A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

“On l’a eu”: l’assassin présumé de Charlie Kirk arrêté

Un homme soupçonné d’avoir assassiné l’influenceur conservateur Charlie Kirk a été arrêté après une chasse à l’homme effrénée, ont annoncé vendredi les autorités, deux jours après le meurtre du porte-drapeau de la jeunesse trumpiste qui a choqué des Etats-Unis profondément polarisés.L’arrestation a été annoncée vendredi matin par Donald Trump et confirmée par les autorités lors d’une conférence de presse à Orem, la ville de l’Utah où Charlie Kirk, 31 ans, a été assassiné d’une balle dans le cou mercredi lors d’un débat public sur un campus universitaire.”On l’a eu”, a lancé le gouverneur républicain de l’Utah, Spencer Cox, identifiant le suspect comme étant Tyler Robinson.Le directeur de la police fédérale (FBI) Kash Patel a expliqué que l’assassin présumé, âgé de 22 ans, avait été appréhendé jeudi soir vers 22h00 locales (04H00 GMT vendredi) après 33 heures de traque.Donald Trump a déclaré sur la chaîne Fox News que “quelqu’un de très proche” du tueur présumé “l’avait dénoncé”, ajoutant que le père du suspect lui-même ainsi qu’un pasteur avaient joué un rôle.Selon le gouverneur de l’Utah, un membre de la famille de Tyler Robinson a contacté une connaissance qui a démarché un membre des forces de l’ordre, pour dire que Robinson “s’était confié à eux ou avait laissé entendre qu’il était l’auteur du tir”.Les autorités, qui évoquaient un acte “ciblé” depuis le jour du drame, n’ont pas fourni de mobile à l’assassinat.Mais elles ont dit que des messages, parfois confus, avaient été écrits sur des munitions retrouvées, comme “Eh fasciste! Attrape ça!” ou “Oh Bella Ciao, Bella Ciao, Bella Ciao”, du nom de la célèbre chanson antifasciste italienne. Un autre dit: “Si tu lis ça, tu es gay LMAO (mort de rire en anglais, ndlr)”.La veille, le FBI avait publié plusieurs photos et vidéos du suspect montrant un jeune homme svelte, habillé d’un tee-shirt sombre orné d’un drapeau américain.Sur une vidéo, on voit une personne identifiée comme le suspect courant sur un toit après le tir et sautant avec adresse jusqu’au sol. On le voit ensuite disparaître dans une zone boisée, où les enquêteurs ont trouvé un fusil de chasse 30-06 Mauser.Les autorités avaient annoncé une récompense allant jusqu’à 100.000 dollars pour toute information utile. Jeudi soir, plus de 7.000 signalements avaient été reçus par la police.- “Martyr” -La dépouille de Charlie Kirk a été transporté jeudi dans l’avion du vice-président JD Vance vers Phoenix, dans l’Arizona, le siège de son association Turning point USA qu’il avait cofondée en 2012, à l’âge de 18 ans, et qui est devenue en une décennie le plus important groupe de jeunes conservateurs aux Etats-Unis.Originaire de la banlieue de Chicago, chrétien et défenseur du port d’armes à feu, ce père de deux enfants avait abandonné ses études très tôt pour se consacrer au militantisme.Depuis l’assassinat, l’influenceur et podcasteur trentenaire, très présent sur les réseaux sociaux avec des millions d’abonnés sur plusieurs plateformes, est qualifié de “martyr” par la droite américaine.Donald Trump, qui a prévu d’assister à ses funérailles, avait dès le jour du drame mis en cause la responsabilité de la “gauche radicale” avant d’appeler à la retenue.Mais vendredi sur Fox News, le président américain, lui-même visé par deux tentatives d’assassinat lors de la dernière campagne électorale, a lancé une attaque en règle contre les “extrémistes” de gauche et ses cibles de prédilection, dont l’ancien président Joe Biden et le milliardaire George Soros.Les Etats-Unis, un pays où il y a plus d’armes à feu en circulation que d’habitants, ont connu une recrudescence de la violence politique ces dernières années.Cette année déjà, Melissa Hortman, élue démocrate au Parlement du Minnesota, et son époux ont été tués et un autre élu local a été grièvement blessé.Sur le campus d’Orem, des centaines de personnes portant des casquettes rouges MAGA (“Make America great Again”, le slogan de Donald Trump) et tenant des drapeaux américains avaient priées jeudi soir en mémoire de Charlie Kirk.”Cela semble toujours insensé que cela soit arrivé”, a dit à l’AFP Jonathan Silva, 35 ans. “C’est totalement surréaliste”.

