AFP Top News

Wirtz wants to ‘win everything’ for Liverpool after record move

Florian Wirtz said he wants to win it all at Liverpool after completing a blockbuster move from Bayer Leverkusen on Friday, which could reportedly rise to a Premier League record fee.Reports in England said the Premier League champions will pay an initial £100 million ($134 million) for Wirtz, comfortably surpassing their own record outlay, with …

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Armenia PM hails ‘in-depth’ talks with Erdogan on ‘historic’ Turkey visit

Armenian Prime Minister Nikol Pashinyan said he held “in-depth” talks with President Recep Tayyip Erdogan in Istanbul on a rare visit to arch-foe Turkey Friday, which Yerevan described as a “historic” step toward regional peace.The talks between the two leaders — whose nations have never established formal diplomatic ties and whose shared border has been …

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Russia might try to take Ukrainian city of Sumy, Putin says

Russian President Vladimir Putin said Friday he did not “rule out” his forces attempting to seize the northeastern Ukrainian city of Sumy, casting fresh doubt over the prospect of peace talks between Moscow and Kyiv.Ukraine said Putin’s comments showed “disdain” for the peace process.Diplomatic efforts to end the three-year conflict have stalled in recent weeks …

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La France au-delà de 35°C pour la première vague de chaleur de l’été

Avec 16 départements en alerte orange, la France a connu vendredi des températures supérieures à 35°C sous l’effet de la première vague de chaleur de l’été, qui culminera samedi sur l’ensemble du pays où une soixantaine de départements sont placés en vigilance jaune.Météo-France a relevé vendredi vers 17h00 des températures atteignant 39,3°C à Vailhan dans l’Hérault, 37,5°C à Saintes (Charente-Maritime), 36,7°C à Narbonne et plus de 35°C à Toulouse, Nantes et Rennes, selon des valeurs provisoires.À Ussel en Corrèze, où les températures avoisinaient encore 29°C en début de soirée, un enfant d’un peu plus d’un an, laissé dans une voiture stationnée au soleil, a dû être hospitalisé dans un état grave, selon les pompiers et le parquet, qui a ouvert une enquête. La victime, souffrant de déshydratation, a été héliportée en “urgence absolue” à la mi-journée. La Corrèze était placée vendredi en vigilance jaune, au sein d’une large façade ouest du pays qui a enregistré des valeurs parfois supérieures de dix à douze degrés par rapport aux normales de saison.Quatorze départements situés sur une large zone allant de la Manche à la Charente-Maritime et du Morbihan à l’Indre-et-Loire avaient, eux, été placés en vigilance orange canicule à compter de vendredi midi, de même que le Rhône et l’Isère dans le Centre-Est.Une soixantaine d’autres départements sont concernés par une vigilance jaune canicule pour la journée de samedi, la plus chaude de la semaine, et six pour les orages. Enfin, deux sont vendredi en vigilance orange pour les incendies (Aude et Bouches-du-Rhône) vendredi, trois samedi (Vaucluse, Deux-Sèvres et Maine-et-Loire).En Gironde, où plusieurs dizaines de milliers de visiteurs sont attendus jusqu’à dimanche pour le festival Bordeaux fête le vin, les participants s’agglutinaient par grappes à l’ombre des arbres et des parasols vendredi après-midi.- “Eviter de se cramer” -Pascal Spinat, informaticien de 47 ans vivant à Pau, s’est muni d’un chapeau de paille “à larges bords pour éviter de se cramer, tout simplement”.Participant à l’événement pour “la cinquième ou sixième fois”, cet habitué concède que “c’est la première fois qu’il fait aussi chaud” mais s’attend à ce que cela devienne la norme: “Il y a de grandes chances d’avoir une canicule” tous les ans, anticipe-t-il.À Toulouse, les piétons fuyaient la chaleur, notamment sur la place du Capitole, où de grandes ombrières permettent selon la mairie de réduire la chaleur de 5°C en moyenne.EDF a anticipé pour sa part de possibles baisses de production sur le site de la centrale nucléaire de Bugey (Ain), en raison des températures élevées du Rhône, qui refroidit l’installation.Et plusieurs départements ont émis des alertes concernant la pollution à l’ozone samedi, notamment en Île-de-France, Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Occitanie. À Lorient (Morbihan), l’agglomération a décidé de la gratuité de ses transports en commun.Cette chaleur est provoquée par le blocage d’un anticyclone sur la France: une dépression d’altitude sur l’Atlantique fait remonter des masses d’air chaud présentes sur la péninsule ibérique.Un pic de chaleur concernera samedi, jour de la fête de la musique, une large moitié ouest avec 35 à 38°C, localement 39°C du Val de Loire à l’Occitanie. Les températures élevées s’étendront au nord de la Loire jusqu’au Bassin parisien et vers l’Est, mais aussi de l’autre côté de la Manche en Angleterre. – Épisode “assez bref” -“On atteindra probablement 39 degrés localement avec sans doute quelques records”, a déclaré à l’AFP Jérôme Lecou, prévisioniste de Météo-France, qui s’attend à un “épisode assez bref”.”Samedi soir, un petit vent d’ouest va s’établir”, note-t-il, “donc on va commencer à avoir un léger rafraîchissement (…) avec une sortie de la vigilance dès dimanche” et une chaleur cantonnée lundi “plutôt aux régions méridionales”.C’est la 50e vague de chaleur recensée par l’établissement public depuis 1947, et l’une des plus précoces.”Vingt-cinq ont été observés entre 1947 et 2010″ et “25 déjà entre 2011 et 2025”, ce qui “montre bien l’accélération” de la fréquence sur fond de réchauffement climatique, relève Loriane Baté, climatologue de Météo-France.La France métropolitaine s’est déjà réchauffée d’au moins 1,7°C par rapport à l’ère pré-industrielle, avant la combustion massive du charbon, du pétrole et du gaz, et les pouvoirs publics se préparent à un réchauffement de 4°C d’ici la fin du siècle.Le réchauffement climatique rend les vagues de chaleur plus précoces et tardives, plus fréquentes, plus longues et plus intenses.burs-bl-tsq-jed/gf/cbn

