Kenya admits role in kidnapping of Uganda opposition leaderWed, 21 May 2025 09:18:13 GMT

Kenya has admitted it assisted in the kidnapping of a Ugandan opposition leader on its soil last year as he appeared in court for the latest hearing of his treason trial on Wednesday.Kizza Besigye, 68, was abducted by armed men in the heart of the Kenyan capital Nairobi in November and re-emerged a few days …

Kenya admits role in kidnapping of Uganda opposition leaderWed, 21 May 2025 09:18:13 GMT Read More »

Transition énergétique: embauche électriciens de haut vol pour recâbler le Royaume-Uni

Perchés à 45 mètres de haut, de jeunes apprentis installent une nouvelle connexion au sommet d’un pylône. Ils font partie des recrues de National Grid, opérateur du réseau électrique britannique, qui embauche à tour de bras pour adapter ses infrastructures aux nouvelles énergies.Avec la multiplication des lieux de production, notamment pour l’éolien et le solaire, l’entreprise qui possède les pylônes et câbles à haute tension en Angleterre et au Pays de Galles dit mettre en oeuvre “la plus grande refonte du réseau électrique depuis des générations”.”C’est assez amusant et excitant de savoir que j’aurai un rôle à jouer pour relier au reste du Royaume-Uni” ces nouvelles sources d’énergie, lance dans un sourire Becky Hodgson, une apprentie de 25 ans, vêtue d’un chasuble orange fluo, un casque de chantier bleu vissé sur la tête.Au pied du grand pylône, dans le centre de formation de National Grid à Eakring, village du centre de l’Angleterre, elle fait défiler entre ses main la corde d’un treuil à l’avant d’une voiturette.Dans un bruit de moteur et de poulies, une passerelle suspendue se hisse vers ses camarades.- “Passionnée d’escalade” -La jeune fille vient du nord-est de l’Angleterre, non loin de Newcastle, et se réjouit de marcher dans les traces de son grand-père mineur de charbon, source d’énergie ancestrale du Royaume-Uni, abandonnée l’an passé pour la production d’électricité.Ce qui lui a plu, surtout, en voyant l’offre d’emploi de National Grid, c’est la perspective de grimper et de travailler en extérieur: “je suis passionnée d’escalade et d’aventure” et le poste de monteuse de lignes “cochait toutes les cases”, raconte-t-elle.National Grid prévoit d’investir 35 milliards de livres (42 milliards d’euros) d’ici 2031 pour transformer le réseau électrique du Royaume-Uni, l’un des pays les plus en avance sur les énergies renouvelables en Europe.L’installation de nouveaux pylônes, souvent privilégiés pour leurs coûts plus faibles par rapport aux câbles souterrains ou sous-marins fait grincer des dents parmi les riverains dans tout le pays.Mais face à une demande d’électricité en hausse et à la nécessité d’aller chercher l’énergie là où elle est produite, tout particulièrement dans les champs d’éoliennes offshore, “nous avons besoin de plus de câbles”, insiste Zac Richardson, ingénieur en chef chez National Grid.L’entreprise a vu le nombre de jours de formation s’envoler de 75% sur trois ans, tirés en grande partie par la croissance des effectifs.”Serons-nous capables de former suffisamment de personnel ? C’est un défi de taille”, reconnaît M. Richardson, mais “la main-d’oeuvre sera prête”.L’entreprise estime que 55.000 embauches seront nécessaires dans les années qui viennent, dans différents corps de métier, aussi bien dans ses rangs que chez ses partenaires et sous-traitants.- Explosion soudaine -Une sirène retentit soudain dans un poste de transformation, près de gros engins hérissés de parafoudres. Puis une explosion: c’est un essai de disjoncteur pyrotechnique, un dispositif qui permet de couper très rapidement un circuit haute tension.”Il faut se boucher les oreilles. C’est quelque chose qu’on sait quand on travaille dans un poste électrique”, s’amuse Lara Eken, 23 ans, venue se former aux fonctionnement de ces “systèmes techniques très complexes” qui eux aussi se multiplient au gré de l’expansion du réseau.Les câbles qui partent du grand pylône se perdent dans le lointain. Ils ne mènent nulle part: pour des raisons de sécurité, les installations d’entraînement sont déconnectées du réseau.L’apprentissage des monteurs de lignes dure trois ans. Tom Norris, leur formateur, est repérable à son casque rouge.”C’est la sécurité avant tout, donc on y va petit à petit. On les envoie d’abord juste grimper”, avant d’attaquer les choses plus compliquées, comme hisser du matériel dans les hauteurs, raconte-t-il.”Nous embauchons plus d’apprentis que jamais”, mais trouver de bonnes recrues n’est pas un problème: “nous avons toujours beaucoup de succès lors des journées de recrutement, nous pouvons choisir parmi un très grand nombre de bons candidats”.

