AFP Top News

Syria authorities name Sharaa interim president: state media

Syria’s new authorities announced Wednesday that Ahmed al-Sharaa, who took the helm after Bashar al-Assad’s ouster last month, has been appointed interim president and tasked with forming a transitional legislature, state media reported.A rebel alliance led by Sharaa’s Islamist group Hayat Tahrir al-Sham (HTS) ousted Assad on December 8 after a lightning offensive, ending five …

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Germany’s far-right ‘firewall’ crumbles as migration debate flares

Weeks before Germany’s elections, a heated immigration debate inflamed by a deadly knife attack triggered a political earthquake Wednesday when conservative parties for the first time cooperated with the far-right AfD.In what was decried by opponents as a breach of a long-standing taboo, the opposition CDU-CSU relied on backing from the anti-immigration Alternative for Germany …

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Trump commerce pick says favors broad tariffs, vows tough China stance

Donald Trump’s commerce secretary nominee told his US Senate confirmation hearing Wednesday he favors “across-the-board” tariffs targeting countries rather than products, while signaling a hawkish China stance.”We can use tariffs to create reciprocity, fairness and respect,” said Howard Lutnick, a close Trump ally and billionaire CEO of Wall Street firm Cantor Fitzgerald.Lutnick’s appearance comes as …

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Man City, PSG stay alive in Champions League as Arsenal reach last 16

Manchester City came from behind against Club Brugge to reach the Champions League knockout phase, where they were safely joined by Paris Saint-Germain as Arsenal qualified directly for the last 16 on Wednesday in the final round of league-phase matches.Inter Milan, Atletico Madrid, Bayer Leverkusen, Lille and Aston Villa also followed Liverpool and Barcelona in …

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L’air de rien, Macron défend sa politique et son bilan

Un chef de l’Etat dans l’arène, vantant sa politique économique et son bilan : Emmanuel Macron, en retrait de la gouvernance du pays depuis la dissolution de l’Assemblée, a retrouvé mercredi des accents de président “qui gouverne” lors d’un déplacement dans le nord de la France.”J’entends parfois tous les débats qu’on a en ce moment. Moi je ne fais pas de politique. Je ne sais pas si c’est de droite ou de gauche. Je sais que ça marche”, a-t-il martelé en visitant un site du groupe Framatome, géant de la filière nucléaire, à Maubeuge (Nord).”La constance et la stabilité c’est ce qui permet de tenir”, a-t-il insisté comme en écho aux propos de Bernard Arnault, le PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui a dénoncé mardi l’augmentation prévue des impôts sur les entreprises françaises.Le patron de LVMH a jugé qu’il s’agissait d’une “taxe sur le made in France” qui “pousse à la délocalisation” et vanté en contrepoint la politique du président Donald Trump aux Etats-Unis.”Une politique qui aide les entreprises à investir, qui récompense le travail et qui aide à réinvestir et à innover c’est une politique qui permet de créer de l’emploi et d’industrialiser. Il y a pas de secret”, a insisté Emmanuel Macron.Le chef de l’Etat a raréfié ses prises de parole depuis la dissolution, se posant en “président qui préside” face à un “gouvernement qui gouverne”.- “Pas de fatalité” -Pour ce premier déplacement de terrain depuis septembre – alors qu’ils étaient quasi hebdomadaires du temps de “l’hyperprésidence” –  il a retrouvé sa tonalité d’avant, lorsqu’il déroulait toutes les annonces à l’échelle nationale, de l’éducation aux transports.Venu annoncer un nouveau plan de soutien de quelque 290 millions d’euros pour le développement du territoire déshérité de Sambre-Avesnois-Thiérache, à la frontière avec la Belgique, il a décliné les projets qui allaient être financés, de la santé à la création d’une brigade contre les violences intrafamiliales.”Vous démontrez que quand on s’accroche, quand on le veut, quand on se bat, quand on se donne les moyens et qu’on se fait confiance, il n’y a aucune fatalité. Il n’y a que des projets et des solutions qui avancent. C’est ce pour quoi nous nous battons”, a-t-il lancé à Aulnoye-Aymeries (Nord).Avec une scénographie qui rappelait celle des grands débats lors de la crise des Gilets jaunes, avec un président en verve, parlant debout, au milieu d’élus et responsables économiques.S’il a perdu la main sur la politique économique et sociale au profit du Premier ministre, Emmanuel Macron entend continuer à incarner des batailles emblématiques, comme celle pour une “nouvelle Renaissance” du Louvre, avec une série d’annonces mardi.Le président est “en charge à la fois de l’essentiel et puis du quotidien”, martèle l’Elysée.- RN en embuscade -Les deux premiers plans déroulés sous sa houlette sur ce territoire, à cheval entre le Nord et l’Aine, y ont fait reculer le chômage de 16,5% en 2017 à 12% en 2024 et relancé les créations d’entreprises avec quelque 2.500 par an contre 1.500 en 2018, se félicite l’Elysée.Ils ont permis de doubler le nombre de voies de la RN2, de construire un nouveau complexe hospitalier à Maubeuge, un commissariat à Aulnoye ou de réhabiliter 70.000 logements et nombre de friches industrielles.Sans enrayer pour autant la montée du Rassemblement national (RN) dans ce secteur aux législatives de 2022 et 2024. “C’est vrai que, aujourd’hui, les électeurs n’ont pas dit : +On est contents de cette politique, on revote pour elle+”, a concédé le chef de l’Etat dans une interview à plusieurs médias régionaux dont La Voix du Nord.”On le voit bien, les gens vont vers les extrêmes qui catalysent une colère, un ras-le-bol qui existe chez les gens, ce que j’entends”, a-t-il ajouté tout en appelant à “confronter” ce “discours décliniste”.Ironie de l’histoire, Emmanuel Macron était accompagné par le président LR des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, pressenti un temps pour Matignon après la dissolution avant d’être recalé sur pression du RN.

