Foot: Rodrygo quitte l’entraînement du Real Madrid

L’attaquant brésilien du Real Madrid Rodrygo, dont les médias espagnols évoquent les velléités de départ, a quitté l’entraînement collectif mardi mais Carlo Ancelotti, entraîneur pour quelques semaines encore de la Maison Blanche, a minimisé l’affaire.”Rodrygo avait de la fièvre la semaine dernière, cela l’a empêché de revenir à son meilleur niveau, même s’il a essayé de serrer les dents. Tout à l’heure il a ressenti une douleur à la jambe, on doit l’évaluer pour voir ce qu’il a”, a dit l’entraîneur italien en conférence de presse.Sur des images filmées de l’entraînement, on voit l’attaquant brésilien, absent du groupe madrilène annoncé plus tard pour la rencontre face à Majorque mercredi (21h30), avoir une conversation avec son entraîneur puis quitter la séance en se tenant l’arrière de la cuisse gauche.”Le reste, ce ne sont que des spéculations, tout le monde ici a une affection spéciale pour Rodrygo, surtout moi”, a poursuivi Ancelotti, qui donnait l’une de ses dernières conférences de presse avant son départ pour le Brésil, où il prendra les rênes de la Seleçao le 26 mai prochain.L’avenir de l’attaquant de 24 ans, au Real depuis 2019 mais dans l’ombre des stars offensives du club (Kylian Mbappé, Vinicius Jr et Jude Bellingham), fait l’objet de nombreuses spéculations en Espagne.D’après le quotidien Marca, l’international brésilien ne veut plus jouer au Real et a même refusé de rentrer en jeu lors du “clasico” perdu 4-3 dimanche à Barcelone.Sorti à la mi-temps de la finale de la Coupe du roi, perdue face au Barça le 26 avril (3-2 après prolongation), Rodrygo n’a pas disputé une seule minute lors des deux derniers matches du Real en championnat. Il sera absent une nouvelle fois contre Majorque mercredi pour le compte de la 36e journée de Liga.A trois journées du terme de la saison, le Real compte sept points de retard sur le Barça, qui file vers un 28e titre.

La chanteuse Cassie attendue pour témoigner au procès de P. Diddy

La chanteuse Cassie, ancienne compagne de P. Diddy et témoin clé de l’accusation au procès pour trafic sexuel du magnat du hip-hop, est attendue mardi au tribunal de New York pour livrer sa vérité aux jurés.Au deuxième jour des débats, c’est l’un des témoignages les plus attendus lors de ce procès très médiatisé prévu pour durer environ deux mois devant la justice fédérale.En couple pendant des années avec le rappeur et producteur, Casandra Ventura avait déposé une plainte au civil retentissante pour violences et viol contre P. Diddy à l’automne 2023. Des poursuites immédiatement réglées à l’amiable mais qui ont été suivies de dizaines d’autres plaintes de femmes et d’hommes pour violences sexuelles contre l’icône du hip-hop de la “East Coast” des Etats-Unis.Plusieurs mois plus tard, une vidéo diffusée par CNN d’images captées par une caméra de vidéo surveillance dans un hôtel de Los Angeles, et que les jurés ont revu lundi dans la salle d’audience, montrait le rappeur avoir un comportement très violent avec la chanteuse en mars 2016. Simplement vêtu d’une serviette dans le couloir de l’hôtel, Diddy portait plusieurs coups à la chanteuse et la traînait au sol.- Liasse -“Elle (Cassie) répétait qu’elle voulait quitter (les lieux)”, a témoigné lundi devant les jurés l’agent de sécurité de l’hôtel qui est intervenu ce jour-là, Israel Florez. Il a aussi affirmé que le rappeur avait tenté de le soudoyer avec une grosse liasse de billets pour étouffer l’affaire.Un autre témoin, un strip-teaseur de 41 ans, a raconté en détails comment il était payé pour avoir des relations sexuelles avec la chanteuse en présence du rappeur, qui filmait parfois les scènes, en 2012 et 2013. Ces épisodes, qualifiés de “freak-offs”, sont au coeur du dossier, car P. Diddy est accusé d’avoir contraint des femmes à des marathons sexuels avec des travailleurs du sexe dont il menaçait de diffuser les vidéos si elles parlaient.P. Diddy, de son vrai nom Sean Combs, est jugé pour trafic à des fins d’exploitation sexuelle, transport de personnes à des fins de prostitution, ainsi que des actes d’enlèvement, corruption et de violences regroupés sous l’inculpation d’entreprise criminelle. Il risque la prison à vie.Artiste et producteur de hip-hop qui a lancé les carrières de la chanteuse Mary J. Blige ou du rappeur Notorious B.I.G., homme d’affaires à succès qui a fait fortune dans la mode et les alcools, il est aujourd’hui accusé d’avoir mis depuis au moins 2004 sa notoriété, sa richesse financière et son influence au service de ce trafic sexuel. D’autres femmes que Cassie sont attendues pour témoigner au procès.

