fils de 6 ans.Azgal Abichou, chef d’entreprise de 63 ans, explique qu’il cherche un autre vol après l’annulation de son vol pour Tunis. “On était dans l’avion, tous assis et ceinturés, prêts à partir, quand ils nous ont fait débarquer et récupérer nos bagages… puis galérer”, a-t-il à l’AFP, dans l’attente depuis plusieurs heures d’un mail promis par la compagnie Transavia. – Vols supprimés ou retardés -Romane Penault, étudiante de 22 ans, attend elle aussi un mail de la compagnie aérienne qui était censée la faire voyager: “la seule solution c’est un vol à 300 euros mais il ne reste qu’une seule place et on est deux. Et on n’est pas sûr qu’il décolle. Pour l’instant on va rentrer chez nous”.Annulés, le vol EasyJet de 21H05 en provenance de Nice ou le Vueling de 21H05 pour Valence à destination de Londres, tandis que celui qui devait partir pour Barcelone à 21H40 est désormais annoncé pour 00H33: sur le site internet de l’aéroport, le tableau des vols affiche de nombreux vols supprimés ou retardés.Dans une cafétéria, nombre de voyageurs téléphonent pour annoncer, dans différentes langues, à leurs proches que leur vol est retardé ou annulé…Fayçal Benkhaldoun, 63 ans, cherche à tout prix à voyager vers la Tunisie, après l’annulation du dernier vol pour Oujda. “Je vais essayer de prendre le prochain vol pour Casablanca puis je prendrai un taxi pour Oujda. On a une réunion à 9h du matin que je ne veux pas manquer”. Élodie Bélicot, 44 ans, qui partait en vacances, explique prendre l’annulation de son vol “plutôt bien, il y a des choses plus graves dans la vie que ne pas partir en vacances. Il y avait une dame tout à l’heure devant nous qui devait rejoindre sa maman qui était mourante pour la voir la dernière fois.”L’aéroport de Paris-Orly, situé à 10 kilomètres au sud de la capitale française, a vu passer plus de 33 millions de passagers en 2024, moitié moins que l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle, situé lui à une vingtaine de kilomètres au nord, selon les chiffres publiés par Aéroport de Paris (ADP).

Panne à l’aéroport de Paris-Orly, 130 vols supprimés dimanche, pas d’annulation prévue lundi à ce stade

