Stocks slip, dollar down as Fed meets on rates
Wall Street stocks turned lower on Tuesday while the dollar slid as the US Federal Reserve began a two-day meeting at which it is expected to cut interest rates.While the S&P 500 and Nasdaq Composite set fresh record highs as trading got underway in New York, equities soon slid into the red.Stocks have repeatedly set record highs in recent days as a series of data showing a softening of the labour market and moderate inflation have cemented expectations that the Fed will resume cutting interest rates.”The Fed’s focus appears to have shelved inflation concerns for now, instead concentrating on a stalling (US) jobs market, which should lead to a 0.25-percent cut,” noted Richard Hunter, head of markets at Interactive Investor.The rise in stocks, particularly in tech shares, has provoked some concern about them having become overvalued, but City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada said investors have largely shrugged off these worries.”So, it looks like investors are taking no chances ahead of the FOMC meeting, choosing to take profit on what has been another amazing bull run for technology stocks,” he said, referring to the Fed committee that sets interest rates.Data released on Tuesday showed retail sales in the United States rose more than analysts expected in August, even as the effects of President Donald Trump’s tariffs ripple through the US economy.Overall sales jumped by 0.6 percent on a month-on-month basis in August, beating expectations of a 0.2-percent gain, showing US consumers are not holding back despite the softening jobs market.Separate data showed US non-fuel import prices rose by 0.4 percent in August, following no gain in July.”Today’s data won’t change the market’s expectation that the Fed will vote tomorrow to cut the target range for the fed funds rate by 25 basis points to 4.00-4.25 percent, but it will presumably temper calls for a 50-basis-point cut,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.The dollar dropped against main rivals on Tuesday as lower interest rates make the greenback less attractive to investors. Expectations that US interest rates will be reduced over the next few months and possibly into 2026 pushed up gold to an all-time peak close to $3,700 an ounce.The euro hit its highest level against the dollar since 2021.The British pound firmed versus the dollar, with analysts increasingly expecting the Bank of England to maintain its key interest rate on Thursday and for the remainder of 2025.Official data on Tuesday showed UK unemployment remaining at a four-year high of 4.7 percent amid stubbornly high British inflation.European stock markets fell on Tuesday following a steady showing by Asia’s main indices.Shares in Germany’s Thyssenkrupp rose around eight percent in Frankfurt after India’s Jindal Steel International made an offer for the company’s steel division.Sentiment was also supported by Trump announcing on Tuesday that the United States and China had reached a deal over TikTok, which Washington says must pass into US-controlled ownership.Trump said he would confirm the deal when he speaks with his Chinese counterpart Xi Jinping on Friday.- Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: DOWN 0.4 percent at 45,708.99 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.2 percent at 6,604.12New York – Nasdaq Composite: DOWN less than 0.1 percent at 22,332.41London – FTSE 100: DOWN 0.9 percent at 9,195.66 (close) Paris – CAC 40: DOWN 1.0 percent at 7,818.22 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 1.8 percent at 23,329.24 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 44,902.27 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: FLAT at 26,438.51 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,861.87 (close)Euro/dollar: UP at $1.1841 from $1.1768 on MondayPound/dollar: UP at $1.3646 from $1.3609Dollar/yen: DOWN at 146.60 yen from 147.38 yenEuro/pound: UP at 86.78 pence from 86.47 penceBrent North Sea Crude: UP 1.3 percent at $68.33 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.7 percent at $64.38 per barrelburs-rl/rlp
Trump en route pour sa deuxième visite d’Etat au Royaume-Uni, reçu par son “ami” le roi
