Les Bourses européennes terminent en hausse

Les Bourses européennes ont terminé dans le vert mardi, au lendemain de la signature par Donald Trump du décret qui décale au 1er août l’entrée en vigueur de ses droits de douane les plus punitifs.La Bourse de Paris a pris 0,56%, Londres 0,54%, Francfort 0,55% et Milan 0,67%.

Hausse de la pauvreté : l’exécutif répond soutien à l’emploi et aux entreprises

Le gouvernement a insisté mardi sur le “soutien au travail et aux entreprises” comme réponse au taux de pauvreté record enregistré en France métropolitaine en 2023, rejetant les options d’une hausse de la taxation des ultra-riches ou d’une réorientation des aides aux entreprises. Des députés de gauche ont exhorté l’exécutif à faire contribuer davantage les plus grandes fortunes au lendemain de la publication de l’indicateur annuel de l’Insee faisant état d’un taux de pauvreté de 15,4% – du jamais-vu depuis au moins 30 ans – avec près de 10 millions de personnes concernées. Ils ont notamment plaidé en faveur de la “taxe Zucman” qui instaure un impôt plancher sur le patrimoine des 0,01% des contribuables les plus riches en France, afin de s’assurer qu’ils payent au moins 2% de leur fortune en impôt, ou encore en faveur d’une réorientation des aides aux entreprises. “Nous croyons à deux choses (…) au travail” mais “aussi à l’entreprise”, a répondu la ministre chargée des Comptes publics Amélie de Montchalin lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. “Nous ne pensons pas que faire partir les 1.800 entrepreneurs qui ont réussi et créent des emplois dans ce pays résoudra quoi que ce soit”. “Le CAC 40 aujourd’hui c’est 1,2 million d’emplois en France, les 6.000 plus belles ETI (entreprises de taille intermédiaire, ndlr) de France, ce sont 4 millions d’emplois et ce sont ces emplois que nous devons développer”, a-t-elle ajouté. “Oui nous voulons un système social fort, pour cela nous voulons des entreprises fortes et un système fiscal efficace. Ma main ne tremble pas face à la fraude et notre main ne tremblera pas s’il faut prendre des dispositions législatives lutter plus efficacement contre la sur-optimisation fiscale”. “La première réponse au défi” de la pauvreté “c’est bien le travail, c’est bien soutenir nos entreprises”, a abondé le ministre de l’Économie et des Finances Eric Lombard quelques minutes plus tard, jugeant impossible de répondre à la pauvreté en “affaiblissant les entreprises et notre tissu économique”. La ministre du Travail et des Solidarités Catherine Vautrin a de son côté mis en avant les “10 millions supplémentaires d’aide d’alimentaire dans le budget 2025” et la revalorisation en avril 2024 de 4,6% des minima sociaux – revalorisation “non prise en compte” dans les chiffres de l’Insee portant sur l’année 2023.

