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New search in Madeleine McCann case finished: Portuguese police

A new search launched this week into the disappearance of British toddler Madeleine McCann ended Thursday, said police in Portugal, where she went missing 18 years ago.Investigators, who spent three days scouring areas near the southern beach resort where Madeleine disappeared during a family holiday, did not detail the results of their latest searches.Madeleine was …

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Procès pour écoblanchiment contre TotalEnergies: décision en octobre

Un groupe pétrolier peut-il dire qu’il contribue à “préserver la planète”? Qu’il vise la “neutralité carbone? Après une audience inédite jeudi en France, les juges diront le 23 octobre si TotalEnergies a trompé le consommateur en le clamant dans sa communication.Dans une salle comble, le premier groupe pétrolier et gazier français, 4e dans le monde, s’est défendu au tribunal de Paris de toute insincérité dans sa communication face aux associations Greenpeace France, les Amis de la Terre France et Notre Affaire à Tous, qui l’accusent de “pratiques commerciales trompeuses”.Le groupe dirigé par Patrick Pouyanné défend sa “bonne foi”, de la réalité de ses investissements dans le solaire, l’éolien et les stations de recharge électrique, et répond qu’on ne peut lui reprocher une “communication institutionnelle”, très éloignée d’une publicité pour des stations-service.Loin des tensions des manifestations régulières contre TotalEnergies, la contestation s’est déroulée dans l’atmosphère feutrée d’un tribunal, avec sur le banc des accusés les émissions de CO2 du groupe, qui restent supérieures à celles d’un pays comme la France et le resteront au moins à moyen terme.Le “greenwashing” ou écoblanchiment, soit le fait de se présenter comme plus vertueux en matière environnementale qu’en réalité, n’existant pas spécifiquement en droit, c’est par la voie juridique des pratiques commerciales trompeuses que les militants ont attaqué, dans une procédure civile.Inédit pour un géant de l’énergie en France, le procès pourrait créer une jurisprudence sur les limites de la communication environnementale des entreprises, longtemps laissée sans garde-fou, et qui commence seulement à être réglementée dans l’Union européenne.- Neutralité carbone -Au cÅ“ur de l’affaire: la campagne du groupe sur ses sites internet, à la télévision, ainsi que sur Twitter, LinkedIn ou Instagram à partir de mai 2021, peu après s’être rebaptisé de Total en TotalEnergies, avec un nouveau logo arc-en-ciel.La multinationale affichait son objectif de “neutralité carbone d’ici 2050” et se présentait en “acteur majeur de la transition énergétique”. Au total, une quarantaine de messages sont contestés.Ils rendent, “pour un consommateur moyen, impossible de comprendre que TotalEnergies est en train d’étendre sa production d’énergies fossiles”, a plaidé Clémentine Baldon, l’avocate des associations, lors de plus de quatre heures d’audience.La stratégie du groupe “ne facilitera pas la transition énergétique, elle la retarde, voire l’empêche, et contribue à mettre en péril les objectifs de l’accord de Paris” sur le climat, a-t-elle dit.L’avocate cite l’ONU ou l’Agence internationale de l’énergie, qui a argué qu’extraire davantage de pétrole n’était pas compatible avec le sauvetage du climat.Mais “il n’y a aucune incompatibilité”, rétorque l’avocate de l’entreprise, Françoise Labrousse, qui juge “simpliste” d’arrêter immédiatement les hydrocarbures. D’ailleurs, Greenpeace lui-même utilise encore des bateaux à carburants fossiles, relève-t-elle…- Davantage d’affaires -“Le greenwashing, ce serait de promettre que l’essence vendue en stations-service est neutre en carbone”, dit plus tard Françoise Labrousse. Son client n’a “jamais dit que ses produits étaient bons pour le climat”.TotalEnergies enfonce le clou avec un argument central: ces messages n’étaient pas des publicités, mais relevaient d’une “communication institutionnelle” encadrée par le droit boursier. Il dénonce une “instrumentalisation du droit de la consommation” pour faire le procès climatique de l’entreprise.Ce n’est pas le consommateur qui était ciblé, “c’est l’ensemble des parties prenantes du groupe”, — clients, fournisseurs, investisseurs — plaide Françoise Labrousse. Mais les associations font valoir qu’Adidas a été condamné en Allemagne en lien avec son objectif de neutralité climatique.Les associations veulent empêcher TotalEnergies “de se présenter communément comme un champion de la transition énergétique”, martèle Clémentine Baldon.Le tribunal devra aussi juger de la promotion du gaz comme indispensable à la transition énergétique, malgré son bilan climatique contesté en raison des fuites de méthane, très réchauffant pour l’atmosphère.Là encore, l’avocate de TotalEnergies s’est amusée à citer Greenpeace Belgique, qui a autrefois qualifié le gaz de “bien utile” pour la transition.Dans les tribunaux européens, la jurisprudence sur l’écoblanchiment se construit doucement. Certains groupes ont perdu, comme les compagnies aériennes KLM et Lufthansa.Mais TotalEnergies peut se prévaloir de décisions allant dans son sens, en faveur du groupe énergétique suédois Vattenfall, ou du géant espagnol de l’électricité Iberdrola.

