Indian top court orders roundup of stray dogs in Delhi

India’s Supreme Court on Monday ordered the removal of tens of thousands of stray dogs from the capital, citing public safety concerns after a surge in dog bites.India is home to millions of stray dogs and deadly attacks, particularly on children and the elderly, are regularly reported by the city’s media.At least 60,000 stray dogs live on the streets of Delhi, according to India’s Livestock Census of 2012, the most recent data available.Some suggest that number to be now far higher, with large rival dog packs patrolling parks and residential neighbourhoods across the city.The country accounts for more than a third of global rabies deaths, according to the World Health Organization, a crisis exacerbated by a lack of sterilisation programmes and legal restrictions on canine culling.The court asked city authorities to set up dog shelters within eight weeks, and maintain daily records of the canines captured.”What is important, and without which the entire exercise would go futile, not a single stray dog should be released,” it said, which applies to Delhi and its satellite suburbs, a megacity home to some 30 million people.The court warned of action against animal activists who obstruct the removal of dogs.It also ordered a 24-hour helpline to be set up to report dog bites and officials must publicise locations where anti-rabies vaccines are available.Data tabled in the Indian parliament showed more than 3.7 million cases of dog bites and 54 suspected human deaths from rabies in 2024.Other estimates peg the number to be nearly twice as high, with Delhi alone accounting for roughly 2,000 cases of dog bites every day.In middle class neighbourhoods, many of Delhi’s strays are beloved by their residents despite lacking formal owners, with some dogs clothed in special canine jackets to keep warm during the winter.But they are also a hazard to humans, with Indian media regularly reporting on the mauling of young children by aggressive dog packs.

Stock markets mostly up at start of key week for trade, US data

Equity markets mostly rose Monday as investors eyed a week dominated by speculation about US inflation data and a prolonged pause for Washington’s tariffs on China.Observers expect Donald Trump to announce an extension of a trade war truce reached with China last month, ahead of a 90-day deadline set for Tuesday.Meanwhile, a key US consumer price index report is set up for Tuesday and could shape future policy decisions by the Federal Reserve, which has come under increasing pressure from the president to cut rates.Investors have ramped up their bets on the central bank lowering borrowing costs at its next meeting in September following a series of reports — particularly on jobs — indicating the world’s number one economy was slowing.Also in view is a high-stakes summit between Trump and Russian counterpart Vladimir Putin on Friday in Alaska, which could pave the way for a deal to resolve the Ukraine war that involves an easing of tough sanctions on Moscow.The prospect of a breakthrough at the meeting added to downward pressure on oil prices, which was already falling on the back of economy worries and a bump in output from OPEC and other key producers.Stocks in Hong Kong, Shanghai, Sydney, Wellington, Taipei, Mumbai and Jakarta rose, though there were losses in Seoul, Singapore and Manila. Tokyo was closed for a public holiday.London advanced in the morning but Paris and Frankfurt edged down.With Tuesday’s US-China tariff truce deadline looming, investors are bullish about the prospects of another extension.”The market has fully subscribed to the high probability of the tariff truce being rolled over for another 90 days,” said Chris Weston of Pepperstone.”As such, unless diplomatic talks fully break down, news of extension shouldn’t move markets too intently,” he added.Gold futures edged down after hitting a record high Friday, following reports of an unexpected tariff on the precious metal.Despite protracted uncertainty about trade, investors remain optimistic about artificial intelligence — an area of fierce competition between Beijing and Washington.Reports Monday said that US chip giants Nvidia and Advanced Micro Devices (AMD) had agreed to pay Washington 15 percent of their revenue from selling AI chips to China.Investors are betting that AI will transform the global economy, and last month Nvidia — the world’s leading semiconductor producer — became the first company ever to hit $4 trillion in market value.- Key figures at 0810 GMT -Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.2 percent at 24,906.81 (close)Shanghai – Composite: UP 0.3 percent at 3,647.55 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,113.29Tokyo – Nikkei 225: Closed for a holidayPound/dollar: UP at $1.3454 from $1.3451 on FridayEuro/dollar: UP at $1.1648 from $1.1643Dollar/yen: DOWN at 147.38 yen from 147.79 yenEuro/pound: UP at 86.58 pence from 86.54 penceWest Texas Intermediate: DOWN 1.1 percent at $63.20 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.9 percent at $65.98 per barrelNew York – Dow: UP 0.5 percent at 44,175.61 (close)