“On l’a eu”: l’assassin présumé de Charlie Kirk arrêté

Un homme soupçonné d’avoir assassiné l’influenceur conservateur Charlie Kirk a été arrêté après une chasse à l’homme effrénée, ont annoncé vendredi les autorités, deux jours après le meurtre du porte-drapeau de la jeunesse trumpiste qui a choqué des Etats-Unis profondément polarisés.L’arrestation a été annoncée vendredi matin par Donald Trump et confirmée par les autorités lors d’une conférence de presse à Orem, la ville de l’Utah où Charlie Kirk, 31 ans, a été assassiné d’une balle dans le cou mercredi lors d’un débat public sur un campus universitaire.”On l’a eu”, a lancé le gouverneur républicain de l’Utah, Spencer Cox, identifiant le suspect comme étant Tyler Robinson.Le directeur de la police fédérale (FBI) Kash Patel a expliqué que l’assassin présumé, âgé de 22 ans, avait été appréhendé jeudi soir vers 22h00 locales (04H00 GMT vendredi) après 33 heures de traque.Donald Trump a déclaré sur la chaîne Fox News que “quelqu’un de très proche” du tueur présumé “l’avait dénoncé”, ajoutant que le père du suspect lui-même ainsi qu’un pasteur avaient joué un rôle.Selon le gouverneur de l’Utah, un membre de la famille de Tyler Robinson a contacté une connaissance qui a démarché un membre des forces de l’ordre, pour dire que Robinson “s’était confié à eux ou avait laissé entendre qu’il était l’auteur du tir”.Les autorités, qui évoquaient un acte “ciblé” depuis le jour du drame, n’ont pas fourni de mobile à l’assassinat.Mais elles ont dit que des messages, parfois confus, avaient été écrits sur des munitions retrouvées, comme “Eh fasciste! Attrape ça!” ou “Oh Bella Ciao, Bella Ciao, Bella Ciao”, du nom de la célèbre chanson antifasciste italienne. Un autre dit: “Si tu lis ça, tu es gay LMAO (mort de rire en anglais, ndlr)”.La veille, le FBI avait publié plusieurs photos et vidéos du suspect montrant un jeune homme svelte, habillé d’un tee-shirt sombre orné d’un drapeau américain.Sur une vidéo, on voit une personne identifiée comme le suspect courant sur un toit après le tir et sautant avec adresse jusqu’au sol. On le voit ensuite disparaître dans une zone boisée, où les enquêteurs ont trouvé un fusil de chasse 30-06 Mauser.Les autorités avaient annoncé une récompense allant jusqu’à 100.000 dollars pour toute information utile. Jeudi soir, plus de 7.000 signalements avaient été reçus par la police.- “Martyr” -La dépouille de Charlie Kirk a été transporté jeudi dans l’avion du vice-président JD Vance vers Phoenix, dans l’Arizona, le siège de son association Turning point USA qu’il avait cofondée en 2012, à l’âge de 18 ans, et qui est devenue en une décennie le plus important groupe de jeunes conservateurs aux Etats-Unis.Originaire de la banlieue de Chicago, chrétien et défenseur du port d’armes à feu, ce père de deux enfants avait abandonné ses études très tôt pour se consacrer au militantisme.Depuis l’assassinat, l’influenceur et podcasteur trentenaire, très présent sur les réseaux sociaux avec des millions d’abonnés sur plusieurs plateformes, est qualifié de “martyr” par la droite américaine.Donald Trump, qui a prévu d’assister à ses funérailles, avait dès le jour du drame mis en cause la responsabilité de la “gauche radicale” avant d’appeler à la retenue.Mais vendredi sur Fox News, le président américain, lui-même visé par deux tentatives d’assassinat lors de la dernière campagne électorale, a lancé une attaque en règle contre les “extrémistes” de gauche et ses cibles de prédilection, dont l’ancien président Joe Biden et le milliardaire George Soros.Les Etats-Unis, un pays où il y a plus d’armes à feu en circulation que d’habitants, ont connu une recrudescence de la violence politique ces dernières années.Cette année déjà, Melissa Hortman, élue démocrate au Parlement du Minnesota, et son époux ont été tués et un autre élu local a été grièvement blessé.Sur le campus d’Orem, des centaines de personnes portant des casquettes rouges MAGA (“Make America great Again”, le slogan de Donald Trump) et tenant des drapeaux américains avaient priées jeudi soir en mémoire de Charlie Kirk.”Cela semble toujours insensé que cela soit arrivé”, a dit à l’AFP Jonathan Silva, 35 ans. “C’est totalement surréaliste”.

