Un mineur de 16 ans tué par balle près d’Orléans, un suspect en garde à vue

Un mineur âgé de 16 ans a été tué par balle dans la nuit de vendredi à samedi sur la voie publique à Fleury-les-Aubrais, dans la banlieue d’Orléans (Loiret), et un suspect était en garde à vue samedi, a-t-on appris de sources concordantes.Les policiers avaient été appelés vers 02h25 pour un adolescent grièvement blessé par balle dans la rue. Malgré l’intervention des secours, il a succombé à ses blessures, a indiqué une source policière.D’après les premiers éléments de l’enquête, la victime faisait partie d’un groupe de cinq jeunes qui auraient commis des vols à la roulotte dans des véhicules garés dans cette zone résidentielle et “un riverain serait sorti pour les menacer avec une arme de poing”, a précisé à l’AFP Emmanuel Delorme, procureur de la République adjoint d’Orléans.Les jeunes auraient alors pris la fuite mais plusieurs coups de feu ont retenti, l’un d’eux touchant mortellement le mineur de 16 ans. Les quatre autres ont pu s’échapper et sont “très traumatisés”, a indiqué M. Delorme.Six étuis de munitions ont été retrouvés devant le domicile de l’auteur présumé, né en 2006, qui “a été placé en garde à vue pour meurtre, tentative de meurtre et détention d’arme de catégorie B”, a-t-il ajouté.Le suspect aurait reconnu en garde à vue être l’auteur des faits.

Pakistan rescuers recover bodies after monsoon rains kill 340

Rescuers were struggling to retrieve bodies from debris after flash floods triggered by heavy monsoon rains across northern Pakistan killed at least 344 people in the past 48 hours, authorities said on Saturday. The majority of deaths, 328, were reported in mountainous Khyber Pakhtunkhwa province, the Provincial Disaster Management Authority said.Most were killed in flash floods and collapsing houses, while at least 120 others were injured.One resident told AFP it felt like “the end of the world” was coming, as the ground shook with the force of the water. The provincial rescue agency told AFP that around 2,000 rescue workers were engaged in recovering bodies from the debris and carrying out relief operations in nine affected districts where rain was still hampering efforts.”Heavy rainfall, landslides in several areas, and washed-out roads are causing significant challenges in delivering aid, particularly in transporting heavy machinery and ambulances,” said Bilal Ahmed Faizi, spokesman for Khyber Pakhtunkhwa’s rescue agency.”Due to road closures in most areas, rescue workers are travelling on foot to conduct operations in remote regions,” he told AFP.”They are trying to evacuate survivors, but very few people are relocating due to the deaths of their relatives or loved ones being trapped in the debris.”The provincial government has declared the severely affected mountainous districts of Buner, Bajaur, Swat, Shangla, Mansehra and Battagram as disaster-hit areas.The meteorological department has issued a heavy rain alert for Pakistan’s northwest, urging people to take “precautionary measures”.Eleven more people were killed in Pakistan-administered Kashmir, while five died in the northern Gilgit-Baltistan region, the national disaster authority said.Another five people, including two pilots, were killed when a local government helicopter crashed due to bad weather during a relief mission on Friday.- ‘Reeling from profound trauma’ -The monsoon season brings South Asia about three-quarters of its annual rainfall, vital for agriculture and food security, but it also brings destruction.Landslides and flash floods are common during the season, which usually begins in June and eases by the end of September.Syed Muhammad Tayyab Shah, a representative of the national disaster agency, told AFP that this year’s monsoon season began earlier than usual and was expected to end later.”The next 15 days… the intensity of the monsoon will further exacerbate,” he said.In Buner district, where there have been dozens of deaths and injuries, resident Azizullah said he “thought it was doomsday”.”I heard a loud noise as if the mountain was sliding. I rushed outside and saw the entire area shaking, like it was the end of the world,” he told AFP. “The ground was trembling due to the force of the water, and it felt like death was staring me in the face.”In Bajaur, a tribal district abutting Afghanistan, a crowd gathered around an excavator digging through a mud-soaked hill.On Friday, funeral prayers began in a paddock nearby, with people grieving in front of several bodies covered by blankets.In the picturesque district of Swat, an AFP photographer saw roads submerged in muddy water, electricity poles grounded, and vehicles half-buried in mud.The torrential rains that have pounded Pakistan since the start of the summer monsoon, described as “unusual” by authorities, have killed more than 650 people, with more than 880 injured.In July, Punjab, home to nearly half of Pakistan’s 255 million people, recorded 73 percent more rainfall than the previous year and more deaths than in the entire previous monsoon.Pakistan is one of the world’s most vulnerable countries to the effects of climate change, and its population is contending with extreme weather events with increasing frequency.Monsoon floods in 2022 submerged a third of the country and killed around 1,700 people.Another villager in Buner told AFP residents kept on searching through the rubble overnight.”The entire area is reeling from profound trauma,” said 32-year-old schoolteacher Saifullah Khan.”We still have no clear idea who in this small village is alive and who is dead,” he added.”I help retrieve the bodies of the children I taught, I keep wondering what kind of trial nature has imposed on these kids.”