Donald Trump s’est envolé mardi pour une deuxième visite d’Etat historique au Royaume-Uni, où la pompe royale se déploiera pour amadouer le président américain.Des milliers de manifestants ont toutefois prévu de protester à Londres contre la venue du président de 79 ans, dont le séjour est encadré par un dispositif de sécurité exceptionnel.Juste avant son départ, Trump s’est réjoui de l'”honneur” qui lui était fait, assurant que le roi Charles III était un “ami de longue date”.”C’est un gentleman très élégant qui représente très bien son pays”, a déclaré le responsable républicain à des journalistes, avant de quitter la Maison Blanche, se tenant par la main avec avec son épouse Melania.C’est la première fois qu’un président américain effectue une deuxième visite d’Etat au Royaume-Uni.Selon certains médias britanniques, le roi Charles III, 76 ans, toujours soigné pour un cancer, n’était pas emballé à l’idée de réinviter l’imprévisible président américain qui la fois précédente, en 2019, avait été accueilli par la reine Elizabeth II.Mais le gouvernement travailliste entend capitaliser sur la fascination de Donald Trump pour la famille royale, et ainsi renforcer la “relation spéciale” historique entre Londres et Washington.- “Affiner” l’accord -Pour la partie royale de la visite d’Etat, Donald Trump doit rester confiné mercredi dans l’enceinte du château de Windsor, à 40 km de Londres. Même la traditionnelle procession en calèche aura lieu dans le parc de Windsor, évitant les rues de la petite ville.M. Trump rencontrera ensuite jeudi le Premier ministre Keir Starmer à Chequers, sa résidence officielle de campagne à 70 km de Londres, pour un volet plus politique et économique, avant de repartir le soir même.Les discussions porteront notamment sur un récent accord commercial permettant au Royaume-Uni d’échapper aux pires droits de douane imposés par Washington. Les Britanniques “veulent voir s’ils peuvent affiner un peu” l’accord, “nous allons en parler”, a simplement commenté le président américain.Cette visite doit aussi acter au moins dix milliards de livres (11,56 milliards d’euros) d’investissements américains au Royaume-Uni dans la tech, le secteur bancaire et le nucléaire, lorsque M. Starmer recevra Donald Trump à Chequers.Keir Starmer cajole le président américain depuis que ce dernier est revenu au pouvoir en janvier.Cette visite représente “un moment très important” pour les deux hommes, estime Evie Aspinall, directrice du centre de réflexion British Foreign Policy Group. Trump, dont la mère était Ecossaise, pourra “savourer le faste et le cérémonial qu’il affectionne”, souligne-t-elle. Pour Starmer, “c’est l’occasion de détourner l’attention du mécontentement” dans le pays, “et de braquer les projecteurs sur les questions internationales, où il a connu le plus de succès en tant que Premier ministre”, ajoute-t-elle.Rien ne sera trop beau pour divertir Donald Trump et son épouse Melania. En fin de matinée mercredi, le couple sera accueilli en grande pompe par le roi et la reine Camilla à Windsor. Une salve royale sera tirée du château et depuis la Tour de Londres en leur honneur, avant que le roi, la reine, le prince héritier William et son épouse Catherine se joignent à eux pour la procession en calèche.Une garde d’honneur XXL, avec trois régiments de la Garde royale accueillera ensuite Donald et Melania Trump avec fanfare, tambours et cornemuses dans la cour carrée du château.Donald Trump passera en revue cette garde d’honneur, avant un déjeuner en privé avec la famille royale.Une autre cérémonie militaire, avec un survol de la patrouille acrobatique des “Red Arrows” précèdera le traditionnel banquet royal avec quelque 150 invités.- “Amitié indestructible” -Cette visite survient à un moment délicat pour Keir Starmer, contesté au sein même de son parti après deux semaines calamiteuses qui ont vu le départ de sa numéro 2 Angela Rayner et le limogeage de son ambassadeur à Washington Peter Mandelson, après des révélations sur ses liens étroits avec le criminel sexuel américain Jeffrey Epstein.Un sujet dont Donald Trump aurait préféré qu’il ne traverse pas l’Atlantique, car il était lui aussi un temps proche d’Epstein, qui est mort en prison. L’affaire l’empoisonne depuis de longues semaines.Cette visite d’Etat verra “l’amitié indestructible” entre les deux pays “atteindre de nouveaux sommets”, a promis Downing Street.Melania Trump aura son propre programme jeudi avec la reine Camilla – si elle est guérie de la sinusite aiguë dont elle souffrait mardi – et la princesse Kate.