La France au-delà de 35°C pour la première vague de chaleur de l’été

Avec 16 départements en alerte orange, la France a connu vendredi des températures supérieures à 35°C sous l’effet de la première vague de chaleur de l’été, qui culminera samedi sur l’ensemble du pays où une soixantaine de départements sont placés en vigilance jaune.Météo-France a relevé vendredi vers 17h00 des températures atteignant 39,3°C à Vailhan dans l’Hérault, 37,5°C à Saintes (Charente-Maritime), 36,7°C à Narbonne et plus de 35°C à Toulouse, Nantes et Rennes, selon des valeurs provisoires.À Ussel en Corrèze, où les températures avoisinaient encore 29°C en début de soirée, un enfant d’un peu plus d’un an, laissé dans une voiture stationnée au soleil, a dû être hospitalisé dans un état grave, selon les pompiers et le parquet, qui a ouvert une enquête. La victime, souffrant de déshydratation, a été héliportée en “urgence absolue” à la mi-journée. La Corrèze était placée vendredi en vigilance jaune, au sein d’une large façade ouest du pays qui a enregistré des valeurs parfois supérieures de dix à douze degrés par rapport aux normales de saison.Quatorze départements situés sur une large zone allant de la Manche à la Charente-Maritime et du Morbihan à l’Indre-et-Loire avaient, eux, été placés en vigilance orange canicule à compter de vendredi midi, de même que le Rhône et l’Isère dans le Centre-Est.Une soixantaine d’autres départements sont concernés par une vigilance jaune canicule pour la journée de samedi, la plus chaude de la semaine, et six pour les orages. Enfin, deux sont vendredi en vigilance orange pour les incendies (Aude et Bouches-du-Rhône) vendredi, trois samedi (Vaucluse, Deux-Sèvres et Maine-et-Loire).En Gironde, où plusieurs dizaines de milliers de visiteurs sont attendus jusqu’à dimanche pour le festival Bordeaux fête le vin, les participants s’agglutinaient par grappes à l’ombre des arbres et des parasols vendredi après-midi.- “Eviter de se cramer” -Pascal Spinat, informaticien de 47 ans vivant à Pau, s’est muni d’un chapeau de paille “à larges bords pour éviter de se cramer, tout simplement”.Participant à l’événement pour “la cinquième ou sixième fois”, cet habitué concède que “c’est la première fois qu’il fait aussi chaud” mais s’attend à ce que cela devienne la norme: “Il y a de grandes chances d’avoir une canicule” tous les ans, anticipe-t-il.À Toulouse, les piétons fuyaient la chaleur, notamment sur la place du Capitole, où de grandes ombrières permettent selon la mairie de réduire la chaleur de 5°C en moyenne.EDF a anticipé pour sa part de possibles baisses de production sur le site de la centrale nucléaire de Bugey (Ain), en raison des températures élevées du Rhône, qui refroidit l’installation.Et plusieurs départements ont émis des alertes concernant la pollution à l’ozone samedi, notamment en Île-de-France, Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Occitanie. À Lorient (Morbihan), l’agglomération a décidé de la gratuité de ses transports en commun.Cette chaleur est provoquée par le blocage d’un anticyclone sur la France: une dépression d’altitude sur l’Atlantique fait remonter des masses d’air chaud présentes sur la péninsule ibérique.Un pic de chaleur concernera samedi, jour de la fête de la musique, une large moitié ouest avec 35 à 38°C, localement 39°C du Val de Loire à l’Occitanie. Les températures élevées s’étendront au nord de la Loire jusqu’au Bassin parisien et vers l’Est, mais aussi de l’autre côté de la Manche en Angleterre. – Épisode “assez bref” -“On atteindra probablement 39 degrés localement avec sans doute quelques records”, a déclaré à l’AFP Jérôme Lecou, prévisioniste de Météo-France, qui s’attend à un “épisode assez bref”.”Samedi soir, un petit vent d’ouest va s’établir”, note-t-il, “donc on va commencer à avoir un léger rafraîchissement (…) avec une sortie de la vigilance dès dimanche” et une chaleur cantonnée lundi “plutôt aux régions méridionales”.C’est la 50e vague de chaleur recensée par l’établissement public depuis 1947, et l’une des plus précoces.”Vingt-cinq ont été observés entre 1947 et 2010″ et “25 déjà entre 2011 et 2025”, ce qui “montre bien l’accélération” de la fréquence sur fond de réchauffement climatique, relève Loriane Baté, climatologue de Météo-France.La France métropolitaine s’est déjà réchauffée d’au moins 1,7°C par rapport à l’ère pré-industrielle, avant la combustion massive du charbon, du pétrole et du gaz, et les pouvoirs publics se préparent à un réchauffement de 4°C d’ici la fin du siècle.Le réchauffement climatique rend les vagues de chaleur plus précoces et tardives, plus fréquentes, plus longues et plus intenses.burs-bl-tsq-jed/gf/cbn

