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Missiles, drones, lasers: New weapons expected at Beijing military parade

China will showcase a range of new weapons during a vast military parade on Wednesday, in a show of strength that is being seen as a challenge to US military dominance.Military experts have been analysing social media photos and footage from several recent rehearsals, which have shown anti-ship missiles, cutting-edge underwater drones, anti-missile systems, and …

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Stressés ou impatients, les 12 millions d’élèves français font leur rentrée

Retour aux cartables, cahiers et cours de récré: 12 millions d’écoliers, collégiens et lycéens font leur rentrée lundi, marquée par quelques nouveautés, dont une réforme annoncée pour le contrôle continu au bac, mais des inconnues sur la situation budgétaire et gouvernementale.Pour certains, la rentrée attendra un peu: dans une décision rarissime, elle a été reportée à mardi dans les Bouches-du-Rhône et le Var par les préfets “en liaison avec les autorités académiques” en raison d’un épisode méditerranéen qui a déclenché une vigilance orange sur plusieurs départements.”C’est important qu’on ne mette pas en risque les familles qui peuvent conduire les élèves à l’école”, a justifié sur RTL la ministre de l’Education Elisabeth Borne.A Paris, dans une école élémentaire du 15e, Armel, 10 ans, affiche lui sa confiance avant de découvrir le CM2. “Je me sens bien. Je sens que je vais au moins réussir l’année, pour passer en 6e!”, lance-t-il. Son école a reçu lundi matin la visite de la ministre de l’Education, pour sa première et potentiellement dernière rentrée à ce poste. Mais si elle s’affiche sur le terrain, son sort reste incertain avant le vote de confiance à l’Assemblée le 8 septembre, qui risque d’entraîner la chute du gouvernement.- 2.500 profs manquants -La rentrée se déroule aussi dans un contexte de pression budgétaire, alors que le Premier ministre François Bayrou a exhorté à la rigueur.”On n’est pas très sereins”, résume Caroline Brisedoux, secrétaire nationale de la CFDT Education. “La perspective de ne pas avoir de ministre et d’envisager des restrictions budgétaires est un peu inquiétante”.”Il n’y a pas de boussole”, souligne Agnès Andersen, secrétaire générale du syndicat de chefs d’établissements ID-FO. “Les collègues reprennent, mais ils sont déjà épuisés”.Parmi les enjeux, la pénurie d’enseignants inquiète à nouveau cette année, même si la ministre s’est voulue rassurante sur le fait qu’il y aurait bien des professeurs devant la quasi-totalité des classes. “On a 99,9% des postes qui sont bien pourvus dans le premier degré, quasiment pas de postes non pourvus dans le second degré”, a-t-elle dit, tout en reconnaissant qu’il y aurait “comme chaque année, des heures d’enseignement qui ne sont pas totalement couvertes”.Il y a en cette rentrée “l’équivalent de 2.500 professeurs” manquants, a-t-elle précisé. “C’est moins que l’an dernier”.Pour le Snes-FSU, principal syndicat du second degré, au contraire, “on a une certitude, c’est qu’il n’y aura pas un professeur devant chaque classe lundi”, a souligné sa secrétaire générale Sophie Vénétitay. “On est extrêmement inquiets qu’il n’y ait pas assez de profs”, alors que la crise de recrutement des enseignants perdure, avec plus de 2.600 postes non pourvus aux concours enseignants du public et du privé, renchérit Grégoire Ensel, vice-président de la fédération de parents d’élèves FCPE.- Déconnexion -Cette rentrée verra par ailleurs la mise en oeuvre de plusieurs réformes, notamment concernant le “bac Blanquer”, plusieurs fois remanié depuis son lancement en 2019 par l’ex-ministre Jean-Michel Blanquer. Une nouvelle épreuve de mathématiques au bac en première sera ainsi lancée. Elisabeth Borne a par ailleurs annoncé des modifications pour le contrôle continu au bac. Désormais, les notes de première et terminale ne compteront plus toutes dans la note de contrôle continu. Une annonce de dernière minute qui a irrité les syndicats. “L’objectif, c’est de baisser la pression sur les élèves et sur les professeurs”, a-t-elle expliqué.La ministre a aussi indiqué que les élèves ayant obtenu moins de 8 sur 20 ne pourraient plus aller au rattrapage du bac. Pour les 3e, le brevet change aussi: l’examen passera de 50 à 60% de la note finale.Autre nouveauté en cette rentrée, pour lutter contre l’abus d’écrans, le dispositif “portable en pause”, qui vise à mieux faire appliquer l’interdiction des téléphones portables au collège, sera quant à lui développé, avec comme objectif une généralisation progressive d’ici la fin de l’année. Dans certains établissements, les élèves pourront ainsi être contraints à laisser leur portable dans des casiers ou pochettes pendant les cours. 