Faith Kipyegon: Supreme Kenyan champion and role model for mothersTue, 16 Sep 2025 15:55:41 GMT
Faith Kipyegon underlined her credentials as the best middle-distance runner of all time in Tokyo on Tuesday while also having more than succeeded in showing women athletes that having a child can be the springboard to relaunch their careers.Kipyegon’s fourth world 1,500m title further cemented her grip on the event on the global stage, the …
Alertes sur le “mal-être des éleveurs”, réunis pour leur salon à Rennes
“Il faut écouter le mal-être des éleveurs sur les crises sanitaires”, ont lancé les organisateurs du Salon international de l’élevage (Space) à la ministre de l’Agriculture sortante Annie Genevard, finalement présente à l’inauguration mardi, à quelques jours de nouvelles mobilisations agricoles.Plus de la moitié des animaux qui devaient être présentés à des concours ou des ventes n’ont pu venir au Space, 60% ayant été testés positifs à la fièvre catarrhale ovine (FCO) qui a explosé dans les grandes régions laitières du nord-ouest, touchant les vaches comme les brebis.”Il y aura des conséquences à long terme”, a déclaré devant la ministre Jean-Yves Rissel, responsable des présentations animales du salon, listant les pertes de lait, les avortements ou encore les conséquences psychologiques pour les éleveurs face à la mort et à la souffrance de leurs animaux.”L’année prochaine vous serez mieux immunisés”, a assuré la ministre à un éleveur qui soulignait le manque de vaccinations anticipées en Bretagne, alors que la maladie avait déjà fait des ravages dans d’autres régions en 2024.Le gouvernement a lancé une campagne de vaccination en juillet, un début trop tardif selon certains éleveurs, même si les vaccins étaient disponibles avant.”Le sanitaire, ça va être notre sujet dans les années qui viennent avec le changement climatique”, a ajouté la ministre, quelques mois après le lancement des Assises du sanitaire, censées aboutir sur des “contrats sanitaires” de filière en 2026.- Eradication -Annie Genevard aurait aimé voir les vaches montbéliardes qu’elle affectionne, mais la dermatose nodulaire contagieuse (DNC), qui a sévi cet été dans la région alpine, a limité leur présence au Space.”On est en train de l’éradiquer”, s’est félicitée la ministre auprès d’un autre éleveur à propos de la DNC, rappelant la stratégie de vaccination, de limitation des mouvements et de “dépeuplement” total des foyers. Une position qui a de nouveau provoqué la colère de la Confédération paysanne, troisième syndicat agricole français, rejointe dans sa contestation de l’abattage systématique par la Coordination rurale, deuxième syndicat.”On est en train d’éradiquer les éleveurs”, s’est indigné le porte-parole national de la Confédération paysanne Stéphane Galais, après une action symbolique sur le stand du ministère pour mettre en scène “le meurtre” d’agriculteurs au nom de la “biosécurité” ou de “l’agro-industrie”.Un à un, une dizaine de militants se sont écroulés, couverts de faux sang, avant que des éleveurs ne prennent la parole pour témoigner.En plus d’un fonds d’indemnisation pour les pertes directes et indirectes liées à la FCO, ils demandent au gouvernement une “vraie concertation” pour “imaginer les alternatives aux mesures d’abattage total (…) inhumaines”.