Les partenaires sociaux à Matignon, l’attente de “rupture” et la mobilisation du 18 en toile de fond

Le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a commencé à consulter les partenaires sociaux, à moins d’une semaine de la mobilisation intersyndicale du 18: comme les oppositions, la CFDT qui a ouvert le bal, a réclamé des preuves de “rupture” avec les orientations budgétaires du gouvernement sortant.  Si la secrétaire générale du premier syndicat français a trouvé Sébastien Lecornu “à l’écoute”, Marylise Léon a profité de cet entretien pour réaffirmer sa ferme opposition à la suppression de deux jours fériés et à la relance du conclave sur les retraites, une idée “définitivement enterrée” par la CFDT, a-t-elle dit en sortant de Matignon à la mi-journée.”Il n’y a pas eu de terrain d’atterrissage au moment de la fin du conclave, donc on ne reprend pas les discussions”, a-t-elle résumé, à l’issue d’une heure et demie de discussions.Alors que le nouveau Premier ministre a prôné des “des ruptures” sur la forme et le fond, la suppression des deux jours fériés, la plus inflammable des mesures d’économie annoncées par François Bayrou cet été, pourrait être abandonnée. Le nouveau locataire de Matignon “a dit qu’il répondrait sur ce sujet prochainement”, a sobrement dit Marylise Léon à la presse.Y aura-t-il une reprise dans un autre cadre que le conclave des négociations sur la réforme des retraites ? Selon elle, Sébastien Lecornu “n’a pas donné de position sur ce qu’il allait donner comme suite sur le sujet des retraites”.La CFDT est l’un des trois syndicats à avoir discuté jusqu’au terme du conclave lancé par François Bayrou, pour tenter d’amender l’impopulaire réforme des retraites de 2023. Les négociations avaient pris fin sur un constat de désaccord avec le patronat concernant les modalités de prise en compte de la pénibilité.- Avant ou après le 18 -Les rencontres bilatérales à Matignon doivent se poursuivre avec le président du Medef vendredi à 19H45, avant la CGT, la CFTC et la CFE-CGC lundi et les deux organisations patronales CPME et U2P, lundi et mardi. Le chef de file de FO, Frédéric Souillot, a quant à lui accepté de rencontrer M. Lecornu mais après le 18 septembre, date de la journée intersyndicale de grèves et manifestations.Elle mettra à nouveau les autorités sous pression, après la participation de 197.000 personnes, selon le ministère de l’Intérieur, à la journée du 10 pour demander la fin de l’austérité budgétaire, l’abrogation de la réforme des retraites ou encore plus de justice fiscale.La cheffe de file de la CGT Sophie Binet a appelé de ses vœux “encore plus de manifestations et de grèves” le 18 que le 10. “Nous avons réaffirmé que nous étions plus que jamais motivés pour aller dans la rue et que nous réussirons la mobilisation du 18 septembre”, a assuré Marylise Léon vendredi.  Le Premier ministre “n’a pas démenti qu’il pourrait y avoir un certain nombre (…) de travaux, sur une contribution des plus hauts revenus”, selon des modalités encore floues, a-t-elle évoqué, tout en demandant des “preuves” de la “rupture”.Côté politique, le secrétaire national du PCF Fabien Roussel a expliqué vendredi lors de la Fête de l’Humanité que son parti ne censurerait pas Sébastien Lecornu “a priori” mais qu’il le ferait “sans marque profonde d’un changement de politique”, disant lui avoir fait “des demandes sur l’augmentation des salaires, l’abrogation de la réforme des retraites et la diminution des aides accordées aux grosses entreprises”. Le PS propose, lui, de revenir sur la réforme des retraites et de mettre en place une taxe Zucman sur les plus hauts patrimoines, deux lignes rouges pour le bloc central.Le numéro un de la CFTC, Cyril Chabanier, entend rappeler lundi au Premier ministre “qu’il ne peut pas repartir sur la même page (budgétaire, NDLR) que l’ancien Premier ministre” car “les efforts reposaient trop sur les travailleurs, les chômeurs, les retraités”. 