Après son sommet avec Poutine, Trump veut un plan de paix en Ukraine, plus de cessez-le-feu

Le président américain Donald Trump a exclu samedi un cessez-le-feu immédiat entre la Russie et l’Ukraine et réclame désormais directement un “accord de paix”, au lendemain de son sommet en Alaska avec son homologue russe Vladimir Poutine.Donald Trump avait assuré vouloir obtenir un cessez-le-feu en Ukraine avant ce sommet annoncé comme décisif vendredi, à l’issue duquel les deux dirigeants n’ont rien dévoilé de leurs discussions pour mettre fin à un conflit meurtrier qui dure depuis trois ans et demi.”Il a été jugé par tous que la meilleure façon de mettre fin à la guerre horrible entre la Russie et l’Ukraine est d’aller directement à un accord de paix, qui mettrait fin à la guerre, et non à un simple accord de cessez-le-feu, qui souvent ne tient pas,” a déclaré M. Trump sur son réseau Truth Social, une fois rentré à Washington.Il a également confirmé qu’il recevrait le président ukrainien Volodymyr Zelensky lundi après-midi à la Maison Blanche. “Si tout marche bien, nous programmerons alors une rencontre avec le président Poutine”, a ajouté Donald Trump, laissant envisager un sommet tripartite.M. Zelensky — qui n’avait pas été invité à Anchorage et souhaitait d’abord un accord de cessez-le-feu, comme les Européens — avait annoncé peu avant qu’il irait lundi rencontrer Donald Trump, et que celui-ci l’avait informé des “principaux points” de ses échanges avec son homologue russe. “Lundi, je rencontrerai le président Trump à Washington pour discuter de l’ensemble des détails pour mettre fin aux tueries et à la guerre”, a indiqué M. Zelensky sur X. “Je suis reconnaissant de l’invitation. Il est important que les Européens soient impliqués à chaque étape afin d’apporter des garanties de sécurité fiables, aux côtés des États-Unis”.Au cours de son vol retour d’Anchorage, M. Trump a eu un “long appel” avec M. Zelensky, selon sa porte-parole. Le président américain s’est également entretenu avec des dirigeants de l’Otan, a précisé la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt.Cet appel, auquel ont notamment participé la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte, a duré “un peu plus d’une heure”, selon une porte-parole de la Commission européenne. – “Nous n’y sommes pas” -Dans un communiqué commun, les dirigeants européens ont ensuite affirmé être “prêts à travailler avec MM. Trump et Zelensky en vue d’un sommet trilatéral, avec le soutien de l’Europe”, tout en maintenant la pression sur Moscou.”Nous continuerons à renforcer les sanctions et les mesures économiques ciblées pour peser sur l’économie de guerre de la Russie, jusqu’à l’établissement d’une paix juste et durable”, ont-ils déclaré.M. Macron a mis en garde contre “la propension” de la Russie “à ne pas tenir ses propres engagements”. Plus optimiste, M. Starmer a estimé que “les efforts” de M. Trump “nous rapprochent plus que jamais” de la fin de la guerre en Ukraine.Avant de quitter Anchorage, le président américain avait évoqué une réunion “très productive” et Vladimir Poutine un entretien “constructif”. Donald Trump a assuré pendant des déclarations conjointes à la presse qu’il restait “très peu” de points à régler pour trouver une issue à la guerre déclenchée par l’invasion russe de l’Ukraine. “L’un d’entre eux (ces points) est probablement le plus important”, a-t-il ajouté, mais sans préciser lequel.”Nous n’y sommes pas, mais nous avons fait des progrès. Il n’y a pas d’accord jusqu’à ce qu’il y ait un accord”, a averti le président des Etats-Unis.M. Trump s’était fixé pour ambition d’organiser très vite un sommet tripartite avec les chefs d’Etat russe et ukrainien, tout en décrochant un cessez-le-feu.  Dans un entretien sur la chaîne Fox News enregistré juste après les déclarations à la presse, Donald Trump a estimé qu’un accord pour mettre fin à la guerre “dépendait vraiment du président” ukrainien.- La guerre continue -Avec son homologue russe, le président américain n’a plus eu le ton quelque peu bravache d’avant la rencontre, lorsqu’il menaçait de claquer la porte en cas d’impasse.M. Trump, qui avait menacé la Russie de “conséquences très graves” si elle n’acceptait pas de mettre un terme à la guerre, a précisé ne plus envisager de mesures dans l’immédiat. “Vu comme cela s’est passé aujourd’hui, je ne pense pas que je doive penser à cela maintenant”, a-t-il déclaré.M. Poutine, sur la même tonalité engageante et cordiale, a dit espérer que “l’entente” trouvée en Alaska apporterait “la paix” en Ukraine.Avec ce sommet, Poutine signe un spectaculaire retour sur la scène internationale, alors que le conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale continue.L’armée russe a lancé 85 drones et un missile sur l’Ukraine pendant la nuit de vendredi à samedi, a affirmé Kiev, assurant en avoir abattu 61, dans les régions de Soumy (nord-est), Donetsk (est), Tcherniguiv (nord) et Dnipropetrovsk (centre-est).Parallèlement, les forces du Kremlin ont revendiqué samedi la prise de deux localités dans l’est de l’Ukraine, autre signe de la poursuite sans relâche des combats.aue-seb-lb-nr/aem/pt/bpi