Procès pour écoblanchiment contre TotalEnergies: décision en octobre

Un groupe pétrolier peut-il dire qu’il contribue à “préserver la planète”? Qu’il vise la “neutralité carbone? Après une audience inédite jeudi en France, les juges diront le 23 octobre si TotalEnergies a trompé le consommateur en le clamant dans sa communication.Dans une salle comble, le premier groupe pétrolier et gazier français, 4e dans le monde, s’est défendu au tribunal de Paris de toute insincérité dans sa communication face aux associations Greenpeace France, les Amis de la Terre France et Notre Affaire à Tous, qui l’accusent de “pratiques commerciales trompeuses”.Le groupe dirigé par Patrick Pouyanné défend sa “bonne foi”, de la réalité de ses investissements dans le solaire, l’éolien et les stations de recharge électrique, et répond qu’on ne peut lui reprocher une “communication institutionnelle”, très éloignée d’une publicité pour des stations-service.Loin des tensions des manifestations régulières contre TotalEnergies, la contestation s’est déroulée dans l’atmosphère feutrée d’un tribunal, avec sur le banc des accusés les émissions de CO2 du groupe, qui restent supérieures à celles d’un pays comme la France et le resteront au moins à moyen terme.Le “greenwashing” ou écoblanchiment, soit le fait de se présenter comme plus vertueux en matière environnementale qu’en réalité, n’existant pas spécifiquement en droit, c’est par la voie juridique des pratiques commerciales trompeuses que les militants ont attaqué, dans une procédure civile.Inédit pour un géant de l’énergie en France, le procès pourrait créer une jurisprudence sur les limites de la communication environnementale des entreprises, longtemps laissée sans garde-fou, et qui commence seulement à être réglementée dans l’Union européenne.- Neutralité carbone -Au cÅ“ur de l’affaire: la campagne du groupe sur ses sites internet, à la télévision, ainsi que sur Twitter, LinkedIn ou Instagram à partir de mai 2021, peu après s’être rebaptisé de Total en TotalEnergies, avec un nouveau logo arc-en-ciel.La multinationale affichait son objectif de “neutralité carbone d’ici 2050” et se présentait en “acteur majeur de la transition énergétique”. Au total, une quarantaine de messages sont contestés.Ils rendent, “pour un consommateur moyen, impossible de comprendre que TotalEnergies est en train d’étendre sa production d’énergies fossiles”, a plaidé Clémentine Baldon, l’avocate des associations, lors de plus de quatre heures d’audience.La stratégie du groupe “ne facilitera pas la transition énergétique, elle la retarde, voire l’empêche, et contribue à mettre en péril les objectifs de l’accord de Paris” sur le climat, a-t-elle dit.L’avocate cite l’ONU ou l’Agence internationale de l’énergie, qui a argué qu’extraire davantage de pétrole n’était pas compatible avec le sauvetage du climat.Mais “il n’y a aucune incompatibilité”, rétorque l’avocate de l’entreprise, Françoise Labrousse, qui juge “simpliste” d’arrêter immédiatement les hydrocarbures. D’ailleurs, Greenpeace lui-même utilise encore des bateaux à carburants fossiles, relève-t-elle…- Davantage d’affaires -“Le greenwashing, ce serait de promettre que l’essence vendue en stations-service est neutre en carbone”, dit plus tard Françoise Labrousse. Son client n’a “jamais dit que ses produits étaient bons pour le climat”.TotalEnergies enfonce le clou avec un argument central: ces messages n’étaient pas des publicités, mais relevaient d’une “communication institutionnelle” encadrée par le droit boursier. Il dénonce une “instrumentalisation du droit de la consommation” pour faire le procès climatique de l’entreprise.Ce n’est pas le consommateur qui était ciblé, “c’est l’ensemble des parties prenantes du groupe”, — clients, fournisseurs, investisseurs — plaide Françoise Labrousse. Mais les associations font valoir qu’Adidas a été condamné en Allemagne en lien avec son objectif de neutralité climatique.Les associations veulent empêcher TotalEnergies “de se présenter communément comme un champion de la transition énergétique”, martèle Clémentine Baldon.Le tribunal devra aussi juger de la promotion du gaz comme indispensable à la transition énergétique, malgré son bilan climatique contesté en raison des fuites de méthane, très réchauffant pour l’atmosphère.Là encore, l’avocate de TotalEnergies s’est amusée à citer Greenpeace Belgique, qui a autrefois qualifié le gaz de “bien utile” pour la transition.Dans les tribunaux européens, la jurisprudence sur l’écoblanchiment se construit doucement. Certains groupes ont perdu, comme les compagnies aériennes KLM et Lufthansa.Mais TotalEnergies peut se prévaloir de décisions allant dans son sens, en faveur du groupe énergétique suédois Vattenfall, ou du géant espagnol de l’électricité Iberdrola.

