In Madagascar, a ‘vigilant’ Gen Z voice at a crossroadsFri, 17 Oct 2025 13:51:51 GMT

Young, educated and revolted by the living conditions endured by Madagascar’s citizens, 31-year-old Elliot Randriamandrato embodies the Gen Z movement, whose weeks of protests drove ex-president Andry Rajoelina from power. In the wake of Rajoelina’s ousting — already replaced by army colonel Michael Randrianirina, sworn in as transition president Friday — the young activist in baggy …

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Army colonel sworn in as Madagascar presidentFri, 17 Oct 2025 13:49:53 GMT

Army colonel Michael Randrianirina was sworn in as Madagascar’s president Friday vowing sweeping reforms, just days after the military took power following weeks of anti-government protests that sent ex-president Andry Rajoelina fleeing.Randrianirina led the CAPSAT army unit, which mutinied and joined the anti-government protesters before announcing Tuesday that the military had taken power, after Rajoelina …

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Cédric Jubillar condamné à 30 ans de réclusion pour le meurtre de sa femme Delphine

Cédric Jubillar a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle vendredi pour le meurtre de sa femme Delphine, dont le corps n’a jamais été retrouvé depuis sa disparition près d’Albi fin 2020.Le peintre-plaquiste de 38 ans a regardé impassible la présidente énoncer le verdict, mains serrées sur l’ouverture vitrée du box. La peine prononcée par la cour d’assises du Tarn est conforme aux réquisitions des avocats généraux. Sa défense a immédiatement annoncé qu’elle faisait appel.Epilogue d’un procès hors normes de quatre semaines, cette décision est tombée au terme d’environ six heures de délibéré.  “Est-il coupable d’avoir, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020 à Cagnac-les-Mines donné volontairement la mort à Delphine Aussaguel épouse Jubillar?”. Au moins sept des neuf membres de la cour, composée de trois magistrats et six jurés, ont répondu oui à cette question.A l’énoncé du verdict, la famille et les proches de Delphine se sont étreints et embrassés sur les quatre bancs des parties civiles qu’ils occupaient en rangs serrés. Certains pleuraient également, tandis qu’un oncle de Delphine a fait un malaise. “On est tous sous le choc après quatre ans de procédure”, s’est réjoui un avocat des parties civiles, Me Philippe Pressecq. “Les jurés ont été à la hauteur de l’enjeu pendant ces quatre semaines”, a-t-il dit, “c’est parce qu’ils ont bien suivi et bien compris le dossier qu’ils ont pris une décision incontestable.”Juste avant que la cour d’assises du Tarn se retire pour délibérer vendredi peu après 09H00, Cédric Jubillar avait réaffirmé, comme il n’a eu de cesse de le clamer, n’avoir “absolument rien fait à Delphine”. Visage blême et yeux cernés, il avait lancé cette seule phrase, après quelques regards vers la salle et avoir été invité par la présidente Hélène Ratinaud à s’exprimer une dernière fois, comme le prévoit le Code de procédure pénale.Au bout de quatre semaines de ce procès ultramédiatisé, le ministère public avait requis 30 ans de réclusion criminelle à l’encontre de l’ouvrier en bâtiment. Sa défense réclamait son acquittement. – “Tapis rouge à l’erreur judiciaire” -Lors de leurs plaidoiries jeudi, les deux avocats toulousains qui défendent Cédric Jubillar depuis sa mise en examen et son placement en détention en juin 2021, s’étaient efforcés de semer le doute dans l’esprit des jurés. Alors que parties civiles et avocats généraux estimaient qu’un “pétage de plomb” de l’accusé a pu conduire au meurtre de l’infirmière de 33 ans, Me Emmanuelle Franck avait souligné qu'”un pétage de plomb, c’est ce qu’on appelle un crime pulsionnel, un crime passionnel, celui qui laisse le plus de traces, parce qu’on ne contrôle rien, on éclabousse tout”. Or, avait-elle insisté, il n’y a aucune trace.”La conviction des gendarmes dès le premier jour” a empêché la manifestation de la vérité et le procès n’a fait que dérouler un “tapis rouge à l’erreur judiciaire”, avait plaidé Me Alexandre Martin.Depuis sa première prise de parole le 22 septembre au premier jour du procès, l’accusé, stoïque dans son box mais secoué de mouvements nerveux, avait invariablement martelé qu’il n’avait rien à voir avec la disparition de la mère de ses deux enfants.- “Le crime parfait attendra” -Pour les parties civiles et l’accusation, sa culpabilité ne faisait en revanche aucun doute. L’avocat général Pierre Aurignac avait estimé que “pour défendre l’idée de l’innocence de M. Jubillar, il faut écarter quatre experts, faire taire 19 témoins et tuer le chien pisteur” qui a établi que la mère de famille n’a pas quitté son domicile la nuit de sa disparition.”Le crime parfait attendra, avait-il ajouté, le crime parfait, ce n’est pas le crime sans cadavre mais celui pour lequel on n’est pas condamné, et vous allez être condamné M. Jubillar.”

