Trump administration threatens mass firings as shutdown looms

US President Donald Trump’s administration dramatically raised the stakes Thursday in a clash over a possible government funding shutdown, telling federal agencies to prepare for new mass firings if it goes ahead.The White House Office of Management and Budget (OMB) warned in a memo that it would go beyond the usual practice of temporary furloughs during previous shutdowns, where Congress cannot agree on spending plans.Republican Trump is in a tense showdown with congressional Democrats over federal funding ahead of a fiscal deadline of midnight on September 30, which would trigger a fresh political crisis in Washington.Democrats have rejected Republican proposals, unless some of the spending cuts are reversed and existing health care subsidies are extended.Trump blamed Democrats for the looming shutdown when asked about the plans to lay off federal workers.”Well, this is all caused by the Democrats. They asked us to do something that’s totally unreasonable,” Trump told reporters as he hosted Turkish President Recep Tayyip Erdogan in the Oval Office. Trump sought to wrestle the issue back to his core electoral message of a crackdown on migration, saying of the Democrats: “They want to give money away to illegals, people that entered our country illegally.”Democratic House Minority Leader Hakeem Jeffries earlier responded to threat of layoffs by telling the White House to “get lost.”Calling OMB chief Russ Vought a “malignant political hack,” Jeffries added on X: “We will not be intimidated by your threat to engage in mass firings.”A shutdown would see non-essential operations grind to a halt and hundreds of thousands of civil servants temporarily left without pay.- ‘Insane demands’ -But the White House memo, obtained by AFP, also said that that layoffs are on the cards.It said “agencies are directed to use this opportunity to consider Reduction in Force (RIF) notices for all employees” in areas of government bearing the brunt of a shutdown.The term “reduction in force” is the same that the Trump administration used during its large-scale firings under tycoon Elon Musk’s Department of Government Efficiency (DOGE) earlier this year.The White House also ordered agencies to submit their proposed staff reduction plans and inform employees.The memo blamed “insane demands” by Democrats and accused them of breaking what it called a 10-year trend of reaching bipartisan agreement to avoid shutdowns at the same time of year.Shutdown battles have become a regular feature of US politics under both Republican and Democratic administrations in an increasingly paralyzed and polarized Washington.Senate Democrats rejected a stopgap funding bill last week that was hurriedly passed by the Republican-controlled House of Representatives as it sought to avert a shutdown.Trump in turn cancelled a meeting on Tuesday with Democratic leaders in Congress, saying he would not meet with them until they “become realistic” with their demands.With both chambers on recess this week and senators not returning until Monday, the day before the deadline, time is running out to keep the US government funded after the end of the fiscal year.Republicans hold a narrow majority in both chambers of Congress but, due to Senate rules, have to get some opposition support.House Republicans warned on Friday that their members will not return before the funding deadline, forcing the Senate to vote again and accept their proposal or face a shutdown.The bill, if passed, would still only be a temporary fix funding federal agencies through November 21.Congress last faced a shutdown in March, when Republicans refused talks with Democrats over Trump’s massive budget cuts and the layoff of thousands of federal employees.

At UN, Ghana’s leader warns against normalizing anti-migrant ‘hatred’Thu, 25 Sep 2025 17:26:12 GMT

Ghana’s president spoke out Thursday against normalizing “hatred” toward migrants, days after his US counterpart Donald Trump gave a scathing speech to the United Nations demanding closed borders.Addressing the UN General Assembly, Ghanaian leader John Mahama said it was time to “dispense with the euphemisms and dog whistles and speak frankly” about Western leaders’ push …

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Dès 3 ans, une exposition aux écrans quotidienne, marquée par des inégalités sociales

