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Palestinians return to north Gaza after breakthrough in hostage diplomacy

Palestinians began returning to the north of the war-battered Gaza Strip on Monday after Israel and Hamas said they had reached a deal for the release of another six hostages.The breakthrough preserves a fragile ceasefire in the Israel-Hamas war, which has devastated the Gaza Strip and displaced nearly all its residents, paving the way for …

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A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Des bastions aux “swing states”, un scrutin agricole à multiples inconnues

Il y a les forteresses imprenables, les “swing states”, et les “terra incognita”: les agriculteurs français ont encore quelques jours pour élire leurs représentants lors d’un scrutin très observé qui déterminera le nouveau rapport de force entre les syndicats agricoles.Voici un tour de France des campagnes.. Bastions FNSEA-JA du NordAvec 65% des suffrages aux dernières élections (2019) dans les Hauts-de-France, l’alliance majoritaire FNSEA-Jeunes agriculteurs a confiance dans la puissance de la “fédé”, revendiquant près de 5.000 adhérents contre 200 pour la Coordination rurale (CR) et une centaine pour la Confédération paysanne.Dans la première région française de production de pommes de terre et de betteraves, l’enjeu sera avant tout “de faire voter les gens”, estime-t-on à la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA), comme à la CR.Après un an de crise et une campagne tendue, la prudence est de mise. Charlotte Vassant, présidente de l’Union syndicale des agriculteurs de l’Aisne, affiliée à la FNSEA, ne craint pas de changement de rapport de force mais rappelle qu'”on est quand même aujourd’hui dans une société où il y a pas mal de +dégagisme+”.. La Charente, “swing state” courtiséEn Charente, la Coordination rurale espère retrouver la présidence de la chambre conquise en 2013 et perdue de peu en 2019, en obtenant 39,86% des voix contre 41,34% à l’alliance FNSEA-JA, avec 41% de votants seulement.Comme ailleurs en Nouvelle-Aquitaine, où la CR détient trois chambres (Lot-et-Garonne, Vienne et Haute-Vienne), ses militants ont été très mobilisés en 2024, faisant entendre leurs voix jusqu’au Salon de l’agriculture à Paris et multipliant les actions de blocage régionales cet automne.C’est une femme, Laëtitia Plumat, viticultrice dans un département marqué par la crise du cognac, qui mène la liste et la bataille électorale à coups d’apéritifs de campagne chez des exploitants.Ses colistiers ont été présentés le 6 janvier lors d’une visite de la présidente nationale Véronique Le Floc’h, omniprésente ces dernières semaines en Nouvelle-Aquitaine, dont la CR voudrait faire son fief en s’emparant aussi de la Dordogne, voire de la Corrèze.Crise viticole, revenus, installation des jeunes, accès à l’eau… “Les enjeux sont multiples, on ne va pas se retrouver en situation de facilité quand on va prendre cette chambre”, affirme Laëtitia Plumat, qui anticipe déjà une victoire face au sortant, le céréalier FNSEA-JA Christian Daniau.. L’Ariège, terre des possiblesDans ce département pyrénéen, la Confédération paysanne, qui a obtenu 38,79% des voix en 2019, espère conquérir la chambre en profitant de la présence face à elle de deux listes émanant de la FDSEA, l’une officielle FDSEA-JA emmenée par Hervé Peloffi, l’autre dissidente conduite par Philippe Lacube.Ce dernier, éleveur, est le président sortant de la chambre, élu avec 54,05% des voix au dernier scrutin sur la liste FDSEA-JA. Il avait dit ne pas briguer de nouveau mandat mais s’est ravisé, affirmant ne pas “se reconnaître” dans la liste investie par son syndicat. Philippe Lacube a entraîné quasiment toute l’équipe sortante pour présenter une liste alternative, baptisée “Libres de cultiver notre avenir”.La Coordination rurale (un peu plus de 7% des voix en 2019) ne présente pas de liste.La Confédération paysanne, dont la porte-parole nationale Laurence Marandola figure en quatrième position sur la liste, espère transformer l’essai. Le syndicat, qui milite pour “l’installation de paysans nombreux dans des fermes à taille humaine”, s’est fortement mobilisé dans cette région d’élevage frappée par la fièvre catarrhale ovine.. En Moselle, le combat des “indépendants”En Moselle, la liste indépendante “Territoires et filières”, qui compte quelques dissidents de la FDSEA, tentera de garder les rênes de la chambre d’agriculture.En 2019, elle l’avait emporté de peu avec 36,3% des voix contre 34% à la FDSEA, une petite révolution dans la région Grand Est jusque-là entièrement acquise à la FDSEA.”Notre bilan parle pour nous, mais on n’a pas les mêmes moyens que les grands syndicats”, estime Stéphane Ermann, tête de liste et éleveur ovin. Il s’inquiète du taux de participation, jugeant que “l’abstention fera le jeu des syndicats”. “Eux, leur réseau, ils l’activent, ils ont les listings, les SMS et tout ce qu’il faut. Nous, on n’a pas tout ça”.ppy-dmc-apz-lg-sb/jum/ak/lrb/alh

Des bastions aux “swing states”, un scrutin agricole à multiples inconnues

Il y a les forteresses imprenables, les “swing states”, et les “terra incognita”: les agriculteurs français ont encore quelques jours pour élire leurs représentants lors d’un scrutin très observé qui déterminera le nouveau rapport de force entre les syndicats agricoles.Voici un tour de France des campagnes.. Bastions FNSEA-JA du NordAvec 65% des suffrages aux dernières élections (2019) dans les Hauts-de-France, l’alliance majoritaire FNSEA-Jeunes agriculteurs a confiance dans la puissance de la “fédé”, revendiquant près de 5.000 adhérents contre 200 pour la Coordination rurale (CR) et une centaine pour la Confédération paysanne.Dans la première région française de production de pommes de terre et de betteraves, l’enjeu sera avant tout “de faire voter les gens”, estime-t-on à la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA), comme à la CR.Après un an de crise et une campagne tendue, la prudence est de mise. Charlotte Vassant, présidente de l’Union syndicale des agriculteurs de l’Aisne, affiliée à la FNSEA, ne craint pas de changement de rapport de force mais rappelle qu'”on est quand même aujourd’hui dans une société où il y a pas mal de +dégagisme+”.. La Charente, “swing state” courtiséEn Charente, la Coordination rurale espère retrouver la présidence de la chambre conquise en 2013 et perdue de peu en 2019, en obtenant 39,86% des voix contre 41,34% à l’alliance FNSEA-JA, avec 41% de votants seulement.Comme ailleurs en Nouvelle-Aquitaine, où la CR détient trois chambres (Lot-et-Garonne, Vienne et Haute-Vienne), ses militants ont été très mobilisés en 2024, faisant entendre leurs voix jusqu’au Salon de l’agriculture à Paris et multipliant les actions de blocage régionales cet automne.C’est une femme, Laëtitia Plumat, viticultrice dans un département marqué par la crise du cognac, qui mène la liste et la bataille électorale à coups d’apéritifs de campagne chez des exploitants.Ses colistiers ont été présentés le 6 janvier lors d’une visite de la présidente nationale Véronique Le Floc’h, omniprésente ces dernières semaines en Nouvelle-Aquitaine, dont la CR voudrait faire son fief en s’emparant aussi de la Dordogne, voire de la Corrèze.Crise viticole, revenus, installation des jeunes, accès à l’eau… “Les enjeux sont multiples, on ne va pas se retrouver en situation de facilité quand on va prendre cette chambre”, affirme Laëtitia Plumat, qui anticipe déjà une victoire face au sortant, le céréalier FNSEA-JA Christian Daniau.. L’Ariège, terre des possiblesDans ce département pyrénéen, la Confédération paysanne, qui a obtenu 38,79% des voix en 2019, espère conquérir la chambre en profitant de la présence face à elle de deux listes émanant de la FDSEA, l’une officielle FDSEA-JA emmenée par Hervé Peloffi, l’autre dissidente conduite par Philippe Lacube.Ce dernier, éleveur, est le président sortant de la chambre, élu avec 54,05% des voix au dernier scrutin sur la liste FDSEA-JA. Il avait dit ne pas briguer de nouveau mandat mais s’est ravisé, affirmant ne pas “se reconnaître” dans la liste investie par son syndicat. Philippe Lacube a entraîné quasiment toute l’équipe sortante pour présenter une liste alternative, baptisée “Libres de cultiver notre avenir”.La Coordination rurale (un peu plus de 7% des voix en 2019) ne présente pas de liste.La Confédération paysanne, dont la porte-parole nationale Laurence Marandola figure en quatrième position sur la liste, espère transformer l’essai. Le syndicat, qui milite pour “l’installation de paysans nombreux dans des fermes à taille humaine”, s’est fortement mobilisé dans cette région d’élevage frappée par la fièvre catarrhale ovine.. En Moselle, le combat des “indépendants”En Moselle, la liste indépendante “Territoires et filières”, qui compte quelques dissidents de la FDSEA, tentera de garder les rênes de la chambre d’agriculture.En 2019, elle l’avait emporté de peu avec 36,3% des voix contre 34% à la FDSEA, une petite révolution dans la région Grand Est jusque-là entièrement acquise à la FDSEA.”Notre bilan parle pour nous, mais on n’a pas les mêmes moyens que les grands syndicats”, estime Stéphane Ermann, tête de liste et éleveur ovin. Il s’inquiète du taux de participation, jugeant que “l’abstention fera le jeu des syndicats”. “Eux, leur réseau, ils l’activent, ils ont les listings, les SMS et tout ce qu’il faut. Nous, on n’a pas tout ça”.ppy-dmc-apz-lg-sb/jum/ak/lrb/alh