US consumer inflation cooled in April to lowest level since 2021

US consumer inflation cooled slightly in April to reach its lowest level since February 2021, beating expectations as President Donald Trump’s sweeping “liberation day” tariffs came into effect.The data covers the early days of Trump’s new levies against most countries — including steep duties on China — which spooked financial markets and raised fears of a spike in prices. The US president has since reversed some of the duties and paused others, helping to soothe nervous investors. The consumer price index (CPI) eased to 2.3 percent in April from a year ago, a tick below the 2.4 percent figure recorded in March, the Labor Department said in a statement. This was the smallest 12-month increase since February 2021, and was slightly lower than the median estimate from surveys of economists conducted by Dow Jones Newswires and The Wall Street Journal.”This may be the low point in 2025,” Nationwide Senior Economist Ben Ayers wrote in a note shared with AFP. “As tariff costs increasingly flow into consumer prices, we expect a jump in the CPI this summer, pushing the annual reading back above three percent.”Inflation picked up to 0.2 percent from a month earlier, with “more than half” of the increase due to a 0.3 percent rise in shelter costs, according to the Labor Department.Excluding volatile food and energy costs, inflation increased 0.2 percent from a month earlier, and by 2.8 percent over the past 12 months.The monthly figure was slightly below expectations, while the annual figure was in line with forecasts. US stocks opened mixed on the news. – ‘Too early’ to tell -Despite the good news overall, there were nevertheless some signs of Trump’s tariffs in the data. The index for household furnishings and operations increased 1.0 percent in April after standing still in March, the Labor Department said. In a recent investor note, economists at Deutsche Bank had flagged that this data point would provide a good indication of how some “import-heavy categories” could be affected by tariffs.But, they added, it was still “too early for tariffs to be evident in the aggregate numbers.” The energy index — which fell sharply in March — increased 0.7 percent in April, according to the Labor Department, spurred by a sharp rise in natural gas and electricity prices. The gasoline index decreased 0.1 percent over the month on a seasonally-adjusted basis, and by 11.8 percent over the past 12 months.”And just like that, the markets’ twin fears — a tariff-induced recession and sticky inflation — have been greatly assuaged,” Northlight Asset Management chief investment officer Chris Zaccarelli said in a statement.”Fears of slowing growth and a recession caused by punitive tariffs drove markets lower in the first week of April,” he said. “But they’ve rebounded on the heels of a tariff pause and a Chinese trade breakthrough, and now a better-than-expected inflation report removes the last big overhang for the market.”The data will likely be well-received by the Federal Reserve as it weighs when to cut interest rates. Futures traders see a roughly 90 percent chance that it will extend its recent pause at the next rate decision in June, holding its benchmark lending rate at between 4.25 percent and 4.50 percent, according to data from CME Group.

Test final must trump IPL, says South Africa coachTue, 13 May 2025 13:40:35 GMT

Coach Shukri Conrad said on Tuesday that South Africa’s players must prioritise the World Test Championship final over the closing stages of the Indian Premier League.Conrad said there was an agreement that South Africa’s players would return from India on May 26 –- the day after the original date of the IPL final.This would enable …

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En Arabie saoudite, Trump promet de repartir avec de “nombreux chèques”

Donald Trump a vanté mardi les gros contrats attendus lors de sa visite en Arabie saoudite, où il a été reçu en grande pompe par le prince héritier et dirigeant de facto du royaume, dans le cadre d’une tournée dans le Golfe.  “Les plus grands chefs d’entreprise du monde sont ici aujourd’hui et ils vont repartir avec de nombreux chèques”, a déclaré le président américain à l’ouverture des discussions officielles entre les deux pays au palais royal à Ryad.  Aux “États-Unis, c’est probablement de deux millions d’emplois dont nous parlons”, a-t-il ajouté, en soulignant son entente avec le prince Mohammed ben Salmane, qui l’a accueilli en personne à son arrivée, après avoir fait escorter “Air Force One” par plusieurs avions de combat F-15 saoudiens pendant son approche. “Je pense vraiment que nous nous apprécions beaucoup”, a insisté M.Trump. Les deux hommes, tous sourires et visiblement à l’aise, s’étaient retrouvés après l’aéroport au fastueux palais royal pour une longue cérémonie de salutation des membres des deux délégations, suivie d’un déjeuner. Le président américain est accompagné des principaux membres de son cabinet ainsi que des grands patrons américains, notamment son conseiller Elon Musk vu dans un rare costume, en train de discuter avec le prince. Il se rendra par la suite au Qatar et dans les Emirats arabes unis.Si l’on excepte un aller-retour à Rome pour les funérailles du pape François, il s’agit du premier déplacement majeur à l’étranger depuis le début du second mandat. – Frénésie diplomatique -Huit ans plus tôt, Donald Trump avait déjà choisi le royaume saoudien pour son premier voyage international. La décision de faire passer à nouveau les riches monarchies pétrolières et gazières du Golfe avant ses alliés occidentaux reflète leur rôle géopolitique croissant et leur immense potentiel économique.La tournée devrait être marquée par des annonces de contrats mirobolants, de la défense à l’aviation, en passant par l’énergie ou l’intelligence artificielle.Une perspective bienvenue pour le président américain, qui peine à convaincre ses concitoyens du bien fondé de sa politique économique “L’Amérique d’abord”.En janvier, Mohammed ben Salmane, s’était engagé à injecter 600 milliards de dollars aux Etats-Unis, un chiffre que Donald Trump, adepte d’une diplomatie transactionnelle, lui a demandé de porter jusqu’au montant faramineux de 1.000 milliards.Mardi, tous deux participent à Ryad à un forum économique où doivent être signés certains des accords promis.Mais le républicain, qui se flatte de maîtriser l’art du “deal” diplomatique autant qu’économique, devra bien évidemment aborder avec tous ses hôtes les grands sujets régionaux. Ainsi l’Iran, avec qui les Américains mènent des négociations sur le nucléaire, face à des pays du Golfe désormais mieux disposés face à cette démarche.- Cadeau qatari -Mais aussi Gaza, où la situation humanitaire ne cesse d’empirer.Le président américain s’est entretenu mardi avec Edan Alexander, libéré la veille par le mouvement islamiste palestinien Hamas, a fait savoir sur X l’émissaire spécial pour la région, Steve Witkoff.Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a toutefois prévenu que l’armée israélienne entrerait “avec toute (sa) force” dans la bande de Gaza dans les jours à venir. Dans ce contexte, la normalisation des relations de l’Arabie saoudite avec Israël, un projet un temps cher à Donald Trump, semble exclue de l’agenda.Ryad assure en effet qu’aucun progrès n’est envisageable sans l’établissement d’un Etat palestinien, une perspective plus lointaine que jamais.Washington a également conclu un accord de cessez-le-feu avec les rebelles houthis au Yémen.Avant même d’avoir atterri dans le Golfe, Donald Trump s’est attiré de vives critiques de l’opposition aux Etats-Unis, qui lui reproche d’avoir accepté un Boeing 747-8 offert par la famille royale du Qatar pour remplacer au moins provisoirement son avion officiel, et pour l’utiliser après son mandat.Le président américain a répliqué que l’avion était un “cadeau temporaire”.