Après son sommet avec Poutine, Trump veut un plan de paix en Ukraine, plus de cessez-le-feu

Le président américain Donald Trump a exclu samedi un cessez-le-feu immédiat entre la Russie et l’Ukraine et réclame désormais directement un “accord de paix”, au lendemain de son sommet en Alaska avec son homologue russe Vladimir Poutine.Donald Trump avait assuré vouloir obtenir un cessez-le-feu en Ukraine avant ce sommet annoncé comme décisif vendredi, à l’issue duquel les deux dirigeants n’ont rien dévoilé de leurs discussions pour mettre fin à un conflit meurtrier qui dure depuis trois ans et demi.”Il a été jugé par tous que la meilleure façon de mettre fin à la guerre horrible entre la Russie et l’Ukraine est d’aller directement à un accord de paix, qui mettrait fin à la guerre, et non à un simple accord de cessez-le-feu, qui souvent ne tient pas,” a déclaré M. Trump sur son réseau Truth Social, une fois rentré à Washington.Il a également confirmé qu’il recevrait le président ukrainien Volodymyr Zelensky lundi après-midi à la Maison Blanche. “Si tout marche bien, nous programmerons alors une rencontre avec le président Poutine”, a ajouté Donald Trump, laissant envisager un sommet tripartite.M. Zelensky — qui n’avait pas été invité à Anchorage et souhaitait d’abord un accord de cessez-le-feu, comme les Européens — avait annoncé peu avant qu’il irait lundi rencontrer Donald Trump, et que celui-ci l’avait informé des “principaux points” de ses échanges avec son homologue russe. “Lundi, je rencontrerai le président Trump à Washington pour discuter de l’ensemble des détails pour mettre fin aux tueries et à la guerre”, a indiqué M. Zelensky sur X. “Je suis reconnaissant de l’invitation. Il est important que les Européens soient impliqués à chaque étape afin d’apporter des garanties de sécurité fiables, aux côtés des États-Unis”.Au cours de son vol retour d’Anchorage, M. Trump a eu un “long appel” avec M. Zelensky, selon sa porte-parole. Le président américain s’est également entretenu avec des dirigeants de l’Otan, a précisé la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt.Cet appel, auquel ont notamment participé la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte, a duré “un peu plus d’une heure”, selon une porte-parole de la Commission européenne. – “Nous n’y sommes pas” -Dans un communiqué commun, les dirigeants européens ont ensuite affirmé être “prêts à travailler avec MM. Trump et Zelensky en vue d’un sommet trilatéral, avec le soutien de l’Europe”, tout en maintenant la pression sur Moscou.”Nous continuerons à renforcer les sanctions et les mesures économiques ciblées pour peser sur l’économie de guerre de la Russie, jusqu’à l’établissement d’une paix juste et durable”, ont-ils déclaré.M. Macron a mis en garde contre “la propension” de la Russie “à ne pas tenir ses propres engagements”. Plus optimiste, M. Starmer a estimé que “les efforts” de M. Trump “nous rapprochent plus que jamais” de la fin de la guerre en Ukraine.Avant de quitter Anchorage, le président américain avait évoqué une réunion “très productive” et Vladimir Poutine un entretien “constructif”. Donald Trump a assuré pendant des déclarations conjointes à la presse qu’il restait “très peu” de points à régler pour trouver une issue à la guerre déclenchée par l’invasion russe de l’Ukraine. “L’un d’entre eux (ces points) est probablement le plus important”, a-t-il ajouté, mais sans préciser lequel.”Nous n’y sommes pas, mais nous avons fait des progrès. Il n’y a pas d’accord jusqu’à ce qu’il y ait un accord”, a averti le président des Etats-Unis.M. Trump s’était fixé pour ambition d’organiser très vite un sommet tripartite avec les chefs d’Etat russe et ukrainien, tout en décrochant un cessez-le-feu.  Dans un entretien sur la chaîne Fox News enregistré juste après les déclarations à la presse, Donald Trump a estimé qu’un accord pour mettre fin à la guerre “dépendait vraiment du président” ukrainien.