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Djokovic row as ailing Sinner beats heat to reach Melbourne quarters

Novak Djokovic was at the centre of another Australian Open row on Monday while defending champion Jannik Sinner needed medical attention in fierce heat to battle into the quarter-finals.But American teenage qualifier Learner Tien’s fairytale run is over after he suffered a thigh problem in a four-set defeat to Italy’s Lorenzo Sonego.With temperatures rising above …

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Sylvie Vartan, la plus belle pour aller chanter

Icône yéyé et show-woman de talent, Sylvie Vartan, qui fait à 80 ans ses adieux à la scène, a été une chanteuse populaire aux titres parfois provocateurs et aux mélodies souvent mélancoliques rappelant l’exil de sa Bulgarie natale.Vendredi, samedi et dimanche, celle qui a formé un couple mythique avec Johnny Hallyday donne ses trois ultimes concerts au Palais des congrès de Paris. Intitulés “Je tire ma révérence”…Le point final à une carrière de 63 ans de l’une des plus grandes artistes francophones: une cinquantaine d’albums, 40 millions de disques vendus et 2.000 couvertures de magazines, davantage que les autres stars françaises Brigitte Bardot et Catherine Deneuve.Parmi ses quelque 1.500 chansons, on compte de nombreux tubes: de “La plus belle pour aller danser” (1964), composée par Aznavour, à “L’Amour, c’est comme une cigarette” (1981) en passant par “Comme un garçon”, où elle troque la robe pour “le blouson” et “le ceinturon”, paroles irrévérencieuses pour l’époque.Elle est pourtant venue à la chanson par hasard. “Dès l’âge de 6 ans, je voulais être actrice. Et puis voilà, la vie m’a menée ailleurs”.En 1961, son frère Eddie lui fait sécher les cours pour enregistrer “Panne d’essence” avec Frankie Jordan. Succès immédiat à 17 ans et premier Olympia. Cette salle mythique l’accueillera pendant des décennies, parfois accompagnée de futures stars mondiales comme les Beatles en 1964.- La “lycéenne du twist” -Plutôt introvertie, la “lycéenne du twist” se mue vite en femme fatale et bête de scène.La blonde à la voix grave est née le 15 août 1944 à Iskretz, village de Bulgarie. Elle grandit à Sofia où son père travaille à l’ambassade de France.Elle a huit ans quand sa famille fuit le régime communiste pour la France par l’Orient-Express. Un arrachement qu’on ressent dans ses chansons comme la plus mythique, “La Maritza”, nom d’un fleuve bulgare.”Les belles chansons sont mélancoliques. La mélancolie me tient au corps depuis l’enfance”, disait-elle.Elle ne retrouvera qu’en 1990 son pays natal, où elle adopte sa fille Darina avec son second mari, le producteur américain Tony Scotti épousé en 1984.A Paris, les débuts sont difficiles pour les Vartan, qui vivent cinq ans dans une chambre d’hôtel.”Tombée brutalement” dans le succès, l’adolescente, perfectionniste, s’impose dans ce métier difficile, “particulièrement pour les femmes”. Essuyant une tempête de critiques en 1965 en étant la première à chanter… en pantalon.Le couple qu’elle forme alors avec “l’Idole des jeunes”, Johnny Hallyday, père de son fils David, est la proie des paparazzi.- Le “mariage d’une génération” -Leur union en 1965 dans un village de l’Oise, au milieu d’une cohorte de fans et de journalistes, est le “mariage d’une génération”. Ils partagent parfois la scène et enregistrent “J’ai un problème” (1973), duo resté célèbre. “Si tu n’es pas vraiment l’amour, tu y ressembles”, fredonnent-ils.En 1968, Sylvie Vartan survit à un accident de voiture qui coûte la vie à son amie d’enfance. Deux ans après, un nouvel accident, dont Johnny ressort indemne, l’oblige à rester six mois aux Etats-Unis pour retrouver son visage. Elle en profite pour suivre des cours de danse et s’initier aux shows “à l’américaine”.L’union des enfants terribles du rock s’achève par un divorce en 1980, après moult accrocs, ruptures et réconciliations.Elle s’installe à Los Angeles pour sa troisième vie. Mais retrouve régulièrement la France et son public.Pressentie pour jouer dans “Les Parapluies de Cherbourg”, elle aura finalement eu une carrière modeste au théâtre et au cinéma, avec un seul grand rôle (“L’Ange noir”, 1994). “Si je ressens un manque, c’est du côté du cinéma”, confessait-elle.Plutôt discrète sur sa vie privée, elle tape du poing sur la table après la disparition de Johnny, fin 2017, pour soutenir publiquement son fils et Laura Smet face à la veuve du chanteur, Laeticia.En 2024, en annonçant qu’elle tire sa révérence, elle rappelle que, si Johnny est “quasiment mort sur scène”, ce ne sera “pas le cas” pour elle.Des adieux à la scène “irrévocables”, confiait-elle à l’AFP en novembre. “J’ai vécu sur un volcan depuis mes débuts. J’ai tellement fait qu’à un moment donné, il faut se calmer un peu. Il est temps”.