Vol de la statue de Macron au musée Grévin: deux militants de Greenpeace mis en examen

Deux militants de l’ONG Greenpeace ont été mis en examen jeudi pour “vol en réunion d’un bien culturel exposé”, après le vol au musée Grévin lundi de la statue de cire d’Emmanuel Macron, qui avait été rendue le lendemain, a indiqué à l’AFP le parquet de Paris.Ces deux militants avaient été présentés à un juge d’instruction plus tôt dans la journée, dans le cadre de l’ouverture d’une information judiciaire.A la mi-journée, ces deux personnes, une femme et un homme, ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du ministère public.”Je ne comprends pas cette décision d’ouvrir une information judiciaire, le musée Grévin a bien indiqué qu’il n’y avait aucun préjudice. De plus en plus, la justice devient un instrument pour dissuader des militants d’exercer leur liberté d’expression et d’opinion”, a déclaré à l’AFP l’avocate des mis en cause, Me Marie Dosé.Elle a affirmé également que “la garde à vue s'(était) passée dans des conditions absolument sordides”.Plus tôt dans la journée, Me Marie Dosé avait estimé que “toutes les infractions (avaient) pris fin avec la remise de la statue: le vol comme le recel aggravés retenus par le parquet. Et aucun préjudice ne découle de l’action non violente menée par Greenpeace France”.Le musée, qui avait porté plainte lundi une fois le vol constaté, a ensuite pris cette affaire avec humour. “La contemplation des personnages se fait uniquement sur place”, indiquait ainsi son compte Instagram.La statue de cire du chef de l’Etat avait été subtilisée lundi par des militants de Greenpeace qui avaient réussi à s’en emparer en se faisant passer pour des artisans chargés de la maintenance.Ils avaient ensuite déposé la statue devant l’ambassade de Russie à Paris dans le cadre d’une brève action visant à dénoncer les liens économiques persistants entre Paris et Moscou malgré la guerre en Ukraine.Mardi soir, Greenpeace avait rendu la statue en la déposant devant le siège d’EDF à Paris devant une pancarte proclamant “Poutine-Macron Alliés radioactifs”, après avoir prévenu les autorités.Selon Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France, les deux personnes interpellées lundi sont celles qui conduisaient le camion lors de l’action devant l’ambassade de Russie et non celles qui ont “emprunté” la statue dans le musée Grévin.Me Marie Dosé affirme également que les deux militants ont été “attachés pendant des heures à des bancs, trimballés de commissariat en commissariat” et que “l’une a passé la nuit sans couverture et n’a pas pu s’allonger car sa cellule était trop petite. L’autre a dû dormir au sol car sa cellule contenait trop de personnes”.gd-nal-abe-jul-kd/mat/hdz