Transition énergétique: embauche électriciens de haut vol pour recâbler le Royaume-Uni

Perchés à 45 mètres de haut, de jeunes apprentis installent une nouvelle connexion au sommet d’un pylône. Ils font partie des recrues de National Grid, opérateur du réseau électrique britannique, qui embauche à tour de bras pour adapter ses infrastructures aux nouvelles énergies.Avec la multiplication des lieux de production, notamment pour l’éolien et le solaire, l’entreprise qui possède les pylônes et câbles à haute tension en Angleterre et au Pays de Galles dit mettre en oeuvre “la plus grande refonte du réseau électrique depuis des générations”.”C’est assez amusant et excitant de savoir que j’aurai un rôle à jouer pour relier au reste du Royaume-Uni” ces nouvelles sources d’énergie, lance dans un sourire Becky Hodgson, une apprentie de 25 ans, vêtue d’un chasuble orange fluo, un casque de chantier bleu vissé sur la tête.Au pied du grand pylône, dans le centre de formation de National Grid à Eakring, village du centre de l’Angleterre, elle fait défiler entre ses main la corde d’un treuil à l’avant d’une voiturette.Dans un bruit de moteur et de poulies, une passerelle suspendue se hisse vers ses camarades.- “Passionnée d’escalade” -La jeune fille vient du nord-est de l’Angleterre, non loin de Newcastle, et se réjouit de marcher dans les traces de son grand-père mineur de charbon, source d’énergie ancestrale du Royaume-Uni, abandonnée l’an passé pour la production d’électricité.Ce qui lui a plu, surtout, en voyant l’offre d’emploi de National Grid, c’est la perspective de grimper et de travailler en extérieur: “je suis passionnée d’escalade et d’aventure” et le poste de monteuse de lignes “cochait toutes les cases”, raconte-t-elle.National Grid prévoit d’investir 35 milliards de livres (42 milliards d’euros) d’ici 2031 pour transformer le réseau électrique du Royaume-Uni, l’un des pays les plus en avance sur les énergies renouvelables en Europe.L’installation de nouveaux pylônes, souvent privilégiés pour leurs coûts plus faibles par rapport aux câbles souterrains ou sous-marins fait grincer des dents parmi les riverains dans tout le pays.Mais face à une demande d’électricité en hausse et à la nécessité d’aller chercher l’énergie là où elle est produite, tout particulièrement dans les champs d’éoliennes offshore, “nous avons besoin de plus de câbles”, insiste Zac Richardson, ingénieur en chef chez National Grid.L’entreprise a vu le nombre de jours de formation s’envoler de 75% sur trois ans, tirés en grande partie par la croissance des effectifs.”Serons-nous capables de former suffisamment de personnel ? C’est un défi de taille”, reconnaît M. Richardson, mais “la main-d’oeuvre sera prête”.L’entreprise estime que 55.000 embauches seront nécessaires dans les années qui viennent, dans différents corps de métier, aussi bien dans ses rangs que chez ses partenaires et sous-traitants.- Explosion soudaine -Une sirène retentit soudain dans un poste de transformation, près de gros engins hérissés de parafoudres. Puis une explosion: c’est un essai de disjoncteur pyrotechnique, un dispositif qui permet de couper très rapidement un circuit haute tension.”Il faut se boucher les oreilles. C’est quelque chose qu’on sait quand on travaille dans un poste électrique”, s’amuse Lara Eken, 23 ans, venue se former aux fonctionnement de ces “systèmes techniques très complexes” qui eux aussi se multiplient au gré de l’expansion du réseau.Les câbles qui partent du grand pylône se perdent dans le lointain. Ils ne mènent nulle part: pour des raisons de sécurité, les installations d’entraînement sont déconnectées du réseau.L’apprentissage des monteurs de lignes dure trois ans. Tom Norris, leur formateur, est repérable à son casque rouge.”C’est la sécurité avant tout, donc on y va petit à petit. On les envoie d’abord juste grimper”, avant d’attaquer les choses plus compliquées, comme hisser du matériel dans les hauteurs, raconte-t-il.”Nous embauchons plus d’apprentis que jamais”, mais trouver de bonnes recrues n’est pas un problème: “nous avons toujours beaucoup de succès lors des journées de recrutement, nous pouvons choisir parmi un très grand nombre de bons candidats”.