Des milliers de passagers qui devaient décoller de l’aéroport de Paris-Orly ou y atterrir dimanche ont vu leur vol annulé à la dernière minute, parfois même alors qu’ils étaient déjà installés dans l’avion, après une panne de contrôle aérien, non résolue dans la soirée.La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a cependant précisé à l’AFP dimanche soir n’avoir, à ce stade, requis aucune annulation de vol pour la journée de lundi.”On gère. Ce n’est pas réparé”, a également précisé à l’AFP une source aéroportuaire, qui avait indiqué auparavant qu'”il s’agit d’une panne de radar”.Dimanche, 130 vols environ ont été annulés, pour moitié au départ de l’aéroport, pour moitié à l’arrivée, soit 40% des quelque 330 vols prévus, a indiqué à l’AFP un porte-parole d’Aéroports de Paris (ADP).La DGAC a en effet “demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 40% sur l’aéroport de Paris-Orly pour la fin de journée”, jusqu’au couvre-feu de 23H30, “suite à une panne des dispositifs de contrôle aérien de la tour d’Orly”.De longues files d’attentes de passagers se sont alors formées aux guichets de l’aéroport.Debout près de valises à roulettes samedi après-midi, Agnès Zilouri, 46 ans, cherche où faire asseoir sa mère de 86 ans qui se rend au Maroc pour les obsèques de son frère. “Notre vol pour Oujda, prévu à 21H20, est annulé. Heureusement que j’accompagne ma mère”, dit-elle, au côté de son fils de 6 ans.Azgal Abichou, chef d’entreprise de 63 ans, explique qu’il cherche un autre vol après l’annulation de son vol pour Tunis. “On était dans l’avion, tous assis et ceinturés, prêts à partir, quand ils nous ont fait débarquer et récupérer nos bagages… puis galérer”, a-t-il à l’AFP, dans l’attente depuis plusieurs heures d’un mail promis par la compagnie Transavia. – Vols supprimés ou retardés -Romane Penault, étudiante de 22 ans, attend elle aussi un mail de la compagnie aérienne qui était censée la faire voyager: “la seule solution c’est un vol à 300 euros mais il ne reste qu’une seule place et on est deux. Et on n’est pas sûr qu’il décolle. Pour l’instant on va rentrer chez nous”.Annulés, le vol EasyJet de 21H05 en provenance de Nice ou le Vueling de 21H05 pour Valence à destination de Londres, tandis que celui qui devait partir pour Barcelone à 21H40 est désormais annoncé pour 00H33: sur le site internet de l’aéroport, le tableau des vols affiche de nombreux vols supprimés ou retardés.Dans une cafétéria, nombre de voyageurs téléphonent pour annoncer, dans différentes langues, à leurs proches que leur vol est retardé ou annulé…Fayçal Benkhaldoun, 63 ans, cherche à tout prix à voyager vers la Tunisie, après l’annulation du dernier vol pour Oujda. “Je vais essayer de prendre le prochain vol pour Casablanca puis je prendrai un taxi pour Oujda. On a une réunion à 9h du matin que je ne veux pas manquer”. Élodie Bélicot, 44 ans, qui partait en vacances, explique prendre l’annulation de son vol “plutôt bien, il y a des choses plus graves dans la vie que ne pas partir en vacances. Il y avait une dame tout à l’heure devant nous qui devait rejoindre sa maman qui était mourante pour la voir la dernière fois.”L’aéroport de Paris-Orly, situé à 10 kilomètres au sud de la capitale française, a vu passer plus de 33 millions de passagers en 2024, moitié moins que l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle, situé lui à une vingtaine de kilomètres au nord, selon les chiffres publiés par Aéroport de Paris (ADP).

Panne à l’aéroport de Paris-Orly, 130 vols supprimés dimanche, pas d’annulation prévue lundi à ce stade