Salamé, Hanouna, NOVO19: une rentrée avec de nouveaux élèves sur les chaînes télé

Léa Salamé sur le trône du JT de France 2, Cyril Hanouna “Tout beau tout 9” sur W9 et la nouvelle chaîne NOVO19 sur les rails: la rentrée des chaînes de télévision lundi promet surprises et coups d’éclat, avec de forts enjeux à la clé.. Cyril Hanouna remonte sur le ringA 18H45 chaque jour, et dès 18H25 exceptionnellement lundi, l’animateur donne rendez-vous à ses “fanzouzes” pour “Tout beau tout 9” sur W9, après plusieurs mois de diète télévisée.S’agira-t-il d’un remake de TPMP qu’il animait sur C8? Non, car le groupe M6 auquel appartient W9 a demandé au roi du clash d’éviter les sujets politiques et polémiques, au profit du divertissement. Si nécessaire, “TBT9” pourrait être diffusée avec un léger différé.Grimé en Rambo pour promouvoir sa nouvelle émission, Cyril Hanouna doit démarrer le show lundi par une séquence extérieure au plateau. L’ex-star de la galaxie Bolloré a renouvelé la moitié de sa bande, reprenant d’anciens chroniqueurs de C8 (Valérie Benaïm, Raymond Aabou, Géraldine Maillet…) et recrutant de nouvelles têtes sur lesquelles il entretient le mystère. L’ex-ministre Marlène Schiappa et le journaliste sportif Nelson Monfort sont cependant apparus dans une vidéo des répétitions. Un “chroniqueur ChatGPT” est annoncé pour une “émission 3.0”. Le patron de M6, David Larramendy, qui a frappé fort avec ce recrutement, compte gonfler les audiences, alors que TPMP rassemblait en son temps quelque 2 millions de téléspectateurs.    Dès mardi, le trublion du PAF aura un autre pied dans le groupe, avec “Tout beau tout fun”, sur Fun Radio de 15h00 à 18h00. Cela fait un total de plus de six heures quotidiennes, dans des studios voisins.. Léa Salamé au 20H00Ex-pilier de la matinale de France Inter, la journaliste vedette succède à Anne-Sophie Lapix aux commandes du JT de France 2, avec l’envie de “raconter peut-être l’actualité différemment”. Le journal sera fortement incarné, chaleureux, mais pas question de “renverser la table”, prévient Alexandre Kara, directeur de l’information de France Télévisions. “Il y aura plus d’intervenants qu’avant, on veut un plateau vivant, mais l’objectif n’est pas de proposer un talk-show”, a-t-il exposé dans La Tribune Dimanche.La chaîne du service public doit combler l’écart d’audience qui s’est creusé avec le JT de TF1 présenté par Gilles Bouleau.Léa Salamé a une autre problématique dans les mois à venir: compagne d’un des leaders de la gauche, Raphaël Glucksmann, elle a promis de se retirer de l’antenne s’il se lance dans la course à l’Elysée. . Premiers pas de NOVO19C’est à 18H00 que sera donné le top départ de NOVO19, sur le canal 19 de la TNT. Au programme: un JT à 18H10 tourné à Rennes, suivi du talk-show quotidien animé depuis Paris par Claire Arnoux et une bande de chroniqueurs, dont Claude Askolovitch.Lancée par le groupe Ouest-France, la nouvelle chaîne généraliste se veut “ancrée dans les territoires” et promeut une “proximité joyeuse”. Elle espère prendre sa part des audiences, avec un objectif de 2% des 25-49 ans.   La naissance de NOVO19, comme celle de la chaîne T18 en juin, découle de l’arrêt début 2025 de C8 et NRJ 12, non reconduites par l’Arcom, régulateur de l’audiovisuel. Une autre chaîne voit le jour lundi, hors TNT mais sur les box et bientôt sur france.tv: “Mieux”, dédiée à la santé. Le médecin cathodique Michel Cymes en est à l’initiative, entouré de journalistes tels Wendy Bouchard et Laurent Bignolas, ainsi que de l’ancien ministre Olivier Véran. Les radios ont pour leur part fait leur rentrée lundi dernier. Chez Radio France, la grève entamée il y a une semaine pourrait se poursuivre, en particulier au sein du réseau Ici réorganisé (ex-France Bleu). Des négociations sont en cours.

