Rubio chooses Central America for first trip amid Panama Canal pressure

Marco Rubio will pay his first trip as US secretary of state to Central American nations including Panama, where President Donald Trump has threatened to seize the Panama Canal, a spokeswoman said Thursday.Rubio, who is the first Hispanic and first fluent Spanish speaker to serve as the top US diplomat, has vowed to put a top priority on Trump’s goal of curbing migration from Central American nations.State Department spokeswoman Tammy Bruce said Rubio would travel starting late next week to Panama as well as Costa Rica, El Salvador, Guatemala and the Dominican Republic.”It’s about making sure that if we’re going to be safe and prosperous and in good shape, we’ve got to have an interest in our neighbors — and in today’s world, it’s certainly South and Central America,” Bruce said.”There’s a reason why this is the first trip. It signals how seriously he takes it,” she said.Bruce did not describe the details of any expected conversations on the Panama Canal. Trump in his inaugural address Monday vowed that the United States would be “taking it back.”Rubio in his confirmation hearing did not suggest military force but said the United States needed to address serious concerns about Chinese influence near the vital waterway between the Atlantic and Pacific Oceans.Panama, which has long been friendly to the United States, complained to the United Nations over Trump’s threat.President Jose Raul Mulino, during a panel at the World Economic Forum in Davos, Switzerland, said that the canal “belongs to Panama and will continue to belong to Panama.”- Enforcement against migration -Trump — who during his campaign said that immigrants were “poisoning the blood of our country” — has put a top priority on halting undocumented migration into the United States.The Central American nations of El Salvador, Guatemala and Honduras — torn by endemic violence, poverty and natural disasters exacerbated by climate change — have been among the top sources of migration.Trump’s predecessor Joe Biden vowed to look at the root causes of migration. Trump has quickly put an emphasis on enforcement, suspending a Biden program that gives asylum seekers a chance to make their case in an orderly way and threatening to use the military to help secure the US-Mexico border.El Salvador’s president, Nayib Bukele, has been a favorite of Trump supporters for his lethal and ruthless crackdown on crime. The president’s son Donald Trump Jr. attended Bukele’s second inauguration last year.The Biden administration had a more distant relationship with Bukele, amid concerns over human rights, although it also largely worked with him as it sought to address migration.Rubio’s decision to visit Guatemala likely marks a continuation of US support for President Bernardo Arevalo, a once-obscure anti-corruption advocate who pulled off an upset election victory in 2023.The Biden administration hailed Arevalo’s victory and quickly moved to work with him as he pushed back against an entrenched elite that sought to stop him from taking office.Arevalo has enjoyed some bipartisan support in Washington but his opponents have sought an alliance with fringe movements that refused to recognize Biden’s 2020 victory over Trump.Rubio, the son of Cuban immigrants, on taking office said he would stop State Department work that seeks to “facilitate or encourage mass migration,” vowing to pursue Trump’s goal of enforcement.

La Bourse de Paris dans le vert, attentive aux propos de Trump

La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,70% jeudi, à l’issue d’une séance surtout marquée par l’attente de la prise de parole de Donald Trump en visioconférence lors du forum économique mondial de Davos.L’indice vedette CAC 40 a gagné 55,21 points et s’est établi à 7.892,61 points à la clôture, au plus haut depuis le 11 juin. La veille, il avait gagné 0,86%. Depuis le 1er janvier, le CAC 40 affiche une forte progression de 6,94%.La séance a surtout été marquée par l’attente du discours en visioconférence de Donald Trump au forum économique mondial qui se tient à Davos, en Suisse. Sa prise de parole a débuté à 17H00, peu avant la clôture des Bourses européennes, à 17H30.Le chantre de “l’Amérique d’abord” a réitéré ses menaces envers les grands partenaires commerciaux de hausses des droits de douane et d’un protectionnisme accru.”Mon message pour toutes les entreprises dans le monde est simple: venez fabriquer vos produits en Amérique et vous bénéficierez des impôts parmi les plus bas au monde. Mais si vous ne les produisez pas aux Etats-Unis, ce qui est votre droit, alors, très simplement, vous devrez payer des droits de douane”, a déclaré M. Trump lors de son discours en ligne.Il a aussi déclaré son intention de “demander à l’Arabie saoudite et l’Opep de baisser les prix du pétrole”.Et “avec les prix du pétrole qui vont baisser, j’exige que les taux d’intérêt baissent immédiatement et, de la même manière, ils devraient baisser partout dans le monde”, a-t-il insisté.Carrefour et Lagardère dans les gares SNCFLe géant Carrefour (+0,61% à 13,23 euros) et la branche distribution dans les lieux de transports (Travel Retail) du groupe Lagardère (-1,48% à 20,00 euros) ont annoncé un accord avec la SNCF pour déployer 150 points de vente d’ici 2030 dans des gares.Interparfums publie sa copieLe groupe Interparfums a annoncé des ventes en 2024 en hausse de 10,3% à 880,5 millions d’euros et indiqué que sa marge opérationnelle pourrait “atteindre 20%” sur l’exercice, selon un communiqué. Le titre a terminé la séance au même prix qu’à l’ouverture du marché, à 42,35 euros.Seb investitLe groupe d’électroménager Seb a annoncé avoir acheté la société La Brigade de Buyer, spécialisée dans les ustensiles de cuisine haut de gamme et destinés aux professionnels, pour un montant non-divulgué. L’action a gagné 0,61%, à 90,95 euros.Maisons du Monde supprime 91 emploisLe distributeur de meubles et d’objets de décoration Maisons du Monde (+2,69% à 4,20 euros) a annoncé la suppression de 91 emplois dans ses sièges parisiens et nantais, “en priorité” via des “départs volontaires”, mais sans exclure de licenciements.L’enseigne, qui compte plus de 4.000 salariés en France, est en difficulté et ses ventes n’ont cessé de reculer entre 2022 et le troisième trimestre 2024, dans un contexte de difficultés généralisées pour le secteur après un fort rebond post-Covid en 2021.