Vol de la statue de Macron au musée Grévin: deux militants de Greenpeace mis en examen

Deux militants de l’ONG Greenpeace ont été mis en examen jeudi pour “vol en réunion d’un bien culturel exposé”, après le vol au musée Grévin lundi de la statue de cire d’Emmanuel Macron, qui avait été rendue le lendemain, a indiqué à l’AFP le parquet de Paris.Ces deux militants avaient été présentés à un juge d’instruction plus tôt dans la journée, dans le cadre de l’ouverture d’une information judiciaire.A la mi-journée, ces deux personnes, une femme et un homme, ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du ministère public.”Je ne comprends pas cette décision d’ouvrir une information judiciaire, le musée Grévin a bien indiqué qu’il n’y avait aucun préjudice. De plus en plus, la justice devient un instrument pour dissuader des militants d’exercer leur liberté d’expression et d’opinion”, a déclaré à l’AFP l’avocate des mis en cause, Me Marie Dosé.Elle a affirmé également que “la garde à vue s'(était) passée dans des conditions absolument sordides”.Plus tôt dans la journée, Me Marie Dosé avait estimé que “toutes les infractions (avaient) pris fin avec la remise de la statue: le vol comme le recel aggravés retenus par le parquet. Et aucun préjudice ne découle de l’action non violente menée par Greenpeace France”.Le musée, qui avait porté plainte lundi une fois le vol constaté, a ensuite pris cette affaire avec humour. “La contemplation des personnages se fait uniquement sur place”, indiquait ainsi son compte Instagram.La statue de cire du chef de l’Etat avait été subtilisée lundi par des militants de Greenpeace qui avaient réussi à s’en emparer en se faisant passer pour des artisans chargés de la maintenance.Ils avaient ensuite déposé la statue devant l’ambassade de Russie à Paris dans le cadre d’une brève action visant à dénoncer les liens économiques persistants entre Paris et Moscou malgré la guerre en Ukraine.Mardi soir, Greenpeace avait rendu la statue en la déposant devant le siège d’EDF à Paris devant une pancarte proclamant “Poutine-Macron Alliés radioactifs”, après avoir prévenu les autorités.Selon Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France, les deux personnes interpellées lundi sont celles qui conduisaient le camion lors de l’action devant l’ambassade de Russie et non celles qui ont “emprunté” la statue dans le musée Grévin.Me Marie Dosé affirme également que les deux militants ont été “attachés pendant des heures à des bancs, trimballés de commissariat en commissariat” et que “l’une a passé la nuit sans couverture et n’a pas pu s’allonger car sa cellule était trop petite. L’autre a dû dormir au sol car sa cellule contenait trop de personnes”.gd-nal-abe-jul-kd/mat/hdz

Incendie mortel dans une résidence de Courchevel: le propriétaire nie être “un voyou”

