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L’Allemagne transpire et se dessèche sous la canicule qui a essoré l’Europe

Après la France et le pourtour méditerranéen, le nord de l’Europe, peu habitué aux canicules, transpire sous la fournaise avec un pic de chaleur mercredi en Allemagne, où les autorités multiplient les messages de prévention.Dans le pays européen le plus peuplé, la température doit atteindre des maximales comprises entre 34 et 38°C, et jusqu’à 40°C localement, selon le service météorologique allemand.Marga, une mère de famille de Francfort (ouest), a fermé toutes les fenêtres de son logement, où l’après-midi est consacré à un “programme détente avec les enfants”.A Berlin, où un pic à 37°C était attendu, la majorité des piscines en plein air affichaient complet en milieu d’après-midi.Comme pour la Belgique et les Pays-Bas, la canicule est arrivée mardi, mais avec des températures moindres que dans le sud du continent, qui affronte des conditions extrêmes depuis plusieurs jours et où les autorités ont recensé plusieurs décès.- Animaux assoiffés -A Dresde, dans l’est de l’Allemagne, les rives de l’Elbe se dessèchent et le fleuve s’évapore: la hauteur de l’eau est descendue à 64 cm, contre 2 mètres en moyenne annuelle.Propriétaire d’un théâtre flottant, Holger Böhme observe son fleuve “rétrécir de plus en plus”, un phénomène “étrange”, dit-il à l’AFP.”Normalement, on ne s’attend à de tels niveaux d’eau qu’en août et en septembre”, précise Matthias Roeser, de l’association allemande de la navigation fluviale.A l’autre bout du pays, dans un parc de Francfort, des habitants avaient déposé dès mardi au pied des arbres des coupelles d’eau aussitôt mises à profit par lapins et écureuils, d’ordinaire plus craintifs. La forte chaleur complique “la survie de nombreux animaux sauvages”, rappelle la principale association environnementale d’Allemagne, BUND.Dans un geste symbolique et pragmatique, les activistes climatiques du collectif Fridays for Future ont manifesté pour la première fois à la nuit tombée, à partir de 22H00, afin d’échapper à la fournaise.Cette journée de températures record pour début juillet pourrait s’achever par des orages particulièrement violents accompagnés de grêle et de rafales de vent dans le nord-ouest du pays.En Belgique, l’Atomium, monument emblématique de Bruxelles en inox, est à nouveau resté fermé mercredi après-midi à cause de la chaleur.Dans les écoles de Wallonie qui ne sont pas encore en vacances, contrairement à celles de Flandre, les enseignants s’efforcent de maintenir les enfants au frais en utilisant des ventilateurs et des climatiseurs lorsqu’ils sont disponibles, organiser des jeux d’eau et des pauses à l’ombre.Les Pays-Bas ont quant à eux connu leur première “nuit tropicale” de l’année, avec des températures bloquées au dessus de 20°C.- Inégalités -Les habitants du sud de l’Europe ont connu un mois de juin aux températures record qui ont de nouveau mis en lumière les inégalités face à la chaleur.”Je ne mets pas la clim, tout est très cher en ce moment”, explique à l’AFP Grace Guerrero, rencontrée dans le métro de Madrid. Si “l’air est frais la nuit” dans la zone montagneuse où elle vit, à 50 km de la capitale espagnole, cette aide à domicile de 65 ans redoute pour rentrer chez elle “de tomber sur un vieux train de banlieue” sans climatisation.Un homme de 75 ans est décédé à Cordoue, en Andalousie (sud), portant à au moins quatre le nombre de morts liés à la chaleur en une dizaine de jours en Espagne.Deux autres personnes sont mortes dans la nuit de mardi à mercredi en Catalogne (nord-est), où un feu de forêt a ravagé plus de 1.800 hectares de terrain.En France, le “pic le plus intense” est passé, selon le gouvernement qui recense deux décès à la suite de malaises. La “vigilance rouge canicule” a été levée pour tout le pays et les températures baissaient “de manière sensible par l’ouest en soirée et en cours de nuit” mercredi, a indiqué Météo-France. La France, traversée par une longue vague de chaleur précoce, vient de connaître son deuxième mois de juin le plus chaud depuis le début des mesures en 1900, marqué par la sécheresse et une canicule historique, a annoncé mercredi le gouvernement.En Italie, selon la Simeu, regroupant médecins et infirmiers travaillant aux urgences, la vague de chaleur a entraîné une hausse de 10% des arrivées aux urgences dans les grandes villes comme Milan, Florence ou Naples, selon leur service de presse contacté par l’AFP.Les canicules de 2003 et 2022 avaient provoqué respectivement 70.000 et 61.000 décès prématurés en Europe, selon des études d’excès de mortalité.Si les vagues de chaleur en été ne sont pas nouvelles, après des décennies de combustion de charbon, de pétrole et de gaz responsables du réchauffement, les canicules surviennent plus tôt et plus tard dans l’année.burs-clp-pyv/smk/clr/mba