Transition énergétique: embauche électriciens de haut vol pour recâbler le Royaume-Uni

Perchés à 45 mètres de haut, de jeunes apprentis installent une nouvelle connexion au sommet d’un pylône. Ils font partie des recrues de National Grid, opérateur du réseau électrique britannique, qui embauche à tour de bras pour adapter ses infrastructures aux nouvelles énergies.Avec la multiplication des lieux de production, notamment pour l’éolien et le solaire, l’entreprise qui possède les pylônes et câbles à haute tension en Angleterre et au Pays de Galles dit mettre en oeuvre “la plus grande refonte du réseau électrique depuis des générations”.”C’est assez amusant et excitant de savoir que j’aurai un rôle à jouer pour relier au reste du Royaume-Uni” ces nouvelles sources d’énergie, lance dans un sourire Becky Hodgson, une apprentie de 25 ans, vêtue d’un chasuble orange fluo, un casque de chantier bleu vissé sur la tête.Au pied du grand pylône, dans le centre de formation de National Grid à Eakring, village du centre de l’Angleterre, elle fait défiler entre ses main la corde d’un treuil à l’avant d’une voiturette.Dans un bruit de moteur et de poulies, une passerelle suspendue se hisse vers ses camarades.- “Passionnée d’escalade” -La jeune fille vient du nord-est de l’Angleterre, non loin de Newcastle, et se réjouit de marcher dans les traces de son grand-père mineur de charbon, source d’énergie ancestrale du Royaume-Uni, abandonnée l’an passé pour la production d’électricité.Ce qui lui a plu, surtout, en voyant l’offre d’emploi de National Grid, c’est la perspective de grimper et de travailler en extérieur: “je suis passionnée d’escalade et d’aventure” et le poste de monteuse de lignes “cochait toutes les cases”, raconte-t-elle.National Grid prévoit d’investir 35 milliards de livres (42 milliards d’euros) d’ici 2031 pour transformer le réseau électrique du Royaume-Uni, l’un des pays les plus en avance sur les énergies renouvelables en Europe.L’installation de nouveaux pylônes, souvent privilégiés pour leurs coûts plus faibles par rapport aux câbles souterrains ou sous-marins fait grincer des dents parmi les riverains dans tout le pays.Mais face à une demande d’électricité en hausse et à la nécessité d’aller chercher l’énergie là où elle est produite, tout particulièrement dans les champs d’éoliennes offshore, “nous avons besoin de plus de câbles”, insiste Zac Richardson, ingénieur en chef chez National Grid.L’entreprise a vu le nombre de jours de formation s’envoler de 75% sur trois ans, tirés en grande partie par la croissance des effectifs.”Serons-nous capables de former suffisamment de personnel ? C’est un défi de taille”, reconnaît M. Richardson, mais “la main-d’oeuvre sera prête”.L’entreprise estime que 55.000 embauches seront nécessaires dans les années qui viennent, dans différents corps de métier, aussi bien dans ses rangs que chez ses partenaires et sous-traitants.- Explosion soudaine -Une sirène retentit soudain dans un poste de transformation, près de gros engins hérissés de parafoudres. Puis une explosion: c’est un essai de disjoncteur pyrotechnique, un dispositif qui permet de couper très rapidement un circuit haute tension.”Il faut se boucher les oreilles. C’est quelque chose qu’on sait quand on travaille dans un poste électrique”, s’amuse Lara Eken, 23 ans, venue se former aux fonctionnement de ces “systèmes techniques très complexes” qui eux aussi se multiplient au gré de l’expansion du réseau.Les câbles qui partent du grand pylône se perdent dans le lointain. Ils ne mènent nulle part: pour des raisons de sécurité, les installations d’entraînement sont déconnectées du réseau.L’apprentissage des monteurs de lignes dure trois ans. Tom Norris, leur formateur, est repérable à son casque rouge.”C’est la sécurité avant tout, donc on y va petit à petit. On les envoie d’abord juste grimper”, avant d’attaquer les choses plus compliquées, comme hisser du matériel dans les hauteurs, raconte-t-il.”Nous embauchons plus d’apprentis que jamais”, mais trouver de bonnes recrues n’est pas un problème: “nous avons toujours beaucoup de succès lors des journées de recrutement, nous pouvons choisir parmi un très grand nombre de bons candidats”.