Les partenaires sociaux à Matignon, l’attente de “rupture” et la mobilisation du 18 en toile de fond

Le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu a commencé à consulter les partenaires sociaux, à moins d’une semaine de la mobilisation intersyndicale du 18: comme les oppositions, la CFDT qui a ouvert le bal, a réclamé des preuves de “rupture” avec les orientations budgétaires du gouvernement sortant.  Si la secrétaire générale du premier syndicat français a trouvé Sébastien Lecornu “à l’écoute”, Marylise Léon a profité de cet entretien pour réaffirmer sa ferme opposition à la suppression de deux jours fériés et à la relance du conclave sur les retraites, une idée “définitivement enterrée” par la CFDT, a-t-elle dit en sortant de Matignon à la mi-journée.”Il n’y a pas eu de terrain d’atterrissage au moment de la fin du conclave, donc on ne reprend pas les discussions”, a-t-elle résumé, à l’issue d’une heure et demie de discussions.Alors que le nouveau Premier ministre a prôné des “des ruptures” sur la forme et le fond, la suppression des deux jours fériés, la plus inflammable des mesures d’économie annoncées par François Bayrou cet été, pourrait être abandonnée. Le nouveau locataire de Matignon “a dit qu’il répondrait sur ce sujet prochainement”, a sobrement dit Marylise Léon à la presse.Y aura-t-il une reprise dans un autre cadre que le conclave des négociations sur la réforme des retraites ? Selon elle, Sébastien Lecornu “n’a pas donné de position sur ce qu’il allait donner comme suite sur le sujet des retraites”.La CFDT est l’un des trois syndicats à avoir discuté jusqu’au terme du conclave lancé par François Bayrou, pour tenter d’amender l’impopulaire réforme des retraites de 2023. Les négociations avaient pris fin sur un constat de désaccord avec le patronat concernant les modalités de prise en compte de la pénibilité.- Avant ou après le 18 -Les rencontres bilatérales à Matignon doivent se poursuivre avec le président du Medef vendredi à 19H45, avant la CGT, la CFTC et la CFE-CGC lundi et les deux organisations patronales CPME et U2P, lundi et mardi. Le chef de file de FO, Frédéric Souillot, a quant à lui accepté de rencontrer M. Lecornu mais après le 18 septembre, date de la journée intersyndicale de grèves et manifestations.Elle mettra à nouveau les autorités sous pression, après la participation de 197.000 personnes, selon le ministère de l’Intérieur, à la journée du 10 pour demander la fin de l’austérité budgétaire, l’abrogation de la réforme des retraites ou encore plus de justice fiscale.La cheffe de file de la CGT Sophie Binet a appelé de ses vœux “encore plus de manifestations et de grèves” le 18 que le 10. “Nous avons réaffirmé que nous étions plus que jamais motivés pour aller dans la rue et que nous réussirons la mobilisation du 18 septembre”, a assuré Marylise Léon vendredi.  Le Premier ministre “n’a pas démenti qu’il pourrait y avoir un certain nombre (…) de travaux, sur une contribution des plus hauts revenus”, selon des modalités encore floues, a-t-elle évoqué, tout en demandant des “preuves” de la “rupture”.Côté politique, le secrétaire national du PCF Fabien Roussel a expliqué vendredi lors de la Fête de l’Humanité que son parti ne censurerait pas Sébastien Lecornu “a priori” mais qu’il le ferait “sans marque profonde d’un changement de politique”, disant lui avoir fait “des demandes sur l’augmentation des salaires, l’abrogation de la réforme des retraites et la diminution des aides accordées aux grosses entreprises”. Le PS propose, lui, de revenir sur la réforme des retraites et de mettre en place une taxe Zucman sur les plus hauts patrimoines, deux lignes rouges pour le bloc central.Le numéro un de la CFTC, Cyril Chabanier, entend rappeler lundi au Premier ministre “qu’il ne peut pas repartir sur la même page (budgétaire, NDLR) que l’ancien Premier ministre” car “les efforts reposaient trop sur les travailleurs, les chômeurs, les retraités”. 