Des juges du procès du RN menacés, une enquête ouverte

Une enquête a été ouverte sur des menaces de mort postées sur le site d’extrême droite Riposte laïque visant trois magistrats du procès contre le RN pour détournement de fonds européens, a indiqué mercredi le parquet de Paris, confirmant une information de Reuters.”Le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) a ouvert une enquête pour les menaces de mort au préjudice de magistrats, proférées sur internet”, a précisé la même source.Le PNLH “se dessaisira, comme d’habitude, au profit des parquets compétents en raison des domiciles de mis en cause qui seraient identifiés”, a-t-on ajouté. Selon une source proche du dossier, l’enquête est menée par la brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP).Les messages postés visent la magistrate qui a présidé ce procès qui s’est tenu du 30 septembre au 27 novembre devant le tribunal correctionnel de Paris.Les menaces concernent également les deux procureurs qui ont requis contre les 25 prévenus, dont Marine Le Pen, des peines élevées assortie d’une inéligibilité avec exécution immédiate, mettant en péril les ambitions électorales de la cheffe de file du Rassemblement national (RN) pour 2027.Selon franceinfo, les menaces ont été publiées dans les commentaires sous des articles sur le procès et supprimés depuis.”S’en prendre nommément aux personnes qui incarnent l’institution judiciaire ne saurait être accepté”, a dénoncé le parquet. “Face à ces propos violents, il est rappelé qu’il est fondamental dans toute société démocratique que le débat judiciaire demeure encadré par la procédure pénale.”Pour la procureure générale de la cour d’appel de Paris, Marie-Suzanne Le Quéau, “on assiste à une dérive extrêmement inquiétante ces dernières années”.”Tous ceux qui exercent des fonctions d’autorité, (…) des magistrats mais je pense aussi aux policiers, aux gendarmes, aux enseignants, sont l’objet de plus en plus de menaces de mort et sont l’objet de propos totalement décomplexés”, a-t-elle développé mercredi matin sur France Inter. “Ce n’est pas une spécificité de ce procès, c’est une tendance bien plus générale et au demeurant fort inquiétante”, a précisé la procureure générale.Le RN, Marine Le Pen et 24 autres personnes dont le numéro 2 du parti Louis Aliot, le porte-parole Julien Odoul ou l’ex-trésorier Wallerand de Saint-Just, sont soupçonnés d’avoir détourné 4,5 millions d’euros entre 2004 et 2016 au préjudice du Parlement européen via des emplois fictifs d’assistants parlementaires. La décision sera rendue le 31 mars.