La Bourse de Paris prudente avant des données d’inflation et des évolutions sur l’Ukraine

La Bourse de Paris évolue avec prudence lundi, à l’aube d’une semaine chargée en indicateurs économiques, dont l’inflation américaine qui devrait aider le marché à anticiper la prochaine décision de politique monétaire de la banque centrale américaine en septembre.L’indice vedette CAC 40 (-0,10%) s’établissait à 7.735,13 points vers 09H50 (heure locale). Vendredi, le CAC 40 avait conclu la séance en hausse de 0,44%, affichant un bilan hebdomadaire en progression de 2,61%.”Cette semaine, plusieurs données américaines importantes sont attendues”, dont l’indice d’inflation côté consommateurs (CPI) et celui du côté des producteurs (PPI), “ainsi que les chiffres des ventes au détail et de la production industrielle aux Etats-Unis”, commente Neil Wilson, analyste à Saxo Markets.”Le CPI est au centre des préoccupations de la banque centrale américaine (Fed) (…). Plus l’inflation se rapproche de 3%, plus la tâche de la Fed se complique”, son objectif étant de la ramener à 2%, explique l’analyste.Les taux directeurs de la Fed — qui guident le coût du crédit — demeurent inchangés depuis décembre, entre 4,25% et 4,50%.”L’attention se porte aussi sur l’Ukraine et sur l’optimisme quant à d’éventuels progrès”, commente Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.Dans le détail, un sommet est prévu vendredi entre Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine en Alaska pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine déclenchée par Moscou – de quoi aboutir possiblement à un allègement des sanctions visant la Russie.Volodymyr Zelensky, qui rejette tout accord américano-russe à ses dépens, a exhorté ses alliés européens, également écartés des pourparlers, à adopter une approche commune.Autre point d’attention, “la trêve commerciale entre les États-Unis et la Chine doit expirer mardi”, souligne Neil Wilson.Les deux premières économies mondiales s’étaient accordées le mois dernier sur le maintien d’une pause tarifaire afin de poursuivre leurs négociations: les droits de douane supplémentaires américains sur les produits chinois sont fixés temporairement à 30%, tandis que les taxes chinoises sur les importations américaines restent à 10%.Prévue pour arriver à expiration le 12 août, la trêve devrait être prolongée “de 90 jours supplémentaires”, a estimé la semaine dernière sur Fox Business le secrétaire au Commerce Howard Lutnick.Le secteur de la défense en repliDans l’attente des évolutions à venir sur la guerre en Ukraine, le secteur de la défense recule en début de semaine partout en Europe. A la cote parisienne, Thales lâchait 1,09% à 226,50 euros, Safran cédait 0,93% à 288,50 euros et Dassault Aviation 0,60% à 267,00 euros.

Suppression de deux jours fériés: le gouvernement invite les partenaires sociaux à négocier