Des écrans tôt, tous les jours, et un usage marqué par les inégalités sociales: une vaste étude publiée jeudi par Santé publique France dresse un panorama détaillé de l’exposition des enfants aux écrans, dont les effets néfastes suscitent des inquiétudes croissantes.Dans la tranche d’âge des 3-11 ans, les enfants de 3 à 5 ans passaient en moyenne 1h22 par jour devant les écrans en 2022, ceux de 6 à 8 ans 1h53 et ceux de 9 à 11 ans 2h33.Les jours sans école – davantage propices à un usage des écrans -, leur temps d’utilisation était “deux fois plus important”, observe l’agence sanitaire, qui s’appuie sur les données de l’Etude nationale sur le bien-être des enfants (Enabee) concernant 12.818 enfants de 3 à 11 ans scolarisés en maternelle et en élémentaire en France hexagonale.”Si les écrans peuvent offrir de nombreuses opportunités”, note l’agence, “leur utilisation excessive et leur impact sur la santé et le développement des enfants font l’objet de nombreuses préoccupations et recherches ces dernières années”.Des études récentes ont ainsi mis en évidence des liens entre la durée d’exposition aux écrans et l’obésité, les troubles du sommeil, ou encore les risques cardiovasculaires.Sur les bases du rapport “Enfants et écrans”, réalisé en 2024 par une commission d’experts à la demande de l’exécutif, le ministère de la Santé préconise l’absence d’exposition aux écrans avant 3 ans et un usage des écrans “exceptionnel, limité à des contenus de qualité éducative et toujours accompagné par un adulte” entre 3 et 6 ans.Selon l’enquête de Santé publique France, 15% des enfants de moins de 6 ans disposaient déjà d’une tablette, et 6,7% avaient un écran à disposition dans leur chambre.La télévision reste l’écran prédominant jusqu’à la fin de l’école élémentaire (71% du temps d’écran quotidien chez les 3-5 ans, 60% chez les 6-8 ans).Le reste des pratiques diffère selon l’âge et le sexe, confirme l’enquête. Ainsi, les garçons sont “davantage enclins à jouer aux consoles de jeux vidéo (à tous les âges)”, là où les filles “investissent davantage les smartphones” (à partir de 9 ans) et accèdent plus tôt aux réseaux sociaux.- “Des mesures à la hauteur” -En 2022, près d’un enfant de 11 ans sur deux possédait un smartphone avant l’entrée au collège.Alors que l’âge minimum pour s’inscrire sur les réseaux sociaux est de 13 ans en France, rappelle l’organisme, 25% des 9-11 ans et même 7% des 6-8 ans utilisaient des réseaux sociaux en 2022. Et, pour certains, il y auraient subi des moqueries ou humiliations.D’après une autre étude, présentée jeudi par l’Arcom, près d’un enfant sur deux (44%) utilise les réseaux sociaux avant 13 ans. Le régulateur de l’audiovisuel, inquiet de cette “forte exposition”, a appelé les plateformes à s’assurer du respect strict de l’âge minimal d’accès.Quid de la régulation parentale? Neuf parents sur dix ont déclaré encadrer le temps d’écran de leur enfant – la limitation étant plus fréquente chez les enfants présentant des temps d’écran plus faibles, selon SpF. Le contrôle des contenus apparaît plus limité: seuls 52% des parents d’enfants de 3-5 ans, 45% de ceux de 6-8 ans et 36% de ceux de 9-11 ans ont affirmé empêcher “souvent” leur enfant de consulter certains contenus.Pour Thomas Rohmer, directeur de l’Observatoire de la parentalité et de l’éducation numérique (Open), l’enjeu est désormais de “remettre les adultes au coeur d’un accompagnement éducatif” pour “contextualiser l’utilisation de l’écran et en amoindrir ses effets potentiellement négatifs”.Mais l’enquête confirme aussi le contraste des pratiques familiales, et surtout le poids des inégalités socio-économiques.Les enfants des familles les moins diplômées passaient ainsi davantage de temps devant les écrans et disposaient plus souvent d’appareils personnels, ou d’un écran dans leur chambre.”Ces écarts, observés dès la maternelle et qui se maintiennent avec l’âge, soulignent l’importance de renforcer les actions de promotion et de prévention en tenant compte des inégalités sociales”, ajoute SpF, jugeant aussi nécessaire des données complémentaires.Mais “les études se multiplient, en France et à l’étranger, notre mission a rendu son rapport il y a un an et demi: qu’attendent les pouvoirs publics pour prendre des mesures à la hauteur”, réagit auprès de l’AFP Servane Mouton, neurologue et coprésidente de la mission Enfants et écrans. 

