Italie: Naples dans une nouvelle dimension avec De Bruyne

L’effet de surprise est dissipé et Naples est attendu au tournant lors de la saison 2025-26 de Serie A qui débute samedi, mais l’inattendu champion d’Italie 2025 est ambitieux comme en témoigne son mercato avec l’arrivée de Kevin De Bruyne.Après dix saisons à Manchester City où il a tout gagné, dont six titres de champion d’Angleterre et une Ligue des champions, De Bruyne est entré dans un nouveau monde.Il a découvert la passion débordante des Napolitains pour leur équipe de football, l’intransigeance, bien documentée, de son entraîneur Antonio Conte et un centre d’entraînement à dix mille lieues de celui, ultra-moderne et luxueux, de Manchester City.Mais si les vestiaires du centre d’entraînement de Castel Volturno sont rudimentaires et ses terrains, critiqués par Conte lui-même, ont failli conduire au départ du technicien italien en fin de saison, De Bruyne, 34 ans, n’a aucun doute.”Naples est le cadre idéal pour moi, c’est un club qui a de l’ambition et qui me permet de jouer au plus haut-niveau”, a-t-il martelé fin juillet.”Notre objectif, c’est d’être compétitif aussi bien en Ligue des champions qu’en championnat. Après avoir passé tant de temps en Premiere League, tout est nouveau pour moi, mais je suis confiant”, a assuré l’international belge (111 sélections, 31 buts).- Amis depuis leurs 13 ans -A Naples, De Bruyne retrouve son compatriote Romelu Lukaku, grand artisan du sacre 2025 avec l’Ecossais Scott McTominay, et joueur-fétiche d’Antonio Conte: “On se connaît depuis qu’on a 13 ans, cela va faciliter mon intégration et ma compréhension du football italien”.Mais il devra encore patienter avant de jouer avec l’attaquant de 32 ans, blessé à la cuisse gauche en match de préparation et qui pourrait être absent plusieurs mois selon la presse italienne.Pour Conte, vexé par ceux qui ont fait la fine bouche après l’annonce de l’arrivée du Belge, De Bruyne “a encore tellement à donner au football”: “C’est un joueur de grande qualité qui voit des choses que tant d’autres joueurs ne voient pas”.L’ancien sélectionneur de l’Italie, passé notamment par Chelsea et Tottenham, veut mettre fin à la “malédiction du champion”: depuis la fin de l’hégémonie de la Juventus, neuf titres consécutifs entre 2012 et 2020, aucun champion n’a réussi à conserver son titre.Mais contrairement à la saison 2024-25 où le Napoli, après un exercice 2023-24 calamiteux conclu en 10e position après avoir licencié deux entraîneurs, ne faisait pas partie des favoris avant de devancer l’Inter Milan d’un point, il est cette fois l’équipe à battre.”Nous sommes un favori parmi les favoris”, a balayé Conte.- Flirt avec la Juve -L’entraîneur qui a flirté en juin avec la Juventus Turin, son ancien club comme joueur puis entraîneur, a pu muscler son équipe qui jouera cette fois sur quatre tableaux, le championnat, la Ligue des champions, la Coupe d’Italie et la Supercoupe d’Italie.Outre De Bruyne, il a notamment récupéré deux Néerlandais, le défenseur de Bologne Sam Beukema (31 M EUR) et l’ailier du PSV Eindhoven Noa Lang (25 M EUR), le gardien serbe du Torino Vanja Milinkovic-Savic (21 M EUR) ou encore le jeune international italien de l’Udinese Lorenzo Lucca (35 M EUR).Ils ont découvert lors d’un stage dans le Haut-Adige la méthode Conte avec sa préparation physique éprouvante et sa rigueur tactique.Principal candidat pour contrarier Naples et Conte, l’Inter Milan, mais le vice-champion d’Italie et d’Europe est entré dans un nouveau cycle après le départ de Simone Inzaghi pour l’Arabie saoudite.Son successeur, Cristian Chivu, un ancien de la maison, n’a dirigé que 13 matches de Serie A, mais peut compter sur un groupe expérimenté, qui a toutefois fait son âge en fin de saison.Après une saison 2024-25 très décevante, la Juventus Turin (4e) et l’AC Milan (8e) doivent réagir, tandis que l’AS Rome, désormais entraîné par l’ex gourou de l’Atalanta Bergame Gian Piero Gasperini, et l’ambitieux Côme de Cesc Fabregas rêvent eux-aussi du podium.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