Hausse de la pauvreté : l’exécutif répond soutien à l’emploi et aux entreprises

Le gouvernement a insisté mardi sur le “soutien au travail et aux entreprises” comme réponse au taux de pauvreté record enregistré en France métropolitaine en 2023, rejetant les options d’une hausse de la taxation des ultra-riches ou d’une réorientation des aides aux entreprises. Des députés de gauche ont exhorté l’exécutif à faire contribuer davantage les plus grandes fortunes au lendemain de la publication de l’indicateur annuel de l’Insee faisant état d’un taux de pauvreté de 15,4% – du jamais-vu depuis au moins 30 ans – avec près de 10 millions de personnes concernées. Ils ont notamment plaidé en faveur de la “taxe Zucman” qui instaure un impôt plancher sur le patrimoine des 0,01% des contribuables les plus riches en France, afin de s’assurer qu’ils payent au moins 2% de leur fortune en impôt, ou encore en faveur d’une réorientation des aides aux entreprises. “Nous croyons à deux choses (…) au travail” mais “aussi à l’entreprise”, a répondu la ministre chargée des Comptes publics Amélie de Montchalin lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. “Nous ne pensons pas que faire partir les 1.800 entrepreneurs qui ont réussi et créent des emplois dans ce pays résoudra quoi que ce soit”. “Le CAC 40 aujourd’hui c’est 1,2 million d’emplois en France, les 6.000 plus belles ETI (entreprises de taille intermédiaire, ndlr) de France, ce sont 4 millions d’emplois et ce sont ces emplois que nous devons développer”, a-t-elle ajouté. “Oui nous voulons un système social fort, pour cela nous voulons des entreprises fortes et un système fiscal efficace. Ma main ne tremble pas face à la fraude et notre main ne tremblera pas s’il faut prendre des dispositions législatives lutter plus efficacement contre la sur-optimisation fiscale”. “La première réponse au défi” de la pauvreté “c’est bien le travail, c’est bien soutenir nos entreprises”, a abondé le ministre de l’Économie et des Finances Eric Lombard quelques minutes plus tard, jugeant impossible de répondre à la pauvreté en “affaiblissant les entreprises et notre tissu économique”. La ministre du Travail et des Solidarités Catherine Vautrin a de son côté mis en avant les “10 millions supplémentaires d’aide d’alimentaire dans le budget 2025” et la revalorisation en avril 2024 de 4,6% des minima sociaux – revalorisation “non prise en compte” dans les chiffres de l’Insee portant sur l’année 2023.

Hausse de la pauvreté : l’exécutif répond soutien à l’emploi et aux entreprises

Le gouvernement a insisté mardi sur le “soutien au travail et aux entreprises” comme réponse au taux de pauvreté record enregistré en France métropolitaine en 2023, rejetant les options d’une hausse de la taxation des ultra-riches ou d’une réorientation des aides aux entreprises. Des députés de gauche ont exhorté l’exécutif à faire contribuer davantage les plus grandes fortunes au lendemain de la publication de l’indicateur annuel de l’Insee faisant état d’un taux de pauvreté de 15,4% – du jamais-vu depuis au moins 30 ans – avec près de 10 millions de personnes concernées. Ils ont notamment plaidé en faveur de la “taxe Zucman” qui instaure un impôt plancher sur le patrimoine des 0,01% des contribuables les plus riches en France, afin de s’assurer qu’ils payent au moins 2% de leur fortune en impôt, ou encore en faveur d’une réorientation des aides aux entreprises. “Nous croyons à deux choses (…) au travail” mais “aussi à l’entreprise”, a répondu la ministre chargée des Comptes publics Amélie de Montchalin lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. “Nous ne pensons pas que faire partir les 1.800 entrepreneurs qui ont réussi et créent des emplois dans ce pays résoudra quoi que ce soit”. “Le CAC 40 aujourd’hui c’est 1,2 million d’emplois en France, les 6.000 plus belles ETI (entreprises de taille intermédiaire, ndlr) de France, ce sont 4 millions d’emplois et ce sont ces emplois que nous devons développer”, a-t-elle ajouté. “Oui nous voulons un système social fort, pour cela nous voulons des entreprises fortes et un système fiscal efficace. Ma main ne tremble pas face à la fraude et notre main ne tremblera pas s’il faut prendre des dispositions législatives lutter plus efficacement contre la sur-optimisation fiscale”. “La première réponse au défi” de la pauvreté “c’est bien le travail, c’est bien soutenir nos entreprises”, a abondé le ministre de l’Économie et des Finances Eric Lombard quelques minutes plus tard, jugeant impossible de répondre à la pauvreté en “affaiblissant les entreprises et notre tissu économique”. La ministre du Travail et des Solidarités Catherine Vautrin a de son côté mis en avant les “10 millions supplémentaires d’aide d’alimentaire dans le budget 2025” et la revalorisation en avril 2024 de 4,6% des minima sociaux – revalorisation “non prise en compte” dans les chiffres de l’Insee portant sur l’année 2023.