Le gouvernement a confirmé viser un rendement de 4,2 milliards d’euros dès 2026 pour le budget de l’État avec la suppression de deux jours fériés, et invite les partenaires sociaux à dire s’ils sont prêts à négocier d’ici le 1er septembre.Matignon a envoyé un document d’orientation à ce sujet aux partenaires sociaux, que l’AFP a pu consulter dimanche.Dans ce document révélé par le quotidien Les Echos, le gouvernement souhaite “porter en projet de loi de finances pour 2026 une mesure de suppression du caractère férié de deux jours, le lundi de Pâques et le 8 mai”, pour les salariés du secteur privé comme du public, ajoutant que le choix des deux jours concernés peut encore être “discuté”.”Les salariés mensualisés et les agents publics ne seront pas rémunérés davantage pour ces nouvelles heures de travail” et “en contrepartie, les employeurs du secteur privé s’acquitteront d’une contribution qui sera affectée au budget de l’Etat”, un dispositif calqué sur celui de la journée de solidarité.Le Premier ministre François Bayrou avait évoqué le 15 juillet la suppression de deux jours fériés pour participer à l’effort budgétaire.- “Effort demandé aux actifs” -“C’est un effort demandé aux actifs” qui doit “nous permettre de réduire notre déficit d’activité et de production”, souligne le chef du gouvernement dans une lettre accompagnant le document.Le gouvernement invite les partenaires sociaux à lui faire savoir “d’ici au 1er septembre” s’ils souhaitent engager une négociation, qui devra le cas échéant se conclure “au plus tard le 30 septembre”.Les modalités de la mise en œuvre de cette mesure, présentée comme un levier pour augmenter le volume annuel de travail, produire davantage et renforcer la compétitivité de la France, doivent encore être précisées.Il s’agira notamment de définir jusqu’où les entreprises peuvent disposer de flexibilité dans l’organisation de ces deux journées de travail supplémentaires, par exemple pour les salariés qui travaillent déjà le lundi de Pâques et le 8 mai. Le document envisage d'”éventuelles spécificités à prévoir pour l’Alsace, la Moselle et Saint-Pierre-et-Miquelon” où la loi de 1905 de séparation de l’Eglise et de l’Etat ne s’applique pas. “Le choix des jours fériés identifiés peut également être discuté” à condition que “le rendement de la mesure soit préservé”, selon le texte.- Remise en cause des acquis sociaux -Plus de 20 ans après la conversion du lundi de Pentecôte en “journée de solidarité”, travaillée mais non payée, la suppression programmée de deux autres jours fériés fait bondir les syndicats qui dénoncent “une volonté explicite de revenir sur 70 ans de luttes et d’acquis sociaux””L’article L1 du Code du Travail s’inscrit dans une volonté, par la négociation, de maintenir un équilibre et une cohésion au sein de la société. Avec une négociation supprimant deux jours fériés, le projet du gouvernement vise exactement l’inverse”, a réagi dans un communiqué l’intersyndicale (CGT, FO, CFDT, CFE-CGC, CFTC).Elles ont reçu le document d’orientation en même temps que la lettre de cadrage sur l’assurance chômage datée du 8 août, visant à atteindre “2 à 2,5 milliards d’euros” d’économies par an de 2026 à 2029.Cette nouvelle réforme intervient alors que les partenaires sociaux ont conclu un accord en novembre 2024, avec de nouvelles règles pour quatre ans, entrées en vigueur pour la plupart au 1er avril de cette année.Au micro de franceinfo, le secrétaire national de la CFDT, Olivier Guivarc’h a estimé dimanche que  “rien ne justifie que le gouvernement demande de renégocier six mois plus tard, ou même un an plus tard”.La décision de participer aux négociations sera “prise collectivement au cours du mois de septembre, sans doute lors de la première quinzaine”, a-t-il ajouté.Les organisations syndicales ont prévu de se réunir le 1er septembre pour définir ensemble “les moyens de réagir”.

Suppression de deux jours fériés: le gouvernement invite les partenaires sociaux à négocier

