AFP Top News

Grok, is that Gaza? AI image checks mislocate news photographs

This image by AFP photojournalist Omar al-Qattaa shows a skeletal, underfed girl in Gaza, where Israel’s blockade has fuelled fears of mass famine in the Palestinian territory.But when social media users asked Grok where it came from, X boss Elon Musk’s artificial intelligence chatbot was certain that the photograph was taken in Yemen nearly seven years …

Grok, is that Gaza? AI image checks mislocate news photographs Read More »

Législative partielle de Paris: l’ex-ministre Frédérique Bredin candidate du PS face à Dati et Barnier

Une ancienne ministre de François Mitterrand, Frédérique Bredin, 68 ans, sera la candidate du Parti socialiste dans la législative partielle de la 2e circonscription de Paris, face à Michel Barnier et Rachida Dati, a-t-on appris mercredi auprès du parti à la rose.Le conseil fédéral parisien du PS a officiellement proposé mercredi soir, à l’unanimité, son nom au Bureau national du parti, qui devrait l’entériner dans les prochaines semaines.”Frédérique Bredin est une femme solide et expérimentée, la meilleure des candidatures pour représenter la gauche dans la deuxième circonscription de Paris”, face “à Rachida Dati et Michel Barnier qui nous proposent une bataille des egos”, a expliqué à l’AFP Emma Rafowicz, en charge des élections à la fédération. Ancienne ministre socialiste des Sports (1991-1993) dans le gouvernement d’Edith Cresson puis de Pierre Bérégovoy, Frédérique Bredin s’était mise en retrait de la vie politique après avoir rejoint le groupe Lagardère Medias en 2000, mais a ré-adhéré depuis quelques années au PS. Elle soutenait Emmanuel Grégoire dans la primaire socialiste pour les municipales de 2026. Un temps jugée Macron-compatible, elle faisait partie de ceux dont le nom était évoqué lors d’un remaniement en 2018.Nommée présidente du Centre national du Cinéma (CNC) de 2013 à 2019, elle avait cependant refusé de porter la réforme du financement du cinéma souhaitée par Emmanuel Macron.  Parisienne et fille de l’académicien, écrivain et avocat Jean-Denis Bredin, Frédérique Bredin avait rejoint l’Inspection générale des Finances à la sortie de l’ENA.Après avoir intégré à 28 ans le cabinet de Jack Lang, alors ministre de la Culture, elle était entrée deux ans plus tard à l’Elysée, où elle était chargée des dossiers culturels.Cette proche de Laurent Fabius a été députée de Seine-Maritime (1988-1991, réélue en 1995 puis en 1997), maire de Fécamp de 1989 à 1995, et brièvement députée européenne (1994-96).L’ancienne candidate PS dans cette circonscription très marquée à droite, Marine Rosset, est pressentie pour être sa suppléante. Mme Rosset vient de quitter son poste de présidente des Scouts et guides de France, confrontée à une vague de harcèlement qu’elle lie à son homosexualité.Mme Bredin devrait être opposée à l’ancien Premier ministre Michel Barnier, qui a obtenu l’investiture LR, et à la ministre de la Culture Rachida Dati, qui a affirmé qu’elle serait candidate “quoi qu’il arrive”. Le RN Thierry Mariani est également candidat.