Trump’s health pick RFK Jr grilled over vaccines, abortion in Senate

Robert F. Kennedy Jr. came under withering attack from Democratic senators on Wednesday over his history of promoting vaccine misinformation and his sudden embrace of anti-abortion policies during a high-stakes confirmation hearing to become President Donald Trump’s health secretary.The 71-year-old Kennedy scion and former environmental lawyer is vying to lead a department overseeing more than …

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A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Crues: 3 départements toujours en rouge, Redon attend le pic

La vigilance rouge pour crues sera maintenue jeudi dans le Morbihan, la Loire-Atlantique et en Ille-et-Vilaine où la dépression Ivo a aggravé mercredi les inondations causées par les tempêtes Eowyn et Herminia, comme à Redon où des habitations sont “encerclées” par les cours d’eau qui ont quitté leur lit.Sur l’ensemble du département, aucune victime n’est toutefois à déplorer et, depuis dimanche, 1.106 personnes ont été évacuées (établissements sanitaires et médico-sociaux compris), a indiqué mercredi soir la préfecture d’Ille-et-Vilaine.Entouré de rivières, de marais et d’un canal, le secteur de Redon, en Ille-et-Vilaine, limitrophe du Morbihan et de la Loire-Atlantique, est particulièrement vulnérable et, mercredi, 25 sinistrés ont été pris en charge dans un centre d’hébergement d‘urgence, qui compte 50 lits, selon la mairie.  D’autres, comme Wilfried Lucas, 52 ans, voient leur domicile “encerclé” par les eaux “mais ce n’est pas la panique”, déclare-t-il à l’AFP.Partout dans la ville, des parpaings et sacs de sable ont été disposés devant les portes d’immeubles et de commerces. La Vilaine a envahi plusieurs rues du centre-ville, effaçant les limites entre le fleuve et ses rives, où s’activent des pompiers, l’eau jusqu’aux mollets.Le niveau de la Vilaine “est prévu à 5,42 m jeudi à 17H00. La prévision basse est à 5,21 m et haute à 5,62 m. La crue record de 1936 était à 5,46 m”, rappelle la mairie.Selon la maire-adjointe Géraldine Denigot, gilet rouge siglé Redon, “quelques personnes restent à leur domicile, ils habitent à l’étage et ça ne les dérange pas de ne pas avoir l’électricité”, confie-t-elle. Mille mètres de barrages anti-crues ont été installés sur les quais, selon la préfecture. Le tribunal de proximité de la ville a également été fermé, a annoncé le parquet de Rennes.Plusieurs embarcations de CRS “sont déployés à Redon et à Guipry-Messac pour des missions de sécurité générale, d’assistance aux sinistrés et de secours à personne”, selon la préfecture.- Crues historiques ? -“Tandis que sur la plupart des bassins la tendance était à la décrue, la propagation des crues formées est toujours en cours à la confluence entre Oust et vilaine, dans le pays de Redon”, selon le dernier bulletin Vigicrues vers 16H00. “Les pluies déjà observées et prévues en soirée ce mercredi sur l’ensemble du bassin versant de la Vilaine vont maintenir des niveaux très élevés jusqu’en fin de semaine”, estime Vigicrues.Le pic de la crue est lui encore incertain.”Les éléments que nous avons aujourd’hui prévoient un pic vers 17H00″ jeudi, et non plus dans la nuit de mercredi à jeudi comme initialement prévu, a indiqué le maire de Redon Pascal Duchêne en fin d’après-midi. Selon Jean-François Mary, président de l’agglomération de Redon, le pic va dépendre de l’intensité des pluies en cours et pourrait intervenir “peut-être jeudi ou vendredi, voire samedi”.D’après la préfecture, la dépression IVO “générera encore des pluies modérées ou des averses jusqu’à jeudi matin sur les régions du nord-ouest, avec la poursuite des crues et inondations”. Dans le département, “elle apportera des précipitations moindres, de l’ordre de 10 millimètres”.En Ille-et-Vilaine plus de 100 routes ont été coupées ou déviées tandis que 38 villes ont activé leurs Plans communaux de sauvegarde (PCS), selon la préfecture. Le trafic ferroviaire était lui toujours perturbé, avec “la circulation des trains interrompue entre Nantes et Rennes (…) La reprise des circulations est estimée au samedi 1er février à 06H00 et dépendra des conditions météorologiques”, indique TER Pays de la Loire sur X.A Rennes, “les précipitations de ce mercredi font craindre une nouvelle montée des eaux”, a indiqué la mairie. Les parcs, les jardins et les cimetières restent toujours fermés sur l’ensemble de la capitale bretonne.La Loire-Atlantique, le Morbihan et l’Ille-et-Vilaine restent en alerte rouge. La Somme a rejoint le Calvados, le Maine-et-Loire, la Mayenne, la Sarthe et l’Orne, placés en vigilance orange crues. all-bur-mas-laf/gvy