Le gouvernement a confirmé viser un rendement de 4,2 milliards d’euros dès 2026 pour le budget de l’État avec la suppression de deux jours fériés, et invite les partenaires sociaux à dire s’ils sont prêts à négocier d’ici le 1er septembre.Matignon a envoyé un document d’orientation à ce sujet aux partenaires sociaux, que l’AFP a pu consulter dimanche.Dans ce document révélé par le quotidien Les Echos, le gouvernement souhaite “porter en projet de loi de finances pour 2026 une mesure de suppression du caractère férié de deux jours, le lundi de Pâques et le 8 mai”, pour les salariés du secteur privé comme du public, ajoutant que le choix des deux jours concernés peut encore être “discuté”.”Les salariés mensualisés et les agents publics ne seront pas rémunérés davantage pour ces nouvelles heures de travail” et “en contrepartie, les employeurs du secteur privé s’acquitteront d’une contribution qui sera affectée au budget de l’Etat”, un dispositif calqué sur celui de la journée de solidarité.Le Premier ministre François Bayrou avait évoqué le 15 juillet la suppression de deux jours fériés pour participer à l’effort budgétaire.- “Effort demandé aux actifs” -“C’est un effort demandé aux actifs” qui doit “nous permettre de réduire notre déficit d’activité et de production”, souligne le chef du gouvernement dans une lettre accompagnant le document.Le gouvernement invite les partenaires sociaux à lui faire savoir “d’ici au 1er septembre” s’ils souhaitent engager une négociation, qui devra le cas échéant se conclure “au plus tard le 30 septembre”.Les modalités de la mise en œuvre de cette mesure, présentée comme un levier pour augmenter le volume annuel de travail, produire davantage et renforcer la compétitivité de la France, doivent encore être précisées.Il s’agira notamment de définir jusqu’où les entreprises peuvent disposer de flexibilité dans l’organisation de ces deux journées de travail supplémentaires, par exemple pour les salariés qui travaillent déjà le lundi de Pâques et le 8 mai. Le document envisage d'”éventuelles spécificités à prévoir pour l’Alsace, la Moselle et Saint-Pierre-et-Miquelon” où la loi de 1905 de séparation de l’Eglise et de l’Etat ne s’applique pas. “Le choix des jours fériés identifiés peut également être discuté” à condition que “le rendement de la mesure soit préservé”, selon le texte.- Remise en cause des acquis sociaux -Plus de 20 ans après la conversion du lundi de Pentecôte en “journée de solidarité”, travaillée mais non payée, la suppression programmée de deux autres jours fériés fait bondir les syndicats qui dénoncent “une volonté explicite de revenir sur 70 ans de luttes et d’acquis sociaux””L’article L1 du Code du Travail s’inscrit dans une volonté, par la négociation, de maintenir un équilibre et une cohésion au sein de la société. Avec une négociation supprimant deux jours fériés, le projet du gouvernement vise exactement l’inverse”, a réagi dans un communiqué l’intersyndicale (CGT, FO, CFDT, CFE-CGC, CFTC).Elles ont reçu le document d’orientation en même temps que la lettre de cadrage sur l’assurance chômage datée du 8 août, visant à atteindre “2 à 2,5 milliards d’euros” d’économies par an de 2026 à 2029.Cette nouvelle réforme intervient alors que les partenaires sociaux ont conclu un accord en novembre 2024, avec de nouvelles règles pour quatre ans, entrées en vigueur pour la plupart au 1er avril de cette année.Au micro de franceinfo, le secrétaire national de la CFDT, Olivier Guivarc’h a estimé dimanche que  “rien ne justifie que le gouvernement demande de renégocier six mois plus tard, ou même un an plus tard”.La décision de participer aux négociations sera “prise collectivement au cours du mois de septembre, sans doute lors de la première quinzaine”, a-t-il ajouté.Les organisations syndicales ont prévu de se réunir le 1er septembre pour définir ensemble “les moyens de réagir”.

Suppression de deux jours fériés: le gouvernement invite les partenaires sociaux à négocier