Pour la mémoire, les dernières rescapées racontent Auschwitz

“Nous ne sommes plus qu’une poignée”: ce dimanche au Mémorial de la Shoah, quatre rescapées du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau ont témoigné de leur déportation, devant un auditoire très conscient de l’enjeu de transmission de la mémoire.Sans rien éluder de l’horreur qu’elles ont vécue, Yvette Lévy, Judith Elkan-Hervé, Ginette Kolinka et Esther Sénot racontent ce camp nazi devenu le symbole de l’extermination des juifs, une semaine avant les cérémonies commémorant les 80 ans de sa libération, le 27 janvier.Les voix tremblent parfois, chez ces rescapées de 97 à 99 ans, mais les souvenirs restent précis pour raconter l’arrivée et la vie dans ce camp où un million de juifs ont été assassinés. “Le train a roulé deux jours et deux nuits jusqu’à Birkenau. A l’arrivée, 896 personnes sont parties directement à la chambre à gaz”, raconte Yvette Lévy, 98 ans, déportée en juillet 1944 dans un convoi de 1.300 personnes.”On est restées dans une terreur que vous n’imaginez pas. Les nazis sortaient leur pétard quand ça les amusaient. Certaines voulaient se jeter sur les barbelés…” poursuit-elle, en  racontant les sélections où il fallait se montrer apte au travail: “on essayait de se tenir bien droites, on se frottait les joues avec la betterave de la soupe quand on passait devant le SS…””Les nazis se sont servis de tout pour nous salir, nous humilier”, explique Ginette Kolinka, bientôt cent ans, en racontant la dureté inhumaine des kapos privant de soupe les prisonnières affamées. Dans son fauteuil roulant, elle se souvient de sa “honte” lorsqu’il a fallu “retirer tous ses vêtements” à son arrivée. “Ils nous ont rasées entièrement, nous ont tatoué un numéro sur le bras”, explique Esther Sénot, 97 ans, encore capable de réciter le sien — 58.319 — en français et en allemand.L’ancienne déportée, qui a passé 17 mois à Auschwitz, raconte d’un ton vif la menace constante des chambres à gaz dont elle découvre l’existence avec ces mots: “vous faites pas d’illusion, vous êtes entrés par la porte et vous partirez par la cheminée”.- “faussaires de l’Histoire” -Judith Elkan-Hervé, 98 ans, fait elle un résumé glaçant: “A l’arrivée à Birkenau, celles qui n’ont pas donné leur enfant à leur mère ou leur copine l’ont porté dans leurs bras à la chambre à gaz. Pour moi Auschwitz c’est ça: les mères qui portent leurs enfants à la mort”.Devant l’auditoire où 150 personnes sont installées, elle lance un appel: “il faut soigner la jeunesse, pour l’éduquer dans une voie différente de la haine. Il faut leur dire la vérité de l’Histoire et les mettre en garde. L’éducation est une chose vitale”.Dans le public, Axel Sandager, 23 ans, et ses deux sÅ“urs Caroline et Mathilde, 12 ans, ont bien conscience de cet enjeu: “J’ai eu la chance de rencontrer des déportés dans mon lycée, il y a peu de chance qu’elles, qui sont en 5e, aient la même possibilité”, explique-t-il.L’histoire de la Shoah, ils la connaissent mais “voir les gens, en vrai, qui ont le souvenir, ce n’est pas la même chose”, assure sa sÅ“ur Caroline.”Être dans la même pièce fait qu’on se rend mieux compte”, affirme Antoine Bouyon, 28 ans. Ce professeur d’histoire qui a emmené ses élèves à Auschwitz en novembre s’interroge:  “Je sais qu’il va arriver un jour ou il n’y aura plus de témoins, il n’y aura plus que les sources” historiques et “ce sera très dur sans personnes vivantes à faire écouter”.Dans le récit des rescapées, l’appel à la vigilance revient régulièrement.”Ce que j’espère est que ceux qui nous écoutent comprennent que si je parle, c’est parce que certains haïssaient les juifs. Et ça,il ne faut plus que ça recommence”, affirme Ginette Kolinka. “Aujourd’hui nous ne sommes plus qu’une poignée de survivants”, conclut Esther Sénot. Et à l’intention des jeunes: “Je compte sur vous pour que vous puissiez témoigner en notre nom à tous, face aux négationnistes et autres faussaires de l’Histoire”.

80 killed, thousands displaced in Colombian guerrilla violence

A fresh outbreak of guerrilla violence amid a faltering peace process in Colombia has left more than 80 people dead, including civilians, and displaced around 11,000 in just four days, officials reported Sunday.As residents fled for their lives, the army deployed some 5,000 troops to the cocaine-growing Catatumbo region at the center of a fast-escalating …

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India’s ‘digital arrest’ scammers stealing savings

Within five hours while sitting at home in India, retired professor Kamta Prasad Singh handed over his hard-earned savings to online fraudsters impersonating police.The cybercrime known as “digital arrest” — where fraudsters pose online as law enforcement officials and order people to transfer huge amounts of money — has become so rampant that Prime Minister …

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Israeli hostages, Palestinian detainees freed on first Gaza truce exchange

Israel released 90 Palestinian prisoners on Monday after Hamas handed over three Israeli hostages, completing the first exchange under a long-awaited truce aimed at ending more than 15 months of war in Gaza.The three hostages released Sunday, all women, were reunited with their families and taken to hospital in central Israel where a doctor said …

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TV host apologises to Djokovic over ‘insulting comments’ as PM, Musk wade in

A leading TV presenter apologised on air Monday to Novak Djokovic after mocking the 24-time Grand Slam winner and Serbian fans at the Australian Open, with Elon Musk and prime minister Anthony Albanese among those wading into the row.The 37-year-old tennis great refused to do a routine on-court interview after beating Jiri Lehecka to make …

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