Trump says ‘no extensions’ to Aug 1 tariff deadline

President Donald Trump said Tuesday that he would not extend an August 1 deadline for higher US tariffs to take effect on dozens of economies, a day after he appeared to signal flexibility on the date.While Trump imposed a sweeping 10 percent tariff on goods from almost all trading partners in April, higher rates customized to dozens of economies were unveiled, then halted until July 9.But the president this week again delayed their reimposition, pushing it back to August 1.Trump insisted that there would be no further delay in the tariffs. “There will be no change,” he posted on Truth Social. He added that levies would start being paid on August 1, in line with letters now being sent out to trading partners.”No extensions will be granted,” Trump said.On Monday night, Trump had told reporters at a dinner that the August 1 deadline was “firm, but not 100 percent firm.”Pressed on whether the letters were his final offer, Trump replied: “I would say final — but if they call with a different offer, and I like it, then we’ll do it.”In a push for further trade deals, Trump sent letters to more than a dozen partners on Monday, including key US allies Japan and South Korea.Products from both countries would be hit with 25 percent duties, Trump wrote in near-identical letters to leaders in Tokyo and Seoul.Indonesia, Bangladesh, Thailand, South Africa and Malaysia were among other countries facing duties ranging from 25 percent to 40 percent.In his messages to foreign leaders, Trump warned of further escalation if there was retaliation against his levies.Most countries receiving the letters so far saw US tariffs at similar or unchanged rates from those threatened in April, although some like Laos and Cambodia saw notably lower levels.The Trump administration is under pressure to show results after promising a flurry of deals following the US president’s tariff threats.So far Washington has only struck two pacts, with Britain and Vietnam, besides an agreement to dial back staggeringly high tit-for-tat levies with China.In threatening tariff hikes on various economies, Trump cited in his letters a lack of reciprocity in trading ties.He also warned that goods transshipped to avoid higher duties would be subjected to steeper levels.But he added that if countries were willing to adjust their trade policies, Washington “will, perhaps, consider an adjustment to this letter.”He said in the letters that tariffs could be modified “upward or downward, depending on our relationship with your Country.”

Trump says ‘no extensions’ to Aug 1 tariff deadline

President Donald Trump said Tuesday that he would not extend an August 1 deadline for higher US tariffs to take effect on dozens of economies, a day after he appeared to signal flexibility on the date.While Trump imposed a sweeping 10 percent tariff on goods from almost all trading partners in April, higher rates customized to dozens of economies were unveiled, then halted until July 9.But the president this week again delayed their reimposition, pushing it back to August 1.Trump insisted that there would be no further delay in the tariffs. “There will be no change,” he posted on Truth Social. He added that levies would start being paid on August 1, in line with letters now being sent out to trading partners.”No extensions will be granted,” Trump said.On Monday night, Trump had told reporters at a dinner that the August 1 deadline was “firm, but not 100 percent firm.”Pressed on whether the letters were his final offer, Trump replied: “I would say final — but if they call with a different offer, and I like it, then we’ll do it.”In a push for further trade deals, Trump sent letters to more than a dozen partners on Monday, including key US allies Japan and South Korea.Products from both countries would be hit with 25 percent duties, Trump wrote in near-identical letters to leaders in Tokyo and Seoul.Indonesia, Bangladesh, Thailand, South Africa and Malaysia were among other countries facing duties ranging from 25 percent to 40 percent.In his messages to foreign leaders, Trump warned of further escalation if there was retaliation against his levies.Most countries receiving the letters so far saw US tariffs at similar or unchanged rates from those threatened in April, although some like Laos and Cambodia saw notably lower levels.The Trump administration is under pressure to show results after promising a flurry of deals following the US president’s tariff threats.So far Washington has only struck two pacts, with Britain and Vietnam, besides an agreement to dial back staggeringly high tit-for-tat levies with China.In threatening tariff hikes on various economies, Trump cited in his letters a lack of reciprocity in trading ties.He also warned that goods transshipped to avoid higher duties would be subjected to steeper levels.But he added that if countries were willing to adjust their trade policies, Washington “will, perhaps, consider an adjustment to this letter.”He said in the letters that tariffs could be modified “upward or downward, depending on our relationship with your Country.”