Le gouvernement a confirmé viser un rendement de 4,2 milliards d’euros dès 2026 pour le budget de l’État avec la suppression de deux jours fériés, et invite les partenaires sociaux à dire s’ils sont prêts à négocier d’ici le 1er septembre.Matignon a envoyé un document d’orientation à ce sujet aux partenaires sociaux, que l’AFP a pu consulter dimanche.Dans ce document révélé par le quotidien Les Echos, le gouvernement souhaite “porter en projet de loi de finances pour 2026 une mesure de suppression du caractère férié de deux jours, le lundi de Pâques et le 8 mai”, pour les salariés du secteur privé comme du public, ajoutant que le choix des deux jours concernés peut encore être “discuté”.”Les salariés mensualisés et les agents publics ne seront pas rémunérés davantage pour ces nouvelles heures de travail” et “en contrepartie, les employeurs du secteur privé s’acquitteront d’une contribution qui sera affectée au budget de l’Etat”, un dispositif calqué sur celui de la journée de solidarité.Le Premier ministre François Bayrou avait évoqué le 15 juillet la suppression de deux jours fériés pour participer à l’effort budgétaire.- “Effort demandé aux actifs” -“C’est un effort demandé aux actifs” qui doit “nous permettre de réduire notre déficit d’activité et de production”, souligne le chef du gouvernement dans une lettre accompagnant le document.Le gouvernement invite les partenaires sociaux à lui faire savoir “d’ici au 1er septembre” s’ils souhaitent engager une négociation, qui devra le cas échéant se conclure “au plus tard le 30 septembre”.Les modalités de la mise en œuvre de cette mesure, présentée comme un levier pour augmenter le volume annuel de travail, produire davantage et renforcer la compétitivité de la France, doivent encore être précisées.Il s’agira notamment de définir jusqu’où les entreprises peuvent disposer de flexibilité dans l’organisation de ces deux journées de travail supplémentaires, par exemple pour les salariés qui travaillent déjà le lundi de Pâques et le 8 mai. Le document envisage d'”éventuelles spécificités à prévoir pour l’Alsace, la Moselle et Saint-Pierre-et-Miquelon” où la loi de 1905 de séparation de l’Eglise et de l’Etat ne s’applique pas. “Le choix des jours fériés identifiés peut également être discuté” à condition que “le rendement de la mesure soit préservé”, selon le texte.- Remise en cause des acquis sociaux -Plus de 20 ans après la conversion du lundi de Pentecôte en “journée de solidarité”, travaillée mais non payée, la suppression programmée de deux autres jours fériés fait bondir les syndicats qui dénoncent “une volonté explicite de revenir sur 70 ans de luttes et d’acquis sociaux””L’article L1 du Code du Travail s’inscrit dans une volonté, par la négociation, de maintenir un équilibre et une cohésion au sein de la société. Avec une négociation supprimant deux jours fériés, le projet du gouvernement vise exactement l’inverse”, a réagi dans un communiqué l’intersyndicale (CGT, FO, CFDT, CFE-CGC, CFTC).Elles ont reçu le document d’orientation en même temps que la lettre de cadrage sur l’assurance chômage datée du 8 août, visant à atteindre “2 à 2,5 milliards d’euros” d’économies par an de 2026 à 2029.Cette nouvelle réforme intervient alors que les partenaires sociaux ont conclu un accord en novembre 2024, avec de nouvelles règles pour quatre ans, entrées en vigueur pour la plupart au 1er avril de cette année.Au micro de franceinfo, le secrétaire national de la CFDT, Olivier Guivarc’h a estimé dimanche que  “rien ne justifie que le gouvernement demande de renégocier six mois plus tard, ou même un an plus tard”.La décision de participer aux négociations sera “prise collectivement au cours du mois de septembre, sans doute lors de la première quinzaine”, a-t-il ajouté.Les organisations syndicales ont prévu de se réunir le 1er septembre pour définir ensemble “les moyens de réagir”.

L’incendie maîtrisé dans l’Aude, la surveillance reste de mise

L’incendie géant survenu mardi dans le massif des Corbières a été “maîtrisé” dimanche mais la surveillance reste de mise lundi pour éviter les réactivations dans le département placé en vigilance rouge canicule.”La surveillance restera étroite et renforcée dans les prochains jours”, a indiqué la préfecture de l’Aude dans un communiqué, dimanche en fin de journée.Météo-France a placé l’Aude lundi en vigilance rouge canicule, avec des températures prévues entre 38 et 40°C et un vent soufflant en rafales dans le massif des Corbières. Lundi matin, le vent est resté faible sur la commune de Lagrasse, à proximité des zones brûlées, a constaté une journaliste de l’AFP, mais les températures s’annoncent déjà chaude.Des renforts, comptant notamment 58 militaires, ont rejoint les Corbières lundi afin d’appuyer les pompiers qui poursuivent les actions contre les risques de réactivation du feu.  Le feu maîtrisé dimanche soir a parcouru 16.000 hectares dans cette zone de l’Aude touchée par la sécheresse, poussé par la tramontane avec des rafales de vents forts. Trente-six maisons ont été détruites, d’autres endommagées, et plus d’une vingtaine de hangars agricoles brûlés, sur les 3.000 bâtis qui ont été défendus par les pompiers, selon la préfecture de l’Aude. Une femme de 65 ans est morte dans sa maison, tandis qu’une habitante a été grièvement brûlée. Quatre autres personnes ont été légèrement blessées.Au journal L’Indépendant, la fille de la sexagénaire décédée a affirmé que sa mère n’avait pas été invitée à évacuer son logement, comme l’affirment les autorités. Une enquête sur ce décès est en cours.Dans les rangs des pompiers, 19 ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien.D’après les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a démarré sur le bord d’une route. Des investigations sont en cours pour déterminer les causes de l’incendie et d’établir d’éventuelles responsabilités.