Les Etats-Unis se préparent pour leur première vague de chaleur

Une vague de chaleur “extrêmement dangereuse” s’installe progressivement sur le centre des Etats-Unis à partir de vendredi et va se déplacer vers la côte est dans le week-end, préviennent les services météorologiques américains (NWS).Cet épisode de fortes chaleurs, le premier d’importance dans le pays cette année, va s’intensifier au cours des prochains jours pour atteindre un pic en début de semaine prochaine, avec des températures qui devraient atteindre un stade “extrême”, préviennent les autorités.La capitale Washington, particulièrement touchée, devrait dépasser les 38°C mardi, et les températures ressenties pourraient dépasser les 43°C dans la région, selon les prévisions du NWS.Les nuits resteront très chaudes, ajoute-t-il, avec des minimales nocturnes au-dessus de 26°C dans les grandes agglomérations de Washington, Baltimore, Philadelphie, et New York.L’intensité et la durée de cette vague de chaleur la rend “extrêmement dangereuse pour n’importe qui sans rafraîchissement ou hydratation”, martèle le NWS, rappelant que la chaleur extrême constitue la première cause de mortalité liée à la météo.A Washington, la mairie a rappelé aux habitants que de nombreux lieux climatisés leur sont ouverts pour se rafraîchir.Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète et ces vagues de chaleur sont appelées à encore se multiplier, s’allonger et s’intensifier.L’année 2024 fut l’année la plus chaude jamais enregistrée aux Etats-Unis (hors Alaska et Hawaï) comme dans le monde entier. 2024 fut aussi la première année à dépasser la limite de 1,5°C de réchauffement fixée par l’accord de Paris sur le climat, selon l’Organisation météorologique mondiale, une agence de l’ONU.