Incendie au nord de Marseille: le feu a gagné la ville

L’incendie parti en fin de matinée mardi des Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône), commune limitrophe au nord de Marseille, a atteint dans l’après-midi la deuxième ville de France, dont une partie des habitants ont été appelés à se confiner, selon un message d’alerte à 16h00 du préfet des Bouches-du-Rhône.”Feu de forêt à Marseille. Quittez le massif forestier immédiatement. Confinez-vous dans un bâtiment en dur. Fermez volets et portes”, indique le message diffusé sur les portables bornant à proximité de la zone de l’incendie, dont celui d’une journaliste de l’AFP.Selon les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône, l’incendie, déclenché en fin de matinée par un feu de véhicule, avait parcouru 350 hectares vers 16h00, essentiellement sur la commune des Pennes-Mirabeau.Plus de 560 pompiers, dont des marins-pompiers de Marseille et trois colonnes de renforts d’autres départements, ont été déployés pour contenir les flammes. “Je demande à tous les Marseillais d’être extrêmement vigilants et de limiter au maximum leurs déplacements pour laisser place aux secours, notamment au Nord de la ville”, a indiqué le maire de Marseille, Benoît Payan, sur le réseau social X, confirmant que les “Marseillais du 16e arrondissement sont invités à rester confinés”.Outre les habitants de cet arrondissement du nord de Marseille, le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur avait auparavant demandé aux populations des secteurs “Jas de Rhodes, Pierrefeu et Bouroumettes”, sur la commune des Pennes-Mirabeau d’où est parti l’incendie en fin de matinée, de rester confinés.Si aucune évacuation n’a encore été ordonnée à Marseille, trois gymnases se préparent toutefois à accueillir les habitants en cas de nécessité.Aux Pennes-Mirabeau, deux lotissements, Littoral 1 et 2, ont été évacués dans le quartier du Jas de Rhodes face à l’avancée des flammes, avait souligné le maire de la commune auprès de l’AFP.L’aéroport de Marseille-Provence, le quatrième de France après Roissy, Orly et Nice, avait été fermé peu après midi, entraînant le déroutage et l’annulation de nombreux vols. La circulation routière et ferroviaire était également fortement perturbée en raison de l’incendie: plusieurs lignes de bus et de cars étaient interrompues et les autoroutes A55 et A50 fermées “à partir de l’échangeur Florian” dans le sens Aubagne-Marseille, selon un message de la métropole Aix-Marseille-Provence sur X, qui précise que plusieurs tunnels routiers de Marseille sont également fermés.De même, “la circulation des trains est interrompue au départ et à l’arrivée de Marseille en direction du nord et de l’ouest”, l’incendie ayant atteint “les abords des voies vers l’Estaque”, a pour sa part communiqué la SNCF.”Les conditions sont défavorables sur le terrain, la vitesse de propagation du feu est très rapide”, avaient indiqué plus tôt les pompiers des Bouches-du-Rhône, précisant que “sous l’effet du mistral” le feu se dirigeait vers les quartiers Nord de Marseille, qui ont donc été atteints en milieu d’après-midi.Or “le vent ne faiblira pas avant 22/23h00 au plus tôt” et ce “avec des rafales jusqu’à 80/85km/h”, ont prévenu les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône, citant leur expert météo.