- Mobilisations -La Confédération paysanne a rejoint l’appel intersyndical à la mobilisation jeudi. La FNSEA, premier syndicat, s’est distinguée en lançant, deux jours avant l’ouverture du salon, un appel à des mobilisations le 26 septembre. De quoi débloquer la venue de la ministre, initialement annulée face aux restrictions des déplacements officiels en période de gestion des affaires courantes après la démission du gouvernement Bayrou.Il faut “remettre le dossier agricole des importations sur le haut de la pile”, a déclaré mardi à l’AFP le président de la FNSEA Arnaud Rousseau, “parce qu’au moment où la France se cherche un gouvernement”, l’Union européenne “avance” sur l’accord de libre-échange avec des pays du Mercosur, dénoncé par l’ensemble du monde agricole français, le gouvernement Trump “continue” à taxer et l’Ukraine exporte dans l’UE des produits qui ne sont “pas aux mêmes standards”.La mobilisation prendra la forme de “contrôles de produits dans les supermarchés” et dans les départements frontaliers, d'”interpellations des députés européens” ou de “mobilisations” devant les préfectures.Après les grandes mobilisations de l’hiver 2024 et les défilés de tracteurs à Paris, la FNSEA avait indiqué ne pas vouloir participer au mouvement “Bloquons tout” du 10 septembre pour éviter une “récupération politique”.Comme après la censure partielle de la loi Duplomb par le Conseil constitutionnel en août, le syndicat a fait le choix d’actions décentralisées, au moment où les grands travaux agricoles de l’été (vendanges, récoltes, descente d’estive) ne sont pas tous achevés.
Hollywood giants sue Chinese AI firm over copyright infringement
Top Hollywood studios filed a federal lawsuit Monday against Chinese artificial intelligence company MiniMax, alleging massive copyright infringement.Disney, Warner Bros. Discovery, and Universal Pictures accuse MiniMax of building what they call a “bootlegging business model” that systematically copies their most valuable copyrighted characters to train its AI system, then profits by generating unauthorized videos featuring iconic figures like Spider-Man, Batman, and the Minions.The lawsuit marks the first time major US entertainment companies have targeted a Chinese AI company and follows a similar lawsuit in June against California-based AI company Midjourney over copyright infringement.”MiniMax operates Hailuo AI, a Chinese artificial intelligence image and video generating service that pirates and plunders Plaintiffs’ copyrighted works on a massive scale,” states the complaint filed in Los Angeles federal court.The studios are seeking monetary damages, including MiniMax’s profits from the alleged infringement, as well as statutory damages of up to $150,000 per work. They also demand a permanent injunction to stop the unauthorized use of their copyrighted material.According to the 119-page complaint, MiniMax users can simply type prompts like “Darth Vader walking around the Death Star” or “Spider-Man swinging between buildings” to receive high-quality videos featuring these protected characters.”MiniMax completely disregards US copyright law and treats Plaintiffs’ valuable copyrighted characters like its own,” the lawsuit states.MiniMax, one of China’s emerging AI giants, was reportedly valued at $4 billion in 2025 after raising $850 million in venture capital.The lawsuit says the studios sent MiniMax a cease-and-desist letter detailing the extensive copyright violations, but the company “did not substantively respond to Plaintiffs’ letter as requested and did not cease its infringement.”The studios argue that MiniMax could easily implement copyright protection measures similar to those used by other AI services but has chosen not to do so.A request for comment from MiniMax did not receive a response.