Iran’s nuclear programme: from its origins to today’s dispute

A week ago, Israel launched an unprecedented attack against Iran, saying the country was on the verge of developing a nuclear weapon, a claim Tehran has always denied. Western powers have repeatedly expressed concerns about the rapid expansion of Iran’s nuclear programme, questioning in particular the country’s accelerated uranium enrichment. The following is a recap of the …

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“Rien n’est impossible”: le salon du Bourget fait rêver

“Wow, regarde Eva !” Emma pointe son doigt vers le ciel, émerveillée. Au-dessus d’elle et son amie, un avion imposant vole bas. Devant elles, à l’arrêt, un Rafale 362 de l’armée de l’air. Les deux jeunes filles, venues de Bordeaux spécialement pour le salon du Bourget, ne savent où donner de la tête.Emma, 21 ans, étudiante en licence de maintenance aéronautique et apprentie chez l’avionneur français Dassault, est venue “montrer les différents types d’avions à Eva”. Mais cette dernière n’est pas novice, elle est apprentie chez Thales. “On adore l’aéronautique, on est passionnées. Ici, on peut voir les avions de plus près et échanger avec les professionnels”, s’enthousiasme Eva.Ce vendredi, premier jour d’ouverture de la 55e édition du Salon international de l’aéronautique et de l’espace (SIAE) au grand public, elles ne sont pas les seules à venir braver la chaleur du soleil sur le tarmac: près de 100.000 visiteurs par jour sont attendus sur le week-end. Dès l’ouverture à 08H30 à l’aéroport du Bourget, à 9 km au nord de Paris, une foule commence à s’amasser autour des appareils exposés: gros porteurs, hélicoptères, F-35 américains et drones d’attaque.Les visiteurs étrangers sont nombreux, les familles également. Les enfants, ébahis, se pressent contre les barrières qui protègent les appareils.Cette année, pour la première fois, le salon met à l’honneur les femmes dans les secteurs de l’aéronautique et du spatial.En France, “il y a moins de 10% de filles dans certains CFA (centres de formation des apprentis, NDLR), 27% de femmes dans le spatial et 30% dans l’aéronautique”, rappelle dans un communiqué le SIAE.Toute la journée, des chercheuses, pilotes, mécaniciennes, expertes, prennent la parole devant des jeunes filles inspirées.”Rien n’est impossible, rien n’est même difficile”, souligne une ingénieure en aéronautique.Dans un stand, casque de réalité virtuelle sur la tête, Salomé s’y voit déjà. Lentement, elle déplace à l’aide de manettes connectées des pièces utilisées par les mécaniciens de l’aéronautique pour les moteurs d’avions.”Je veux devenir ingénieure en aéronautique et aérospatial”, assure-t-elle du haut de ses 18 ans. – Regards tournés vers le ciel -Dans un des halls, un espace est dédié à la découverte des professions de l’aéronautique. Des dizaines de professionnels échangent avec des étudiants.Nadia Sainson, 51 ans, attend patiemment son fils qui discute avec un employeur.”Il a un BTS aéronautique et cherche maintenant une alternance. C’est le meilleur endroit pour postuler”, sourit-elle.Derrière elle, dans un micro, une femme interpelle la foule: “Si vous êtes étudiant, alternant, on a une formation à vous proposer !”Le long de l’allée centrale, un pavillon de 2.500 m2 abrite le “Paris Space Hub”, hall entièrement consacré au domaine spatial.Fermé toute la matinée pour accueillir Emmanuel Macron, il fait le plein dès le début de l’après-midi.Les visiteurs peuvent y voir des maquettes de satellites, de sondeurs d’atmosphère ou de missiles balistiques tactiques et échanger avec des experts.”C’est un peu trop technique”, regrette Vanessa Cent, 49 ans, “mais j’admire la technologie”.”C’est bien de mettre le spatial en avant”, abonde son père, Dominique Cent, 72 ans. “Il faut que la France innove et évolue, surtout avec tout ce qu’il se passe dans le monde”, ajoute-t-il, un peu inquiet.Tout au long de la journée, les démonstrations de haut vol attirent toute l’attention. “Dans quelques instants, un avion va larguer des parachutistes”, est-il annoncé au mégaphone.Mains en visière, tous les regards se tournent vers le ciel. Les traînées bleues, blanches et rouges laissées par les membres de l’équipe de parachutistes ambassadrice de l’Armée française de l’air et de l’espace entraînent des applaudissements fournis.Un peu après, les voltiges d’un rafale et son bruit puissant finissent de ravir la foule.Sofiane, 38 ans, passionné d’aéronautique, est ravi.”Mon père m’a emmené ici quand j’étais petit. Et maintenant, j’y amène mon fils”, explique-t-il en se tournant vers Elyas, six ans. S’il a été particulièrement impressionné par les hélicoptères et l’Airbus A400M exposés, Elyas avoue “moi, j’ai surtout hâte de voir l’avion qui a transporté le PSG”.