Netanyahu vows to uproot Hamas as ceasefire proposals are discussed

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu on Wednesday vowed to eradicate Hamas, even as the Palestinian militant group said it was discussing new proposals from mediators for a ceasefire in Gaza.The Israeli leader had yet to comment on US President Donald Trump’s claim that Israel had backed a plan for a 60-day truce in its offensive against …

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Dernier jour de canicule en France après deux semaines de chaleur hors norme

Une large partie de la France, à l’exception de la frange ouest, a subi mercredi une dernière journée de canicule, avant l’arrivée annoncée de violents orages par endroits, marquant le terme d’une vague de chaleur qui restera dans les annales par sa précocité, sa durée et ses records.La vigilance rouge canicule a été levée pour les quatre derniers départements concernés, l’Aube, l’Yonne, le Loiret et le Cher, repassés en vert à 22H00, tandis que les températures baissaient “de manière sensible par l’ouest en soirée et en cours de nuit”, a indiqué Météo-France. Dans l’Yonne, toutes les écoles avaient fermé mercredi. Une personne en état “critique” en raison de la chaleur a été secourue et deux incendies ont été maîtrisés, selon la préfecture, qui a interdit les grands rassemblements et les feux d’artifice.Corollaire de l’enchaînement de jours très chauds, “des orages sont attendus sur de nombreux départements” dès la fin de journée, “localement violents sur une bonne moitié est du territoire”.Après une journée noire mardi, qui a vu Paris, en vigilance rouge, atteindre les 38°C et connaître une nouvelle nuit tropicale, le rafraîchissement s’étendait déjà mercredi depuis le nord-ouest du pays. Météo-France a relevé jusqu’à 32,6°C à 17H00 dans la capitale.Jeudi, 40 départements restent cependant en vigilance orange canicule. En particulier le pourtour méditerranéen et la Corse mais aussi Rhône-Alpes devraient encore connaître de fortes chaleurs (35°C et plus).- Musées gratuits -À Lyon, où on attend encore plus de 30°C jusqu’à samedi (37,5°C relevés mercredi à 17H00), la mairie a annoncé la gratuité des musées municipaux, climatisés, en plus des horaires étendus pour les piscines et certains parcs.Dans le reste de l’Europe, où des températures extrêmes sévissent du Portugal à la Grèce et jusqu’au Pays-Bas, c’est l’Allemagne qui devait connaître mercredi son pic de chaleur avec 38°C attendus à Berlin.En France, “nous avons franchi le pic le plus intense, mais la prudence reste de mise et surtout pour les personnes fragiles”, a mis en garde mercredi matin la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher. Les consultations aux urgences ou auprès de SOS Médecins pour des symptômes directement associés aux fortes températures (hyperthermie, déshydratation) ont nettement augmenté, pour toutes les tranches d’âge, a indiqué mercredi l’agence française de santé publique.Si l’impact sanitaire sera long à mesurer, une première estimation de la surmortalité sera connue deux semaines environ après la fin de la canicule, selon le gouvernement.La procureure par intérim de Besançon a démenti mercredi tout lien entre deux décès suspects et l’épisode de canicule, contrairement à ce qui avait été annoncé dans un premier temps par Mme Pannier-Runacher.Après un 27°C mesuré au plus bas dans la nuit de lundi à mardi à Paris, celle de mardi à mercredi a vu souffler un faible vent du nord, rendant le sommeil un peu moins pénible aux habitants des bouilloires thermiques de la capitale.- Deuxième juin le plus chaud -La France a ainsi vécu mercredi le 14e jour d’affilée d’une vague de chaleur nationale, “remarquable par sa durée” et sa précocité, selon Météo-France, mais qui “devrait se terminer dans les premiers jours de juillet”.Le thermomètre est monté mercredi à 40,1°C à Mourmelon-le-Grand (Marne), 39,7°C à Sens (Yonne), ou 37,7°C à Dijon, selon des valeurs provisoires relevées à 17H00 par Météo-France.Mardi avait vu un niveau inédit pour un mois de juillet dans plusieurs villes: plus de 40°C à Avignon, Nîmes et Castelnaudary (Aude). Tous mois confondus, il n’avait jamais fait aussi chaud au cÅ“ur de la nuit à Visan (Gard) ou Pujaut (Vaucluse), avec plus de 26°C au minimum, ou même un inédit 20°C à Gap (Hautes-Alpes) à plus de 700 mètres d’altitude.Cette vague de chaleur sur l’ensemble de la métropole est la 50e depuis 1947, dont 33 ont eu lieu au XXIe siècle, illustrant l’augmentation de la fréquence des fortes chaleurs à cause de la combustion des énergies fossiles dans le monde.Juin 2025 est le deuxième mois de juin le plus chaud depuis 1900, derrière juin 2003 dont l’été caniculaire est resté dans les mémoires, avec 15.000 décès prématurés attribués aux chaleurs extrêmes.Côté politique, le débat sur la climatisation est dans tous les esprits, dans un pays où un foyer sur quatre était équipé en 2020. Si le RN réclame un “grand plan pour la climatisation”, la gauche et les macronistes n’en font qu’une solution d’appoint pour les plus fragiles et plaident pour le développement d’autres mesures comme la végétalisation ou l’isolation thermique.bur-dlm-lby-jmi-vr-bl-cho/abl/gvy

