Fashion Week de Paris: la semaine en six shows marquants

Féérique, original ou gourmand… A mi-parcours de la Fashion Week féminine automne-hiver de Paris, certains défilés ont d’ores et déjà marqués les esprits. – Zomer nous la fait à l’enversPour sa quatrième collection, la troisième présentée à Paris, le duo créatif à la tête de Zomer a livré au Palais de Tokyo un show en mode rembobinage. Le défilé a tout d’abord commencé par une bande-son composée d’applaudissements sur laquelle les mannequins ont déambulé en file indienne, ce qui conclut habituellement ce genre d’événement, avant que chaque modèle ne déambule chacun à son tour sur le podium, avec des robes, vestes, manteaux chemises ou même manteaux portés à l’envers.À la fin du défilé, les créateurs Danial Aitouganov et Imruh Asha sont apparus de dos pour saluer le public. Lors de leurs derniers défilés, les deux Nééerlandais avaient fait appel à deux jeunes enfants, puis deux hommes âgés et et enfin deux femmes pour saluer le public, à leur place.- Soutien-gorge bonnet XXL chez VaqueraC’était l’une des pièces phares de la nouvelle collection de Vaquera: un soutien-gorge géant décliné en robe, en jupe ou en top.”La lingerie a toujours été une partie très importante de notre marque, et c’était en fait un soutien-gorge que nous avions fait il y a quelques saisons et qui n’avait pas vraiment eu son moment”, ont expliqué à la presse les créateurs de la maison new-yorkaise Bryn Taubensee et Patric DiCaprio.Toujours dans la démesure, le duo a également présenté un collier de perles géant.- Des confettis chez Courrèges”Ça va être une saison pleine de confettis”, s’était promis Nicolas di Felice, chez Courrèges. Pari réussi, pour le créateur belge qui s’est inspiré de ce petit rectangle de papier pour concevoir sa dernière collection, avec des robes semblant avoir été conçues dans une seule bande de tissu rectangulaire, mais aussi pour construire son show.Les silhouettes ont déambulé sous la verrière ensoleillée du Carreau du Temple, en plein coeur de la capitale, dans un tourbillon virevoltant de confettis rouges, roses, bleus et argentées grâce à une soufflerie. Avec à la clé, une ambiance féérique et festive, portée par une bande-son puissante.- La musique dans la peau chez HodakovaUn violon sur la tête, un tambour à la ceinture et un violoncelle porté en robe… Grande adepte de l'”upcycling”, la Suédoise Ellen Hodakova Larsson a été jusqu’à recycler des instruments de musique pour son premier défilé au calendrier officiel de la Semaine de la mode parisienne.De quoi mettre en avant “la façon dont on peut capturer ses différentes humeurs dans l’énergie musicale”, a souligné la trentenaire à la presse, confiant avoir joué du violon, enfant. – Stella McCartney au bureauÊtre sexy de jour comme de nuit. Sous les yeux attentifs de Brigitte Macron, Stella McCartney a fait défiler entre les chaises, les ordinateurs et les photocopieuses d’un bureau du nord de la capitale des femmes en tailleur gris et larges épaulettes, mais aussi en strass et transparence, des bodies combinés avec des cuissardes scintillantes et grandes lunettes, ou bien emmitouflées dans une délicate robe rose et ultra-courte.Avant le show, des danseuses ont déambulé parmi les invités qui prenaient possession de leurs sièges. Le défilé s’est achevé sur un court spectacle de pole dance, au rythme d’une musique disco.- Gourmandises chez Mame KurogouchiLa créatrice Mame Kurogouchi s’est inspirée de divers artisanats traditionnels japonais, comme la laque, utilisée à la fois comme élément de protection et de décoration du mobilier, mais aussi de la nourriture. Les mochis, ces desserts ronds à base de riz sucré, ont été le point de départ de manteaux épais et longs, dotés de poches de rembourrage ovales et douces. “Cela vient de la belle forme des mochis. J’en mange presque tous les jours”, a-t-elle déclaré à l’AFP.