Incendie au nord de Marseille: le feu a gagné la ville

L’incendie parti en fin de matinée mardi des Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône), commune limitrophe au nord de Marseille, a atteint dans l’après-midi la deuxième ville de France, dont une partie des habitants ont été appelés à se confiner, selon un message d’alerte à 16h00 du préfet des Bouches-du-Rhône.”Feu de forêt à Marseille. Quittez le massif forestier immédiatement. Confinez-vous dans un bâtiment en dur. Fermez volets et portes”, indique le message diffusé sur les portables bornant à proximité de la zone de l’incendie, dont celui d’une journaliste de l’AFP.Selon les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône, l’incendie, déclenché en fin de matinée par un feu de véhicule, avait parcouru 350 hectares vers 16h00, essentiellement sur la commune des Pennes-Mirabeau.Plus de 560 pompiers, dont des marins-pompiers de Marseille et trois colonnes de renforts d’autres départements, ont été déployés pour contenir les flammes. “Je demande à tous les Marseillais d’être extrêmement vigilants et de limiter au maximum leurs déplacements pour laisser place aux secours, notamment au Nord de la ville”, a indiqué le maire de Marseille, Benoît Payan, sur le réseau social X, confirmant que les “Marseillais du 16e arrondissement sont invités à rester confinés”.Outre les habitants de cet arrondissement du nord de Marseille, le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur avait auparavant demandé aux populations des secteurs “Jas de Rhodes, Pierrefeu et Bouroumettes”, sur la commune des Pennes-Mirabeau d’où est parti l’incendie en fin de matinée, de rester confinés.Si aucune évacuation n’a encore été ordonnée à Marseille, trois gymnases se préparent toutefois à accueillir les habitants en cas de nécessité.Aux Pennes-Mirabeau, deux lotissements, Littoral 1 et 2, ont été évacués dans le quartier du Jas de Rhodes face à l’avancée des flammes, avait souligné le maire de la commune auprès de l’AFP.L’aéroport de Marseille-Provence, le quatrième de France après Roissy, Orly et Nice, avait été fermé peu après midi, entraînant le déroutage et l’annulation de nombreux vols. La circulation routière et ferroviaire était également fortement perturbée en raison de l’incendie: plusieurs lignes de bus et de cars étaient interrompues et les autoroutes A55 et A50 fermées “à partir de l’échangeur Florian” dans le sens Aubagne-Marseille, selon un message de la métropole Aix-Marseille-Provence sur X, qui précise que plusieurs tunnels routiers de Marseille sont également fermés.De même, “la circulation des trains est interrompue au départ et à l’arrivée de Marseille en direction du nord et de l’ouest”, l’incendie ayant atteint “les abords des voies vers l’Estaque”, a pour sa part communiqué la SNCF.”Les conditions sont défavorables sur le terrain, la vitesse de propagation du feu est très rapide”, avaient indiqué plus tôt les pompiers des Bouches-du-Rhône, précisant que “sous l’effet du mistral” le feu se dirigeait vers les quartiers Nord de Marseille, qui ont donc été atteints en milieu d’après-midi.Or “le vent ne faiblira pas avant 22/23h00 au plus tôt” et ce “avec des rafales jusqu’à 80/85km/h”, ont prévenu les sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône, citant leur expert météo.

Rubio imposter used AI to message high-level officials: report

An imposter posing as US Secretary of State Marco Rubio sent AI-generated voice and text messages to high-level officials and foreign ministers, a report said Tuesday, the latest American official to be targeted by impersonators.A cable from Rubio’s office said the unidentified culprit was likely seeking to manipulate powerful officials “with the goal of gaining access to information or accounts,” the Washington Post reported.The impostor contacted at least three foreign ministers, a US state governor, and a member of Congress using both text messaging and the encrypted messaging app Signal, according to the cable dated July 3.Starting in mid-June, the impostor created a Signal account using the display name “Marco.Rubio@state.gov” to contact the unsuspecting officials, it added. “The actor left voicemails on Signal for at least two targeted individuals and in one instance, sent a text message inviting the individual to communicate on Signal,” said the cable. The contents of the messages were unclear.The cable added that other State Department personnel were impersonated using email.Responding to an AFP request for comment, the State Department said it was aware of the incident and was “currently investigating the matter.””The Department takes seriously its responsibility to safeguard its information and continuously takes steps to improve the department’s cybersecurity posture to prevent future incidents,” said a senior State Department official. The FBI has previously warned that since April, “malicious actors” have impersonated senior US officials to target their contacts, including current and former federal or state government officials.”The malicious actors have sent text messages and AI-generated voice messages — techniques known as smishing and vishing, respectively — that claim to come from a senior US official in an effort to establish rapport before gaining access to personal accounts,” the FBI said in May.In May, President Donald Trump said an impersonator breached the phone of White House Chief of Staff Susie Wiles. US senators, governors and business executives received text messages and phone calls from someone claiming to be Wiles, the Wall Street Journal reported. The breach prompted a White House and FBI investigation, but Trump played down the threat, saying Wiles “can handle it.”Senior Trump administration officials have courted criticism for using Signal and other unofficial channels for government work.In March, then-national-security-adviser Michael Waltz inadvertently added a journalist to a Signal chat group discussing US strikes in Yemen. The episode led to Waltz’s ouster.With proliferating AI voice cloning tools — which are cheap, easy to use and hard to trace -– disinformation researchers fret the impact of audio deepfakes to impersonate or smear celebrities and politicians.Last year, a robocall impersonating then-President Joe Biden stoked public alarm about such deepfakes.The robocall urged New Hampshire residents not to cast ballots in a Democratic primary, prompting authorities to launch a probe into possible voter suppression and triggered demands from campaigners for stricter guardrails around generative AI tools.