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Suspect arrested in killing of US activist Charlie Kirk

US authorities said Friday they had captured the man accused of killing prominent right-wing activist Charlie Kirk after a family member helped to turn him in, ending a frantic manhunt.”We got him,” Utah Governor Spencer Cox told a press conference.Cox identified the suspect as Tyler Robinson and said the arrest was made after one of Robinson’s relatives contacted a friend, who then contacted the police.The arrest raised a bitterly divided country’s hopes of finding answers to the shocking political murder on Wednesday.The 31-year-old was killed when hit by a single bullet in his neck while addressing a large crowd at Utah Valley University in the town of Orem.Kirk was an electrifying presence on the US far-right, with a huge following that helped Donald Trump build the youth vote in his election victory last November.The president immediately treated the killing of his ally as a matter of top national importance, ordering flags to fly at half-mast and saying he will attend Kirk’s funeral.Kirk’s hardline views on race, gender, gun ownership and what many said was his antisemitism made him an intensely divisive figure, although even opponents praised his willingness to debate.While authorities said they did not know the motive, Cox noted that anti-fascist slogans were inscribed on two of the unused bullet casings.One cartridge had written on it, “Hey, fascist! Catch!”Another featured “Bella ciao,” apparently a reference to a World War II-era Italian anti-fascist song.Other cartridges were marked with symbols and wording that appeared to be from the online gaming culture- Breakthrough in manhunt -Authorities took 33 hours to make the arrest.They quickly found the alleged murder weapon, a high-powered hunting rifle, and released photos of a young man dressed in a baseball cap and casual clothing.However, after detaining, then releasing, two people who turned out to be unconnected to the case, the police and FBI appeared to struggle.Late Thursday, officials in Orem released more details about the suspect’s clothing and initial movements after the shooting, pleading with the public to help identify him.FBI Director Kash Patel said the arrest was finally made at 10:00 pm Thursday.Cox credited assistance from the alleged killer’s own family.”On the evening of September 11th, a family member of Tyler Robinson reached out to a family friend, who contacted the Washington County sheriff’s office with information that Robinson had confessed to them or implied that he had committed the incident,” he said.Students at the university on Thursday described their shock and their broader fears as political divisions deepen across the country.Dave Sanchez told AFP witnessing the killing made him “sick to my stomach.””We watch him all the time and so it really does feel like one of your own family members, your own brother’s been killed,” said Sanchez, 26.In Orem Park, several hundred people wearing red MAGA caps and holding American flags attended a vigil on Thursday evening, where they prayed and held a moment of silence.”It still feels insane that this happened,” Jonathan Silva, 35, told AFP. “It’s totally surreal.”- Seeking death penalty -Trump said he wanted the death penalty for the gunman.Reflecting the highly political nature of the killing, Kirk’s coffin was transported to his home city of Phoenix on Vice President JD Vance’s official plane.Footage showed Vance with his hands on the casket as it was carried to Air Force 2.Kirk, whom supporters have hailed as a martyr, co-founded Turning Point USA in 2012 to drive conservative viewpoints among young people, with his natural showmanship making him a go-to spokesman on television networks.The father-of-two used his audiences on TikTok, Instagram and YouTube to build support for anti-immigration policies, outspoken Christianity and gun ownership, and to spread carefully edited clips of his interactions during debates at his many college events.burs-sms/bgs

Norway sovereign wealth fund drops French miner over environmental fears

Norway’s sovereign wealth fund said Friday it was excluding French mining company Eramet from its portfolio, citing risks that the company was contributing to human rights violations and environmental damage at a nickel mine in Indonesia.Managed by the country’s central bank Norges Bank and fuelled by its vast energy revenues, the fund is the world’s biggest, with a value of nearly $2 trillion and investments in more than 8,600 companies across the globe.”Norges Bank’s Executive Board has decided to exclude the company Eramet SA due to an unacceptable risk that the company contributes to or is itself responsible for serious environmental damage and gross violations of human rights,” the fund said in a statement.As of June 30, the fund had a 0.44 percent stake in Eramet, valued at around $6.8 million, according to fund data.The decision was made following a recommendation from the fund’s ethics council, which cited “an unacceptable risk that the company is contributing to, or is itself responsible for, severe environmental damage and serious violation of the human rights of uncontacted indigenous people”.Specifically, the council cited “Eramet’s participation in the PT Weda Bay Nickel Joint venture, which is extracting nickel on the island of Halmahera, Indonesia”.The mining would result in the deforestation of rainforest areas and “the loss of critical habitats for endangered and endemic species”, the council said, adding that it also threatened the survival of indigenous people “in voluntary isolation”.Eramet said it “deeply regretted” the fund’s decision.”As a minority shareholder (in Weda Bay Nickel), Eramet strives to promote best practices in mining, environmental stewardship, and social responsibility with its partners, in line with the group’s values and commitment to responsible mining,” it said in a statement.Indonesian authorities told AFP on Friday they had seized nearly 150 hectares (370 acres) of the nickel mine concession that encroached into forest areas without a licence.An AFP investigation earlier this year showed its effects on members of the Hongana Manyawa Indigenous tribe, one of the country’s last isolated hunter-gatherer communities.The community, parts of which remain uncontacted, says the forest they have long relied on for food and shelter is being destroyed by deforestation and environmental degradation linked to the mine.Weda Bay Nickel has denied the allegations and says it is committed to “responsible mining and protecting the environment”.Indigenous rights group Survival International welcomed the fund’s move.”The company is now as toxic as its mining, and we’re calling on all its other shareholders to divest too unless and until there is a no-go zone for the uncontacted Hongana Manyawa people,” Caroline Pearce, director of Survival International, told AFP.

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Eurovision will ‘respect’ any boycott decisions over Israel

The Eurovision Song Contest will respect countries’ decisions on participating in next year’s competition, its chief said Friday, after several European broadcasters threatened a boycott if Israel takes part.During the past two editions of the competition, the event has been drawn into the controversy over Israel’s devastating war in Gaza. Pro-Palestinian activists protested in Malmo, Sweden in 2024 and in Basel, Switzerland last May over Israel’s participation in the contest.On Friday, the Dutch joined a growing list of European countries threatening to pull out of the 2026 contest in Vienna if Israel is permitted to take part again.Dutch broadcaster AVROTROS cited the “ongoing and severe human suffering in Gaza”, in its statement announcing its decision.Its “participation in the Eurovision Song Contest 2026 will not be possible as long as Israel remains admitted by the EBU,” it said, referring to the European Broadcasting Union, which organises the event.”If the EBU decides not to admit Israel, AVROTROS will be happy to participate next year,” it added.Their announcement came after seven-time champions Ireland said on Thursday they would not take part alongside Israel.Back in May, Spanish Prime Minister Pedro Sanchez said that Israel should be excluded in future.- ‘Understand the concerns’ -“We understand the concerns and deeply held views around the ongoing conflict in the Middle East,” Eurovision director Martin Green said in a statement sent to AFP.The organisation said in July it was launching a consultation with all members of the European Broadcasting Union (EBU), which organises the song contest over the issue.It would discuss “how we manage participation, geopolitical tensions, and how other organisations have approached similar challenges”.Those consultations were still ongoing, Green said Friday.”Broadcasters have until mid-December to confirm if they wish to take part in next year’s event in Vienna,” he said.”It is up to each member to decide if they want to take part in the contest and we would respect any decision broadcasters make.”Eurovision is the world’s largest live televised music event. This year’s edition in Basel drew in 166 million viewers across 37 countries.Austrian singer JJ won that competition, securing Austria the right to host the 2026 edition.- ‘Political instrument’ -In its statement Friday, Dutch broadcaster AVROTROS linked its decision to Israel’s nearly two-year campaign in Gaza.That campaign has killed at least 64,656 Palestinians, according to figures from the health ministry in Hamas-run Gaza that the United Nations considers reliable.AVROTROS denounced a “serious violation of press freedom” by the Israelis, pointing to “the deliberate exclusion of independent international reporting and the many casualties among journalists”.And it accused Israel of “proven interference… during the last edition of the Song Contest”, in which it came in second, charging that the event had been “used as a political instrument.”This runs counter to the apolitical nature of the contest,” it added.Irish broadcaster RTE also said it felt “that Ireland’s participation would be unconscionable given the ongoing and appalling loss of lives in Gaza”. Israel’s war in Gaza erupted after Hamas’s October 7, 2023 attacks inside Israel, which resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on Israeli figures.Of the 251 hostages seized during the assault, 47 remain in Gaza, including 25 the Israeli military says are dead.