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Tourism boom sparks backlash in historic heart of Athens

Surrounded by a hubbub of blaring music, restaurant terraces and rumbling suitcase wheels slaloming between overflowing litter bins, Giorgos Zafeiriou believes surging tourism has made his historic Athens neighbourhood unrecognisable.The Greek capital’s Plaka district “is threatened by overtourism”, said Zafeiriou, who has lived there for more than three decades and leads its residents’ association.This year, …

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A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Taïwan: des pluies torrentielles font quatre morts en une semaine

Plus de deux mètres de pluie ont été recensés à Taïwan au cours de la semaine dernière, provoquant des inondations et des glissements de terrain qui ont causé la mort de quatre personnes.Depuis le 28 juillet, des précipitations torrentielles se sont abattues sur de larges zones de l’île, forçant plusieurs milliers d’habitants à se réfugier et endommageant des routes.Maolin, un district montagneux du sud de Taïwan, a enregistré 2,8 mètres de pluie depuis le 28 juillet, a déclaré à l’AFP Li Ming-siang, prévisionniste du centre météorologique local (CWA).C’est plus que les précipitations annuelles de l’année dernière, qui se sont élevées à 2,1 mètres, selon les données de l’agence. Les pluies exceptionnellement fortes ont été causées par un système de basse pression et de forts vents venant du sud-ouest, a poursuivi le prévisionniste.M. Li a déclaré que les vents du sud-ouest étaient généralement induits par les typhons affectant l’île en mai et en juin. Cette fois-ci, les pluies ont été causées par le typhon Co-may, qui pousse des vents de sud-ouest vers le nord au moment où il est passé à l’est de Taïwan en direction de la Chine, indique M. Li, précisant que la pluie n’est pas liée au changement climatique.Les précipitations recensées sur l’île le mois dernier ont été les plus élevées pour un mois de juillet depuis 1939, a déclaré la CWA. “Nous rencontrons rarement une catastrophe d’une telle ampleur”, a déclaré le Premier ministre Cho Jung-tai lors d’une visite dans une zone frappée par les inondations à Tainan, dans le sud, lundi.”Depuis le typhon Danas jusqu’à aujourd’hui, nous avons fait face à presque un mois de pluie continue et abondante.”Cette semaine de mauvais temps a provoqué la mort de quatre personnes, tandis que trois autres ont disparu et 77 sont blessées, a déclaré un responsable des catastrophes.Près de 6.000 personnes ont été forcées de quitter leur domicile. Mais le service de météorologie s’attend à ce que la pluie diminue dans les jours à venir.Taïwan est habitué aux fréquentes tempêtes tropicales de juillet à octobre.Selon les scientifiques, le changement climatique causé par l’homme provoque des phénomènes météorologiques plus intenses, ce qui peut favoriser les inondations destructrices.