ÃŽlots de chaleur urbains: plus de 5 millions d’habitants potentiellement exposés

Plus de cinq millions d’habitants vivent dans des quartiers particulièrement sensibles au phénomène d’îlot de chaleur urbain, selon une étude du Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) publiée mercredi.Ce phénomène se caractérise par des températures plus élevées en ville que dans les campagnes environnantes, en particulier la nuit et pendant les épisodes de canicule, avec des conséquences sur la santé.Selon le Cerema, plus de cinq millions d’habitants vivent dans des quartiers “à forte sensibilité aux fortes chaleurs” et plus de 200 km2 de zones bâties, soit deux fois la surface de la Ville de Paris, sont “à forte ou très forte sensibilité à l’effet d’îlot de chaleur” et demanderaient des “actions d’adaptation importantes”.Dans les villes de plus de 400.000 habitants, ces zones représentent “près de 20% des tissus urbanisés” et deux millions de personnes vivent dans des secteurs “à forte ou très forte sensibilité”, soit 50% de la population. Plus la taille de la ville décroît et plus le nombre de personnes concernées diminue.Dans les villes de 20.000 à 50.000 habitants, seuls 7% des habitants sont ainsi exposés. Le Cerema s’est appuyé sur des images satellites à très “haute résolution spatiale” ainsi que sur des bases de données ouvertes pour cartographier les “zones climatiques locales” (LCZ) et identifier les quartiers particulièrement exposés à la surchauffe urbaine. Au total, les 88 plus grandes aires urbaines de l’Hexagone sont couvertes, soit 44 millions d’habitants dans 12.000 communes.Le Cerema propose aux collectivités un service gratuit de pré-diagnostic de sensibilité des quartiers au phénomène d’îlot de chaleur, prévu par le Plan national d’adaptation au changement climatique. Cet outil permet de classer les zones urbaines en fonction de leur exposition potentielle, notamment dans le cadre de projets de renouvellement urbain, de la révision d’un plan local d’urbanisme intercommunal ou encore pour construire des plans d’adaptation au changement climatique.Selon Météo France, les cinq villes les plus exposées à ce phénomène sont Paris, Grenoble, Lille, Clermont-Ferrand et Lyon.

ÃŽlots de chaleur urbains: plus de 5 millions d’habitants potentiellement exposés

Plus de cinq millions d’habitants vivent dans des quartiers particulièrement sensibles au phénomène d’îlot de chaleur urbain, selon une étude du Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema) publiée mercredi.Ce phénomène se caractérise par des températures plus élevées en ville que dans les campagnes environnantes, en particulier la nuit et pendant les épisodes de canicule, avec des conséquences sur la santé.Selon le Cerema, plus de cinq millions d’habitants vivent dans des quartiers “à forte sensibilité aux fortes chaleurs” et plus de 200 km2 de zones bâties, soit deux fois la surface de la Ville de Paris, sont “à forte ou très forte sensibilité à l’effet d’îlot de chaleur” et demanderaient des “actions d’adaptation importantes”.Dans les villes de plus de 400.000 habitants, ces zones représentent “près de 20% des tissus urbanisés” et deux millions de personnes vivent dans des secteurs “à forte ou très forte sensibilité”, soit 50% de la population. Plus la taille de la ville décroît et plus le nombre de personnes concernées diminue.Dans les villes de 20.000 à 50.000 habitants, seuls 7% des habitants sont ainsi exposés. Le Cerema s’est appuyé sur des images satellites à très “haute résolution spatiale” ainsi que sur des bases de données ouvertes pour cartographier les “zones climatiques locales” (LCZ) et identifier les quartiers particulièrement exposés à la surchauffe urbaine. Au total, les 88 plus grandes aires urbaines de l’Hexagone sont couvertes, soit 44 millions d’habitants dans 12.000 communes.Le Cerema propose aux collectivités un service gratuit de pré-diagnostic de sensibilité des quartiers au phénomène d’îlot de chaleur, prévu par le Plan national d’adaptation au changement climatique. Cet outil permet de classer les zones urbaines en fonction de leur exposition potentielle, notamment dans le cadre de projets de renouvellement urbain, de la révision d’un plan local d’urbanisme intercommunal ou encore pour construire des plans d’adaptation au changement climatique.Selon Météo France, les cinq villes les plus exposées à ce phénomène sont Paris, Grenoble, Lille, Clermont-Ferrand et Lyon.