“Je vais mourir”: à l’annonce du confinement de 2020, la détresse d’Amandine, morte affamée par sa mère

“Lola, je vais mourir”: morte affamée par sa mère, en août 2020, la jeune Amandine était terrifiée à l’idée de retrouver sa famille, cinq mois plus tôt, pour le confinement, a témoigné jeudi une surveillante de son internat, devant les Assises de l’Hérault.Au quatrième jour du procès de la mère d’Amandine, Sandrine Pissarra, et de son beau-père, Jean-Michel Cros, une surveillante de l’internat du dernier collège fréquenté par l’adolescente, à Sigean (Aude), a raconté cette soirée du lundi 16 mars 2020, lorsque le président Emmanuel Macron annonce le confinement du pays dès le lendemain, face au Covid.”Les garçons ont sauté de joie, c’était les vacances. Amandine, elle, s’est effondrée au sol. Elle m’a dit: +Lola, je vais mourir. Combien de temps ça va durer ? Je ne vais pas tenir+”. “Elle le répétait en boucle, elle pleurait, elle n’arrivait plus à respirer”, rapporte la jeune femme de 28 ans.Le lendemain, Amandine rentre donc chez elle. Mais elle ne reprend pas les cours en mai, à la levée d’un isolement contraint de deux mois. La plupart du temps enfermée dans un débarras, privée de nourriture, rouée de coups par sa mère, la collégienne mourra moins de trois mois plus tard.Le 6 août 2020, jour de son décès d’un arrêt cardiaque et d’une septicémie, au domicile familial de Montblanc (Hérault), près de Béziers, la collégienne ne pèse plus que 28 kg pour 1,55 m.Si sa mère a reconnu mardi soir, pour la première fois, les “actes de torture ou de barbarie” pour lesquels elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité, elle a eu beaucoup de mal jeudi à préciser ce qu’elle reconnaissait au juste.”Des gifles, oui. Tirer les cheveux, ça m’est arrivé”, concède-t-elle d’une voix fluette, bien plus prolixe quand il s’agit d’évoquer les violences qu’elle aurait elle-même subies de la part de sa mère. “Aller dormir le ventre vide, je sais ce que c’est”, insiste Sandrine Pissarra: Amandine, elle, “mangeait ce qu’elle voulait”. Dans son débarras, “elle crevait de faim !”, la reprend le président de la cour, Eric Emmanuelidis. “Vous vouliez qu’elle meure ?”.”Non, tout ce que vous voulez, sauf ça”, persiste la mère.- “Camp de concentration privé” -Interrogé jeudi également, son compagnon de l’époque risque lui jusqu’à 30 ans de réclusion pour avoir “privé de soins ou d’aliments” sa belle-fille et n’avoir rien fait pour la sauver.”Avant le confinement, si on mangeait des frites, elle (Amandine, ndlr) avait des haricots verts ou du céleri”, a expliqué Jean-Michel Cros. Puis les privations et punitions s’aggravent, sans que cet homme, unanimement décrit comme bienveillant par son entourage, mais soumis à sa compagne, n’ose y mettre fin. “Oui, c’est devenu banal. A la longue, ça s’est mis en place, on s’y habitue”, tente-t-il d’expliquer, à M. Emmanuelidis, qui évoque le concept de “banalité du mal” développé par la philosophe Hannah Arendt à propos du régime nazi.Comme en écho aux images des camps de concentration, le magistrat fait alors projeter des captures d’écran des caméras qui surveillaient Amandine dans le débarras.Sur la première, l’adolescente apparaît nue, déjà très amaigrie, à genoux sur un rouleau de lino, les mains dans le dos. Sur la seconde, prise de face, elle est toujours nue et encore plus maigre. Marionnette désarticulée, elle s’appuie sur un meuble, les jambes croisées dans une position peu naturelle.Jean-Michel Cros assure qu’il n’avait jamais vu ces images: “Comment on peut faire ça à un enfant, c’est dégueulasse, inhumain”, lâche-t-il, répétant qu’il ne s’est rendu compte de rien, qu’il ne comprend pas pourquoi cela ne lui a pas sauté aux yeux, que ça aurait dû, qu’il était sous la coupe de sa compagne, qu’il s’était remis à boire, qu’il “donnerait sa vie” pour qu’Amandine revienne.S’adressant en fin d’audience à Sandrine Pissarra, Me Laurent Epailly, au nom de “La Voix de l’enfant”, l’une des quatre associations à s’être portées parties civiles, lui a asséné qu’elle avait créé son “petit camp de concentration privé”, instaurant “le travail forcé jusqu’à épuisement”. “La faim, les sévices, le manque de soin, la déshumanisation, l’absence d’espoir et le manque d’amour: vous êtes monstrueusement coupable”, a-t-il martelé.Le réquisitoire du parquet et les plaidoiries de la défense auront lieu vendredi. La cour se retirera ensuite pour délibérer.

