US revokes visa of Brazil justice minister in Bolsonaro row

Brazilian President Luiz Inacio Lula da Silva said on Tuesday that the United States had revoked the visa of Justice Minister Ricardo Lewandowski, a move he termed “irresponsible.”The US State Department had yet to confirm the latest in a series of punitive measures taken by Washington against Brazil for putting former far-right president Jair Bolsonaro on trial for alleged coup plotting.”I wanted to express my solidarity and the government’s solidarity with my colleague Lewandowski faced with the irresponsible gesture of the United States in revoking his visa,” Lula told a ministerial meeting in Brasilia.President Donald Trump has also imposed crippling 50-percent tariffs on dozens of Brazilian imports and sanctioned the judge overseeing Bolsonaro’s trial, which he has called a “witch hunt.”Judge Alexandre de Moraes had his US visa revoked, as did several other Supreme Court justices, according to Brazil, following intense lobbying by Bolsonaro’s US-based son, Eduardo Bolsonaro.Jair Bolsonaro, dubbed the “Trump of the Tropics” during his 2019-2022 presidency, risks up to 40 years in prison if convicted of plotting to cling to power after losing October 2022 elections to the leftist Lula.The 70-year-old denies the charges and claims his trial is an attempt by the Brazilian judiciary, in league with Lula’s government, to prevent him making a comeback in 2026 elections.He is under house arrest while awaiting the verdict, which the Supreme Court is expected to deliver early next month.On Monday, prosecutors called for increased police surveillance of his residence in the run-up to the verdict, arguing he is a flight risk.Last week, it emerged that he had planned to seek asylum from Argentina’s right-wing President Javier Milei last year, shortly after the coup plot probe was launched.In his draft asylum request, he claimed he was the victim of political persecution.

Attack kills 4 in Ivory Coast near Burkina borderTue, 26 Aug 2025 15:20:46 GMT

Unidentified armed men have killed four villagers in northeastern Ivory Coast near Burkina Faso, while another remains missing following the west African country’s first such deadly attack since 2021, the army said Tuesday.Ivory Coast shares a porous border spanning nearly 600 kilometres (around 370 miles) with Burkina Faso, where jihadist groups are active across much …

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Manuel Valls quitte une Nouvelle-Calédonie à l’avenir toujours incertain