Dernier jour de canicule en France après deux semaines de chaleur hors norme

Une large partie de la France, à l’exception de la frange ouest, a subi mercredi une dernière journée de canicule, avant l’arrivée annoncée de violents orages par endroits, marquant le terme d’une vague de chaleur qui restera dans les annales par sa précocité, sa durée et ses records.La vigilance rouge canicule a été levée pour les quatre derniers départements concernés, l’Aube, l’Yonne, le Loiret et le Cher, repassés en vert à 22H00, tandis que les températures baissaient “de manière sensible par l’ouest en soirée et en cours de nuit”, a indiqué Météo-France. Dans l’Yonne, toutes les écoles avaient fermé mercredi. Une personne en état “critique” en raison de la chaleur a été secourue et deux incendies ont été maîtrisés, selon la préfecture, qui a interdit les grands rassemblements et les feux d’artifice.Corollaire de l’enchaînement de jours très chauds, “des orages sont attendus sur de nombreux départements” dès la fin de journée, “localement violents sur une bonne moitié est du territoire”.Après une journée noire mardi, qui a vu Paris, en vigilance rouge, atteindre les 38°C et connaître une nouvelle nuit tropicale, le rafraîchissement s’étendait déjà mercredi depuis le nord-ouest du pays. Météo-France a relevé jusqu’à 32,6°C à 17H00 dans la capitale.Jeudi, 40 départements restent cependant en vigilance orange canicule. En particulier le pourtour méditerranéen et la Corse mais aussi Rhône-Alpes devraient encore connaître de fortes chaleurs (35°C et plus).- Musées gratuits -À Lyon, où on attend encore plus de 30°C jusqu’à samedi (37,5°C relevés mercredi à 17H00), la mairie a annoncé la gratuité des musées municipaux, climatisés, en plus des horaires étendus pour les piscines et certains parcs.Dans le reste de l’Europe, où des températures extrêmes sévissent du Portugal à la Grèce et jusqu’au Pays-Bas, c’est l’Allemagne qui devait connaître mercredi son pic de chaleur avec 38°C attendus à Berlin.En France, “nous avons franchi le pic le plus intense, mais la prudence reste de mise et surtout pour les personnes fragiles”, a mis en garde mercredi matin la ministre de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher. Les consultations aux urgences ou auprès de SOS Médecins pour des symptômes directement associés aux fortes températures (hyperthermie, déshydratation) ont nettement augmenté, pour toutes les tranches d’âge, a indiqué mercredi l’agence française de santé publique.Si l’impact sanitaire sera long à mesurer, une première estimation de la surmortalité sera connue deux semaines environ après la fin de la canicule, selon le gouvernement.La procureure par intérim de Besançon a démenti mercredi tout lien entre deux décès suspects et l’épisode de canicule, contrairement à ce qui avait été annoncé dans un premier temps par Mme Pannier-Runacher.Après un 27°C mesuré au plus bas dans la nuit de lundi à mardi à Paris, celle de mardi à mercredi a vu souffler un faible vent du nord, rendant le sommeil un peu moins pénible aux habitants des bouilloires thermiques de la capitale.- Deuxième juin le plus chaud -La France a ainsi vécu mercredi le 14e jour d’affilée d’une vague de chaleur nationale, “remarquable par sa durée” et sa précocité, selon Météo-France, mais qui “devrait se terminer dans les premiers jours de juillet”.Le thermomètre est monté mercredi à 40,1°C à Mourmelon-le-Grand (Marne), 39,7°C à Sens (Yonne), ou 37,7°C à Dijon, selon des valeurs provisoires relevées à 17H00 par Météo-France.Mardi avait vu un niveau inédit pour un mois de juillet dans plusieurs villes: plus de 40°C à Avignon, Nîmes et Castelnaudary (Aude). Tous mois confondus, il n’avait jamais fait aussi chaud au cÅ“ur de la nuit à Visan (Gard) ou Pujaut (Vaucluse), avec plus de 26°C au minimum, ou même un inédit 20°C à Gap (Hautes-Alpes) à plus de 700 mètres d’altitude.Cette vague de chaleur sur l’ensemble de la métropole est la 50e depuis 1947, dont 33 ont eu lieu au XXIe siècle, illustrant l’augmentation de la fréquence des fortes chaleurs à cause de la combustion des énergies fossiles dans le monde.Juin 2025 est le deuxième mois de juin le plus chaud depuis 1900, derrière juin 2003 dont l’été caniculaire est resté dans les mémoires, avec 15.000 décès prématurés attribués aux chaleurs extrêmes.Côté politique, le débat sur la climatisation est dans tous les esprits, dans un pays où un foyer sur quatre était équipé en 2020. Si le RN réclame un “grand plan pour la climatisation”, la gauche et les macronistes n’en font qu’une solution d’appoint pour les plus fragiles et plaident pour le développement d’autres mesures comme la végétalisation ou l’isolation thermique.bur-dlm-lby-jmi-vr-bl-cho/abl/gvy