Congolese army battles to halt advancing Rwanda-backed fightersThu, 23 Jan 2025 17:23:30 GMT

Congolese helicopter gunships swooped low over the plains to fire volleys of rockets and troops trucked towards the front line to halt Rwanda-backed fighters advancing on DR Congo’s eastern provincial capital after capturing a string of towns.The Mi-24s — rarely used because of the M23 and Rwanda anti-aircraft defences — fly low over the plain, …

Congolese army battles to halt advancing Rwanda-backed fightersThu, 23 Jan 2025 17:23:30 GMT Read More »

Borne défend un programme d’éducation à la sexualité “indispensable”

Initier les écoliers à la notion de consentement, parler de sexualité ou de discriminations de genre avec les plus grands: Elisabeth Borne a défendu jeudi le programme d’éducation à la vie affective et sexuelle, contesté par certaines franges conservatrices, qui doit s’appliquer à la prochaine rentrée.”Cette éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité est absolument indispensable”, a déclaré la ministre de l’Education sur France Inter. Ce programme, le premier élaboré sur ce sujet sensible, doit entrer en vigueur en septembre 2025 et prévoit trois séances annuelles dans l’ensemble des écoles, collèges et lycées, publics comme privés, comme théoriquement imposé par la loi depuis 2001. Mais ces séances d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle sont peu réalisées.Après plusieurs contretemps, ce texte sera examiné mercredi prochain par le Conseil supérieur de l’éducation (CSE), une instance regroupant notamment les représentants des professeurs et des parents d’élèves.Avec ce texte “important”, “je souhaitais qu’on puisse poser un cadre pour les enseignants”, a déclaré Elisabeth Borne à l’issue d’une visite jeudi après-midi dans une classe de 6e d’un collège de Bordeaux. Elle y a assisté à une séance d’éducation à la vie affective animée par un professeur de SVT (Sciences et vie de la terre) et une infirmière scolaire, au cours de laquelle les élèves ont abordé les relations amoureuses ou les changements de l’adolescence.- “Identité de genre” -La dernière version du programme, consultée par l’AFP et envoyée aux membres du CSE, s’efforce de répondre dans sa rédaction à certaines inquiétudes exprimées lors de son élaboration. A l’automne, il avait fait l’objet d’une fronde de la part d’associations conservatrices, puis de responsables politiques, dénonçant notamment la présence d’une “théorie du genre”. Alors que le terme “d’identité de genre” était apparu plus d’une quinzaine de fois dans certaines versions du texte, faisant polémique, il ne figure plus que sept fois dans la dernière version, et n’est pas mentionné avant la classe de seconde. “Ça fait partie du code pénal”, a souligné la ministre pour expliquer la présence de ce terme. La notion seule de “genre”, différenciée du “sexe biologique”, est, elle, évoquée à partir de la cinquième.Le programme mentionne en outre que l’éducation à la sexualité sera mise en Å“uvre sans pour autant “se substituer au rôle des parents et des familles des élèves”, une crainte exprimée notamment par l’enseignement catholique. Il indique également que “les parents d’élèves sont informés de la tenue et du contenu des séances obligatoires”.Le programme souligne aussi que l’éducation à la sexualité “se construit en deux étapes successives: une +éducation à la vie affective et relationnelle+ pour l’école maternelle et l’école élémentaire, une +éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité+ pour le collège et le lycée”, et qu’elle “nécessite un ajustement à l’âge et à la maturité des élèves”. – “Vigilance” -Les syndicats se sont montrés mitigés sur cette nouvelle mouture. “On voit qu’il y a eu une volonté de tenir quelques équilibres sans renier l’esprit du programme”, a réagi auprès de l’AFP Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU, premier syndicat des collèges et lycées.Mais pour Jérôme Fournier, secrétaire national du SE Unsa, “il y a des mentions qui nous semblent dangereuses”, notamment sur la nécessité de prévenir les parents, qui pourrait conduire à ce “que les élèves ne viennent pas le jour J si les familles ne veulent pas”.”Il y a des modifications qui donnent l’impression de vouloir donner des gages à ceux qui n’en auront jamais assez, puisque de toute façon, ils sont hostiles”, a abondé Catherine Nave Bekhti, secrétaire générale de la CFDT Education.La présidente du Planning Familial, Sarah Durocher, a de son côté fait part à l’AFP de sa “vigilance” sur ce texte, pour qu’il “corresponde aux besoins des jeunes aujourd’hui”.Parmi les associations qui se sont opposées au programme, le Syndicat de la famille (ex-Manif pour tous) a immédiatement réagi pour dire qu’il était encore “très loin du compte pour être bénéfique, constructif et répondre à ses objectifs”. Il a appelé la ministre à le “réviser en profondeur”.slb-jdy-mep-mer/ito/gvy