Visé par le couple Sarkozy, Mediapart défend son travail d’investigation

Régulièrement mis en cause par Nicolas Sarkozy et encore pointé jeudi, le site d’investigation Mediapart a défendu son travail “indépendant”, détonateur de l’affaire sur des soupçons de financement libyen qui a valu à l’ancien président d’être condamné à cinq ans de prison avec incarcération prochaine.L’épouse de l’ancien président, Carla Bruni-Sarkozy, a arraché la protection en mousse (bonnette) d’un micro de Mediapart au sortir de la salle d’audience et l’a jetée à terre, a constaté l’AFP. “Ramenée indemne”, la bonnette “va bien”, ont ensuite rapporté avec ironie les journalistes sur leur site, photo à l’appui.Peu avant, Nicolas Sarkozy avait affirmé devant la presse que le document publié par Mediapart en 2012 et à l’origine de cette procédure – une note en arabe sur un accord pour appuyer la campagne du candidat à l’Elysée – était “un faux” aux yeux du tribunal.”Il n’y a aucun élément qui a permis de corroborer le contenu de la note, qui apparaissait déjà fragile” et “le plus probable est que ce document soit un faux”, a déclaré la présidente du tribunal.Selon Carine Fouteau, présidente de Mediapart et directrice de la publication, le propos est “étonnant” et “sans effet sur le jugement”. Elle a surtout fait valoir auprès de l’AFP l’ensemble du travail de la rédaction sur ce dossier. “Les attaques ont été rudes, médiatiques et politiques” tout au long de ces années et “cette décision de justice consacre l’importance d’une presse indépendante des pouvoirs”, a-t-elle souligné. Dans le détail, la note litigieuse a été publiée le 28 avril 2012 par Mediapart. L’ex-chef des services de renseignement extérieur de la Libye y fait état d’un “accord de principe” pour “appuyer la campagne électorale du candidat” Sarkozy “pour un montant d’une valeur de 50 millions d’euros”. Toujours attaqué par le camp Sarkozy, ce document a été l’objet d’une bataille judiciaire remportée par le site d’investigation.En janvier 2019, la Cour de cassation a validé définitivement le non-lieu ordonné en faveur de Mediapart et, sans pour autant dire qu’il s’agissait d’un vrai document, écarté l’accusation de “faux” martelée par Nicolas Sarkozy. L’ancien chef de l’Etat (2007-2012) a été relaxé jeudi pour les faits de corruption, mais reconnu coupable d’association de malfaiteurs. La justice a considéré qu’il avait “laissé ses proches collaborateurs et soutiens politiques sur lesquels il avait autorité” solliciter les autorités libyennes “afin d’obtenir ou tenter d’obtenir des soutiens financiers en Libye en vue d’obtenir le financement” de sa campagne de 2007.

Stocks downbeat ahead of key US data

Stock markets fell Thursday despite stronger-than-expected US economic growth data as investors await key inflation figures later this week.Morning trading on Wall Street deepened losses that began earlier this week as Federal Reserve chief Jerome Powell tempered expectations about the pace of interest-rate cuts.The US government revised its second-quarter economic growth rate upwards on Thursday to 3.8 percent from 3.3 percent, as consumers spent more than expected.But analysts are focused on Friday’s release of the Fed’s preferred gauge of inflation — the personal consumption expenditure (PCE) index — and next week’s non-farm payrolls report.”Despite today’s solid GDP results, this week’s major focus is on tomorrow’s PCE report,” said Bret Kenwell, US investment analyst at the trading platform eToro.”Active investors will want to see an in-line or lower inflation result, keeping the Fed on pace for two more rate cuts in 2025.”The US central bank — citing a weak labour market — last week announced its first rate reduction of the year, and forecast there could be two more by the end of 2025.But expectations were dealt a blow on Tuesday as Powell warned that stocks are “fairly highly valued” and that there was “no risk-free path” on rates.The PCE data “may also shift investor expectations over the speed and depth of additional easing measures from the US central bank”, said David Morrison, senior market analyst at financial services firm Trade Nation.Among individual stocks, Apple shares rose slightly even though the European Union rejected the US tech giant’s plea for the bloc to repeal its landmark digital competition law.In Europe, shares in German software giant SAP fell two percent after the EU launched an antitrust probe into the company.European stock markets were down at the close, including Zurich, which fell as the Swiss National Bank held rates at zero percent and warned that US tariffs were weighing on the economy.In Asia, major indices were mixed.- Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 45,978.42 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.6 percent at 6,601.15 New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.6 percent at 22,367.81 London (close) – FTSE 100: DOWN 0.4 percent at 9,213.98 Paris (close) – CAC 40: DOWN 0.4 percent at 7,795.42Frankfurt (close) – DAX: DOWN 0.6 percent at 23,534.83Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 45,754.93 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.1 percent at 26,484.68 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,853.30 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1676 from $1.1737 on WednesdayPound/dollar: DOWN at $1.3348 from $1.3445Dollar/yen: UP at 149.74 yen from 148.91 yenEuro/pound: UP at 87.50 pence from 87.29 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.4 percent at $68.19 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.5 percent at $64.65 per barreldan-bcp-lth-jxb/rlp