Des milliers de passagers qui devaient décoller de l’aéroport de Paris-Orly ou y atterrir dimanche ont vu leur vol annulé à la dernière minute, parfois même alors qu’ils étaient déjà installés dans l’avion, après une panne de contrôle aérien, non résolue dans la soirée.La Direction générale de l’aviation civile (DGAC) a cependant précisé à l’AFP dimanche soir n’avoir, à ce stade, requis aucune annulation de vol pour la journée de lundi.”On gère. Ce n’est pas réparé”, a également précisé à l’AFP une source aéroportuaire, qui avait indiqué auparavant qu'”il s’agit d’une panne de radar”.Dimanche, 130 vols environ ont été annulés, pour moitié au départ de l’aéroport, pour moitié à l’arrivée, soit 40% des quelque 330 vols prévus, a indiqué à l’AFP un porte-parole d’Aéroports de Paris (ADP).La DGAC a en effet “demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols de 40% sur l’aéroport de Paris-Orly pour la fin de journée”, jusqu’au couvre-feu de 23H30, “suite à une panne des dispositifs de contrôle aérien de la tour d’Orly”.De longues files d’attentes de passagers se sont alors formées aux guichets de l’aéroport.Debout près de valises à roulettes samedi après-midi, Agnès Zilouri, 46 ans, cherche où faire asseoir sa mère de 86 ans qui se rend au Maroc pour les obsèques de son frère. “Notre vol pour Oujda, prévu à 21H20, est annulé. Heureusement que j’accompagne ma mère”, dit-elle, au côté de son fils de 6 ans.Azgal Abichou, chef d’entreprise de 63 ans, explique qu’il cherche un autre vol après l’annulation de son vol pour Tunis. “On était dans l’avion, tous assis et ceinturés, prêts à partir, quand ils nous ont fait débarquer et récupérer nos bagages… puis galérer”, a-t-il à l’AFP, dans l’attente depuis plusieurs heures d’un mail promis par la compagnie Transavia. – Vols supprimés ou retardés -Romane Penault, étudiante de 22 ans, attend elle aussi un mail de la compagnie aérienne qui était censée la faire voyager: “la seule solution c’est un vol à 300 euros mais il ne reste qu’une seule place et on est deux. Et on n’est pas sûr qu’il décolle. Pour l’instant on va rentrer chez nous”.Annulés, le vol EasyJet de 21H05 en provenance de Nice ou le Vueling de 21H05 pour Valence à destination de Londres, tandis que celui qui devait partir pour Barcelone à 21H40 est désormais annoncé pour 00H33: sur le site internet de l’aéroport, le tableau des vols affiche de nombreux vols supprimés ou retardés.Dans une cafétéria, nombre de voyageurs téléphonent pour annoncer, dans différentes langues, à leurs proches que leur vol est retardé ou annulé…Fayçal Benkhaldoun, 63 ans, cherche à tout prix à voyager vers la Tunisie, après l’annulation du dernier vol pour Oujda. “Je vais essayer de prendre le prochain vol pour Casablanca puis je prendrai un taxi pour Oujda. On a une réunion à 9h du matin que je ne veux pas manquer”. Élodie Bélicot, 44 ans, qui partait en vacances, explique prendre l’annulation de son vol “plutôt bien, il y a des choses plus graves dans la vie que ne pas partir en vacances. Il y avait une dame tout à l’heure devant nous qui devait rejoindre sa maman qui était mourante pour la voir la dernière fois.”L’aéroport de Paris-Orly, situé à 10 kilomètres au sud de la capitale française, a vu passer plus de 33 millions de passagers en 2024, moitié moins que l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle, situé lui à une vingtaine de kilomètres au nord, selon les chiffres publiés par Aéroport de Paris (ADP).

US VP Vance, EU chief talk tariffs in Rome

US Vice President JD Vance said on Sunday that Europe was “an important ally” despite disagreements over trade, as he met European Commission President Ursula von der Leyen in Rome.Vance expressed hope that the talks — the first at such a high level since US President Donald Trump introduced his sweeping tariffs earlier this year — “will be the beginning of some long-term trade negotiations”.They met alongside Italian Prime Minister Giorgia Meloni at her office in Rome, after all three attended the inauguration mass at the Vatican for Pope Leo XIV.In televised comments at the start of the meeting, Vance said: “I’ve said repeatedly that I think Europe is an important ally of the United States, the individual countries within Europe are important allies of the United States.”But of course we have some disagreements, as friends sometimes do, on issues like trade, and we also have many agreements and many things that we can work on together, and I’m looking forward to this conversation.”He added: “I think we’ll have a great conversation and hopefully (it) will be the beginning of some long-term trade negotiations and some long-term trade advantages between both Europe and the United States.”For her part, von der Leyen — who sat on one side of Meloni, with Vance on the other — hailed the “very special and close relationship” between the US and the European Union.”Everybody knows that the devil is in the detail, but what unites us is that at the end we want, together, to have a good deal for both sides,” the EU chief said.Trump announced a 20-percent tariff on most EU goods in April, along with higher duties on dozens of other nations, but has since frozen the measure until July.The US president said on May 9 that he hoped to meet the “fantastic” von der Leyen, saying that the bloc wanted to “make a deal very badly” with the US.Meloni, the far-right leader who has sought to be a bridge between Washington and Brussels, said she hoped the talks could be a “new beginning”.The White House later called the talks “constructive” and said they had discussed trade, supply chain security, an “increase” in defence cooperation, as well as migration and Ukraine.Vance and Secretary of State Marco Rubio also met in Rome with Ukrainian President Volodymyr Zelensky and “discussed their shared goal of ending the bloodshed in Ukraine,” said a statement from the vice president’s office. They “provided updates on the current state of negotiations for a ceasefire and lasting peace,” it said, but did not elaborate.