- La guerre continue -Avec son homologue russe, le président américain n’a plus eu le ton quelque peu bravache d’avant la rencontre, lorsqu’il menaçait de claquer la porte en cas d’impasse.M. Trump, qui avait menacé la Russie de “conséquences très graves” si elle n’acceptait pas de mettre un terme à la guerre, a précisé ne plus envisager de mesures dans l’immédiat. “Vu comme cela s’est passé aujourd’hui, je ne pense pas que je doive penser à cela maintenant”, a-t-il déclaré.M. Poutine, sur la même tonalité engageante et cordiale, a dit espérer que “l’entente” trouvée en Alaska apporterait “la paix” en Ukraine.Avec ce sommet, Poutine signe un spectaculaire retour sur la scène internationale, alors que le conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale continue.L’armée russe a lancé 85 drones et un missile sur l’Ukraine pendant la nuit de vendredi à samedi, a affirmé Kiev, assurant en avoir abattu 61, dans les régions de Soumy (nord-est), Donetsk (est), Tcherniguiv (nord) et Dnipropetrovsk (centre-est).Parallèlement, les forces du Kremlin ont revendiqué samedi la prise de deux localités dans l’est de l’Ukraine, autre signe de la poursuite sans relâche des combats.aue-seb-lb-nr/aem/pt/bpi

Hurricane Erin intensifies to category 3 storm as it nears Caribbean

Hurricane Erin strengthened rapidly to a Category 3 storm early Saturday as it churned towards the Caribbean, with a warning issued that flash floods and landslides were possible.The US National Hurricane Center (NHC) said the storm’s maximum sustained winds had increased to 120 miles (193 kilometers) per hour by 0900 GMT, making it a major hurricane.Erin, the first hurricane of the Atlantic season this year, was located about 170 miles (275 kilometers) northeast of Anguilla in the northern Leeward Islands, an area that includes the US and British Virgin Islands.”Continued rapid strengthening is expected, and Erin is forecast to become a Category 4 hurricane later today,” the NHC said in its latest bulletin on Saturday.Tropical storm watches remained in effect for St. Martin, St. Barthelmy and Sint Maarten, with tropical storm conditions possible within 12 hours.The NHC discontinued a tropical storm watch for Anguilla as the storm moved away from the island.The hurricane’s center is expected to move over the weekend just north of the northern Leeward Islands, the Virgin Islands and Puerto Rico.The storm could drench the islands with as much as six inches (15 centimeters) of rain in isolated areas, the NHC said.It also warned of “locally considerable flash and urban flooding, along with landslides or mudslides”. Swells generated by Erin will affect portions of the northern Leeward Islands, Virgin Islands, Puerto Rico, Hispaniola and the Turks and Caicos Islands through the weekend. Those swells will spread to the Bahamas, Bermuda and the US East Coast early next week, creating “life-threatening surf and rip currents,” the NHC said.The hurricane is forecast to turn northward by late Sunday. While meteorologists have expressed confidence that Erin will remain well off the US coastline, they said the storm could still cause dangerous waves and erosion in places such as North Carolina.The Atlantic hurricane season, which runs from June until late November, is expected to be more intense than normal, US meteorologists predict.Several powerful storms wreaked havoc in the region last year, including Hurricane Helene, which killed more than 200 people in the southeastern United States.The National Oceanic and Atmospheric Administration — which operates the NHC — has been subject to budget cuts and layoffs as part of President Donald Trump’s plans to greatly reduce the size of the federal bureaucracy, leading to fears of lapses in storm forecasting.Climate change — namely, rising sea temperatures caused by the burning of fossil fuels — has increased both the possibility of the development of more intense storms, and their more rapid intensification, scientists say.