Le combat des forestiers pour sauver la forêt pyrénéenne

“Dépérissement caché”, “tempête silencieuse”: Hervé Houin, le directeur territorial de l’Office national des forêts Midi‑Méditerranée, ne mâche pas ses mots au moment de décrire le danger que court la forêt pyrénéenne face à une conjonction de crises, entre réchauffement climatique et invasions de cerfs et de parasites.Dans un demi-siècle – un battement de coeur à l’échelle du temps de la forêt -, les sapins et hêtres qui se dressent ici, à 1.350 m d’altitude dans le massif du Mourtis, n’existeront plus. Selon les projections de l’ONF formulées à partir des prévisions climatiques du GIEC, ils ne pourront alors plus survivre au-dessous de 1.800 m.Dans la forêt des Arguts, sur la commune de Boutx (Haute-Garonne), les signes de ce dépérissement sont discrets: quelques feuilles roussies par-ci, un arbre décharné par-là…- Taches blanches -Mais depuis la piste caillouteuse, on aperçoit de l’autre côté de la vallée le pic voisin du Burat, où l’océan vert sombre est piqueté de taches blanches: des sapins morts, aux branches nues et blanchies, qui semblent s’extirper de la masse pour appeler au secours.Les racines de la crise sont profondes. Le réchauffement climatique, d’abord, a multiplié sécheresses et canicules depuis les années 2000, même à ces hauteurs, affaiblissant des arbres qui n’avaient jamais vraiment eu soif. La hausse des températures a aussi permis au scolyte, petit coléoptère parasite, de pondre plus souvent et donc de proliférer.Les galeries creusées dans les troncs par l’insecte viennent bloquer la sève. “Et sans sève, l’arbre sèche sur pied”, explique Hervé Houin. Rendus vulnérables par le réchauffement, les arbres ne parviennent plus à se défendre et meurent par bosquets entiers.Derrière lui, une plantation d’épicéas dévastée. En trois mois, les scolytes ont condamné la parcelle. Un “phénomène brutal”, renchérit Denis Feuillerat, ingénieur de l’ONF. Les forestiers viennent de finir de raser ces deux hectares pour récolter le bois, qui reste utilisable.Face à cette brusque mortalité, la forêt peine à se régénérer, confrontée à un troisième écueil: la population de cerfs, réintroduits dans la région en 1958, est hors de contrôle. Ils se sont “très bien adaptés, peut-être trop”, indique Denis Feuillerat.Or, ces herbivores, dont les adultes mangent jusqu’à 100 kg de végétation par mois, boulottent tout ce qui passe à leur portée, en particulier les tendres tiges, feuilles et bourgeons des jeunes arbres, empêchant leur développement.- Proche du point de non-retour -En Haute-Garonne et dans les Hautes-Pyrénées, 25.000 hectares sont menacés par cette crise multifactorielle, souligne Jean-Lou Meunier, directeur de l’ONF Pyrénées-Gascogne.”On approche d’un point de non-retour”, souffle-t-il, “très inquiet” face à l’ampleur du défi. Cinquante ans pour sauver le massif, “c’est très court pour un forestier, il faut que nous nous précipitions.”La riposte devra être plurielle: chasser davantage de cerfs pour rétablir l’équilibre, protéger les jeunes pousses en installant des enclos, et introduire de nouvelles essences mieux adaptées au climat qui s’annonce.La forêt devra se faire “mosaïque”, plus diversifiée pour renforcer sa résilience, selon Denis Feuillerat. Le cèdre de l’Atlas, originaire d’Afrique du nord et plus apte à “résister à des situations de sécheresse prolongée”, a donné de très bons résultats dans le département voisin de l’Aude, explique-t-il devant l’un des dix enclos d’une plantation, qui comportent chacun 25 petits cèdres hauts comme trois pommes.Sont aussi envisagés le noisetier de Byzance, par exemple, ou des essences moins exotiques comme le mélèze d’Europe, le chêne pubescent ou le pin de Salzman.Une fois sélectionnées, il faudra disperser ces essences dans le massif pour les laisser essaimer. “90% du renouvellement lié au changement climatique se fera de façon naturelle”, assure Hervé Houin.L’inquiétude dépasse les seules Pyrénées: “Nous avons encore une chance ici, contrairement aux Vosges et Jura où des centaines d’hectares sèchent sur pied”, grimace Hervé Houin.Entre 2018 et 2023, la quantité de bois mort récolté dans les forêts publiques jurassiennes a explosé, passant de 20.000 à 320.000 m3, confirme son homologue pour le Jura, Florent Dubosclard, pour qui il faut sans tarder “imaginer la forêt de demain”.