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A Mayotte, rentrée des élèves en mode dégradé après le cyclone

C’est le jour J pour les quelque 115.000 élèves de Mayotte, qui retournent à l’école à partir de lundi dans des conditions dégradées, par rotation de classes, un mois et demi après les ravages causés par le cyclone Chido.La rentrée des élèves, prévue le 13 janvier dans l’archipel français de l’océan Indien, avait d’abord été décalée au 20, puis au 27, pour faire face aux dégâts causés par Chido, puis par la tempête Dikeledi.Malgré des appels à un nouveau report, l’académie a maintenu son calendrier, invoquant la nécessité de garder le contact avec les élèves et de ne pas compromettre leurs chances aux examens.Mais tout le monde n’est pas de cet avis, et certains parents anticipent un fiasco. Mirelane Miradji, mère de deux enfants scolarisés en CE1 et à la maternelle, estime que “les conditions ne sont pas bonnes”.”L’hygiène dans les sanitaires et dans les locaux délabrés ne sera pas au rendez-vous. J’aurais préféré attendre que les établissements soient en bon état pour les remettre à l’école. C’est un entre-deux qui n’est pas satisfaisant”, a-t-elle témoigné auprès de l’AFP.Les enseignants ont fait leur rentrée lundi dernier, découvrant des établissements parfois très endommagés.Le ministère de l’Education a promis dimanche soir la livraison progressive “dès la rentrée” de cahier, stylos, et autres fournitures mais aussi de tables et de chaises. Dans le premier degré, sur les 221 écoles, 45 ne pourront rouvrir lundi “en raison des dommages trop importants”, indique-t-on de même source. Pour le secondaire, quatre établissements resteront fermés, selon le communiqué.”Tous les autres établissements accueilleront les élèves suivant une organisation adaptée tenant compte des réalités locales”, assure le ministère.- “Saturés” -Avant Chido, le système scolaire de Mayotte, département le plus pauvre de France, où la moitié des habitants a moins de 18 ans et ne parle pas français, était déjà défaillant.En 2022, un rapport de la chambre régionale des comptes (CRC) décrivait des établissements “saturés” et un bâti “dégradé requérant des travaux de rénovation importants”.L’ensemble des établissements de l’archipel sont pourtant classés en réseau d’éducation prioritaire REP ou REP+.”Le manque de locaux a conduit depuis de nombreuses années les communes à instaurer un système de rotation dans les écoles primaires: la moitié des élèves ont classe le matin, l’autre l’après-midi”, relevait la CRC, dressant un état des lieux catastrophique, seuls 8.200 élèves du secondaire sur 48.000 pouvant par exemple bénéficier d’un repas chaud le midi.Jeudi, une manifestation dénonçant le “bricolage” de la rentrée a réuni environ 300 professeurs à Mamoudzou, selon les enseignants.”C’est le flou total, on ne peut pas dire combien d’enfants seront là”, a regretté le même jour Adda Fatihoussoundi, présidente de la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) de Mayotte, jugeant que cette rentrée était “prématurée” et les conditions de sécurité pas garanties partout. Le ministre des Outre-mer Manuel Valls a reconnu dans un entretien à Ouest-France publié samedi que la rentrée aurait lieu “dans des conditions qui seront forcément difficiles”. Il est attendu sur place jeudi et vendredi aux côtés de la ministre de l’Education nationale Elisabeth Borne.Certains établissement ont “10% de leur bâti touché, d’autres 80%, mais aucun d’entre eux n’a été totalement épargné”, estime Bruno Dezile, secrétaire départemental de la CGT Educ’action, qui alerte aussi sur les “pillages” et les “nombreuses intrusions” qui ont touché des établissements après la tempête.Selon les plannings diffusés par le rectorat, collégiens et lycéens seront accueillis un à deux jours pendant la semaine de la rentrée.Des cours de français et mathématiques sont par ailleurs diffusés chaque jour sur la chaîne Mayotte la 1ère pour les élèves scolarisés du CE2 jusqu’à la 3e.Les professeurs s’interrogent aussi sur l’état de traumatisme psychologique de leurs élèves et ne savent pas toujours combien d’entre eux ils retrouveront sur les bancs cette semaine.Des cellules d’écoute psychologique ont été mises en place dans trois collèges, tandis qu’un service d’écoute téléphonique est accessible gratuitement 24 heures sur 24.Certains parents ont fait le choix de scolariser leur enfant hors de Mayotte. Cela concerne à ce jour près de 1.200 élèves dont 422 sur l’île de La Réunion, précise le ministère. dje-tbm-hdu-al/bfa/jco