Après une semaine sur l’archipel et deux rencontres avec les indépendantistes, le ministre des Outre-mer Manuel Valls repart mardi de Nouvelle-Calédonie sans avoir convaincu le FLNKS d’accepter l’accord de Bougival, dont l’avenir reste fragile et contesté.Une nouvelle réunion de plus de trois heures avec le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) n’a rien changé: le principal mouvement indépendantiste calédonien a réaffirmé son rejet catégorique de l’accord signé le 12 juillet dans les Yvelines.Mardi matin, le FLNKS a “réitéré son rejet catégorique du projet d’accord”, selon un communiqué publié à l’issue de la rencontre alors que le ministre répète que sa “porte est ouverte”.Pour parvenir à ce second rendez-vous, le ministre a prolongé à deux reprises un déplacement qui devait initialement s’achever samedi. Avant de quitter le territoire français du Pacifique mardi, il a annoncé que “de nouveaux échanges” devaient avoir lieu “dans les prochains jours” à Paris, assurant qu'”un espace de discussion existe” et qu’il “faut le saisir”.”La société calédonienne attend un accord mais la société calédonienne, ce n’est pas que le FLNKS. Donc je les invite aussi à reprendre contact avec les autres groupes politiques”, a insisté Manuel Valls.Le Front, dont les délégués avaient accepté de défendre le texte de Bougival avant d’être désavoués par les militants, souhaite en effet discuter avec l’État uniquement, en “réunion bilatérale” et sur “l’accession à la pleine souveraineté avant la présidentielle de 2027”, selon la motion adoptée par son congrès extraordinaire le 9 août.Une demande jugée impossible à accepter par le ministre alors que tous les autres partis du territoire, y compris deux composantes indépendantistes – l’Union progressiste en Mélanésie (UPM) et le Palika – ont confirmé leur soutien au compromis de Bougival.Ce texte prévoit la création d’un État de Nouvelle-Calédonie, doté d’une nationalité propre, mais inscrit dans la Constitution française. Il implique aussi le report à mi-2026 des élections provinciales, une échéance cruciale dans l’équilibre politique local.Mais les militants du FLNKS estiment qu’il est “incompatible avec les fondamentaux de la lutte indépendantiste”, notamment l’exercice du droit à l’autodétermination. “Affirmer que sans Bougival le pays plongerait dans le néant est une contre-vérité”, a martelé le mouvement la semaine dernière.- Un accord sans le FLNKS ? – Malgré ce blocage, Manuel Valls se veut optimiste. “Je repars avec le sentiment que l’accord de Bougival est conforté et que nous avons beaucoup avancé”, a-t-il affirmé mardi, à l’issue de son quatrième déplacement en huit mois.Lundi, le “comité de rédaction” chargé de mettre en forme la future loi constitutionnelle a achevé ses travaux après trois sessions. Le Sénat coutumier, invité à y participer, s’est toutefois retiré dès la deuxième réunion, estimant que ses propositions n’étaient pas entendues.Mais parmi les signataires toujours engagés en faveur de l’accord, l’absence du FLNKS interroge. “Peut-on conclure un accord de décolonisation sans le FLNKS ? Je ne crois pas”, a averti Milakulo Tukumuli, président de l’Éveil océanien, formation charnière ni indépendantiste, ni non-indépendantiste, appelant le mouvement à revenir à la table des discussions.La tension est autant politique que sécuritaire. En mai 2024, le projet de réforme du corps électoral défendu par le gouvernement malgré l’opposition des indépendantistes avait provoqué des émeutes, qui ont fait 14 morts et causé plus de deux milliards d’euros de dégâts.”L’État cette fois ne se laissera pas surprendre”, a assuré Manuel Valls.Un autre obstacle guette désormais le calendrier, déjà serré: le projet de loi constitutionnelle traduisant l’accord doit être présenté en Conseil des ministres le 17 septembre, avant une réunion du Congrès à Versailles pour son adoption en décembre.Ce ne sera possible que si le gouvernement n’est pas renversé le 8 septembre, lors du vote de confiance sollicité à l’Assemblée nationale par le Premier ministre François Bayrou.

Manuel Valls quitte une Nouvelle-Calédonie à l’avenir toujours incertain

Après une semaine sur l’archipel et deux rencontres avec les indépendantistes, le ministre des Outre-mer Manuel Valls repart mardi de Nouvelle-Calédonie sans avoir convaincu le FLNKS d’accepter l’accord de Bougival, dont l’avenir reste fragile et contesté.Une nouvelle réunion de plus de trois heures avec le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) n’a rien changé: le principal mouvement indépendantiste calédonien a réaffirmé son rejet catégorique de l’accord signé le 12 juillet dans les Yvelines.Mardi matin, le FLNKS a “réitéré son rejet catégorique du projet d’accord”, selon un communiqué publié à l’issue de la rencontre alors que le ministre répète que sa “porte est ouverte”.Pour parvenir à ce second rendez-vous, le ministre a prolongé à deux reprises un déplacement qui devait initialement s’achever samedi. Avant de quitter le territoire français du Pacifique mardi, il a annoncé que “de nouveaux échanges” devaient avoir lieu “dans les prochains jours” à Paris, assurant qu'”un espace de discussion existe” et qu’il “faut le saisir”.”La société calédonienne attend un accord mais la société calédonienne, ce n’est pas que le FLNKS. Donc je les invite aussi à reprendre contact avec les autres groupes politiques”, a insisté Manuel Valls.Le Front, dont les délégués avaient accepté de défendre le texte de Bougival avant d’être désavoués par les militants, souhaite en effet discuter avec l’État uniquement, en “réunion bilatérale” et sur “l’accession à la pleine souveraineté avant la présidentielle de 2027”, selon la motion adoptée par son congrès extraordinaire le 9 août.Une demande jugée impossible à accepter par le ministre alors que tous les autres partis du territoire, y compris deux composantes indépendantistes – l’Union progressiste en Mélanésie (UPM) et le Palika – ont confirmé leur soutien au compromis de Bougival.Ce texte prévoit la création d’un État de Nouvelle-Calédonie, doté d’une nationalité propre, mais inscrit dans la Constitution française. Il implique aussi le report à mi-2026 des élections provinciales, une échéance cruciale dans l’équilibre politique local.Mais les militants du FLNKS estiment qu’il est “incompatible avec les fondamentaux de la lutte indépendantiste”, notamment l’exercice du droit à l’autodétermination. “Affirmer que sans Bougival le pays plongerait dans le néant est une contre-vérité”, a martelé le mouvement la semaine dernière.- Un accord sans le FLNKS ? – Malgré ce blocage, Manuel Valls se veut optimiste. “Je repars avec le sentiment que l’accord de Bougival est conforté et que nous avons beaucoup avancé”, a-t-il affirmé mardi, à l’issue de son quatrième déplacement en huit mois.Lundi, le “comité de rédaction” chargé de mettre en forme la future loi constitutionnelle a achevé ses travaux après trois sessions. Le Sénat coutumier, invité à y participer, s’est toutefois retiré dès la deuxième réunion, estimant que ses propositions n’étaient pas entendues.Mais parmi les signataires toujours engagés en faveur de l’accord, l’absence du FLNKS interroge. “Peut-on conclure un accord de décolonisation sans le FLNKS ? Je ne crois pas”, a averti Milakulo Tukumuli, président de l’Éveil océanien, formation charnière ni indépendantiste, ni non-indépendantiste, appelant le mouvement à revenir à la table des discussions.La tension est autant politique que sécuritaire. En mai 2024, le projet de réforme du corps électoral défendu par le gouvernement malgré l’opposition des indépendantistes avait provoqué des émeutes, qui ont fait 14 morts et causé plus de deux milliards d’euros de dégâts.”L’État cette fois ne se laissera pas surprendre”, a assuré Manuel Valls.Un autre obstacle guette désormais le calendrier, déjà serré: le projet de loi constitutionnelle traduisant l’accord doit être présenté en Conseil des ministres le 17 septembre, avant une réunion du Congrès à Versailles pour son adoption en décembre.Ce ne sera possible que si le gouvernement n’est pas renversé le 8 septembre, lors du vote de confiance sollicité à l’Assemblée nationale par le Premier ministre François Bayrou.

Sci-fi skies: ‘Haboob’ plunges Phoenix into darkness

A massive wall of dust swept through Phoenix, plunging the southwest US city into near-total darkness, grounding flights, forcing motorists off the road and cutting power to thousands.The giant haboob, which occurred on Monday, is a common phenomenon during the arid region’s monsoon season. Haboobs form when a thunderstorm collapses, sending cold air crashing onto the desert floor, where it scoops up dust into a towering wall of sediment that can stretch for miles and rise thousands of feet.The dust storm was followed by heavy rain and lightning that triggered flash flood warnings.”This monsoon dust isn’t messing around…Please be safe!” the City of Phoenix warned on X, sharing a photo of the dust wall looming over planes, a sight reminiscent of a science-fiction film.Local media said the weather tore part of the roof off Phoenix Sky Harbor Airport.The Trico Electric Co-op reported 7,200 customers without power, while police in the town of Gilbert said downed trees and traffic light outages created hazardous driving conditions.The dust reduced visibility to just dozens of feet on the I-10 highway, while another busy roadway, the I-17, was partly closed due to flooding, according to the Arizona Department of Transport.In all, more than two million people were affected, according to the National Weather Service (NWS), which advises motorists caught in haboobs to pull over and turn off their lights so other drivers don’t mistake them for moving vehicles and crash into them.The NWS forecasts isolated thunderstorms from Tuesday through Thursday, before a return to dry conditions on Friday.