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King Charles, Macron laud new ‘entente’ on first day of French president’s state visit

King Charles III and Emmanuel Macron on Tuesday both hailed a new era in UK-France relations as the French president began a three-day formal visit to Britain, the first by an EU head of state since Brexit.Charles used a speech to around 160 guests and other royals at a lavish banquet in Windsor Castle to …

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Energie: le Sénat approuve à nouveau sa loi de programmation, malgré la discorde gouvernementale

Le Sénat a de nouveau approuvé mardi une loi sur l’avenir énergétique de la France actant une relance massive du nucléaire, censée aider l’exécutif à finaliser sa programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) “avant la fin de l’été”, malgré les divergences gouvernementales récentes sur les énergies renouvelables.La proposition de loi du sénateur Les Républicains Daniel Gremillet (Vosges) a été adoptée dans la nuit à 221 voix contre 24, en deuxième lecture. Elle doit désormais faire son retour fin septembre à l’Assemblée nationale, où les débats inauguraux sur ce texte ont déjà été très chaotiques, conduisant à son rejet en première lecture fin juin.Au-delà de l’adoption de ce texte qui ne faisait aucun doute dans la chambre haute qui en est à l’initiative, les débats au Sénat ont surtout remis sur la table les passes d’armes des derniers jours.La coalition gouvernementale est en effet fragilisée par l’opposition frontale entre camp macroniste et droite, depuis que le patron des Républicains (LR) – et ministre de l’Intérieur – Bruno Retailleau s’est fendu d’une tribune au Figaro dans laquelle il plaide pour la fin des “subventions publiques” pour l’éolien et le photovoltaïque.”Une tribune dont je déplore les constats et les recommandations à de nombreux égards”, a martelé le ministre de l’Industrie Marc Ferracci (Renaissance) devant les sénateurs, assurant que “certaines énergies renouvelables sont très compétitives”.Lui défend “un mix énergétique équilibré combinant la puissance du nucléaire et le potentiel des énergies renouvelables”… Deux piliers qui figurent bien dans le texte examiné au Parlement. – 14 nouveaux réacteurs -Le groupe LR, première force au Sénat, s’est de son côté employé à expliquer que sa vision n’était pas incompatible avec celle de Bruno Retailleau, qui est d’ailleurs le coauteur du texte débattu au Sénat.”Il n’y a absolument pas de contradiction, car le financement des énergies renouvelables relève du projet de loi de finances. C’est là que des choix seront à faire”, a insisté le sénateur LR Alain Cadec. Mais, signe que le débat est loin d’être tranché à droite, la présidente LR d’ÃŽle-de-France Valérie Pécresse a dévoilé une position différente de M. Retailleau, dans une contribution publiée par La Tribune dimanche où elle fustige “la guerre stérile” rouverte entre nucléaire et renouvelables.La gauche n’a pas manqué de s’engager dans cette brèche, fustigeant ces dissensions comme l’absence de volet financier dans cette loi programmatique, mise au débat sans étude d’impact ni avis du Conseil d’Etat.”Quels seront les impacts de cette loi sur le prix de l’électricité ? Sur le montant nécessaire d’investissements publics ? Sur notre trajectoire climatique ? Sur notre souveraineté ? On n’en sait rien. C’est irresponsable”, s’est indigné l’écologiste Yannick Jadot. Les écologistes ont voté contre, les socialistes et communistes se sont eux abstenus.La majorité sénatoriale défend tout de même sa vision qu’elle juge “équilibrée”: d’une part une relance massive du nucléaire, avec notamment la construction de 14 nouveaux réacteurs; d’autre part des objectifs pour l’essor des énergies renouvelables avec d’ici 2030, une part d’énergie décarbonée d’au moins 58% de la consommation d’énergie en France, contre environ 40% actuellement. Cette architecture a fait l’objet de négociations entre gouvernement, sénateurs et députés de l’ex-majorité présidentielle, au point de faire quasiment consensus. – Pas de moratoire -En tout cas, le moratoire sur les énergies éolienne et solaire qui avait mis le feu aux poudres à l’Assemblée nationale, convainquant les groupes de l’ancienne majorité macroniste de voter contre l’ensemble du texte, n’est plus d’actualité: il ne peut plus être mis au débat en raison des règles de procédure parlementaire.Le Sénat n’y était de toute façon pas favorable, même s’il a voté une mesure précisant la nécessité de “privilégier le renouvellement des installations existantes” plutôt que l’implantation de nouveaux projets. Les sénateurs ont également plaidé pour que le gouvernement attende l’adoption définitive de cette loi pour finaliser sa programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), la trajectoire énergétique qu’il entend publier prochainement par décret. Le décret sera publié “avant la fin de l’été”, a néanmoins assuré M. Ferracci… Un délai incompatible avec la deuxième lecture du texte par les députés fin septembre, puis la tenue d’une commission mixte paritaire attendue mi-octobre pour aboutir à une rédaction commune aux deux chambre du Parlement.