A Mayotte, rentrée des élèves en mode dégradé après le cyclone

C’est le jour J pour les quelque 115.000 élèves de Mayotte, qui retournent à l’école à partir de lundi dans des conditions dégradées, par rotation de classes, un mois et demi après les ravages causés par le cyclone Chido.La rentrée des élèves, prévue le 13 janvier dans l’archipel français de l’océan Indien, avait d’abord été décalée au 20, puis au 27, pour faire face aux dégâts causés par Chido, puis par la tempête Dikeledi.Malgré des appels à un nouveau report, l’académie a maintenu son calendrier, invoquant la nécessité de garder le contact avec les élèves et de ne pas compromettre leurs chances aux examens.Mais tout le monde n’est pas de cet avis, et certains parents anticipent un fiasco. Mirelane Miradji, mère de deux enfants scolarisés en CE1 et à la maternelle, estime que “les conditions ne sont pas bonnes”.”L’hygiène dans les sanitaires et dans les locaux délabrés ne sera pas au rendez-vous. J’aurais préféré attendre que les établissements soient en bon état pour les remettre à l’école. C’est un entre-deux qui n’est pas satisfaisant”, a-t-elle témoigné auprès de l’AFP.Les enseignants ont fait leur rentrée lundi dernier, découvrant des établissements parfois très endommagés.Le ministère de l’Education a promis dimanche soir la livraison progressive “dès la rentrée” de cahier, stylos, et autres fournitures mais aussi de tables et de chaises. Dans le premier degré, sur les 221 écoles, 45 ne pourront rouvrir lundi “en raison des dommages trop importants”, indique-t-on de même source. Pour le secondaire, quatre établissements resteront fermés, selon le communiqué.”Tous les autres établissements accueilleront les élèves suivant une organisation adaptée tenant compte des réalités locales”, assure le ministère.- “Saturés” -Avant Chido, le système scolaire de Mayotte, département le plus pauvre de France, où la moitié des habitants a moins de 18 ans et ne parle pas français, était déjà défaillant.En 2022, un rapport de la chambre régionale des comptes (CRC) décrivait des établissements “saturés” et un bâti “dégradé requérant des travaux de rénovation importants”.L’ensemble des établissements de l’archipel sont pourtant classés en réseau d’éducation prioritaire REP ou REP+.”Le manque de locaux a conduit depuis de nombreuses années les communes à instaurer un système de rotation dans les écoles primaires: la moitié des élèves ont classe le matin, l’autre l’après-midi”, relevait la CRC, dressant un état des lieux catastrophique, seuls 8.200 élèves du secondaire sur 48.000 pouvant par exemple bénéficier d’un repas chaud le midi.Jeudi, une manifestation dénonçant le “bricolage” de la rentrée a réuni environ 300 professeurs à Mamoudzou, selon les enseignants.”C’est le flou total, on ne peut pas dire combien d’enfants seront là”, a regretté le même jour Adda Fatihoussoundi, présidente de la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) de Mayotte, jugeant que cette rentrée était “prématurée” et les conditions de sécurité pas garanties partout. Le ministre des Outre-mer Manuel Valls a reconnu dans un entretien à Ouest-France publié samedi que la rentrée aurait lieu “dans des conditions qui seront forcément difficiles”. Il est attendu sur place jeudi et vendredi aux côtés de la ministre de l’Education nationale Elisabeth Borne.Certains établissement ont “10% de leur bâti touché, d’autres 80%, mais aucun d’entre eux n’a été totalement épargné”, estime Bruno Dezile, secrétaire départemental de la CGT Educ’action, qui alerte aussi sur les “pillages” et les “nombreuses intrusions” qui ont touché des établissements après la tempête.Selon les plannings diffusés par le rectorat, collégiens et lycéens seront accueillis un à deux jours pendant la semaine de la rentrée.Des cours de français et mathématiques sont par ailleurs diffusés chaque jour sur la chaîne Mayotte la 1ère pour les élèves scolarisés du CE2 jusqu’à la 3e.Les professeurs s’interrogent aussi sur l’état de traumatisme psychologique de leurs élèves et ne savent pas toujours combien d’entre eux ils retrouveront sur les bancs cette semaine.Des cellules d’écoute psychologique ont été mises en place dans trois collèges, tandis qu’un service d’écoute téléphonique est accessible gratuitement 24 heures sur 24.Certains parents ont fait le choix de scolariser leur enfant hors de Mayotte. Cela concerne à ce jour près de 1.200 élèves dont 422 sur l’île de La Réunion, précise le ministère. dje-tbm-hdu-al/bfa/jco