Macron prône la fermeté de la France face à l’Algérie inflexible

Emmanuel Macron a demandé au gouvernement d’agir “avec plus de fermeté et de détermination” à l’égard de l’Algérie, prenant acte de l’inflexibilité des autorités algériennes sur les questions migratoires et sur la détention de deux ressortissants français que la France juge arbitraire.Paris et Alger sont empêtrés depuis plus d’un an dans une crise diplomatique sans précédent qui s’est traduite par des expulsions de fonctionnaires de part et d’autre, le rappel des ambassadeurs des deux pays et des restrictions sur les porteurs de visas diplomatiques.Autre conséquence: la cessation de la coopération des consulats algériens présents en France avec les services de l’État français en matière de réadmission d’Algériens jugés dangereux, pourtant sous le coup d’une obligation de quitter le territoire.La crainte du gouvernement français est de devoir remettre en liberté des ressortissants algériens actuellement détenus dans des centres de rétention faute de pouvoir les maintenir dans ces centres indéfiniment.”La France doit être forte et se faire respecter”, fait désormais valoir le chef de l’État français dans une lettre à son Premier ministre, François Bayrou, publiée par le quotidien Le Figaro. “Elle ne peut l’obtenir de ses partenaires que si elle-même leur témoigne le respect qu’elle exige d’eux. Cette règle de base vaut pour l’Algérie aussi”, écrit-il encore.Parmi les mesures demandées au gouvernement, le chef de l’État appelle à suspendre “formellement” l’accord de 2013 avec Alger “concernant les exemptions de visa sur les passeports officiels et diplomatiques”. Une décision qui acte une situation de fait: le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, avait annoncé le 14 mai dernier “le renvoi en Algérie de tous les agents titulaires de passeports diplomatiques qui n’auraient pas actuellement de visa”. La France réagissait alors à une décision “injustifiée et injustifiable” d’Alger d’expulser des fonctionnaires français, avait-il dit.Emmanuel Macron demande également au gouvernement d’user “immédiatement” d’une disposition de la loi immigration de 2024, le “levier visa-réadmission (LVR)”, qui “permet de refuser les visas de court séjour aux détenteurs de passeports de service et diplomatiques, tout comme les visas de long séjour à tous types de demandeurs”.Pour éviter que les diplomates algériens puissent malgré tout venir en France via un pays tiers, la France va demander à ses partenaires Schengen de coopérer.Le président demande en outre à son Premier ministre “d’instruire le ministre de l’Intérieur”, Bruno Retailleau, tenant d’une ligne dure vis-à-vis d’Alger, “de trouver au plus vite les voies et moyens d’une coopération utile avec son homologue algérien”. Il “souhaite également que, face à la délinquance des individus algériens en situation irrégulière, le ministre de l’Intérieur et ses services agissent sans repos et sans répit”.- Canaux de communication -Outre la question migratoire, Emmanuel Macron motive le tour de vis par la situation de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné à 5 ans de prison ferme notamment pour “atteinte à l’unité nationale”, et du journaliste français Christophe Gleizes, condamné à sept ans de prison en Algérie pour “apologie du terrorisme”.Paris juge arbitraires leurs condamnations et demande leur libération.Pour Boualem Sansal, octogénaire et malade, à l’Elysée, on espérait encore en juillet que l’essayiste puisse bénéficier d’un geste humanitaire, ce qui aurait permis d’apaiser les tensions diplomatiques. En vain.Dès le 23 juillet, le ministre français de l’Intérieur avait indiqué que la France était “en train” de restreindre les conditions de déplacement en France d’un “certain nombre de dignitaires algériens” après le refus d’Alger de reprendre 120 ressortissants sous obligation de quitter le territoire français (OQTF).Visant le président Emmanuel Macron, il avait aussi estimé que “la diplomatie des bons sentiments a(vait) échoué” et réclamé un changement de ton vis-à-vis d’Alger.En dépit de la fermeté demandée, le président de la République promet que son “objectif reste de retrouver des relations efficaces et ambitieuses avec l’Algérie”.A Paris, on estime que les canaux de communication ne sont pas complètement rompus mais on attend un geste d’Alger.