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Le combat des forestiers pour sauver la forêt pyrénéenne

“Dépérissement caché”, “tempête silencieuse”: Hervé Houin, le directeur territorial de l’Office national des forêts Midi‑Méditerranée, ne mâche pas ses mots au moment de décrire le danger que court la forêt pyrénéenne face à une conjonction de crises, entre réchauffement climatique et invasions de cerfs et de parasites.Dans un demi-siècle – un battement de coeur à l’échelle du temps de la forêt -, les sapins et hêtres qui se dressent ici, à 1.350 m d’altitude dans le massif du Mourtis, n’existeront plus. Selon les projections de l’ONF formulées à partir des prévisions climatiques du GIEC, ils ne pourront alors plus survivre au-dessous de 1.800 m.Dans la forêt des Arguts, sur la commune de Boutx (Haute-Garonne), les signes de ce dépérissement sont discrets: quelques feuilles roussies par-ci, un arbre décharné par-là…- Taches blanches -Mais depuis la piste caillouteuse, on aperçoit de l’autre côté de la vallée le pic voisin du Burat, où l’océan vert sombre est piqueté de taches blanches: des sapins morts, aux branches nues et blanchies, qui semblent s’extirper de la masse pour appeler au secours.Les racines de la crise sont profondes. Le réchauffement climatique, d’abord, a multiplié sécheresses et canicules depuis les années 2000, même à ces hauteurs, affaiblissant des arbres qui n’avaient jamais vraiment eu soif. La hausse des températures a aussi permis au scolyte, petit coléoptère parasite, de pondre plus souvent et donc de proliférer.Les galeries creusées dans les troncs par l’insecte viennent bloquer la sève. “Et sans sève, l’arbre sèche sur pied”, explique Hervé Houin. Rendus vulnérables par le réchauffement, les arbres ne parviennent plus à se défendre et meurent par bosquets entiers.Derrière lui, une plantation d’épicéas dévastée. En trois mois, les scolytes ont condamné la parcelle. Un “phénomène brutal”, renchérit Denis Feuillerat, ingénieur de l’ONF. Les forestiers viennent de finir de raser ces deux hectares pour récolter le bois, qui reste utilisable.Face à cette brusque mortalité, la forêt peine à se régénérer, confrontée à un troisième écueil: la population de cerfs, réintroduits dans la région en 1958, est hors de contrôle. Ils se sont “très bien adaptés, peut-être trop”, indique Denis Feuillerat.Or, ces herbivores, dont les adultes mangent jusqu’à 100 kg de végétation par mois, boulottent tout ce qui passe à leur portée, en particulier les tendres tiges, feuilles et bourgeons des jeunes arbres, empêchant leur développement.- Proche du point de non-retour -En Haute-Garonne et dans les Hautes-Pyrénées, 25.000 hectares sont menacés par cette crise multifactorielle, souligne Jean-Lou Meunier, directeur de l’ONF Pyrénées-Gascogne.”On approche d’un point de non-retour”, souffle-t-il, “très inquiet” face à l’ampleur du défi. Cinquante ans pour sauver le massif, “c’est très court pour un forestier, il faut que nous nous précipitions.”La riposte devra être plurielle: chasser davantage de cerfs pour rétablir l’équilibre, protéger les jeunes pousses en installant des enclos, et introduire de nouvelles essences mieux adaptées au climat qui s’annonce.La forêt devra se faire “mosaïque”, plus diversifiée pour renforcer sa résilience, selon Denis Feuillerat. Le cèdre de l’Atlas, originaire d’Afrique du nord et plus apte à “résister à des situations de sécheresse prolongée”, a donné de très bons résultats dans le département voisin de l’Aude, explique-t-il devant l’un des dix enclos d’une plantation, qui comportent chacun 25 petits cèdres hauts comme trois pommes.Sont aussi envisagés le noisetier de Byzance, par exemple, ou des essences moins exotiques comme le mélèze d’Europe, le chêne pubescent ou le pin de Salzman.Une fois sélectionnées, il faudra disperser ces essences dans le massif pour les laisser essaimer. “90% du renouvellement lié au changement climatique se fera de façon naturelle”, assure Hervé Houin.L’inquiétude dépasse les seules Pyrénées: “Nous avons encore une chance ici, contrairement aux Vosges et Jura où des centaines d’hectares sèchent sur pied”, grimace Hervé Houin.Entre 2018 et 2023, la quantité de bois mort récolté dans les forêts publiques jurassiennes a explosé, passant de 20.000 à 320.000 m3, confirme son homologue pour le Jura, Florent Dubosclard, pour qui il faut sans tarder “imaginer la forêt de demain”.