Sommet Trump/Poutine: Macron appelle à la vigilance et à maintenir la pression sur Moscou

Le président français Emmanuel Macron a appelé samedi à maintenir “la pression” sur la Russie tant “qu’une paix solide et durable respectueuse des droits de l’Ukraine n’a pas été conclue”.Dans un message posté sur X après les différents contacts diplomatiques consécutifs au sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska, Emmanuel Macron a également jugé “essentiel de tirer toutes les leçons de ces 30 dernières années, et en particulier de la propension bien établie de la Russie à ne pas tenir ses propres engagements”.”Il est indispensable de continuer à soutenir l’Ukraine et de faire pression sur la Russie tant que sa guerre d’agression se poursuit et qu’une paix solide et durable respectueuse des droits de l’Ukraine n’a pas été conclue”, a-t-il écrit, en précisant que les leaders européens avaient poursuivi leurs échanges après leurs discussions avec le président américain Donald Trump samedi matin.Dans ce message, le président français salue également “la disponibilité des États-Unis” à contribuer aux garanties de sécurité pour l’Ukraine qui devront accompagner tout accord de paix.”Nous y travaillerons avec eux et avec tous nos partenaires de la Coalition des volontaires, avec qui nous nous réunirons prochainement à nouveau, pour avancer de manière concrète”, a-t-il précisé.Donald Trump a rendu compte aux Européens tôt samedi matin du contenu de ses discussions avec le président russe. Le président des Etats-Unis a fait savoir dans un message sur son réseau social Truth Social qu’il privilégiait désormais un accord de paix permettant de mettre fin à la guerre sans passer par l’étape d’un cessez-le-feu.

Corps retrouvés dans la Seine: une deuxième enquête pour homicide ouverte

Une deuxième enquête pour homicide a été ouverte concernant un des quatre cadavres retrouvés dans la Seine à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne) après des examens plus poussés qui ont révélé des traces de violences sur un autre corps, a indiqué samedi le parquet de Créteil.Des scanners pratiqués sur les quatre cadavres ont permis “d’apprendre qu’un deuxième corps présentait des lésions de violences”, indique le ministère public dans un communiqué.Mercredi, un corps flottant dans la Seine avait été repéré par un passant près du pont de Choisy, qui relie cette ville de banlieue à Créteil.En inspectant la zone, les sapeurs-pompiers et les forces de l’ordre avait découvert trois autres corps immergés.”La découverte de quatre corps immergés dans la Seine dans un périmètre restreint pourrait s’expliquer par la configuration du fleuve à cet endroit”, précise le parquet dans son communiqué.Le fleuve coule plus lentement à ce niveau, ce qui accroit les risques de noyade mais pourrait également expliquer que des corps noyés en amont soient charriés par le courant jusqu’à cette zone, estime une source proche du dossier qui n’exclut aucune hypothèse. Un premier corps, resté immergé moins longtemps, est désormais identifié. Il s’agit d'”un homme, âgé d’une quarantaine d’années et domicilié dans le Val-de-Marne”.Dès jeudi, “des lésions de violences ont conduit à retenir l’hypothèse d’un décès d’origine criminelle” et une enquête pour homicide volontaire avait été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne.Quant aux trois autres cadavres, y compris celui pour lequel la deuxième enquête a été ouverte, “eu égard à l’état très dégradé des corps retrouvés, du fait de leur immersion dans l’eau, il était seulement possible de déterminer que les défunts étaient trois hommes, adultes, sans plus de précision”.”De nombreux examens techniques (notamment médico-légaux) et investigations sont en cours afin notamment d’établir l’identité des trois défunts non identifiés, mais aussi les circonstances et la date de décès de l’ensemble des corps retrouvés”, ajoute le ministère public.