Isère: un maire grièvement blessé après avoir été agressé dans sa commune

Le maire d’un village de l’Isère a été hospitalisé en urgence absolue, mercredi, après avoir été agressé dans sa commune par une personne armée d’un objet contondant, a-t-on appris de sources concordantes.Gilles Dussault, 63 ans, maire de Villeneuve-de-Marc, un village de moins de 1.200 habitants, a été frappé peu avant 17H00 avec un objet contondant par une personne non identifiée, alors qu’il circulait à pied dans une rue de la localité avec son fils de 28 ans, ont indiqué les pompiers à l’AFP.Le maire a été hospitalisé en urgence absolue à l’hôpital Edouard Herriot de Lyon tandis que son fils a été transporté à l’hôpital de Vienne en urgence relative, selon la même source.L’auteur présumé de l’agression a pris la fuite en véhicule qu’il a abandonné après avoir heurté un mur, et s’est échappé à pied, ont ajouté les pompiers. Les gendarmes sont toujours à sa recherche.”Quand un élu est attaqué, c’est la Nation qui est à ses côtés. Quand on s’attaque à ses représentants, la République se doit d’être sévère et intraitable”, a réagi sur X le président Emmanuel Macron. “Tout est mis en œuvre pour retrouver et condamner l’auteur de cet acte lâche”, a-t-il ajouté.Dans un communiqué, la préfecture a confirmé la “violente” agression. “L’auteur de l’agression est activement recherché par les forces de l’ordre. Catherine Séguin, préfète de l’Isère, condamne avec la plus grande fermeté cet acte grave et inacceptable à l’égard d’élus qui œuvrent pour l’intérêt général”, ajoute le communiqué sans plus de détails sur les circonstances.Sur X, le ministre de l’Aménagement du territoire, le socialiste François Rebsamen, s’est dit “très choqué et ému par la violente agression du maire de Villeneuve-de-Marc et de son fils”. “Un élu de la République et sa famille attaqués : c’est intolérable. L’agresseur doit être retrouvé et sanctionné avec la plus grande fermeté”, a-t-il ajouté.

Six millions de comptes clients Bouygues Telecom touchés par une cyberattaque

Le groupe Bouygues Telecom a été victime d’une cyberattaque entraînant la fuite de données de “6,4 millions de comptes clients”, parmi lesquels des IBAN, a annoncé mercredi l’entreprise dans un communiqué.Les données volées sont “les coordonnées, les données contractuelles, les données d’état civil ou celles de l’entreprise si vous êtes un professionnel, ainsi que les IBAN”, détaille-t-elle dans un mail envoyé à ses clients, consulté par l’AFP. Toutefois, Bouygues précise que “les numéros de cartes bancaires et les mots de passe de vos comptes Bouygues Telecom ne sont pas impactés”. Tous les clients concernés ont reçu ou vont recevoir ce mail ou un SMS pour les en informer. “Cette situation pourrait vous exposer à des tentatives de fraude: mail ou appels frauduleux. En se servant de vos données, un fraudeur peut se faire passer pour Bouygues Telecom ou une autre société (banque, assurance…) et essayer par exemple d’obtenir des informations complémentaires comme votre numéro de carte bancaire ou vos identifiants et mots de passe”, souligne l’opérateur sur une page internet dédiée.Cette cyberattaque détectée lundi a été résolue par les équipes de Bouygues Telecom, qui a “déposé plainte auprès des autorités judiciaires” et l’a signalée à la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL). 

Trump hikes India levy over Russian oil as tariff deadline approaches

US President Donald Trump on Wednesday ordered steeper tariffs on Indian goods over New Delhi’s continued purchase of Russian oil, opening a new front in his trade wars hours before another wave of duties takes effect.The additional 25-percent tariff on Indian goods, coming into place in three weeks, stacks atop a separate 25-percent duty entering …

Trump hikes India levy over Russian oil as tariff deadline approaches Read More »

La France doit agir avec “plus de fermeté et de détermination” vis-à-vis de l’Algérie, exhorte Macron