L’incendie maîtrisé dans l’Aude, la surveillance reste de mise

L’incendie géant survenu mardi dans le massif des Corbières a été “maîtrisé” dimanche mais la surveillance reste de mise lundi pour éviter les réactivations dans le département placé en vigilance rouge canicule.”La surveillance restera étroite et renforcée dans les prochains jours”, a indiqué la préfecture de l’Aude dans un communiqué, dimanche en fin de journée.Météo-France a placé l’Aude lundi en vigilance rouge canicule, avec des températures prévues entre 38 et 40°C et un vent soufflant en rafales dans le massif des Corbières. Lundi matin, le vent est resté faible sur la commune de Lagrasse, à proximité des zones brûlées, a constaté une journaliste de l’AFP, mais les températures s’annoncent déjà chaude.Des renforts, comptant notamment 58 militaires, ont rejoint les Corbières lundi afin d’appuyer les pompiers qui poursuivent les actions contre les risques de réactivation du feu.  Le feu maîtrisé dimanche soir a parcouru 16.000 hectares dans cette zone de l’Aude touchée par la sécheresse, poussé par la tramontane avec des rafales de vents forts. Trente-six maisons ont été détruites, d’autres endommagées, et plus d’une vingtaine de hangars agricoles brûlés, sur les 3.000 bâtis qui ont été défendus par les pompiers, selon la préfecture de l’Aude. Une femme de 65 ans est morte dans sa maison, tandis qu’une habitante a été grièvement brûlée. Quatre autres personnes ont été légèrement blessées.Au journal L’Indépendant, la fille de la sexagénaire décédée a affirmé que sa mère n’avait pas été invitée à évacuer son logement, comme l’affirment les autorités. Une enquête sur ce décès est en cours.Dans les rangs des pompiers, 19 ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien.D’après les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a démarré sur le bord d’une route. Des investigations sont en cours pour déterminer les causes de l’incendie et d’établir d’éventuelles responsabilités.

L’incendie maîtrisé dans l’Aude, la surveillance reste de mise

L’incendie géant survenu mardi dans le massif des Corbières a été “maîtrisé” dimanche mais la surveillance reste de mise lundi pour éviter les réactivations dans le département placé en vigilance rouge canicule.”La surveillance restera étroite et renforcée dans les prochains jours”, a indiqué la préfecture de l’Aude dans un communiqué, dimanche en fin de journée.Météo-France a placé l’Aude lundi en vigilance rouge canicule, avec des températures prévues entre 38 et 40°C et un vent soufflant en rafales dans le massif des Corbières. Lundi matin, le vent est resté faible sur la commune de Lagrasse, à proximité des zones brûlées, a constaté une journaliste de l’AFP, mais les températures s’annoncent déjà chaude.Des renforts, comptant notamment 58 militaires, ont rejoint les Corbières lundi afin d’appuyer les pompiers qui poursuivent les actions contre les risques de réactivation du feu.  Le feu maîtrisé dimanche soir a parcouru 16.000 hectares dans cette zone de l’Aude touchée par la sécheresse, poussé par la tramontane avec des rafales de vents forts. Trente-six maisons ont été détruites, d’autres endommagées, et plus d’une vingtaine de hangars agricoles brûlés, sur les 3.000 bâtis qui ont été défendus par les pompiers, selon la préfecture de l’Aude. Une femme de 65 ans est morte dans sa maison, tandis qu’une habitante a été grièvement brûlée. Quatre autres personnes ont été légèrement blessées.Au journal L’Indépendant, la fille de la sexagénaire décédée a affirmé que sa mère n’avait pas été invitée à évacuer son logement, comme l’affirment les autorités. Une enquête sur ce décès est en cours.Dans les rangs des pompiers, 19 ont été blessés, dont un a subi un traumatisme crânien.D’après les premiers éléments de l’enquête, l’incendie a démarré sur le bord d’une route. Des investigations sont en cours pour déterminer les causes de l’incendie et d’établir d’éventuelles responsabilités.