Trump seeks US-Russia-Ukraine summit after Putin meeting fails to secure ceasefire

US President Donald Trump failed to secure a Ukraine war ceasefire at a high-stakes summit with Russia’s President Vladimir Putin but insisted on Saturday that he would now target a full peace agreement to end the conflict.Three hours of talks between the White House and Kremlin leaders at an Alaska air base produced no breakthrough but Trump and European leaders said they wanted a new summit that includes Ukraine’s President Volodymyr Zelensky.Zelensky said he will now go to Washington on Monday while European leaders said they were ready to instensify sanctions against Russia after Trump briefed them on the summit and they held their own protracted talks.Trump remained upbeat about meeting Putin in a post on his Truth Social platform. “A great and very successful day in Alaska!,” he proclaimed, adding that European leaders backed his plan for a three-way meeting with Putin and Zelensky.”It was determined by all that the best way to end the horrific war between Russia and Ukraine is to go directly to a peace agreement, which would end the war, and not a mere ceasefire agreement, which often times do not hold up,” he added confirming his meeting with Zelensky on Monday.”If all works out, we will then schedule a meeting with President Putin. Potentially, millions of people’s lives will be saved.”  After the summit, Trump spoke first with Zelensky, the White House said. British Prime Minister Keir Starmer, French President Emmanuel Macron, German Chancellor Friedrich Merz, NATO Secretary General Mark Rutte and European Commission president Ursula von der Leyen later joined the call, officials said.The European leaders, who had been wary of being left out of the Alaska meeting, held their own talks on Saturday and said they supported the proposed three-way summit.”We are also ready to work with President Trump and President Zelensky towards a trilateral summit with European support,” they said in a joint statement that added that pressure must be maintained on Russia.”As long as the killing in Ukraine continues, we stand ready to uphold the pressure on Russia. We will continue to strengthen sanctions and wider economic measures to put pressure on Russia’s war economy until there is a just and lasting peace,” they said.Russia could not have a “veto” on Ukraine joining the European Union or NATO, they added.The war, that has killed tens of thousands and devastated much of Ukraine, went on despite the summit. Ukraine announced that Russia had launched 85 attack drones and a ballistic missile during the night. Russia said it had taken two more villages in Ukraine. Zelensky said Trump had laid out the “main points” of the summit and that he would go to the White House on Monday “to discuss all of the details regarding ending the killing and the war”. Trump and Putin emerged from their talks at a Cold War era air base to offer warm words at a press briefing but took no questions from reporters.”We’re not there yet, but we’ve made progress. There’s no deal until there’s a deal,” Trump said.He called the meeting “extremely productive” with “many points” agreed, but did not offer specifics.”There are just a very few that are left, some are not that significant, one is probably the most significant,” Trump said without elaborating.- ‘Next time in Moscow’ -Putin also spoke in general terms of cooperation at the joint press appearance that lasted just 12 minutes.”We hope that the understanding we have reached will… pave the way for peace in Ukraine,” Putin said.As Trump mused about a second meeting, Putin smiled and said in English: “Next time in Moscow”.The former KGB agent tried to flatter Trump, who has voiced admiration for the Russian leader in the past.Before the summit, Trump had warned of “severe consequences” if Russia did not accept a ceasefire. But when asked about those consequences during a Fox News interview after the talks, Trump said that “because of what happened today, I think I don’t have to think about that now”.- Putin warns Western allies -Trump, whose tone with Zelensky has changed since he berated the Ukrainian president at the White House in February, told Fox that “Now it’s really up to President Zelensky to get it done”.Trump could not get Russian agreement to get Zelensky into Friday’s talks. But Zelensky, who has rejected suggestions that Ukraine give up territory, said Saturday that he supported the American efforts.”It is important that America’s strength has an impact on the development of the situation,” he said.Putin warned Ukraine and European countries to “not create any obstacles” and not “make attempts to disrupt this emerging progress through provocation or behind-the-scenes intrigues”.- Battlefield gains -Russia in recent days has made battlefield gains that could strengthen Putin’s hand in any ceasefire negotiations.Although Ukraine announced as Putin was flying in that it had retaken several villages, Russia’s army on Saturday claimed the capture of Kolodyazi in Ukraine’s Donetsk region and Vorone in the neighbouring Dnipropetrovsk region.