New Zealand former top cop charged over material showing child abuse and bestiality

New Zealand’s former deputy police commissioner lost the right to anonymity Monday after he was charged with possessing child sexual exploitation and bestiality material.Jevon McSkimming was arrested in June and charged with eight counts of possessing objectionable material, but the courts had prevented media from reporting his name or other details of the case.Appearing in …

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Dire water shortages compound hunger and displacement in Gaza

Atop air strikes, displacement and hunger, an unprecedented water crisis is unfolding across Gaza, heaping further misery on the Palestinian territory’s residents.Gaza was already suffering a water crisis before nearly 22 months of war between Israel and Hamas damaged more than 80 percent of the territory’s water infrastructure.”Sometimes, I feel like my body is drying …

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L’avenir d’Altice France conditionné à une décision cruciale sur sa dette

Le destin d’Altice France devrait être, au moins en partie, scellé lundi avec la décision du tribunal des activités économiques de Paris, dans le dossier de la restructuration de sa gigantesque dette.La décision des juges, qui doivent se prononcer lundi après-midi sur la validation de la procédure de sauvegarde accélérée, pourrait remettre en question la restructuration de la dette, primordiale pour la maison-mère de SFR.Au terme d’un bras de fer de plusieurs mois, le groupe du milliardaire Patrick Drahi avait annoncé en février être parvenu à un accord avec ses créanciers pour alléger sa colossale dette de 24,1 milliards d’euros. D’après les termes de l’accord, les créances du groupe doivent être réduites de plus de 8 milliards, pour atteindre 15,5 milliards d’euros. Mais pour le mettre en œuvre, Altice France doit encore obtenir la validation du tribunal.Cette étape, qui pouvait s’apparenter à une formalité, s’est transformé en point d’interrogation majeur. Car lors de l’audience relative à la sauvegarde accélérée, le 22 juillet, le ministère public a requis l’adoption du plan, mais a demandé que trois des sociétés du groupe, SFR, SFR Fibre et Completel (branche dédiée aux entreprises) soient exclues du plan. De quoi remettre en question son équilibre: pour la direction de l’entreprise, l’accord doit inclure toutes les sociétés du groupe. Une décision – même en partie – défavorable anéantirait la future transaction. – “La fin de l’histoire” -Le scénario d’une adoption partielle du plan, et de l’exclusion des trois filiales, irait dans le sens des demandes formulées par les syndicats du groupe. Pour le comité social et économique (CSE), qui a refusé de rendre un avis sur le plan de sauvegarde accélérée, les sociétés du groupe, et notamment SFR, “rentables et solides financièrement (…) ont été intégrées de force dans un schéma d’endettement dont elles ne tirent aucun bénéfice”. “Ces filiales-là ne sont pas endettées, n’ont jamais souscrit de crédit auprès des créanciers avec qui cet accord a été passé, mais c’est tout de même nous qui sommes garants du remboursement de ces dettes et qui ferons les frais du remboursement”, a affirmé auprès de l’AFP Olivier Lelong, délégué syndical central CFDT.Le groupe, de son côté, a réaffirmé l’importance de cette réduction de dette record pour l’avenir de l’entreprise, et craint de se retrouver dans sa position pré-négociation, avec une dette colossale qui menace sa viabilité.”L’équation était simple: le succès de la négociation ou la fin de l’histoire”, a martelé la direction d’Altice France, qui rappelle avoir obtenu l’accord de la totalité des créanciers. Tandis que les représentants du personnel voient dans le plan de sauvegarde un “projet de démantèlement” qui aboutira à la vente des filiales et à des suppressions d’emplois, la direction qualifie l’opération d'”exclusivement financière, sans aucun impact sur la vie opérationnelle, commerciale, sociale, du groupe”.Discret face aux rumeurs d’un potentiel rachat de SFR, le PDG d’Altice France, Arthur Dreyfuss, avait assuré à la sortie de l’audience de juillet qu’il n’y avait “pas de processus de vente de SFR en cours et aucune offre, pas même indicative et sans valeur, n’a été reçue à date”. Les concurrents de l’opérateur, favorables à un passage de quatre à trois acteurs sur le marché français, se sont néanmoins déjà exprimés sur le sujet. “Il y a évidemment des discussions préliminaires entre les opérateurs”, a affirmé mardi le directeur financier d’Orange, Laurent Martinez, à l’occasion des résultats semestriels du groupe.