A une semaine du vote de confiance, Bayrou entame des consultations politiques

François Bayrou entame lundi après-midi une série de consultations des partis politiques, à une semaine du vote de confiance qu’il sollicite de l’Assemblée nationale autour de la question budgétaire, qui pourrait sceller le sort de son gouvernement.Le Premier ministre recevra lundi à 17h00 les représentants du Parti communiste (PCF), son secrétaire national Fabien Roussel et le président du groupe à l’Assemblée, Stéphane Peu.Suivront mardi et mercredi les représentants des partis soutenant la coalition présidentielle, mais aussi ceux de Place publique, le parti de Raphaël Glucksmann, du Rassemblement national, de l’UDR, le parti d’Eric Ciotti, puis du groupe centriste de l’Assemblée Liot.Le Parti socialiste se rendra à Matignon jeudi matin, suivi de l’UDI, présidé par Hervé Marseille.La France insoumise et les Ecologistes ont pour leur part refusé d’honorer cette invitation.Après avoir créé la surprise en annonçant engager la responsabilité de son gouvernement le 8 septembre, avant même le début des discussions budgétaires, François Bayrou apparaît plus qu’en sursis à Matignon.Dimanche, il a de nouveau défendu sa position lors d’un entretien accordé aux quatre chaînes d’information en continu, estimant notamment que la question en jeu lors de ce vote n’était pas “le sort du Premier ministre” mais celui de la France.Il n’y a “aucune politique courageuse possible” sans “accord minimal” sur le “diagnostic”, a également répété dimanche le Premier ministre.Les chances de compromis paraissent minces, M. Bayrou ayant considéré que les propositions budgétaires du PS signifiaient qu'”on ne fait rien” pour réduire l’endettement.Le PS, qui se dit volontaire pour prendre la suite de M. Bayrou à Matignon après sa chute probable, propose notamment de réduire le déficit de 21,7 milliards d’euros en 2026, environ deux fois moins que les 44 milliards visés par le gouvernement.Au programme: 14 milliards d’économies “sans mettre à contribution les travailleurs et les services publics”, et 26,9 milliards de recettes nouvelles, pesant “d’abord sur les grandes fortunes”.”Le plan qu’ils ont sorti cette semaine fait la démonstration qu’ils ne veulent pas gouverner”, a estimé dimanche un ancien ministre macroniste.François Bayrou a présenté le 15 juillet les grandes lignes de son projet de budget comprenant 43,8 milliards d’euros d’effort financier via un certain nombre de mesures –“année blanche fiscale”, gel des prestations sociales– dont la plus commentée est la suppression de deux jours fériés sans contrepartie rémunératrice.Le chef du gouvernement devra, en cas de vote négatif le 8 septembre, présenter la démission de son gouvernement, moins d’un an après avoir succédé à Michel Barnier, renversé par une motion de censure sur les textes budgétaires.

‘Fueling sexism’: AI ‘bikini interview’ videos flood internet

The videos are strikingly lifelike, featuring bikini-clad women conducting street interviews and eliciting lewd comments — but they are entirely fake, generated by AI tools increasingly used to flood social media with sexist content.Such AI slop — mass-produced content created by cheap artificial intelligence tools that turn simple text prompts into hyper-realistic visuals — is …

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Suspect arrested in shooting of Ukrainian lawmaker

Ukraine President Volodymyr Zelensky said early Monday that a suspect had been arrested in the shooting of former speaker of parliament Andriy Parubiy, and had given an initial statement to investigators.A statement from the country’s interior minister suggested that Saturday’s killing had been carefully planned, supporting Zelensky’s remarks on Saturday when he said the shooting …

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Yemen’s Huthi rebels detain at least 11 UN staff

The United Nations said Yemen’s Huthis detained at least 11 workers on Sunday in raids on UN premises, after rebel authorities made numerous arrests following Israel’s killing of their prime minister.The Huthi authorities have not yet commented on the reported raids, but the group has previously arrested international aid workers.UN Secretary-General Antonio Guterres called for …

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A huit jours de sa probable chute, Bayrou refuse de faire ses adieux et creuse son sillon sur la dette

