AFP Top News

Syria’s Sharaa vows to promote coexistence, one year after Assad’s ousting

Syrian President Ahmed al-Sharaa vowed to usher in an era of justice and coexistence a year after the overthrow of Bashar al-Assad, with tens of thousands of people taking to the streets to mark the anniversary.Sharaa’s Islamist-led alliance launched a lightning offensive in late November last year and took Damascus on December 8, bringing a …

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European allies back Zelensky after Trump criticism

Ukraine’s European allies put on a show of support for President Volodymyr Zelensky Monday as they expressed scepticism about parts of the US proposal to end Russia’s nearly four-year invasion.British Prime Minister Keir Starmer hosted Zelensky, French President Emmanuel Macron and German Chancellor Friedrich Merz at his Downing Street residence in London.The discussions came after …

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Peace deal at risk as DR Congo, Burundi slam Rwanda and M23 advances

A just-signed agreement aimed at ending the conflict in the Democratic Republic of Congo looked to be unravelling Monday with the DRC and Burundi slamming neighbouring Rwanda after the Rwanda-backed M23 armed group attacked border areas.DRC President Felix Tshisekedi accused Rwanda of “violating” the accord — signed only last Thursday in Washington at the urging …

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Budget de la Sécu: à la veille du vote, le gouvernement multiplie les mains tendues

A la veille d’un scrutin qui s’annonce extrêmement serré, le patron du PS Olivier Faure a appelé ses députés à voter pour le projet de budget de la Sécurité sociale, menacé de rejet par les refus de LR et d’Horizons de le soutenir. De son côté, le gouvernement a multiplié les gestes pour tenter de convaincre, notamment les Ecologistes. La ministre de la Santé Stéphanie Rist a annoncé avoir déposé un amendement pour augmenter l’objectif des dépenses de l’assurance maladie “de 2 à 3%”. L’objectif de 2% était jugé insuffisant par beaucoup, notamment la gauche, pour suivre les dépenses nécessaires à l’hôpital comme à la ville.Mais les écologistes, qui doivent se réunir mardi matin en réunion de groupe pour arrêter leur position de vote, ont accueilli cette annonce avec prudence. “J’ai l’impression que les écologistes comptent pour le gouvernement depuis à peu près trois jours”, a critiqué sur BFMTV lundi soir la patronne du parti, Marine Tondelier. Elle s’est également interrogée sur la hausse annoncée par Mme Rist: “Est-ce que c’est vraiment de l’argent en plus pour les hôpitaux?”, alors que la ministre a déclaré qu’elle était faite notamment pour “rendre compte du fait qu’il n’y aura pas de hausse des franchises médicales” en 2026. L’avenir du Premier ministre Sébastien Lecornu, qui a renoncé à recourir au 49.3 pour faire adopter le texte sans vote, pourrait dépendre du scrutin de mardi. Même si la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon a jugé qu’une démission “n’aurait pas de sens”.- “Pas satisfaisant” – Le vote des socialistes comme des Ecologistes a pris une importance cruciale avec le refus des patrons de LR, Bruno Retailleau, et d’Horizons, Edouard Philippe, de soutenir ce budget. Ces deux responsables, qui ont aussi 2027 en ligne de mire, jugent que Sébastien Lecornu a fait trop de concessions aux socialistes. Ce texte “n’est pas satisfaisant” mais “je ne suis pas partisan du chaos, je ne propose pas de voter contre”, a déclaré lundi soir sur LCI Édouard Philippe, en recommandant aux députés de son parti de s’abstenir. Chez les Républicains, l’ancien Premier ministre Michel Barnier a déclaré sur TF1 prévoir de s'”abstenir, comme d’ailleurs un grand nombre de parlementaires LR”.Moins affirmatif, le député LR Philippe Juvin a dit sur BFMTV réserver sa réponse, en résumant l’enjeu ainsi: “Est-ce qu’il vaut mieux voter un budget qui n’est pas du tout satisfaisant, celui qu’on nous propose, ou est-ce que l’absence de budget est pire?”.Sans texte l’année prochaine, le gouvernement a maintes fois averti que le déficit de la Sécu plongerait autour des 30 milliards d’euros en 2026, contre 23 en 2025.- Changement d’alliance -Allié improbable venu à la rescousse du Premier ministre lundi, le Premier secrétaire du PS Olivier Faure a lui plaidé en faveur d’un “vote pour”. “Le Premier ministre s’est engagé (sur la suspension de la réforme des retraites), il s’est montré fiable dans toute la discussion. Je souhaite que nous puissions à notre tour être fiables”, a-t-il dit sur BFMTV/RMC. Il a estimé avoir obtenu “toute une série d’avancées” en “faisant sauter” le gel des pensions de retraite, des prestations sociales, le doublement des franchises médicales…Lundi soir, Boris Vallaud, le chef des députés socialistes, a confirmé au Monde que la “quasi-unanimité du groupe socialiste s’est prononcée en faveur d’un vote pour”, malgré quelques députés plaidant pour une abstention. Il a espéré que la “discipline de groupe” soit “respectée” mardi.Outre les socialistes, Renaissance, le MoDem, et le groupe indépendant Liot devraient voter majoritairement pour, quand les insoumis et l’alliance RN-UDR devraient voter contre. Les communistes se dirigent vers un vote majoritairement contre.Les voix des écologistes — que le sénateur Yannick Jadot a appelé “au minimum à s’abstenir” — ou même des non-inscrits, pourraient donc s’avérer cruciales. Tout comme la répartition des voix finale chez LR et Horizons. Sans surprise, l’annonce de M. Faure a fait bondir les Insoumis. Leur coordinateur national Manuel Bompard a dénoncé “le changement d’alliance du Parti socialiste” qui valide “une hausse du prix des mutuelles de 1 milliard d’euros, une limitation à un mois des arrêts de travail…”Réagissant sur France Inter Gabriel Attal, le patron des députés Renaissance, s’est lui réjoui que “le travail (parlementaire) (ait) permis de dégager des compromis”.Même si il est adopté mardi, le budget de la Sécurité sociale devra faire encore un aller-retour avec le Sénat. Le projet de budget de l’Etat, encore plus clivant, est, de son côté, toujours en cours d’examen au Sénat.

