Landslides and floods kill 63 in Nepal, India

Landslides and floods triggered by heavy downpours in Nepal and neighbouring India have killed more than 60 people, officials said Sunday, as rescue workers raced to reach cut-off communities in remote mountainous terrain.Torrential downpours have lashed Nepal since Friday, leaving rivers in spate and many areas in the Himalayan nation inundated.At least 43 people have died in rain-triggered disasters and five are missing, Shanti Mahat, spokeswoman for Nepal’s National Disaster Risk Reduction and Management Authority, told AFP.At least 37 were killed by landslides in the worst-affected eastern district of Illam. “Heavy rains overnight caused the landslides,” said local district official Sunita Nepal.”With roads blocked, some areas are difficult to reach. Rescue workers are heading there on foot.”Rivers in the capital Kathmandu have also swelled, inundating settlements along their banks.Security personnel were deployed to assist rescue efforts with helicopters and motorboats. “There is some damage, but thanks to the authorities’ prior flood alert, we were able to move some belongings to a safe place,” said vegetable seller Rajan Khadga, 38.Landslides have blocked several highways and disrupted flights, leaving hundreds of travellers — many returning after celebrating the Hindu festival of Dashain — stranded.Prime Minister Sushila Karki said government agencies were “fully prepared for rescue and relief”.”Your safety is our utmost concern. Do not hesitate to seek necessary assistance,” she said in an address, adding that the government has declared Sunday and Monday public holidays and urged people not to travel unless necessary.Across the border in India, at least 20 people were killed in the tea-growing hill district of Darjeeling in West Bengal state after heavy overnight rain unleashed flash floods and landslides that destroyed homes and infrastructure.”In the wake of last night’s heavy cyclone in the Darjeeling hills, over 20 people have lost their lives,” said Harsh Vardhan Shringla, a lawmaker in India’s upper house.Footage on Indian television news showed rescue workers using cables to access cut-off regions as raging waters smashed into bridges and caved in roads.Prime Minister Narendra Modi said he was “pained by the loss of lives”.”The situation in Darjeeling and surrounding areas is being closely monitored in the wake of heavy rains and landslides,” he said in a statement on social media.Monsoon rains, usually from June to September, bring widespread death and destruction every year across South Asia, but the number of fatal floods and landslides has increased in recent years.Experts say climate change has worsened their schedule, frequency and intensity.The Kathmandu-based International Centre for Integrated Mountain Development warned in June that communities faced heightened disaster risks this monsoon season.”Rising temperatures and more extreme rain raise the risk of water-induced disasters such as floods, landslides, and debris flows,” it said.

No handshakes again as India, Pakistan meet at Women’s World Cup

India captain Harmanpreet Kaur and her Pakistan counterpart Fatima Sana did not shake hands at the toss of Sunday’s Women’s World Cup cricket match, mirroring the actions of their men’s teams.Sana won the toss and chose to field at Colombo’s R. Premadasa Stadium, where there were also no formal greetings between the players of both teams before the national anthems.The neighbours faced off three times at the recent men’s Asia Cup in the United Arab Emirates, and did not shake hands before or after.The Asia Cup, which concluded last Sunday with India beating their rivals, was notable for ill-feeling between the two teams and a series of on-field flashpoints.The tournament in the UAE was the first time the nuclear-armed neighbours had met since a deadly border conflict between them in May.India and Sri Lanka are co-hosting the Women’s World Cup.As part of a compromise deal, Pakistan will play all their matches including Sunday’s group match in Sri Lanka, rather than travel to India.India and Pakistan only meet in cricket in international tournaments and on neutral territory.