Cédric Jubillar condamné à 30 ans de réclusion pour le meurtre de sa femme Delphine

Cédric Jubillar a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle vendredi pour le meurtre de sa femme Delphine, dont le corps n’a jamais été retrouvé depuis sa disparition près d’Albi fin 2020.Le peintre-plaquiste de 38 ans a regardé impassible la présidente énoncer le verdict, mains serrées sur l’ouverture vitrée du box. La peine prononcée par la cour d’assises du Tarn est conforme aux réquisitions des avocats généraux. Sa défense a immédiatement annoncé qu’elle faisait appel.Epilogue d’un procès hors normes de quatre semaines, cette décision est tombée au terme d’environ six heures de délibéré.  “Est-il coupable d’avoir, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020 à Cagnac-les-Mines donné volontairement la mort à Delphine Aussaguel épouse Jubillar?”. Au moins sept des neuf membres de la cour, composée de trois magistrats et six jurés, ont répondu oui à cette question.A l’énoncé du verdict, la famille et les proches de Delphine se sont étreints et embrassés sur les quatre bancs des parties civiles qu’ils occupaient en rangs serrés. Certains pleuraient également, tandis qu’un oncle de Delphine a fait un malaise. “On est tous sous le choc après quatre ans de procédure”, s’est réjoui un avocat des parties civiles, Me Philippe Pressecq. “Les jurés ont été à la hauteur de l’enjeu pendant ces quatre semaines”, a-t-il dit, “c’est parce qu’ils ont bien suivi et bien compris le dossier qu’ils ont pris une décision incontestable.”Juste avant que la cour d’assises du Tarn se retire pour délibérer vendredi peu après 09H00, Cédric Jubillar avait réaffirmé, comme il n’a eu de cesse de le clamer, n’avoir “absolument rien fait à Delphine”. Visage blême et yeux cernés, il avait lancé cette seule phrase, après quelques regards vers la salle et avoir été invité par la présidente Hélène Ratinaud à s’exprimer une dernière fois, comme le prévoit le Code de procédure pénale.Au bout de quatre semaines de ce procès ultramédiatisé, le ministère public avait requis 30 ans de réclusion criminelle à l’encontre de l’ouvrier en bâtiment. Sa défense réclamait son acquittement. – “Tapis rouge à l’erreur judiciaire” -Lors de leurs plaidoiries jeudi, les deux avocats toulousains qui défendent Cédric Jubillar depuis sa mise en examen et son placement en détention en juin 2021, s’étaient efforcés de semer le doute dans l’esprit des jurés. Alors que parties civiles et avocats généraux estimaient qu’un “pétage de plomb” de l’accusé a pu conduire au meurtre de l’infirmière de 33 ans, Me Emmanuelle Franck avait souligné qu'”un pétage de plomb, c’est ce qu’on appelle un crime pulsionnel, un crime passionnel, celui qui laisse le plus de traces, parce qu’on ne contrôle rien, on éclabousse tout”. Or, avait-elle insisté, il n’y a aucune trace.”La conviction des gendarmes dès le premier jour” a empêché la manifestation de la vérité et le procès n’a fait que dérouler un “tapis rouge à l’erreur judiciaire”, avait plaidé Me Alexandre Martin.Depuis sa première prise de parole le 22 septembre au premier jour du procès, l’accusé, stoïque dans son box mais secoué de mouvements nerveux, avait invariablement martelé qu’il n’avait rien à voir avec la disparition de la mère de ses deux enfants.- “Le crime parfait attendra” -Pour les parties civiles et l’accusation, sa culpabilité ne faisait en revanche aucun doute. L’avocat général Pierre Aurignac avait estimé que “pour défendre l’idée de l’innocence de M. Jubillar, il faut écarter quatre experts, faire taire 19 témoins et tuer le chien pisteur” qui a établi que la mère de famille n’a pas quitté son domicile la nuit de sa disparition.”Le crime parfait attendra, avait-il ajouté, le crime parfait, ce n’est pas le crime sans cadavre mais celui pour lequel on n’est pas condamné, et vous allez être condamné M. Jubillar.”

Report calls French massacre of WWII African riflemen premeditated, covered upFri, 17 Oct 2025 13:43:51 GMT

French forces’ 1944 massacre of African World War II troops demanding pay in Senegal was “premeditated” and covered up, with previous death tolls vastly underestimated, according to a paper submitted to the Senegalese president, an exclusive copy of which was obtained by AFP.According to French colonial authorities at the time, at least 35 infantrymen were …

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Ligue 1: la douce revanche de Hervé Koffi à Angers

Dans l’impasse à Lens, le gardien international burkinabé Hervé Koffi revit en prêt à Angers, où il a rapidement prouvé qu’il avait l’étoffe d’un titulaire en Ligue 1, avant la réception de Monaco, samedi, pour la 8e journée.A 29 ans, il reprend au sein du SCO le cours d’une carrière qui avait soudainement patiné chez les Sang et Or.Fils d’un milieu de terrain international burkinabé à la fin des années 1990, Hyacinthe Koffi, c’est dans les buts que le petit Hervé Koffi se distingue, au point d’être surnommé “Mandanda” par un de ses entraîneurs. Sans avoir immédiatement la référence… “Beaucoup de personnes ne savaient pas qui c’était. À l’époque, en Afrique (…), tout le monde n’avait pas accès à internet ni aux matches”, avait-il confié au site internet du club fin août. “J’ai découvert qu’il jouait à Marseille (…), j’ai commencé à regarder ses matches, ses vidéos, et ça m’a encore plus inspiré à vouloir faire comme lui et lui ressembler”.Passé ensuite par l’Asec Mimosas en Côte d’Ivoire, il débarque à Lille dans le sillage de la CAN-2017, où il avait emmené le Burkina Faso à une belle 3e place. Mais il n’y aura jamais sa chance. Il est alors prêté au Portugal puis en Belgique, où Charleroi le recrute définitivement en 2021.- La “frustration” à Lens -Il pense faire son entrée dans le “Big 5″ européen à l’été 2024 quand Lens l’achète pour anticiper un possible départ de Brice Samba.Et quand le gardien international français signe à Rennes l’hiver suivant, Koffi croit son heure enfin arrivée. Mais les choses ne se passent pas comme prévu.Lens perd cinq fois lors de ses six titularisations entre décembre et février, et gagne les deux fois où l’international australien Mathew Ryan, arrivé en fin de mercato hivernal, joue.Si Koffi avait affronté deux fois le Paris SG, Nice et Strasbourg, là où Ryan avait joué des mal classés Angers et Montpellier, il finit tout de même l’exercice en simple spectateur.”Quand on sort de plusieurs saisons en tant que titulaire, et qu’on devient gardien numéro 2, ça amène de la frustration”, avait-il reconnu lors de sa présentation mi-juillet.Mais quand Angers lui a tendu la main cet été, il a su la saisir.Gardien explosif sur sa ligne et bon dans les sorties aériennes, il a arrêté 74,4% des tirs cadrés subis, ce qui le place au 3e rang des gardiens ayant joué les sept premières journées du championnat. Avec 32 parades, il affiche le meilleur total en L1, selon les chiffres d’Opta.- “Sur le terrain, il pétille” -Malheureusement, il est aussi le gardien qui subit le plus de tirs cadrés (43).Il n’a ainsi pu empêcher trois défaites de rang à Lyon (1-0), Brest (2-0) et surtout Strasbourg (5-0), avant la trêve, où une relance au pied ratée de sa part a amené l’ouverture du score, même si, avec 7 arrêts sur ce match, il a longtemps maintenu son équipe à flot.Désormais relégable (17e), Angers n’en est pas moins conquis par son nouveau portier.”Hervé est surprenant parce qu’il est réservé dans la vie de tous les jours. Et puis, sur le terrain, il pétille, il communique sa joie de vivre, de jouer”, avait expliqué l’entraîneur Alexandre Dujeux après la victoire (1-0) contre le Paris FC, toujours la seule à ce jour.S’il devra se remettre rapidement de l’échec du Burkina Faso dans les éliminatoires pour le Mondial-2026, privé de sa place en barrage comme l’un des meilleurs deuxièmes en raison d’un point de règlement lié au forfait de l’Erythrée, il aura tout de même l’ambition d’essayer de faire aussi bien qu’en 2017 et 2022 à la CAN, où les Etalons avaient atteint le dernier carré.Durant cette compétition programmée au Maroc du 21 décembre au 18 janvier prochains, son absence comme dernier rempart des Noir et Blanc risque de se faire cruellement sentir.

Italie: une bombe explose sous la voiture d’un journaliste renommé, sorti indemne

Une bombe a fait exploser dans la nuit, sans faire de victime, la voiture d’un célèbre journaliste d’enquête italien, menacé par la mafia, provoquant vendredi l’indignation générale dans le pays.La voiture de Sigfrido Ranucci a été détruite, tandis que celle de sa fille et la façade d’une maison à proximité ont été endommagées par l’explosion qui s’est produite devant son domicile, à Pomezia une vingtaine de kilomètres au sud de Rome, selon son émission d’investigation, Report.”La puissance de l’explosion a été telle qu’elle aurait pu tuer si quelqu’un était passé à ce moment précis à côté”, ajoute ce programme de la télévision publique RAI, conduit par M. Ranucci. “Au moins un kilogramme d’explosif a été utilisé”, a déclaré M. Ranucci au quotidien Corriere della Sera. Une vidéo publiée par Report sur les réseaux sociaux montrait des tôles tordues et des vitres de voiture brisées.”J’ai reçu une liste infinie de menaces diverses, dont j’ai toujours informé la Justice, et sur lesquelles les membres de ma garde rapprochée ont toujours fait des rapports”, a déclaré Sigfrido Ranucci à l’agence Ansa après avoir porté plainte à Rome vendredi matin. Le journaliste, qui vit sous escorte policière depuis plusieurs années, avait notamment trouvé deux cartouches devant sa maison.”Ce qui s’est passé cette nuit représente une escalade inquiétante”, a poursuivi le journaliste. “Je me sens néanmoins tranquille dans le sens où l’Etat et les institutions m’ont toujours soutenu ces derniers mois.”Selon le témoignage d’une voisine, l’explosion a été tellement forte qu’elle a fait trembler les vitres et tomber des tableaux accrochés aux murs de sa maison. Le parquet anti-mafia de Rome s’est saisi de l’enquête.- Menaces systématiques -Cette explosion nocturne a suscité un déluge de condamnations vendredi.La cheffe du gouvernement ultraconservateur Giorgia Meloni a exprimé dans un communiqué sa “pleine solidarité” au journaliste et a “fermement condamné le grave acte d’intimidation”. Dans le classement 2025 de Reporters sans frontières (RSF) sur la liberté de la presse, l’Italie occupe une peu reluisante 49e place.Les journalistes qui enquêtent sur le crime organisé et la corruption sont systématiquement menacés et parfois victimes de violences physiques en raison de leur travail d’investigation, ajoute RSF. Une vingtaine de journalistes vivent actuellement sous protection policière permanente après avoir été la cible d’intimidations et d’agressions. “Nous condamnons fermement l’acte d’intimidation qui a visé le journaliste d’investigation Sigfrido Ranucci, l’attaque la plus grave contre un reporter italien ces dernières années”, a déclaré RSF à l’AFP.Dans une émission de 2021, M. Ranucci raconte comment un ex-détenu lui a dit que des chefs mafieux incarcérés “avaient donné l’ordre de [le] tuer (…) mais ça été stoppé”. “J’ai donné l’ordre de renforcer au maximum toutes les mesures concernant sa protection”, a écrit sur X le ministre de l’Intérieur Matteo Piantedosi.”Un attentat contre un journaliste est un attentat contre l’Etat”, a commenté de son côté le ministre de la Justice Carlo Nordio sur la chaîne SkyTG24.- “Cible” -“C’est lié à un climat (général, ndlr) que nous acceptons”, où un journaliste peut “devenir une cible”, a commenté sur Instagram le journaliste Roberto Saviano, auteur de livres-enquêtes sur la mafia et qui vit lui aussi en Italie sous escorte. “Continuer à dire les faits, aujourd’hui, est un acte de résistance civile.”M. Ranucci, 64 ans, travaille pour la RAI depuis 1989. Il a réalisé de nombreuses enquêtes sur la mafia et le trafic illégal de déchets et a remplacé en 2017 à la tête de Report la créatrice de l’émission, Milena Gabanelli.”Ca ne signifie qu’une chose: +cher Sigfrido, chez Report vous ne devez plus vous occuper de nos affaires”, a commenté Milena Gabanelli auprès de l’agence Adnkronos. Mais ceux qui ont posé cette bombe “se sont trompés de cible”, a-t-elle poursuivi. “Cette équipe ne se laisse pas intimider.”M. Ranucci avait récemment annoncé la nouvelle saison de Report, prévue pour débuter le dimanche 26 octobre et qui parlera, entre autres, de la ‘Ndrangheta, la puissante mafia calabraise et de Cosa Nostra.