Energie: le Sénat approuve à nouveau sa loi de programmation, malgré la discorde gouvernementale

Le Sénat a de nouveau approuvé mardi une loi sur l’avenir énergétique de la France actant une relance massive du nucléaire, censée aider l’exécutif à finaliser sa programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) “avant la fin de l’été”, malgré les divergences gouvernementales récentes sur les énergies renouvelables.La proposition de loi du sénateur Les Républicains Daniel Gremillet (Vosges) a été adoptée dans la nuit à 221 voix contre 24, en deuxième lecture. Elle doit désormais faire son retour fin septembre à l’Assemblée nationale, où les débats inauguraux sur ce texte ont déjà été très chaotiques, conduisant à son rejet en première lecture fin juin.Au-delà de l’adoption de ce texte qui ne faisait aucun doute dans la chambre haute qui en est à l’initiative, les débats au Sénat ont surtout remis sur la table les passes d’armes des derniers jours.La coalition gouvernementale est en effet fragilisée par l’opposition frontale entre camp macroniste et droite, depuis que le patron des Républicains (LR) – et ministre de l’Intérieur – Bruno Retailleau s’est fendu d’une tribune au Figaro dans laquelle il plaide pour la fin des “subventions publiques” pour l’éolien et le photovoltaïque.”Une tribune dont je déplore les constats et les recommandations à de nombreux égards”, a martelé le ministre de l’Industrie Marc Ferracci (Renaissance) devant les sénateurs, assurant que “certaines énergies renouvelables sont très compétitives”.Lui défend “un mix énergétique équilibré combinant la puissance du nucléaire et le potentiel des énergies renouvelables”… Deux piliers qui figurent bien dans le texte examiné au Parlement. – 14 nouveaux réacteurs -Le groupe LR, première force au Sénat, s’est de son côté employé à expliquer que sa vision n’était pas incompatible avec celle de Bruno Retailleau, qui est d’ailleurs le coauteur du texte débattu au Sénat.”Il n’y a absolument pas de contradiction, car le financement des énergies renouvelables relève du projet de loi de finances. C’est là que des choix seront à faire”, a insisté le sénateur LR Alain Cadec. Mais, signe que le débat est loin d’être tranché à droite, la présidente LR d’ÃŽle-de-France Valérie Pécresse a dévoilé une position différente de M. Retailleau, dans une contribution publiée par La Tribune dimanche où elle fustige “la guerre stérile” rouverte entre nucléaire et renouvelables.La gauche n’a pas manqué de s’engager dans cette brèche, fustigeant ces dissensions comme l’absence de volet financier dans cette loi programmatique, mise au débat sans étude d’impact ni avis du Conseil d’Etat.”Quels seront les impacts de cette loi sur le prix de l’électricité ? Sur le montant nécessaire d’investissements publics ? Sur notre trajectoire climatique ? Sur notre souveraineté ? On n’en sait rien. C’est irresponsable”, s’est indigné l’écologiste Yannick Jadot. Les écologistes ont voté contre, les socialistes et communistes se sont eux abstenus.La majorité sénatoriale défend tout de même sa vision qu’elle juge “équilibrée”: d’une part une relance massive du nucléaire, avec notamment la construction de 14 nouveaux réacteurs; d’autre part des objectifs pour l’essor des énergies renouvelables avec d’ici 2030, une part d’énergie décarbonée d’au moins 58% de la consommation d’énergie en France, contre environ 40% actuellement. Cette architecture a fait l’objet de négociations entre gouvernement, sénateurs et députés de l’ex-majorité présidentielle, au point de faire quasiment consensus. – Pas de moratoire -En tout cas, le moratoire sur les énergies éolienne et solaire qui avait mis le feu aux poudres à l’Assemblée nationale, convainquant les groupes de l’ancienne majorité macroniste de voter contre l’ensemble du texte, n’est plus d’actualité: il ne peut plus être mis au débat en raison des règles de procédure parlementaire.Le Sénat n’y était de toute façon pas favorable, même s’il a voté une mesure précisant la nécessité de “privilégier le renouvellement des installations existantes” plutôt que l’implantation de nouveaux projets. Les sénateurs ont également plaidé pour que le gouvernement attende l’adoption définitive de cette loi pour finaliser sa programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), la trajectoire énergétique qu’il entend publier prochainement par décret. Le décret sera publié “avant la fin de l’été”, a néanmoins assuré M. Ferracci… Un délai incompatible avec la deuxième lecture du texte par les députés fin septembre, puis la tenue d’une commission mixte paritaire attendue mi-octobre pour aboutir à une rédaction commune aux deux chambre du Parlement.