La France doit agir “avec plus de fermeté et de détermination” vis-à-vis de l’Algérie, a exhorté mardi Emmanuel Macron qui invoque le “sort réservé” à Boualem Sansal et Christophe Gleizes pour demander au gouvernement français “des décisions supplémentaires”.”La France doit être forte et se faire respecter”, fait valoir le chef de l’État français dans une lettre à son Premier ministre, François Bayrou, publiée par Le Figaro. “Elle ne peut l’obtenir de ses partenaires que si elle-même leur témoigne le respect qu’elle exige d’eux. Cette règle de base vaut pour l’Algérie aussi”, écrit-il encore, dans une missive qui marque une nouvelle étape dans la crise diplomatique aiguë que traversent les deux pays.Pour justifier ce tour de vis, Emmanuel Macron mentionne en premier lieu les emprisonnements de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné à 5 ans d’emprisonnement ferme notamment pour “atteinte à l’unité nationale”, et du journaliste français Christophe Gleizes, condamné à sept ans de prison en Algérie pour “apologie du terrorisme”.Mais, il fait également référence au “non-respect par l’Algérie de ses obligations” en matière migratoire, ainsi que “la cessation de la coopération des 18 consulats algériens présents sur notre sol avec les services de l’Etat”. Parmi les mesures demandées au gouvernement, le chef de l’État appelle à suspendre “formellement” l’accord de 2013 avec Alger “concernant les exemptions de visa sur les passeports officiels et diplomatiques”. Une décision qui acte une situation de fait: le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, avait annoncé le 14 mai “le renvoi en Algérie de tous les agents titulaires de passeports diplomatiques qui n’auraient pas actuellement de visa”. La France réagissait alors à une décision “injustifiée et injustifiable” d’Alger d’expulser des fonctionnaires français, avait-t-il dit.Emmanuel Macron demande également au gouvernement d’user “immédiatement” d’une disposition de la loi immigration de 2024, le “levier visa-réadmission (LVR)” qui “permet de refuser les visas de court séjour aux détenteurs de passeports de service et diplomatiques, tout comme les visas de long séjour à tous types de demandeurs”.Le président demande en outre à son Premier ministre “d’instruire le ministre de l’Intérieur”, Bruno Retailleau, tenant d’une ligne dure vis-à-vis d’Alger, “de trouver au plus vite les voies et moyens d’une coopération utile avec son homologue algérien”. Il “souhaite également que, face à la délinquance des individus algériens en situation irrégulière, le ministre de l’Intérieur et ses services agissent sans repos et sans répit”.”Dans le même esprit, lorsque vous estimerez que les conditions sont réunies s’agissant de notre dispositif diplomatique, vous pourrez autoriser les trois consuls algériens déjà présents sur notre territoire à exercer leur mandat, en exigeant toutefois une reprise de la coopération migratoire”. “Seule cette reprise nous permettra d’admettre cinq autres consuls en attente d’autorisation”, écrit encore le président français.”La réponse des autorités algériennes à nos exigences en matière de coopération migratoire et consulaire déterminera la suite de nos démarches”, poursuit M. Macron, ajoutant que “dès lors que le dialogue aura été rétabli, il nous faudra également traiter d’autres dossiers bilatéraux sensibles”, citant “la dette hospitalière”, “les menées de certains services de l’État algérien sur le territoire national, mais également les questions mémorielles en suspens”.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Sud de l’Espagne: l’incendie de Tarifa “stabilisé”, retour des vacanciers évacués

L’incendie qui s’est déclaré mardi dans une forêt de la station balnéaire de Tarifa, dans l’extrême sud de l’Espagne, entraînant l’évacuation de milliers de touristes est “stabilisé”, et les vacanciers qui avaient dû quitter la zone peuvent revenir, ont annoncé mercredi soir les autorités.Le feu est désormais “stabilisé”, s’est réjouit sur le réseau social X Antonio Sanz, en charge de la sécurité au sein du gouvernement régional andalou, indiquant que le “retour de toutes les personnes évacuées (était) autorisé”.L’incendie, qui s’est déclaré mardi après-midi, n’a pas fait de victimes mais avait obligé à évacuer 1.550 personnes des campings, hôtels et logements, ainsi que des milliers de véhicules, la plupart appartenant aux baigneurs venus profiter des plages de la région. Selon la télévision publique TVE, le feu a commencé dans un camping-car d’un camping du mont La Peña, près d’une plage, et s’est rapidement propagé en raison du vent fort, très courant dans cette région d’Andalousie et du détroit de Gibraltar, prisée par les amateurs de surf.L’incendie n’a pas affecté le centre ville de Tarifa, une ville d’environ 19.000 habitants dans la province de Cadix, dont la population grossit en été en raison des touristes, et qui est située à l’ouest de l’endroit où les flammes ont commencé, car le vent soufflait dans la direction opposée.L’Espagne connaît cette semaine une intense vague de chaleur, avec des températures frôlant 40ºC dans de nombreux endroits et avec un risque “très élevé et extrême d’incendies de forêt dans une grande partie du pays”, a de nouveau averti mercredi la protection civile.