La “Caraïbe de Bavière” à son tour gagnée par le surtourisme

Bus pleins, parkings complets, route embouteillée: le Eibsee, un lac aux eaux turquoises des Alpes bavaroises, est à son tour gagné par une fréquentation touristique massive, la mairie appelant les visiteurs à faire preuve de plus de “responsabilité”.Lundi matin, 10h00, à la gare de Grainau. Environ 30 personnes attendent le bus pour le lac. Mais les navettes sont déjà pleines et un groupe doit attendre le prochain passage.Une seule route mène au lac. Et avec deux parkings également utilisés pour accéder au téléphérique du Zugspitze, point culminant de l’Allemagne, les places de stationnement libres sont rares.Résultat, un important embouteillage sur les derniers kilomètres.Avec ses eaux cristallines, ses îlots, ses denses forêt de sapins et ses sommets accrochés de nuages, la “Caraïbe de Bavière” – comme l’office de tourisme le surnomme – a vu sa notoriété s’accroître rapidement ces derniers mois sur les réseaux sociaux.Photos et vidéos prises dans son idyllique décor ont suscité des millions de vues.Cet enthousiasme rappelle celui suscité par la cité médiévale d’Hallstatt ou Annecy, surnommé la “Venise des Alpes”, deux villes alpines respectivement en Autriche et en France, touchées par le “surtourisme”, ce phénomène de saturation dont souffrent de nombreuses destinations prisées des voyageurs.”On ne pensait pas qu’il y aurait autant de monde, mais c’est vraiment super beau”, résume Clément, un touriste venu de Marseille qui visite la Bavière pour la première fois.”La couleur de l’eau est impressionnante: aussi claire et transparente, ce n’est pas souvent le cas dans les lacs”, abonde son amie Marion.Après avoir fait le tour du lac – 7,5 km avec leur enfant, que Clément porte sur le dos, ils retrouveront leur logement à Garmisch-Partenkirchen, la grande station de sports d’hiver voisine de Grainau.Presque dix fois moins grande en comparaison, Grainau enregistre depuis la pandémie de Covid-19 environ 620.000 nuitées par an, indique le maire adjoint Christian Andrä.Soit une moyenne quotidienne de 1.700 nuités, pour une ville de 3.600 habitants. La ville n’a pas d’estimation du nombre total de visiteurs, incluant ceux qui ne restent pas dormir sur place.- “Un match de football” -M. Andrä compare cette “forme de surtourisme” à un “grand évènement” tel “un match de football à Munich” ou une “sortie à l’Oktoberfest”, la traditionnelle fête de la bière.Les ruées vers le métro à la fin du match, Grainau les vit “sous une forme atténuée”, dit le maire adjoint.En cause, certains visiteurs qui “ignorent les panneaux” indiquant que les parkings sont pleins pour “finalement devoir faire demi-tour et aggraver le trafic”.Opposé à un système de barrières qui amènerait selon lui aux mêmes embouteillages, l’édile demande aux automobilistes de “faire preuve de responsabilité”. Venus en voiture pour passer la journée, Max et Yan ont mis près d’une heure et demie pour accéder au lac.”Je voulais absolument revenir ici” une deuxième fois, explique Max, 27 ans, venu de Stuttgart (sud-ouest).S’il y a “énormément de monde” pour Yan, qui habite Paderborn (centre), la destination reste “facilement accessible de Munich” et “un endroit fantastique pour passer une journée”.Outre la circulation difficile, Grainau doit supporter une “certaine surchage” en matière de ramassage des déchets, qui obligent à un traitement “quasi quotidien” des poubelles, souligne le maire adjoint.