Thailand-Cambodia clashes reignite, killing soldier and civilians

Thailand launched air strikes Monday on its neighbour Cambodia, with both sides trading blame for renewed fighting on their disputed border that has killed four Cambodian civilians and a Thai soldier.Around 35,000 people in Thailand have been evacuated from border areas, the country’s Second Army Region said.Five days of combat this summer between the two …

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La base militaire de Creil survolée par des drones fin novembre (armée)

La base militaire de Creil (Oise), qui abrite notamment des installations de la Direction du renseignement militaire (DRM), a été survolée par plusieurs drones fin novembre, a appris l’AFP auprès de l’armée de l’Air et de l’Espace (AAE).Confirmant en partie une information de la revue Air et Cosmos, une porte-parole de l’AAE a indiqué à l’AFP que “la présence de plusieurs drones est avérée” dans la nuit du 26 novembre au-dessus de cette base qui abrite des notamment des installations techniques de la DRM, un des principaux services de renseignement français.”Tout lien avec des provocations étrangères est à ce stade prématuré”, a ajouté cette source.Plusieurs potentiels survols de drones au-dessus d’infrastructures critiques ont été signalées en Europe ces dernières semaines, et certains responsables politiques ont accusé la Russie de se livrer à ces actions de guerre hybride. Des survols ont aussi été signalés au-dessus de sites militaires en France. Le 26 novembre, face à la présence avérée des drones, les militaires chargés de la protection du site de Creil ont tiré avec des armes de calibre 12, à canon lisse et à faible portée, selon Air et Cosmos, une information confirmée par une source sécuritaire à l’AFP. L’AAE n’a pas confirmé ces tirs.Un hélicoptère avec un équipage spécialisé dans la lutte antidrones a été ensuite dépêché sur place, mais les drones avaient disparu, selon l’AAE.Selon Air et Cosmos, six drones ont été signalés simultanément, un chiffre qui n’a pas été confirmé.Cette base interarmées “sensible n’a subi aucune dégradation et reste pleinement opérationnelle pour l’ensemble de ses missions”, a ajouté l’AAE, précisant qu’une plainte a été déposée et qu’une enquête est en cours.C’est le deuxième site particulièrement sensible à être survolé par des drones en quelques jours, après la base de l’Île Longue en Bretagne, qui abrite les sous-marins de la dissuasion nucléaire française, jeudi dernier, là encore sans qu’un lien puisse être établi avec la Russie.La source sécuritaire a dit à l’AFP qu’il était trop tôt pour savoir si ces survols sont organisés ou s’il s’agit d’un phénomène de mimétisme consécutif à la publicité donnée à ces survols.A Creil, les militaires ont eu des soupçons sur la présence de drones au-dessus de la base durant les nuits des 28 et 30 novembre mais “les conditions météo (nuit, brouillard épais, plafond bas) n’étaient pas propices à une levée de doute irréfutable”, a indiqué l’AAE, soulignant la proximité de l’aéroport de Roissy et la présence d’avions de ligne.Plusieurs sources militaires ou sécuritaires interrogées ces dernières semaines par l’AFP ont insisté sur le potentiel risque d’emballement psychologique autour des signalements de drones en Europe, soulignant l’immense difficulté d’identifier un drone dans le ciel la nuit par un témoin ne disposant pas de matériels de détection spécifique.

Bronchiolite: une quinzaine de bébés transférés d’Ile-de-France dans d’autres régions

L’épidémie de bronchiolite, qui “monte en puissance” en Ile-de-France, première région hexagonale touchée, s’accompagne de transferts de bébés dans des établissements de régions limitrophes, parfois par manque de lits mais aussi, selon les autorités sanitaires, pour les rapprocher du domicile des parents.En Île-de-France, il a fallu transférer 14 bébés en réanimation vers d’autres régions faute de lits, selon des informations de France Inter lundi matin. “Nous avons 36 lits dans ce service, et 36 lits occupés, pleins”, a notamment exposé à la radio Naïm Ouldali, pédiatre à l’hôpital Robert Debré à Paris.Dans une mise au point, l’Agence régionale de santé a précisé dans l’après-midi que “16 enfants ont été concernés par un transfert vers un hôpital hors Île-de-France” depuis mi-octobre, deux de ces transferts ayant été effectués ce week-end.”Parmi ces 16 transferts, six ne sont pas liés aux tensions sur les places d’hospitalisation en Île-de-France mais répondaient à une problématique non médicale de rapprochement avec le domicile des parents, notamment dans le Val d’Oise et dans les Yvelines”, a notamment indiqué l’ARS.Et, selon son communiqué, “les 10 autres cas de transferts peuvent être effectivement attribués à une tension locale sur l’offre mais pas nécessairement à une saturation des services à l’échelle régionale”. “Dans ces cas de tensions locales, en particulier dans les départements de la grande couronne, un transfert en proximité dans un établissement d’une région limitrophe peut s’avérer plus pertinent et confortable pour les parents qu’un transfert dans un autre département francilien”, selon l’agence.La ministre de la Santé Stéphanie Rist a également affirmé lundi sur BFMTV qu'”il y a des transferts d’enfants entre services souvent dus à des rapprochements familiaux, souvent pour que l’enfant soit pris en charge au plus près d’où il habite”. Mais “on surveille évidemment de très près l’état des services”, a-t-elle assuré.L’Île-de-France, en alerte épidémique pour la bronchiolite pour la sixième semaine, a enregistré une augmentation hebdomadaire des passages aux urgences de 7,4% pour les moins de 2 ans et de 9,7% pour les moins de 1 an entre le 24 et le 30 novembre. L’ARS a cependant pointé “un infléchissement” pour les moins de 2 ans depuis fin novembre.Deux traitements immunisants sont désormais disponibles contre la bronchiolite: l’Abrysvo (Pfizer), vaccin administré à la mère avant la naissance du bébé, et le Beyfortus (AstraZeneca/Sanofi), traitement donné au nourrisson pendant ses premiers mois. Mais “la grosse majorité des parents dont les enfants sont hospitalisés pour une bronchiolite à VRS ne sont pas au courant de l’existence de ces produits-là”, selon Naïm Oualdali.

Slot has ‘no clue’ whether rebel star Salah has played last Liverpool game

Arne Slot admitted Monday that he didn’t know whether Mohamed Salah will play again for Liverpool after the Egypt star was dropped for the Reds’ Champions League clash with Inter Milan.Salah was left in England for Tuesday night’s fixture at the San Siro following extraordinary criticism of Liverpool boss Slot which came after he was …

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