Wall Street’s AI-fuelled rally falters, oil slumps

A tech-fuelled rally on Wall Street faltered on Thursday as concerns about interest rates and high stock valuations sapped investor confidence.Crude prices slumped after US President Donald Trump called on Saudi Arabia and OPEC to reduce oil prices.Wall Street has been on a tear over the past week, with the S&P 500 setting a record high Wednesday in the wake of a massive AI investment announcement by Trump.But the tech-heavy Nasdaq Composite dipped on Thursday and the S&P 500 edged higher without moving into record territory.”There is some natural hesitation today given how far the market has come in just seven trading sessions and tariff uncertainty lurking in the background,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.Furthermore the yield on 10-year US Treasuries edged up on Thursday.Higher borrowing costs mean that companies, particularly tech firms, see their earnings compressed, with high stock prices compared to their earnings as a consequence.”The stretched earnings multiple is a headwind running into an earnings reporting period that has high expectations going into next week’s results from the likes of Microsoft, Meta Platforms, Tesla and Apple,” O’Hare said.Investors have largely welcomed the first few days of Trump 2.0 as he held off immediately returning to the hardball trade policies of his first term.However, warnings that China, the European Union, Canada and Mexico could be hit by tariffs as soon as February 1 have given cause for concern.”Investors are still weighing Trump’s tariff talk, though history suggests his bark often echoes louder than his bite,” said Matt Britzman, senior equity analyst at Hargreaves Lansdown.Trump, addressing world business and political leaders at the World Economic Forum in Davos by video link, told them to manufacture their products in the United States or face tariffs.He also urged Saudi Arabia and OPEC to bring down the cost of oil, sending global market prices for crude lower.Trump also demanded that US interest rates come down.Trading in Asia got a lift from Wednesday’s Wall Street rally that saw tech titans including Nvidia, Microsoft and ARM surge after Trump announced a new $500 billion venture to build infrastructure for artificial intelligence in the United States.Tokyo-listed SoftBank, named in the venture, extended the rally Thursday, piling on more than five percent and boosting Tokyo’s gains.Elsewhere, Chinese authorities unveiled measures to bolster the country’s stock markets, including allowing pension funds to invest in listed companies and pushing firms to increase share purchases.The measures provided some support with Shanghai’s stock market advancing, but Hong Kong gave up early gains to end lower.”Recent history would suggest Beijing will need to take more radical action if Chinese shares are to enjoy a sustained recovery,” said AJ Bell investment director Russ Mould.The yen edged up against the dollar ahead of the Bank of Japan’s policy decision Friday, when many investors expect it to raise interest rates for the third time since March.”Economic data continues to support the BoJ’s case for a rate hike,” said Gregor Hirt at Allianz Global Investors, pointing to upward momentum in core consumer prices.In European equity trading, Frankfurt set a new record high and London set another closing record but short of its record. Paris also rose. – Key figures around 1630 GMT -New York – Dow: UP 0.5 percent at 44,391.70 pointsNew York – S&P 500: UP 0.2 percent at 6,096.57New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.2 percent at 19,975.85London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,565.20 (close)Paris – CAC 40: UP 0.7 percent at 7,892.61 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.7 percent at 21,411.53 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 39,958.87 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.4 percent at 19,700.56 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,230.16 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.0412 from $1.0425 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.2343 from $1.2313Dollar/yen: DOWN at 155.99 yen from 156.45 yenEuro/pound: DOWN at 84.35 pence from 84.48 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.6 percent at $75.01 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.4 percent at $78.66 per barrelburs-rl/sbk