Ligue 1: Özer, le successeur de Chevalier est peut-être né à Rome

Héros du succès lillois à Rome, Berke Özer s’impose progressivement comme le successeur de Lucas Chevalier, de retour au Stade Pierre-Mauroy qui l’a tant adulé, cette fois avec le Paris SG dimanche (20h45) lors de la septième journée de Ligue 1.Au milieu du mois d’août, lorsque le Losc annonce l’arrivée de Berke Özer quelques jours après le départ de l’icône locale Chevalier, le défi paraît immense pour le Turc, méconnu du football français au même titre que son club, Eyüpspor, et international à deux reprises.Depuis jeudi soir, il l’est beaucoup moins. Grâce à la performance éblouissante de son portier de 25 ans, qui a arrêté non pas un, ni deux, mais trois fois le même pénalty, que l’arbitre a fait retirer, le club nordiste est devenu la première équipe française à s’imposer au Stade Olympique contre l’AS Rome (1-0) en Ligue Europa.”Personne ne peut s’attendre à arrêter trois pénaltys dans une même soirée, commentait-il après la rencontre. C’était comme un rêve pour moi.”Ce songe d’une nuit d’automne lance pleinement son aventure avec les Dogues, après plusieurs semaines prometteuses, où il a très vite démontré qu’il était rapide dans ses sorties pour gêner ou stopper les attaquants adverses. Mais son acclimatation à Lille a été freinée par une lésion au psoas, qui lui a fait manqué le choc contre Lyon (défaite 1-0).Et comme Lille, il lui manquait un match référence. Il le tient désormais.”Ces trois pénaltys arrêtés par Berke (Özer), je n’ai jamais vécu ça, s’étonnait, dans la capitale italienne, l’entraîneur Bruno Genesio. Quand vous passez après l’un des meilleurs gardiens français (Lucas Chevalier, NDLR), ce n’est pas simple à assumer. C’est difficile pour lui, c’est un jeune gardien méconnu.”Avant de poursuivre: “Il y a un changement de pays, de langue, d’entraînement, notamment dans les charges de travail (…). J’espère que cela va lui donner beaucoup de confiance et de force pour continuer à travailler.”- Sur pénalty, Berke les dégoûte -À Lorient, le natif d’Izmir (à l’ouest de la Turquie) avait déjà laissé entrevoir une aptitude certaine à repousser les pénaltys, en détournant celui de Sambou Soumano, ce qui n’avait pas empêché les Merlus de marquer dans la foulée.Dimanche, il abordera avec confiance son duel contre Lucas Chevalier, l'”enfant du coin”, comme les ultras du club lillois aimaient chanter, qui a rendu la succession dans les cages lilloises si difficile.”Lucas est un grand gardien, passer après lui, ça va être un grand travail, mais j’ai toujours travaillé avec de la pression, ça fait partie du football, estimait Özer à son arrivée dans le Nord. J’espère perdurer et avoir autant de succès que lui.”Né d’un père gardien de but qui ne voulait pas qu’il marche dans ses pas, Özer a une expérience dans les successions contrariées: “J’ai commencé en cachette”, racontait-il, pour échapper aux yeux de son père, qui reste “(s)on premier supporter depuis toujours”.Comme beaucoup de gardiens actuels, il a pour modèle l’Allemand Manuel Neuer, “parce qu’il a apporté une autre approche au métier de gardien, (…) un onzième joueur qui a pleinement sa place sur le terrain”.Si le portier longiligne (1,91 mètre) doit faire ses preuves à Lille, c’est aussi le cas, à Paris, de Lucas Chevalier, dont les débuts ont été entachés d’une erreur qui a précipité la défaite du club de la capitale à Marseille (1-0).Dans tous les cas, le capitaine des Dogues Benjamin André est “certain qu’il aura un magnifique accueil, il a marqué l’histoire du club”. 