A Windsor, accueil chaleureux du roi Charles pour la visite d’Etat de Macron

Baise-mains, accolades et sourires, le couple Macron a retrouvé mardi avec un plaisir visible le roi Charles III et son épouse Camilla pour la première visite d’Etat au Royaume-Uni d’un président français en 17 ans.Invité au château de Windsor, le président français a été reçu avec tous les honneurs de la pompe royale, pour la première étape de sa visite, qui prendra ensuite un tour plus politique.Lui et le roi Charles se sont déjà vus à plusieurs reprises ces dernières années et leur relation est chaleureuse. Ils l’ont encore démontré mardi, avec des échanges naturels et conviviaux malgré un protocole réglé au millimètre.A leurs côtés, leurs épouses – Brigitte, vêtue d’une robe blanche, et la reine Camilla dans une tenue vert vif – ont semblé très à l’aise et se sont fait une bise peu protocolaire, dans ce qui semble être devenue une habitude pour les deux femmes que lie un même amour pour la littérature.Vers midi, après avoir écouté la Marseillaise, les deux couples ont pris place dans des calèches royales: le roi et Emmanuel Macron dans une première, leurs épouses dans une deuxième.Derrière eux, le prince William et la princesse Kate en tenue Dior suivent en compagnie de la ministre française de la Culture Rachida Dati et du ministre de la Défense Sébastien Lecornu.La scène avait un air de déjà vu pour la ministre, visiblement ravie, qui avait aussi accompagné Nicolas Sarkozy et Carla Bruni en 2008.Une foule nombreuse, habitants de Windsor et touristes, est massée sur leur passage, derrière les barrières de sécurité. – “ils s’entendent bien” -“C’est bien mieux qu’à Londres. C’est un bel endroit pour avoir une visite d’Etat”, déclare à l’AFP Suzanne Gardener, retraitée de 64 ans venue avec son mari voir le cortège passer.La ville, située à une trentaine de km à l’ouest de Londres, et son château, où la défunte reine Elizabeth II est inhumée, ont été préférés au palais de Buckingham à Londres, en plein travaux de rénovation.”J’espère que (le président Macron) a aimé et sa femme aussi” et “je crois qu’ils s’entendent bien” avec le roi et la reine, ajoute Suzanne Gardener.Arrivés dans la cour du château, une Marseillaise, suivie d’un God Save The King retentissent, joués par un régiment des Scots Guards, aux célèbres bonnets en poil d’ours.Puis le roi, la reine, les Macron, le prince William et la princesse Kate descendent de leurs calèches. Charles III, Camilla et les  Macron prennent position sous la tente d’honneur, le prince et la princesse tout à côté.Après un salut royal, le président français et le roi passent en revue les troupes, tandis que les avions survolent bruyamment le château, situé non loin de l’aéroport de Heathrow.- oeil rouge -Le roi ne peut masquer un oeil rougi par l’éclatement d’un vaisseau sanguin la veille, selon le palais de Buckingham.Au moment où les deux dirigeants s’apprêtent à rejoindre leurs épouses, le président français évite de justesse un accroc au protocole, en manquant de peu de saisir le roi par l’épaule.Pendant ce temps, Brigitte et Camilla bavardent en souriant, visiblement à l’aise.Les trois couples ont ensuite déjeuné à Windsor, avant un banquet d’Etat dans la soirée, avec environ 150 invités.La présence de Kate, qui se remet d’un cancer, n’a pas été officiellement confirmée par le palais au dîner.Vêtue d’un ensemble veste et robe Dior couleur rose des sables, et d’un chapeau assorti, la princesse accompagnait mardi matin le prince William pour accueillir le couple Macron à sa descente d’avion.