Logements adaptés aux fortes chaleurs, les architectes regardent vers le passé

Pergolas fleuries en Provence, patios ombragés espagnols, carbets amérindiens… Ces structures traditionnelles sont très utiles pour se protéger du soleil et apporter un peu de fraîcheur, et intéressent de plus en plus les architectes en quête de solutions face au réchauffement climatique.”Il y a vraiment beaucoup d’exemples très intéressants” issus du passé pour rendre l’habitat plus confortable en cas de fortes chaleur, estime Cristiana Mazzoni, architecte et urbaniste. Professeure à l’École nationale supérieure d’architecture de Paris-Belleville (ENSAPB), elle a étudié l’architecture le long des anciennes Routes de la soie, qui traversent le continent asiatique de la Chine jusqu’au bassin méditerranéen, et particulièrement les “maisons à cour, patio ou loggia”. Dans une cour intérieure, “c’est l’ombre et la végétation qui apportent de la fraîcheur et comme elle est construite dans l’épaisseur du bâtiment”, les rayons du soleil ne chauffent pas directement les murs. “Souvent, il y a une fontaine ou un puits qui ramène l’eau des profondeurs, ce qui amène encore plus de fraîcheur”, détaille Cristiana Mazzoni. Ces cours intérieures sont caractéristiques des riads marocains, des maisons romaines (domus), des palais vénitiens, ou encore des demeures ottomanes à hall central couvert. “En continuant sur les Routes de la soie, on trouve des tours à vent”, les ancêtres écologiques de la climatisation, nombreuses en Iran, qui rafraîchissent les logements avec un système de ventilation naturelle. Ainsi que des “maisons en terre”, matériau très isolant, qui inspirent aujourd’hui de nombreux architectes, ajoute Cristiana Mazzoni. Autre exemple très répandu, la maison traditionnelle provençale est conçue de façon à se protéger du vent et du soleil avec notamment l’installation d’une treille côté sud. – “Renouvellement de pensée” -“On rentre dans une époque où l’on risque de donner beaucoup d’importance à l’hyper technologie”, au risque de “s’éloigner de l’humain”, souligne Cristiana Mazzoni, qui organisera en septembre un colloque pour rassembler les architectes autour de tous ces exemples d’architecture vernaculaire. “On construisait avec les matériaux à disposition et en fonction des climats et des façons de vivre”, rappelle Jacques Boulnois, architecte au cabinet BHPR et enseignant à l’université d’Orléans.Revenir aux savoir-faire ancestraux constitue “un renouvellement de pensée”, avec la prise en compte qu'”on ne peut plus tout faire” face au climat et qu’il “faut trouver une nouvelle architecture contemporaine”, estime-t-il. “Sans fioul ni électricité, ce n’était pas facile pour nos ancêtres, mais ils mettaient de l’intelligence”, appuie Jacques Boulnois. Des exemples de réutilisation moderne existent, comme rue de Meaux, dans le nord de Paris, où le célèbre architecte italien Renzo Piano, co-créateur du Centre Pompidou, a conçu en 1991 une vaste cour intérieure au milieu des logements sociaux qu’il a également dessinés. “Vous remarquerez la petite différence de deux degrés entre la rue et la cour” plantée de bouleaux et de chèvrefeuilles, note Colette, une habitante de longue date de la résidence.Exposée sud, elle ne ressent pas directement les bienfaits de la fraîcheur de la cour sur son logement, tout comme Ilan, 35 ans, qui souligne néanmoins qu’il ne fait “jamais des chaleurs étouffantes comme là où (il) habitait avant, un bâtiment du XIXe siècle”. Toujours à Paris, dans le quartier de la Chapelle, l’architecte française Françoise-Hélène Jourda a réhabilité en 2014 la halle Pajol, datant du début du XXe siècle, en intégrant un système de récupération d’eau de pluie, des panneaux solaires et un puits canadien (aussi appelé puits provençal) qui utilise la température du sol pour ventiler une maison avec de l’air plus chaud ou plus frais selon les saisons.”Pas de solution miracle” cependant, prévient Jacques Boulnois, pour qui il va falloir réfléchir à “rendre contemporains” ces savoirs, pas forcément adaptés à toutes les régions. Dans le cas des tours à vent iraniennes par exemple, “la ventilation naturelle” par les courants d’air est “extrêmement compliquée” à comprendre et à exploiter selon les endroits.