“Continuons le combat”, a-t-il dit, en béarnais, en conclusion: François Bayrou a une nouvelle fois défendu ses choix budgétaires dimanche, n’entendant pas dire “au revoir” aux Français, comme l’y invitent la gauche et le RN, pressés de tourner la page de son gouvernement à la faveur du vote de confiance du 8 septembre.”Les jours qui vont venir sont cruciaux. Si vous imaginez que je peux abandonner les combats que je mène depuis des années et que je continuerai à mener après, vous vous trompez”, a-t-il lancé lors d’une interview assez décousue de près d’une heure et demi, depuis son bureau à Matignon, et retransmise sur les quatre chaînes d’information en continu. Le Premier ministre, qui a annoncé en début de semaine sa volonté de solliciter un vote de confiance de l’Assemblée sur la question budgétaire et multiplie les interventions depuis pour prendre à témoin les Français, a estimé que la “question” en jeu n’était pas “le destin du Premier ministre” mais celle du “destin de la France”.”Il n’y a aucune politique courageuse possible” sans “l’assentiment minimal des Français et de ceux qui les représentent” sur la dette, a-t-il plaidé, pour justifier le vote de confiance, se réjouissant “qu’on n’ait jamais parlé de ce sujet comme on en parle depuis huit jours”.”Si le gouvernement tombe, ça veut dire qu’on abandonnera la politique pour moi vitale pour le pays” pour une “autre” politique “plus laxiste”, “plus à la dérive”, a-t-il mis en garde.- “Bagarre” -Alors que M. Bayrou recevra à partir de lundi les chefs de parti qui le souhaitent, il s’est dit une nouvelle fois ouvert à la négociation “s’ils le veulent” sur les mesures les plus impopulaires de son plan d’économies de 44 milliards, comme la suppression de deux jours fériés.”Je pense que ça pourrait être un (jour) sans difficulté si on veut discuter”, a-t-il glissé.Mais il a écarté d’un revers de main les pistes mises sur la table par le Parti socialiste, “volontaire” pour lui succéder à Matignon, et qui a proposé un effort budgétaire deux fois moins important en 2026, passant par une hausse des recettes et une taxation des hauts patrimoines.”Les propositions du PS, ça veut dire qu’on ne fait rien” pour réduire la dette, a-t-il balayé.L’annonce par le Premier ministre d’un vote de confiance a surpris lundi, beaucoup soupçonnant le maire de Pau de vouloir prendre les devants d’une censure de son budget à l’automne et de choisir sa sortie. Le RN et la gauche ont immédiatement répondu qu’ils voteraient contre.”Le 8 septembre il devra partir. (…) Le seul mot que j’attends de lui maintenant, c’est de dire au revoir”, a martelé dimanche le premier secrétaire du PS, Olivier Faure.”Olivier Faure qu’est-ce qu’il veut ? il veut être à Matignon”, a rétorqué M. Bayrou, disant que son entretien n’est “sûrement pas un au revoir”.S’il est renversé, le maire de Pau, âgé de 74 ans, n’a pas l’intention de disparaître du paysage. “Quand vous êtes renversé (…) commence le militantisme, commence la bagarre (…) commence la rencontre avec les Français”, a-t-il déclaré en refusant d’exclure une nouvelle candidature à la présidentielle. Au sein de la classe politique, peu de réactions à l’interview de M. Bayrou dimanche soir. “La tournée d’adieu de François Bayrou s’éternise et devient pire à chacune de ses représentations”, a cinglé le président de la commission des Finances de l’Assemblée, Eric Coquerel (LFI). M. Faure a évoqué un entretien “pathétique et crépusculaire”, tandis que le vice-président du RN Sébastien Chenu a vu un “Premier ministre naufragé, au bout du rouleau”.- “Suicide collectif” -La chute probable de M. Bayrou lundi prochain ouvre une nouvelle période d’incertitude, avec Emmanuel Macron en première ligne, dans un contexte social éruptif.Le chef de l’Etat, sommé par le RN et LFI de démissionner ou de dissoudre l’Assemblée nationale, va sans doute devoir dans l’immédiat se mettre en quête d’un nouveau Premier ministre. Les noms de Catherine Vautrin, Sébastien Lecornu, Gérald Darmanin ou Xavier Bertrand circulent à nouveau.Plusieurs ténors du gouvernement se sont alarmés de la situation politique dimanche. “Voulons-nous d’un suicide collectif, pas pour le gouvernement, mais pour le pays?”, a ainsi demandé l’ancien Premier ministre Manuel Valls, invitant chacun à “trouver la voie du dialogue et du compromis”.Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a de son côté appelé les partis de gouvernement à la responsabilité, à l’heure où la “stabilité” des institutions est en jeu, citant LR et le PS, “un grand parti de gouvernement”. “La France a besoin d’un budget dans les temps”, face à une situation financière qui n’est “pas critique, mais tout de même préoccupante”, a de son côté mis en garde le premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici.