Ligue 1: le classique OM-PSG reporté, Monaco et Strasbourg enchaînent

Choc de la 5e journée de Ligue 1, le match entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain prévu dimanche soir à Marseille a été reporté à lundi en raison des intempéries, tandis que Strasbourg et Monaco sont sur les talons du PSG après avoir signé un quatrième succès.Traditionnel sommet du championnat de France, le duel entre le Paris SG, champion de France et d’Europe, et son vieux rival marseillais, a été reprogrammé lundi à 20h00 (18h00 GMT), par mesure de sécurité face aux fortes pluies prévues à Marseille.Le match entre le PSG, leader du championant handicapé par de nombreuses blessures (Ousmane Dembélé, Joao Neves, Bradley Barcola, Désiré Doué) et l’OM se déroulera donc en même temps que la cérémonie du Ballon d’Or, dont Dembélé est le grand favori.Le voisin parisien du PFC, après deux succès consécutifs a, lui, calé à domicile contre Strasbourg (3-2), en prenant une leçon de réalisme. Largement dominateurs, les coéquipiers de Pierre Lees-Melou, menés 2-0 à 20 minutes de la fin de la rencontre, ont été punis sur les rares occasions strasbourgeoises.Le match s’est alors emballé: après la réduction du score d’Ouhan Dicko, de la tête sur un beau centre d’Ilan Kebbal (81e), Emmanuel Emegha a redonné de l’avance aux Alsaciens (87e), vite annihilée par Alimami Gory (90e+1).En vain: grâce à ce quatrième succès en cinq rencontres, les Strasbourgeois prennent place au pied du podium, à égalité de points (12) avec le PSG, Lyon et Monaco, tandis que le club de la famille Arnault reste en milieu de tableau (11e).Quelques jours  après la claque subie à Bruges en Ligue des champions (défaite 4-1), Monaco s’est fait peur à domicile contre la lanterne rouge messinne, malgré un score flatteur (5-2), et pointe à la deuxième place derrière le PSG.Menés 1-0, puis accrochés 2-2 après avoir pris l’avantage au score, les Monégasques peuvent remercier leur attaquant Ansu Fati. Déjà buteur jeudi, l’Espagnol s’est fendu d’un doublé, en scorant dès son entrée en jeu (46e) puis en fin de match de la tête (83e), avant que Metz ne craque et n’encaisse deux buts supplémentaires.Le promu, qui n’a pas encore remporté un match, ne compte qu’un unique point, à trois longueur de Lorient (17e, 4 points), accroché au Havre (1-1) après avoir ouvert le score.Auxerre, qui restait sur une série de trois défaites, y a mis fin en battant de peu Toulouse (1-0) à l’Abbé-Deschamps. Réduits à dix après l’exclusion de Fredrik Oppegard pour un accrochage avec un Toulousain, les Auxerrois ont tenu pour s’offrir un peu d’air, en remontant à la dixième place.Neuvième, le TFC enchaîne lui un troisième revers après ceux contre le PSG et Lille.

Outcry after Trump urges Justice Department to charge his enemies

Top Democratic leaders on Sunday warned that President Donald Trump’s drive to go after his political opponents is putting America on a path to becoming a dictatorship and a “banana republic.”These dramatic statements came a day after Trump’s public call for the Justice Department to take action against perceived enemies and after prominent late-night talk show host Jimmy Kimmel was yanked off the air, following a threat from regulators loyal to Trump — among other aggressive Trump behavior that critics have described as authoritarian.Turning the Justice Department “into an instrument that goes after his enemies, whether they’re guilty or not… is the path to a dictatorship,” Senate Minority Leader Chuck Schumer Schumer said on CNN. “That’s what dictatorships do.”Connecticut Senator Chris Murphy, meanwhile, suggested that the United States was turning into a “banana republic.””The president of the United States is now employing the full power of the federal government, the FCC (Federal Communications Commission), the Department of Justice, in order to punish, lock up, take down off the air all of his political enemies,” Murphy said on ABC.”This is one of the most dangerous moments America has ever faced. We are quickly turning into a banana republic,” Murphy said.In a social media post on Saturday addressing “Pam” — apparently Attorney General Pam Bondi — Trump fumed over the lack of legal action against California Senator Adam Schiff and New York Attorney General Letitia James, both Democrats.Schiff and James are among a handful of people who have been accused by a close Trump ally, Federal Housing Finance Agency Director Bill Pulte, of falsifying documents on mortgage applications.”We can’t delay any longer, it’s killing our reputation and credibility,” Trump said.On Friday, Trump fired the federal prosecutor who was overseeing the probe into James, after the attorney reportedly insisted there was insufficient evidence to charge her with mortgage fraud.Erik Siebert, US attorney for the Eastern District of Virginia, told staff of his resignation via an email on Friday, the New York Times and other US media outlets reported.”I fired him, and there is a GREAT CASE, and many lawyers, and legal pundits, say so,” Trump said Saturday, apparently referencing the probe into James.On Friday, asked by a reporter to comment on the case, Trump said: “I am not following it very closely. It looks to me like she’s very guilty of something, but I really don’t know.”Former US Secretary of State and Trump’s White House challenger, Hillary Clinton, echoed Schumer’s criticism, calling his moves a “very dangerous turn in our politics.””What we’re hearing now from the White House and their supporters (is) that this may, you know, lead to even further political action, legal action, prosecutorial action, intimidation of all kinds,” Clinton said on CNN.Schiff and James have separately clashed with Trump, leading investigations that the Republican president alleges were political witch hunts.During Trump’s first term in the White House, Schiff, then a member of the US House, led the prosecution at the president’s first impeachment trial, which was based on allegations he pressured Ukraine to interfere in the 2020 election.After Trump left the White House, James brought a major civil fraud case against him, alleging he and his company had unlawfully inflated his wealth and manipulated the value of properties to obtain favorable bank loans or insurance terms. A state judge ordered Trump to pay $464 million in that suit, but a higher court later removed the financial penalty while upholding the underlying judgment.

Military-ruled Guinea votes on new constitutionSun, 21 Sep 2025 16:23:49 GMT

Guineans voted Sunday on a draft constitution that would pave the way for elections but also permit the junta leader who seized power four years ago to run for president.Boycotted by the opposition, the long-awaited vote opens the way for stalled elections in the West African nation.The country has been ruled by General Mamady Doumbouya …

Military-ruled Guinea votes on new constitutionSun, 21 Sep 2025 16:23:49 GMT Read More »

L1: Strasbourg retrouve Emegha et gagne au Paris FC

Strasbourg a récolté dimanche au Paris FC (3-2) une quatrième victoire en cinq journées de Ligue 1, grâce à son capitaine Emanuel Emegha, buteur et passeur, de retour de blessure et de fâcherie avec les ultras.Réconciliation. Entré pour la dernière demi-heure, le Néerlandais a offert au bout d’un contre le deuxième but à Guéla Doué (78) et a signé lui-même celui du 3-1 (87).Il a couru vers la tribune visiteurs en brandissant son maillot — ce qui lui a valu un avertissement — quand l’arbitre vidéo a confirmé que le troisième but du Racing était valable. La grande majorité des 900 Alsaciens ont scandé: “Emegha ! Emegha !”L’annonce de son transfert l’été prochain à Chelsea, le club partenaire, avait entraîné une crise interne au Racing: banderoles offensives des ultras contre lui et la multipropriété et réactions courroucées du président Marc Keller et de l’entraîneur Liam Rosenior.”Je ne pense pas qu’Emanuel soit facilement affecté, a commenté le technicien anglais. Il a été contrarié un temps, c’est sûr, mais ce qui est génial avec sa mentalité, c’est qu’il reste concentré sur son football.”Contre le PFC, Emegha “a été exceptionnel. Pour moi, rien n’a vraiment changé. Je ne veux pas que le bruit extérieur affecte mes joueurs. Il continue d’être performant et de marquer pour l’équipe”, a ajouté Rosenior.Le capitaine, qui a repris à Mamadou Sarr son brassard en remplaçant l’Argentin Joaquin Panichelli (60), n’avait plus joué depuis le match de barrages de Ligue Conférence à Brondby où il avait signé un doublé (victoire 3-2) avant de se blesser.- Fin de série pour Paris -Avant l’entrée en scène d’Emegha, le jeune Kendry Paez (18 ans) s’était habilement glissé entre Hamari Traoré et Samir Chergi pour reprendre d’une tête croisée un centre de Diego Moreira (27). Il s’agit du premier but en Ligue 1 du grand espoir sud-américain prêté par le grand-frère Chelsea.Grâce à eux et Guéla Doué, Strasbourg revient avec 12 points à la hauteur du Paris Saint-Germain, dont le choc à Marseille a été décalé à lundi (20h00) en raison des intempéries, et de Lyon.Le PFC en revanche voit sa série de deux victoires stoppée, et s’incline pour la première fois à Jean-Bouin, le stade qu’il partage avec le Stade Français.Pour la première, les bleu marine avaient renversé Metz (3-2), mais cette fois les buts de Nouha Dicko (81) et Alimami Gory (90+4) sont arrivés trop tard.L’entraîneur Stéphane Gilli voulait que le nouveau stade du PFC devienne “une forteresse”, mais ses joueurs ont trop manqué d’efficacité devant le but pour éviter la défaite.Willem Geubbels en particulier a manqué d’adresse, gâchant notamment une balle d’égalisation à trois mètres de la ligne (45+3), avant d’être remplacé à la pause par Gory pour “une petit douleur à l’adducteur”, a précisé Gilli.Ilan Kebbal, qui a reçu le trophée UNFP de meilleur joueur de L1 du mois d’août, a aussi manqué de précision et s’est parfois enfermé dans des actions solitaires.Le PFC reste en milieu de tableau (10e) en attendant les autres matches de dimanche.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Fin de la garde à vue de l’influenceur Jeremstar pour son action anticorrida

L’influenceur Jeremstar, arrêté vendredi soir après avoir fait irruption au milieu des arènes de Nîmes en pleine corrida, brandissant un tissu portant l’inscription “F*CK la CORRIDA”, est sorti de garde à vue dimanche, a annoncé à l’AFP le parquet de Nîmes.Il a reçu, ainsi que les deux autres participants à l’action de protestation, une convocation par officier de police judiciaire (COPJ), une mesure de convocation directe à une audience devant le tribunal, a ajouté le parquet sans préciser la date de cette audience.”Aussi éprouvantes qu’aient été les conditions de la garde à vue, elles ne sont rien comparées à ce que subissent les taureaux. Et si j’ai dû passer deux nuits en cellule pour me battre pour eux, je l’ai fait volontiers”, a déclaré à l’issue de sa garde à vue Jeremstar, Jérémy Gisclon de son vrai nom, dans une réaction transmise à l’AFP par l’association de défense des animaux Peta France, qui avait soutenu et organisé l’action.La corrida avait été brièvement interrompue vendredi à la suite de l’intrusion de l’influenceur. Les deux autres activistes avaient eux parcouru le couloir circulaire, le callejon, autour des arènes, vêtus d’un tee-shirt flanqué du mot corrida barré de rouge. Tous trois ont été expulsés des arènes par des agents de sécurité avant d’être placés en garde à vue “pour des faits d’intrusion dans une enceinte sportive troublant le déroulement de la compétition”.”Je déteste la corrida. Ce n’est pas de l’art mais de la torture animale. Cette tradition ignoble doit être abolie. Je ne comprends pas comment ce spectacle honteux est encore possible en 2025″, s’était justifié l’influenceur dans un post sur son compte Instagram aux 2,5 millions d’abonnés, accompagné de la vidéo de son action.