La “Caraïbe de Bavière” à son tour gagnée par le surtourisme

Bus pleins, parkings complets, route embouteillée: le Eibsee, un lac aux eaux turquoises des Alpes bavaroises, est à son tour gagné par une fréquentation touristique massive, la mairie appelant les visiteurs à faire preuve de plus de “responsabilité”.Lundi matin, 10h00, à la gare de Grainau. Environ 30 personnes attendent le bus pour le lac. Mais les navettes sont déjà pleines et un groupe doit attendre le prochain passage.Une seule route mène au lac. Et avec deux parkings également utilisés pour accéder au téléphérique du Zugspitze, point culminant de l’Allemagne, les places de stationnement libres sont rares.Résultat, un important embouteillage sur les derniers kilomètres.Avec ses eaux cristallines, ses îlots, ses denses forêt de sapins et ses sommets accrochés de nuages, la “Caraïbe de Bavière” – comme l’office de tourisme le surnomme – a vu sa notoriété s’accroître rapidement ces derniers mois sur les réseaux sociaux.Photos et vidéos prises dans son idyllique décor ont suscité des millions de vues.Cet enthousiasme rappelle celui suscité par la cité médiévale d’Hallstatt ou Annecy, surnommé la “Venise des Alpes”, deux villes alpines respectivement en Autriche et en France, touchées par le “surtourisme”, ce phénomène de saturation dont souffrent de nombreuses destinations prisées des voyageurs.”On ne pensait pas qu’il y aurait autant de monde, mais c’est vraiment super beau”, résume Clément, un touriste venu de Marseille qui visite la Bavière pour la première fois.”La couleur de l’eau est impressionnante: aussi claire et transparente, ce n’est pas souvent le cas dans les lacs”, abonde son amie Marion.Après avoir fait le tour du lac – 7,5 km avec leur enfant, que Clément porte sur le dos, ils retrouveront leur logement à Garmisch-Partenkirchen, la grande station de sports d’hiver voisine de Grainau.Presque dix fois moins grande en comparaison, Grainau enregistre depuis la pandémie de Covid-19 environ 620.000 nuitées par an, indique le maire adjoint Christian Andrä.Soit une moyenne quotidienne de 1.700 nuités, pour une ville de 3.600 habitants. La ville n’a pas d’estimation du nombre total de visiteurs, incluant ceux qui ne restent pas dormir sur place.- “Un match de football” -M. Andrä compare cette “forme de surtourisme” à un “grand évènement” tel “un match de football à Munich” ou une “sortie à l’Oktoberfest”, la traditionnelle fête de la bière.Les ruées vers le métro à la fin du match, Grainau les vit “sous une forme atténuée”, dit le maire adjoint.En cause, certains visiteurs qui “ignorent les panneaux” indiquant que les parkings sont pleins pour “finalement devoir faire demi-tour et aggraver le trafic”.Opposé à un système de barrières qui amènerait selon lui aux mêmes embouteillages, l’édile demande aux automobilistes de “faire preuve de responsabilité”. Venus en voiture pour passer la journée, Max et Yan ont mis près d’une heure et demie pour accéder au lac.”Je voulais absolument revenir ici” une deuxième fois, explique Max, 27 ans, venu de Stuttgart (sud-ouest).S’il y a “énormément de monde” pour Yan, qui habite Paderborn (centre), la destination reste “facilement accessible de Munich” et “un endroit fantastique pour passer une journée”.Outre la circulation difficile, Grainau doit supporter une “certaine surchage” en matière de ramassage des déchets, qui obligent à un traitement “quasi quotidien” des poubelles, souligne le maire adjoint.