L’étudiante gazaouie accusée de propos antisémites a quitté la France pour le Qatar

L’étudiante gazaouie arrivée en France dans le cadre d’une bourse avant que ne soient révélées d’anciennes publications antisémites sur ses réseaux sociaux a quitté la France dimanche pour le Qatar, a annoncé le ministère des Affaires étrangères.”Le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a souligné le caractère inacceptable des propos relayés avant son entrée sur le territoire français par Mme Nour Attaalah, étudiante gazaouie. Au vu de leur gravité, Mme Attaalah ne pouvait demeurer sur le territoire national. Elle a quitté la France aujourd’hui pour rejoindre le Qatar et y poursuivre ses études”, écrit le Quai d’Orsay dans un communiqué.”Nour Attaalah a quitté le territoire national. Elle n’y avait pas sa place. Je l’avais dit, nous l’avons fait”, a affirmé Jean-Noël Barrot dans un message sur X.L’avocat de la jeune femme, Me Ossama Dahmane, a confirmé dans un communiqué qu’elle avait “fait le choix, en concertation avec le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, de poursuivre ses études dans un autre pays, dans un esprit d’apaisement et pour préserver sa sécurité”, même si elle “conteste fermement l’ensemble des accusations dont elle fait l’objet”. “Les faits reprochés reposent principalement sur des tweets repartagés, détachés de tout contexte”, souligne-t-il.La jeune femme, bénéficiaire d’un visa étudiant et d’une bourse du gouvernement dans le cadre d’un programme destiné aux étudiants gazaouis, devait intégrer Sciences Po Lille à la rentrée. Elle était arrivée en France le 11 juillet, selon une source diplomatique française.Mais la découverte de publications appelant à tuer les juifs sur les réseaux sociaux ces deux dernières années, supprimées depuis, a entraîné sa désinscription, une enquête judiciaire pour apologie du terrorisme, et une enquête pour déterminer pourquoi cela n’avait pas été détecté en amont.L’AFP n’a pas été en mesure de confirmer les captures d’écran attribuée à cette étudiante par des internautes et des médias. Sciences Po Lille a indiqué mercredi que “les propos sur les réseaux sociaux de la jeune fille sont confirmés”, sans fournir plus de détails.La vive polémique suscitée par cette affaire a amené Jean-Noël Barrot à annoncer vendredi que la France gelait tous ses programmes d’évacuation depuis Gaza dans l’attente des conclusions d’une enquête sur les failles qui ont empêché la détection de ces publications.Interrogé par l’AFP, le Quai d’Orsay n’a pas précisé combien de personnes étaient concernées par cette décision, invoquant des raisons de confidentialité.Par ailleurs, “tous les profils qui sont entrés en France vont faire l’objet d’une nouvelle vérification”, a-t-il ajouté, alors que la France a accueilli des centaines de Gazaouis depuis le déclenchement de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, en représailles à des attaques de ce dernier contre Israël le 7 octobre 2023.

Netanyahu asks ICRC for help after ‘profound shock’ of Gaza hostage videos

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu requested the help of the International Committee of the Red Cross on Sunday to aid hostages in Gaza, as outrage built at videos showing two of them emaciated.The premier’s office said he spoke to the ICRC coordinator for the region, Julien Lerisson, and “requested his involvement in providing food to …

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