Retour progressif à la normale au Lavandou après les intempéries mortelles dans le Var

La situation revenait progressivement à la normale mercredi matin, au Lavandou, et les opérations de nettoyage se poursuivaient dans cette station littorale varoise, au lendemain des pluies torrentielles qui ont coûté la vie à trois personnes à travers le département, trois octogénaires.A Cavalière, le secteur du Lavandou le plus touché par un violent orage stationnaire mardi matin, le soleil est désormais revenu, mais la boue est encore omniprésente, ont constaté des journalistes de l’AFP.Côté infrastructures, la circulation a été rétablie sur la route côtière RD 559, a expliqué à l’AFP la préfecture du Var. Mais si le trafic a donc repris, c’est seulement en alternance et seulement pour les véhicules légers, les camions étant contraints de faire demi-tour, ont constaté des journalistes.Sur le secteur de Cavalière, 25 sapeurs-pompiers “a minima” seront encore présents mercredi, afin “d’effectuer des reconnaissances, des pompages, du nettoyage”, ont expliqué à l’AFP les pompiers du Var.Le principal souci mercredi matin, alors que l’électricité est désormais revenue pour tout le monde, est celui de l’alimentation en eau, qui ne devrait pas être rétablie avant dimanche, selon les autorités municipales, alors que la station d’épuration est hors service. Les habitants faisaient la queue sur la place du village, devant l’office de tourisme, pour venir récupérer des bouteilles d’eau minérale ou faire le plein à la fontaine, avec des bassines, des jerrycans ou de simples casseroles.Selon la ville, un camion-citerne de 25.000 litres d’eau potable devrait arriver très vite pour soulager les habitants.Si le paysage de la rue principale de Cavalière a déjà bien changé par rapport à mardi, quand le maire avait parlé de “scènes de guerre” pour décrire les dégâts causés par la vague qui a déferlé avec le ruisseau de la Quicule devenu un véritable torrent, les traces de boue étaient encore immanquables dans les rez-de-chaussée des habitations et des commerces.Et les dégâts sont parfois venus du ciel, comme dans cet hôtel dont le “rooftop” a été soudainement transformé en piscine mardi, provoquant des infiltrations dans plusieurs chambres de l’établissement.Le gérant d’une pizzeria voisine parlait lui d’au moins deux semaines de travail pour tout nettoyer et remettre en état.Les victimes des intempéries sont trois personnes âgées. Au Lavandou, il s’agit d’un couple: le corps de la femme, âgée de 84 ans, a été retrouvé dans des broussailles, puis celui de son époux de 85 ans, au large, dans la mer. Le troisième décès est celui d’une femme de 81 ans à Vidauban. 

India’s lion population rises by a third

India’s Asiatic lion population has increased by over a third to 891, according to a five-yearly census released on Wednesday, boosting efforts to conserve the vulnerable species.The Asiatic lion — which historically once roamed from the Middle East to India — is now reduced to an isolated population in a wildlife sanctuary in India’s western state of Gujarat.”The Asiatic lion population, which was 304 in 1995, has increased steadily over the past three decades,” Gujarat Chief Minister Bhupendra Patel told reporters. “In 2020 it was 674, which has now increased to 891.”The majestic big cats are slightly smaller than their African cousins, and have a fold of skin along their bellies.Hunting and human encroachment caused the population to plunge to just 20 by 1913, and the lions are now found only in Gujarat’s sprawling Gir wildlife sanctuary, where they roam dry deciduous forests and open grasslands.Following years of concerted government efforts, the lion population is steadily rising.The latest counting exercise, spread over four days, covered over 35,000 square kilometres (13,513 square miles) across 11 districts in the state.Priyavrat Gadhvi, a former member of the state wildlife board, said the increase indicated a successful conservation programme.”Another important factor here is the political will and support of the local people living near the forest areas,” Gadhvi said. “They together have helped in conservation of the species.”But while numbers are rising, the conservation organisation WWF warns that the Asiatic lion faces a “threat of genetic inbreeding arising from a single population in one place”.Lions are a source of pride for India, particularly in Gujarat’s Saurashtra region, where man and beast coexist.A cattle-rearing tribe lives among the animals in the sanctuary, and it is not uncommon to see a pride of lions crossing a highway in the region as motorists wait and watch. Lions are also a major tourist attraction, along with leopards, panthers and other big cats found in the sanctuary.Around 550,000 people visit the wildlife park each year, riding in open-top jeeps as they try to spot the predators prowling.Since the Asiatic lion currently exists as a single subpopulation, it is vulnerable to extinction from events such as an epidemic or a large forest fire.