Ligue 1: les “titis”, l’autre atout du PSG de Luis Enrique

Le PSG et son entraîneur Luis Enrique, qui ont fait le choix de peu recruter cet été, s’appuient de plus en plus sur le vivier des “titis” du centre de formation du club pour faire face en partie aux blessures.Mercredi contre le FC Barcelone (2-1) en Ligue des champions, quatre jeunes (Mayulu, Mbaye, Ndjantou, Jangeal) – en plus de Warren Zaïre-Emery – ont été convoqués à la suite des nombreux forfaits (Dembélé, Doué, Kvaratskhelia, Marquinhos, Neves).Dimanche à Lille (21h00), certains auront de nouveau l’occasion de jouer et complèteront un effectif miné par les absences. Depuis deux ans, le PSG a décidé de travailler de concert avec les sections jeunes, toutes installées au campus à Poissy. En décembre, une réunion a été organisée à l’initiative de Luis Enrique, du conseiller sportif Luis Campos et du directeur du centre de formation Yohan Cabaye avec les entraineurs des différentes sections. L’Espagnol y a expliqué ses principes de jeu, pour que tous les techniciens du club puissent s’en servir.Résultat: quand les jeunes arrivent dans le groupe pro, ils connaissent ses exercices et ses principes tactiques.”Il y a une connexion réelle, c’est facile. On travaille tous ensemble: quand les joueurs arrivent en A, ils peuvent performer dès le premier jour”, a expliqué samedi Luis Enrique, estimant qu’ils “sont très courageux”. . Senny Mayulu, milieu offensif, 19 ans”On travaille dur chaque jour, le coach fait confiance, il nous met dans le onze, on se doit de la lui rendre”, a réagi mercredi Senny Mayulu, buteur contre le Barça comme lors de la finale de la Ligue des champions face à l’Inter Milan (5-0).Apparu pour la première fois avec le PSG en mars 2024, Mayulu a déjà été titularisé lors des deux premiers matches européen cette saison.”C’est le joueur le plus complet du centre de formation depuis Adrien Rabiot”, soutient Pierre-Yves Bodineau, ancien coach au centre de pré-formation où il a suivi les “titis” nés entre 2005 et 2009.Selon le formateur, qui a assisté à son éclosion lors d’un tournoi en 2018, Mayulu a “une capacité athlétique impressionnante pour son âge, fait beaucoup de courses défensives, et techniquement il est au dessus de la moyenne”, le disant “très respectueux”. Le N.24 est devenu “un joueur à part entière” de l’effectif, selon une source interne au club.. Ibrahim Mbaye, ailier, 17 ans”Il a une vitesse prodigieuse, il sera bientôt une bombe atomique”, sourit Pierre-Yves Bodineau. “Il lui faut encore quelques matches pour prendre totalement ses marques”.Aligné mercredi à Barcelone, il a montré toute sa personnalité dans les duels pour sa première titularisation en C1 après être entré en jeu face à l’Atalanta (4-0). Placé souvent à droite chez les jeunes, l’ailier a montré tout son potentiel à gauche, le côté qu’il préfère..Quentin Ndjantou, attaquant, 18 ansRentré pendant un peu plus de dix minutes mercredi, Quentin Ndjantou s’est fait remarquer par ses courses et son envie. “Contre le Barça, j’étais plus nerveux que lui. C’est joli de voir cette mentalité”, a raconté samedi Luis Enrique.”Il a une énergie incroyable, fait de très bons appels et crée des espaces”, observe son ancien formateur, saluant ses “belles frappes” comme lors de son triplé en Youth League mi-septembre face à l’Atalanta. “Ce qui m’a le plus impressionné? L’intensité et le niveau d’intelligence. Il faut vite être connecté avec ton partenaire et aussi vite défendre”, expliquait-il après avoir joué quelques minutes le week-end dernier contre Auxerre (2-0). . Mathis Jangeal, milieu offensif, 17 ans “Très bon défensivement, il correspond aux standards de Luis Enrique, avec son côté créatif et sa vision du jeu”, explique Bodineau à propos de ce milieu polyvalent, fan de Zlatan Ibrahimovic et qui est issu de la PSG Academy, réseau d’école de foot pour enfants.Sur le banc à Barcelone, il a joué ses premières minutes le week-end dernier face à l’AJA.. Noham Kamara, défenseur, 18 ansRentré plusieurs fois la saison dernière, le défenseur central, repéré par le PSG à Torcy (Ile-de-France), a été sacré champion de France avec l’équipe première sans avoir signé son contrat pro – chose faite cet été. Salué pour sa qualité de relance et son calme, il participe actuellement au Chili à la Coupe du monde U20.