La rentrée de Radio France lundi menacée par une grève illimitée

A Radio France, la rentrée s’annonce agitée: vent debout contre des projets de réorganisation, les syndicats appellent à une grève illimitée à partir de lundi, qui pourrait perturber les antennes du groupe public, dont la matinale de France Inter, la première du pays.A la radio, les grilles de rentrée reprennent dès lundi, après la parenthèse estivale et avant celles des télévisions. La matinale d’Inter doit accueillir ce jour-là les premiers pas de sa recrue vedette, Benjamin Duhamel.Le transfuge de BFMTV rejoint la voix principale de la matinale, Nicolas Demorand, après le départ de Léa Salamé pour le 20h00 de France 2.Le préavis de grève illimitée a été déposé le 11 juillet par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA.Ils rejettent plusieurs réformes voulues par la patronne du groupe, Sibyle Veil. Parmi elles, l’arrêt de la radio Mouv’ sur la FM, des changements éditoriaux au sein d’Ici (ex-France Bleu, le réseau des radios locales publiques) et l’arrêt d’émissions d’investigation et de reportage.”Madame la présidente (…), pour la première fois de notre histoire récente, la rentrée radiophonique pourrait ne pas avoir lieu”, ont menacé les syndicats dans un communiqué commun jeudi.Des discussions menées vendredi avec la direction n’ont pas abouti à la levée du préavis.”Pour l’heure, la direction refuse la moindre concession ou de revenir sur les projets les plus néfastes pour les équipes et les antennes”, ont déploré les syndicats dans un communiqué vendredi soir.La direction du groupe a de son côté assuré samedi avoir “fait des propositions sur les différents sujets en cours de discussion, dans l’objectif d’une levée du préavis”. “Ceci n’ayant pas abouti ce jour, la direction se tient prête à la poursuite des négociations au plus vite: rendez-vous a été conjointement fixé lundi. Il y a, des deux côtés, une volonté de sortir de la situation au plus vite, dans l’intérêt des auditeurs”, a-t-elle poursuivi.Une première grève, très suivie, avait eu lieu du 26 au 29 juin. Elle avait immédiatement été suivie d’une deuxième, mais pour un motif différent. Il s’agissait de protester contre le projet de réforme de l’audiovisuel public porté par la ministre de la Culture, Rachida Dati. Il prévoit de créer une holding, France Médias, qui chapeauterait France Télévisions, Radio France et l’INA (Institut national de l’audiovisuel).Après un parcours parlementaire heurté, ce texte devrait revenir à l’Assemblée nationale à l’automne. Il a été adopté en juillet par le Sénat, où les débats ont été écourtés par le choix de la ministre d’employer l’arme constitutionnelle du vote bloqué.Selon les dernières mesures d’audience de Médiamétrie, publiées début juillet, Radio France a enregistré une saison 2024-2025 record sur plusieurs antennes et France Inter a augmenté son avance comme première radio du pays.