Féérique, original ou gourmand… A mi-parcours de la Fashion Week féminine automne-hiver de Paris, certains défilés ont d’ores et déjà marqués les esprits. – Zomer nous la fait à l’enversPour sa quatrième collection, la troisième présentée à Paris, le duo créatif à la tête de Zomer a livré au Palais de Tokyo un show en mode rembobinage. Le défilé a tout d’abord commencé par une bande-son composée d’applaudissements sur laquelle les mannequins ont déambulé en file indienne, ce qui conclut habituellement ce genre d’événement, avant que chaque modèle ne déambule chacun à son tour sur le podium, avec des robes, vestes, manteaux chemises ou même manteaux portés à l’envers.À la fin du défilé, les créateurs Danial Aitouganov et Imruh Asha sont apparus de dos pour saluer le public. Lors de leurs derniers défilés, les deux Nééerlandais avaient fait appel à deux jeunes enfants, puis deux hommes âgés et et enfin deux femmes pour saluer le public, à leur place.- Soutien-gorge bonnet XXL chez VaqueraC’était l’une des pièces phares de la nouvelle collection de Vaquera: un soutien-gorge géant décliné en robe, en jupe ou en top.”La lingerie a toujours été une partie très importante de notre marque, et c’était en fait un soutien-gorge que nous avions fait il y a quelques saisons et qui n’avait pas vraiment eu son moment”, ont expliqué à la presse les créateurs de la maison new-yorkaise Bryn Taubensee et Patric DiCaprio.Toujours dans la démesure, le duo a également présenté un collier de perles géant.- Des confettis chez Courrèges”Ça va être une saison pleine de confettis”, s’était promis Nicolas di Felice, chez Courrèges. Pari réussi, pour le créateur belge qui s’est inspiré de ce petit rectangle de papier pour concevoir sa dernière collection, avec des robes semblant avoir été conçues dans une seule bande de tissu rectangulaire, mais aussi pour construire son show.Les silhouettes ont déambulé sous la verrière ensoleillée du Carreau du Temple, en plein coeur de la capitale, dans un tourbillon virevoltant de confettis rouges, roses, bleus et argentées grâce à une soufflerie. Avec à la clé, une ambiance féérique et festive, portée par une bande-son puissante.- La musique dans la peau chez HodakovaUn violon sur la tête, un tambour à la ceinture et un violoncelle porté en robe… Grande adepte de l'”upcycling”, la Suédoise Ellen Hodakova Larsson a été jusqu’à recycler des instruments de musique pour son premier défilé au calendrier officiel de la Semaine de la mode parisienne.De quoi mettre en avant “la façon dont on peut capturer ses différentes humeurs dans l’énergie musicale”, a souligné la trentenaire à la presse, confiant avoir joué du violon, enfant. – Stella McCartney au bureauÊtre sexy de jour comme de nuit. Sous les yeux attentifs de Brigitte Macron, Stella McCartney a fait défiler entre les chaises, les ordinateurs et les photocopieuses d’un bureau du nord de la capitale des femmes en tailleur gris et larges épaulettes, mais aussi en strass et transparence, des bodies combinés avec des cuissardes scintillantes et grandes lunettes, ou bien emmitouflées dans une délicate robe rose et ultra-courte.Avant le show, des danseuses ont déambulé parmi les invités qui prenaient possession de leurs sièges. Le défilé s’est achevé sur un court spectacle de pole dance, au rythme d’une musique disco.- Gourmandises chez Mame KurogouchiLa créatrice Mame Kurogouchi s’est inspirée de divers artisanats traditionnels japonais, comme la laque, utilisée à la fois comme élément de protection et de décoration du mobilier, mais aussi de la nourriture. Les mochis, ces desserts ronds à base de riz sucré, ont été le point de départ de manteaux épais et longs, dotés de poches de rembourrage ovales et douces. “Cela vient de la belle forme des mochis. J’en mange presque tous les jours”, a-t-elle déclaré à l’AFP.