Le propriétaire d’une résidence de Courchevel, où deux saisonniers sont morts dans un incendie criminel en 2019, a nié avoir eu conscience des failles sécuritaires du bâtiment malgré les témoignages accablants de locataires, jeudi au premier jour de son procès.”Si j’avais été informé pour réaliser des travaux, je l’aurais fait immédiatement”, a assuré Eric Claret-Tournier, 59 ans, jugé pour homicide et blessures involontaires par le tribunal correctionnel d’Albertville.”Je suis tout sauf un voyou”, a ajouté ce chef d’entreprises, à la tête de onze hôtels, restaurants et boîtes de nuit dans la station de ski huppée de Savoie, affirmant dépenser jusqu’à 150.000 euros chaque année dans l’entretien de ses propriétés.Se présentant comme bouleversé par cette “tragédie”, il a reconnu quelques manquements dans la résidence Isba, qui avait pris feu le 20 janvier 2019. “Si je pouvais refaire l’histoire, je le ferais différemment…”Bien que l’incendie ait été d’origine criminelle – son auteur vient d’être condamné à la perpétuité – l’enquête a mis en évidence de nombreuses carences dans la résidence, construite dans les années 50 et dont l’état vétuste contrastait avec les hôtels de luxe voisins. “Extincteurs défectueux”, lances à eau “à faible débit”, “trous dans un mur “rebouchés avec du sopalin”, les témoignages de saisonniers, lus à l’audience, se sont enchaînés pour décrire un immeuble qualifié de “local à poubelles” voire de “ruine”.Interrogé comme témoin, un responsable de la maintenance travaillant pour le groupe de M. Claret-Tournier a reconnu “n’avoir pas eu connaissance de registre de sécurité” à l’Isba et qu’aucun état des lieux des chambres n’avait été réalisé.- “Mal logement” -Le jour de l’incendie, les détecteurs de fumée “n’ont pas fonctionné correctement”, des portes palières comme le système de désenfumage de l’escalier étaient non-conformes et des portes coupe-feu absentes, avaient déjà relevé les enquêteurs. Ces défaillances ont “permis une propagation plus rapide du feu” et n’ont “pas permis une évacuation optimale des occupants”, 57 saisonniers répartis sur trois étages, ont-ils estimé. Conséquence: une femme de 32 ans et un homme de 50 ans ont succombé asphyxiés, et une vingtaine de locataires ont été blessés en se défenestrant pour échapper aux flammes.Alicia, la nièce du défunt, a regretté que son oncle se soit retrouvé coincé dans “une petite pièce”. “Il ne devrait pas y avoir tout ça…”, a témoigné la jeune fille, 17 ans, en sanglotant. Parmi les blessés, Ambre Corci, une jeune saisonnière garde de lourdes séquelles. “J’espère une justice équitable et proportionnelle”, pour “servir d’exemple et éviter que ce genre de situation ne se reproduise”, a déclaré son père à l’AFP en arrivant au tribunal. “Les conditions d’hébergement, c’est ça le pire”, a-t-il ajouté.”Ce procès est vraiment le symbole du mal logement en montagne” car “il y a des tas de saisonniers qui sont mal logés”, a renchéri Antoine Fatiga, responsable national CGT des domaines skiables de France. Courchevel est la station la plus chère des Alpes françaises avec des prix au mètre carré qui démarrent à 19.100 euros mais grimpent à 31.900 euros pour les logements de luxe, ce qui rend la problématique du logement encore plus aiguë que dans d’autres stations.Les audiences doivent durer deux ou trois jours. Le jugement sera mis en délibéré.Le 27 mai, un ressortissant algérien de 28 ans été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité par la cour d’assises de Savoie dans ce dossier. Malgré ses dénégations, les jurés ont reconnu Hicham Abderraouf coupable d’avoir déclenché l’incendie de l’Isba, où vivait une ancienne compagne.