La rentrée de Radio France lundi menacée par une grève illimitée

A Radio France, la rentrée s’annonce agitée: vent debout contre des projets de réorganisation, les syndicats appellent à une grève illimitée à partir de lundi, qui pourrait perturber les antennes du groupe public, dont la matinale de France Inter, la première du pays.A la radio, les grilles de rentrée reprennent dès lundi, après la parenthèse estivale et avant celles des télévisions. La matinale d’Inter doit accueillir ce jour-là les premiers pas de sa recrue vedette, Benjamin Duhamel.Le transfuge de BFMTV rejoint la voix principale de la matinale, Nicolas Demorand, après le départ de Léa Salamé pour le 20h00 de France 2.Le préavis de grève illimitée a été déposé le 11 juillet par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA.Ils rejettent plusieurs réformes voulues par la patronne du groupe, Sibyle Veil. Parmi elles, l’arrêt de la radio Mouv’ sur la FM, des changements éditoriaux au sein d’Ici (ex-France Bleu, le réseau des radios locales publiques) et l’arrêt d’émissions d’investigation et de reportage.”Madame la présidente (…), pour la première fois de notre histoire récente, la rentrée radiophonique pourrait ne pas avoir lieu”, ont menacé les syndicats dans un communiqué commun jeudi.Des discussions menées vendredi avec la direction n’ont pas abouti à la levée du préavis.”Pour l’heure, la direction refuse la moindre concession ou de revenir sur les projets les plus néfastes pour les équipes et les antennes”, ont déploré les syndicats dans un communiqué vendredi soir.La direction du groupe a de son côté assuré samedi avoir “fait des propositions sur les différents sujets en cours de discussion, dans l’objectif d’une levée du préavis”. “Ceci n’ayant pas abouti ce jour, la direction se tient prête à la poursuite des négociations au plus vite: rendez-vous a été conjointement fixé lundi. Il y a, des deux côtés, une volonté de sortir de la situation au plus vite, dans l’intérêt des auditeurs”, a-t-elle poursuivi.Une première grève, très suivie, avait eu lieu du 26 au 29 juin. Elle avait immédiatement été suivie d’une deuxième, mais pour un motif différent. Il s’agissait de protester contre le projet de réforme de l’audiovisuel public porté par la ministre de la Culture, Rachida Dati. Il prévoit de créer une holding, France Médias, qui chapeauterait France Télévisions, Radio France et l’INA (Institut national de l’audiovisuel).Après un parcours parlementaire heurté, ce texte devrait revenir à l’Assemblée nationale à l’automne. Il a été adopté en juillet par le Sénat, où les débats ont été écourtés par le choix de la ministre d’employer l’arme constitutionnelle du vote bloqué.Selon les dernières mesures d’audience de Médiamétrie, publiées début juillet, Radio France a enregistré une saison 2024-2025 record sur plusieurs antennes et France Inter a augmenté son avance comme première radio du pays.

Rebrand of US culture ‘fixture’ Cracker Barrel sparks backlash

Cracker Barrel has a special place in the hearts of many Americans, offering homestyle American cuisine in a folksy “Old Country Store” setting complete with rocking chairs and occasional country music performances.But an attempt to rebrand the storied US chain has sparked a firestorm of opposition online and opened a new front in the culture wars around legacy brands seeking to update their corporate images. It has also hammered the company’s share price, wiping tens of millions of dollars off of its value, and dividing customers and staff.The chain, which has around 660 US branches, removed from its logo the stylized likeness of Uncle Herschel — the uncle of founder Dan Evins — who was shown sitting on a wooden chair in front of the eponymous barrel.President Donald Trump’s son Donald Jr. took to X to demand to know “WTF is wrong with Cracker barrel,” quoting a post by the “Woke War Room” account that claimed the chain had “scrapped a beloved American aesthetic and replaced it with sterile, soulless branding.”The new, simplified logo features just the text of the brand name in a rounded-off yellow hexagon.The furor is just the latest to engulf corporate America, following similar rows when high-end carmaker Jaguar re-branded, removing its iconic “leaping cat” emblem, drawing howls of indignation from core customers, critics and the political right.At the Cracker Barrel in Mount Arlington, New Jersey, a busy lunch rush largely bustled past the only sizable iteration of the new logo, behind the cash register, with the original still adorning old-timey signage, packaging and menus.”They’re taking away Mr Herschel! Am I gonna miss him? Maybe,” said a register operator in the large gift shop who declined to be named. “They’re making everything bland.”Her colleague, who was clearing tables, insisted: “Nothing’s changing — just the logo. The food is still the same, the menu is still the same.” – ‘Hair-trigger social media’ -Longtime customer Kathy Brondolo was visiting the branch with her husband as they were attending a wedding nearby and said the new logo “doesn’t make a difference — as long as we can see it from the road.””How can anybody be down on it? Life is change,” said the retired social worker, 67, as she and her husband sat on the chain’s signature rocking chairs. Inside the restaurant 45 miles (72 kilometers) west of Manhattan, diners ate vast platters of meatloaf and fried chicken, rounded off with buttermilk biscuits, surrounded by walls covered with antiques and hunting trophies.Marketing professor David Reibstein at the University of Pennsylvania’s Wharton School said “it is not unusual for a brand to do an occasional refresh. This was not a major shift either.””The traditions have broken for the traditionalists. Apparently, the issue is the core of Cracker Barrel’s customers are traditionalists and they tend to reside mostly in red, conservative states and these are most likely to react. It was almost seen as an abandonment of this segment.”Trump won in 74 percent of counties with a Cracker Barrel in 2024, according to elections analyst Dave Wasserman.Florida congressman Byron Donalds, a Republican candidate for state governor, wrote on X that he had worked in a Cracker Barrel and had even been baptized in the parking lot of one.”Their logo was iconic and their unique restaurants were a fixture of American culture. No one asked for this woke rebrand. It’s time to Make Cracker Barrel Great Again,” he said, echoing Trump’s “Make America Great Again” mantra.Marketing expert Tim Calkins wrote on his blog that “in a world with hair-trigger social media and commentators eager to stir up controversy to drive ratings, this is a dangerous area.” He advised that Cracker Barrel should “stick with the program” — even as the business contended with a share price down $7 to $54.40 on the week. “There is no question Cracker Barrel needs some changes and the current moves seem reasonable,” Calkins said. “People will likely move on when the next hot issue comes along.”