Les Français détenus en Iran inculpés d’espionnage pour le compte d’Israël

Les Français Cécile Kohler et Jacques Paris, détenus en Iran depuis plus de trois ans, sont inculpés d'”espionnage pour le Mossad”, le service de renseignement extérieur israélien, de “complot pour renverser le régime” et “corruption sur terre”, ont indiqué à l’AFP une source diplomatique occidentale et l’entourage des détenus.”Nous avons été informés de ces accusations”, a affirmé la source diplomatique occidentale, ajoutant que ces accusations étaient “infondées”.”Tout ce qu’on sait, c’est qu’ils ont vu un juge qui a confirmé ces trois chefs d’inculpation”, a déclaré la soeur de Cécile Kohler. “On ignore quand (ils se sont vus notifier ces chefs d’inculpation). Mais ils n’ont toujours pas accès à des avocats indépendants”, a-t-elle ajouté lors d’un entretien avec l’AFP au lendemain d’une visite consulaire du chargé d’affaires de l’ambassade de France à Téhéran.Chacun de ces trois chefs d’inculpation est passible de la peine de mort.Jusqu’à présent, l’Iran a indiqué que les deux Français étaient accusés pour espionnage mais il n’a jamais révélé pour quel pays précisément. Téhéran n’a pas encore confirmé si de nouvelles accusations avaient été portées contre eux.”Ces motifs d’inculpation, s’ils sont confirmés, sont totalement infondés”, a réagi une source diplomatique française interrogée par l’AFP. “Cécile Kohler et Jacques Paris sont innocents. Aucune sentence ne nous a été communiquée et à notre connaissance n’a été prononcée”, a-t-elle ajouté, exhortant les autorités iraniennes à autoriser Cécile Kohler et Jacques Paris à avoir accès à leurs avocats. “Nous n’avons cessé d’exiger leur libération immédiate et inconditionnelle depuis leur arrestation il y a plus de trois ans”, a indiqué de son côté le porte-parole du Quai d’Orsay, ajoutant que le président Emmanuel Macron et le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot avaient “réitéré cette exigence auprès de leurs homologues iraniens à plusieurs reprises et encore ces derniers jours”.Mardi, Jean-Noël Barrot avait annoncé que Cécile Kohler et Jacques Paris dont on était sans nouvelles depuis la récente frappe israélienne sur leur prison, avaient reçu la visite d’un diplomate français.Les familles et les avocats du couple avaient réclamé vendredi “une preuve de vie immédiatement”. “Nous ignorons tout du sort de Cécile et Jacques, nous ignorons s’ils sont encore vivants, nous ignorons où ils sont”, avait alors alerté la soeur de Cécile, Noémie Kohler.Les autorités françaises avaient indiqué la semaine précédente avoir “eu l’assurance” que les deux Français n’avaient pas été blessés dans la frappe israélienne. Mais “cette information vient des autorités iraniennes”, ce qui est “loin d’être une garantie”, avait alerté Noémie Kohler, dont le dernier contact téléphonique avec sa soeur remonte au 28 mai.Cécile Kohler, professeure de lettres de 40 ans originaire de l’est de la France et son compagnon Jacques Paris, 72 ans, ont été arrêtés le 7 mai 2022, au dernier jour d’un voyage touristique en Iran.

Iran ends cooperation with UN nuclear watchdog after Israel, US strikes

Iran officially suspended its cooperation with the UN nuclear watchdog on Wednesday, a move the United States described as “unacceptable”.It came after last month’s 12-day conflict between Iran and Israel, which saw unprecedented Israeli and US strikes on Iran’s nuclear facilities and sharply escalated tensions between Tehran and the International Atomic Energy Agency.On June 25, a …

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