Trump accuses Putin of talking ‘bullshit’ on Ukraine

President Donald Trump accused his Russian counterpart Vladimir Putin on Tuesday of talking “bullshit” about Ukraine, saying that the United States would send Kyiv more weapons to defend itself.Trump’s expletive reflected his growing frustration with the Kremlin leader over the grinding war that Moscow launched more than three years ago.”We get a lot of bullshit …

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Un quart des ménages vivent dans un logement largement sous-occupé, selon l’Insee

Des chambres qui restent vides après le départ des enfants : un quart des ménages français vivent dans un logement considéré comme largement sous-occupé, c’est-à-dire avec au moins trois pièces de plus que nécessaire, selon une étude de l’Insee parue mardi.Ce phénomène concerne 7,6 millions de résidences principales, qui sont pour 93% des maisons individuelles. Trois quarts de ces logements largement sous-occupés ont une superficie d’au moins 100 m².Alors que les Français peinent à se loger dans de nombreuses villes et zones tendues, l’Insee calcule ainsi que 41% des maisons et 4% des appartements sont largement sous-occupés.Les habitants de ces résidences principales en partie vides sont majoritairement des personnes âgées de 60 ans et plus et occupant ce logement depuis plus de vingt ans. “Leurs logements ont pu devenir trop grands avec le départ des enfants du domicile familial”, analyse l’Insee.Le taux de résidences principales largement sous-occupées est passé de 22% en 2006 à 25% en 2022, affirme l’institut qui lie cette évolution au vieillissement de la population.”Parmi les ménages en activité, les agriculteurs, qui vivent presque exclusivement en maison individuelle, sont les plus concernés par la sous‑occupation très accentuée (44%)”, explique l’Insee dans son étude. “Pour les autres, le taux va de 16% pour les ouvriers et les employés, à 27% pour les cadres et 28% pour les artisans, commerçants et chefs d’entreprise. Sur le champ des maisons individuelles, celles habitées par des cadres sont encore plus souvent largement sous-occupées que celles habitées par des agriculteurs”, détaille l’institut de statistiques.La Bretagne est la région la plus concernée par la sous‑occupation, où près de la moitié des logements disposent d’au moins cinq pièces, note l’Insee, qui ajoute que la sous-occupation est plus répandue dans les couronnes des villes.Seulement 36% des ménages habitant un logement largement sous‑occupé considèrent que le nombre de pièces est effectivement supérieur à leurs besoins et une très large majorité d’entre eux est satisfaite de leurs conditions de logement. Uniquement 9% souhaitent déménager.L’Insee définit une résidence principale largement sous-occupée comme un logement comportant au moins cinq pièces d’habitation pour une personne seule ou un couple sans enfant, six pièces pour ménages avec un enfant, etc.