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Etats-Unis: cinq morts dans l’accident d’un autocar revenant des chutes du Nigara

Un autocar transportant une cinquantaine de touristes revenant des chutes du Niagara, parmi lesquels des enfants, s’est renversé vendredi sur une autoroute du nord de l’Etat de New York, faisant cinq morts et des dizaines de blessés.La plupart des passagers du véhicule sont d’origine indienne, philippine ou chinoise, a précisé la police de l’Etat.Les faits se sont déroulés près de Buffalo, à proximité de la frontière canadienne, dans la région des Grands Lacs.”On pense que le conducteur a été distrait, a perdu le contrôle, a surréagi” avant de finir sa course dans un fossé, a déclaré en début de soirée un responsable de la police de l’État de New York, Andre Ray, écartant a priori une défaillance mécanique ou une conduite sous substances toxiques.Parmi les nombreux blessés relevés sur place, aucun ne se trouve plus en danger de mort, a encore précisé le policier.Cinquante-quatre personnes se trouvaient à bord du bus lors de l’accident et aucun enfant ne figure parmi les morts, selon les médias américains. Six ressortissants chinois étaient dans le bus, selon la chaîne de télévision d’Etat CCTV citant le consulat chinois de New York. Cinq d’entre eux ont été légèrement blessés et un sixième a dû être opéré. – Hélicoptères  -“C’est un autocar de tourisme qui venait des chutes du Niagara en direction de ce que nous pensons être New York City, avec plus de 50 passagers à bord, des femmes, des enfants également”, avait déclaré plus tôt dans la journée James O’Callaghan, un porte-parole de la police de l’Etat.”L’autocar circulait vers l’est juste avant la sortie de Pembroke” lorsque le conducteur a “perdu le contrôle, est allé sur le terre-plein central (…) et a fini dans le fossé”, a-t-il poursuivi.Des traducteurs ont été envoyés sur place pour pouvoir communiquer avec les touristes blessés.Le chauffeur du bus, lui, est vivant et se “porte bien”, selon la police, qui l’a interrogé.Un responsable du centre hospitalier du comté d’Erié joint au téléphone par l’AFP, Peter Cutler, a fait état de 21 patients adultes transportés sur place. Un total de huit hélicoptères a été mobilisé pour transporter certains des blessés, selon Margaret Ferrentino, présidente de Mercy Flight (transports de secours), également contactée par l’AFP.Selon la chaîne NBC, aucun enfant ne figure parmi les morts.Sur place, les images relayées par les médias montraient un autocar couché sur le côté en bordure de route, très endommagé.Déplorant sur le réseau social X “un accident tragique”, la gouverneure de l’Etat Kathy Hochul a fait savoir que ses services se coordonnaient “étroitement avec la police de l’Etat de New York et les responsables locaux qui travaillent à secourir et fournir de l’assistance à toutes les personnes impliquées”.