Trump sues NYT for $15 bn in latest attack on media
Donald Trump filed a $15 billion defamation lawsuit against The New York Times on Monday, adding to the US president’s growing list of legal attacks on news organizations he accuses of bias against him.Trump, 79, has intensified his long-established hostility toward the media since his return to the White House, repeatedly badmouthing journalists critical of his administration, restricting access and bringing lawsuits demanding huge amounts of compensation.In his suit filed Monday in federal court in Florida, Trump accuses The New York Times of a “decades-long pattern” of smears driven by feelings of “actual malice.”The Times reported last week that Trump had threatened legal action against it in relation to its articles on a lewd birthday note he allegedly gave to sex offender Jeffrey Epstein. A copy of the alleged note was later released by US lawmakers. The Republican president has denied authoring the note.”The New York Times has been allowed to freely lie, smear, and defame me for far too long, and that stops, NOW!” he wrote on his Truth Social platform.The lawsuit also named four New York Times reporters and the publisher Penguin Random House as defendants, according to an 85-page complaint filed in the US District Court for Florida’s Middle District.The document cited three articles that came out between September and October last year, and a book by Pulitzer Prize-winning reporters Russ Buettner and Susanne Craig also published around that time.”The Book and Articles are part of a decades-long pattern by the New York Times of intentional and malicious defamation against President Trump,” read the complaint, which was dated Monday.”The Times has become a leading, and unapologetic, purveyor of falsehoods against President Trump on the legacy media landscape.”In a statement posted on X, The Times said Trump’s case “has no merit.””It lacks any legitimate legal claims and instead is an attempt to stifle and discourage independent reporting. The New York Times will not be deterred by intimidation tactics,” it added.- Other suits -Trump’s lawsuit alleged that the Times deviated from its typical journalistic patterns and industry best practices when covering him, such as writing articles “in the most antagonistic and negative way” and not giving him sufficient time to respond before publishing.”Put bluntly, Defendants baselessly hate President Trump in a deranged way,” the complaint read.The court was asked to grant compensatory damages of not less than $15 billion and additional punitive damages “in an amount to be determined upon trial.”While broad constitutional protections exist for US media, Trump has found success in similar lawsuits brought against other news organizations, winning multi-million dollar settlements from Disney-owned ABC and Paramount-owned CBS.However, the settlements in those cases — which are to be paid to Trump’s future presidential library — were seen as being motivated by the desire of the news organizations’ parent companies to stay in Trump’s good graces.Trump has also sued media magnate Rupert Murdoch and The Wall Street Journal for at least $10 billion, after it reported in July on the existence of the letter he allegedly sent to Epstein.
Grève du 18 septembre: 3 TER sur 5 circuleront, fortes perturbations en Ile-de-France
Le ministre des Transports démissionnaire Philippe Tabarot a annoncé mardi que 3 TER sur 5 et 9 TGV sur 10 circuleraient jeudi, journée de grève nationale, et que le trafic en Ile-de-France serait encore plus perturbé.Sur les lignes Intercités, “des perturbations (…) importantes” sont également “à prévoir”, a avancé Philippe Tabarot, évoquant un train sur deux en circulation “sur ces lignes”.”Les prévisions détaillées vous seront communiquées en fonction de votre région en fin de journée ou demain matin”, a précisé le ministre démissionnaire.”Tous les clients TGV Inoui en France ou vers l’Europe, TGV Lyria, Ouigo et Intercités bénéficient d’une possibilité d’annuler ou échanger leur billet sans frais”, a précisé la SNCF dans un communiqué mardi.En Ile-de-France, le trafic devrait être bien plus perturbé.Dans le métro parisien, à l’exception des lignes automatiques, la RATP ne prévoit d’assurer le trafic qu’aux “heures de pointe”, a indiqué la régie sur son site internet.Le trafic sera également perturbé sur toutes les lignes de RER, voire “fortement perturbé” sur la ligne D et E, ont indiqué la RATP et la SNCF, sans donner davantage de précision pour le moment.Plusieurs lignes de bus devraient être fermées, a également indiqué la RATP, quand le réseau de tramway devrait être épargné sur la plupart des lignes.Les organisations syndicales appellent à faire grève et manifester jeudi pour contester des mesures budgétaires “brutales” annoncées cet été et que le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu n’a pour l’heure pas écartées.Le taux de grévistes devrait atteindre “90% chez les conducteurs de métro, et 80% chez les conducteurs de RER”, avait estimé FO RATP, second syndicat du groupe RATP, auprès de l’AFP.