ICC seeks arrest of Taliban leaders over persecution of women

The International Criminal Court on Tuesday issued arrest warrants for two senior Taliban leaders in Afghanistan, accusing them of crimes against humanity over the persecution of women and girls.Judges said that there were “reasonable grounds” to suspect Taliban Supreme Leader Hibatullah Akhundzada and chief justice Abdul Hakim Haqqani of committing gender-based persecution.”While the Taliban have …

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Incendie dans l’Hérault: l’autoroute A9 fermée dans les deux sens entre Sète et Agde

L’autoroute A9 a été fermée “à titre préventif” dans les deux sens de circulation mardi entre Sète (sortie N.33) et Agde (N.34), en raison de fumées provenant d’un feu de pinède, a annoncé le préfet de l’Hérault.”Les fumées se dirigent vers l’autoroute A9″, a expliqué le préfet en fin d’après-midi sur les réseaux sociaux, précisant qu’un contournement “a été mis en place par l’A75″. L’incendie touche les communes de Castelnau-de-Guers et Montagnac. En direction de l’Espagne, les conducteurs doivent emprunter l’A709, qui dessert l’agglomération de Montpellier, afin de prendre la sortie obligatoire Saint-Jean-de-Védas (N.32) pour rejoindre l’A75, a pour sa part indiqué Vinci Autoroutes sur X.Dans l’autre sens, les véhicules circulant en direction de Lyon doivent suivre l’A75, selon la même source.L’A9, qui relie la France à l’Espagne, avait déjà été fermée plus au sud, aux environs de Narbonne, de lundi après-midi à mardi en fin de matinée, causant des dizaines de kilomètres d’embouteillages.L’incendie dans l’Hérault à l’origine de cette nouvelle coupure de l’A9 a parcouru une dizaine d’hectares et mobilise 150 sapeurs-pompiers, cinq avions bombardiers d’eau et un hélicoptère de commandement, selon la préfecture.A une cinquantaine de kilomètres plus au nord, les sapeurs-pompiers du Gard intervenaient eux depuis 13h55 pour un feu de forêt sur la commune de Montardier, où 120 hectares de végétation, de broussailles et de feuillus ont été parcourus.”Le feu est toujours en évolution et n’est pas maîtrisé. La difficulté majeure réside dans l’inaccessibilité des engins sur la tête du feu et les flancs. A ce stade, il n’y a aucune victime ni dégât sur des habitations ou infrastructures. Le travail d’extinction sera de longue durée et va durer toute la nuit et se poursuivre demain”, ont indiqué en fin d’après-midi dans un communiqué les pompiers du Gard, qui ont engagé plus de 140 hommes et une vingtaine de véhicules.

Incendie dans l’Hérault: l’autoroute A9 fermée dans les deux sens entre Sète et Agde

L’autoroute A9 a été fermée “à titre préventif” dans les deux sens de circulation mardi entre Sète (sortie N.33) et Agde (N.34), en raison de fumées provenant d’un feu de pinède, a annoncé le préfet de l’Hérault.”Les fumées se dirigent vers l’autoroute A9″, a expliqué le préfet en fin d’après-midi sur les réseaux sociaux, précisant qu’un contournement “a été mis en place par l’A75″. L’incendie touche les communes de Castelnau-de-Guers et Montagnac. En direction de l’Espagne, les conducteurs doivent emprunter l’A709, qui dessert l’agglomération de Montpellier, afin de prendre la sortie obligatoire Saint-Jean-de-Védas (N.32) pour rejoindre l’A75, a pour sa part indiqué Vinci Autoroutes sur X.Dans l’autre sens, les véhicules circulant en direction de Lyon doivent suivre l’A75, selon la même source.L’A9, qui relie la France à l’Espagne, avait déjà été fermée plus au sud, aux environs de Narbonne, de lundi après-midi à mardi en fin de matinée, causant des dizaines de kilomètres d’embouteillages.L’incendie dans l’Hérault à l’origine de cette nouvelle coupure de l’A9 a parcouru une dizaine d’hectares et mobilise 150 sapeurs-pompiers, cinq avions bombardiers d’eau et un hélicoptère de commandement, selon la préfecture.A une cinquantaine de kilomètres plus au nord, les sapeurs-pompiers du Gard intervenaient eux depuis 13h55 pour un feu de forêt sur la commune de Montardier, où 120 hectares de végétation, de broussailles et de feuillus ont été parcourus.”Le feu est toujours en évolution et n’est pas maîtrisé. La difficulté majeure réside dans l’inaccessibilité des engins sur la tête du feu et les flancs. A ce stade, il n’y a aucune victime ni dégât sur des habitations ou infrastructures. Le travail d’extinction sera de longue durée et va durer toute la nuit et se poursuivre demain”, ont indiqué en fin d’après-midi dans un communiqué les pompiers du Gard, qui ont engagé plus de 140 hommes et une vingtaine de véhicules.