C1: Raphinha-Lewandowski-Lamine Yamal, le trio de feu du Barça

Déjà qualifié pour les huitièmes de finale, le FC Barcelone accueille mercredi l’Atalanta Bergame lors de l’ultime journée de la première phase de la Ligue des champions pour défendre sa place sur le podium, avec un trio Raphinha-Lewandowski-Yamal qui affole les compteurs.Le Brésilien, métamorphosé, le Polonais, qui a retrouvé son efficacité devant le but, et le prodige espagnol, inarrêtable sur son aile droite, affichent déjà des statistiques exceptionnelles à la fin du mois de janvier: 23 buts et 9 passes décisives pour Raphinha, 29 buts et 3 passes décisives pour Lewandowski et 9 buts et 13 passes décisives pour Lamine Yamal.”Lewandowski, le vétéran polonais, apporte son expérience, son sens du but et sa capacité à transformer n’importe quel ballon en occasion. Lamine Yamal, qui n’a que 17 ans, est l’expression d’un talent pur: sa fluidité, ses dribbles et sa vision du jeu ont déjà fait de lui l’un des joueurs les plus dangereux du football mondial. Quant à Raphinha, sa vitesse et sa précision sur l’aile complètent parfaitement l’équipe de Hansi Flick en ouvrant des espaces et en créant des mouvements décisifs”, résume le quotidien sportif Mundo Deportivo.”Ensemble, ils forment un trio létal, qui incarne le présent et l’avenir du Barça”, écrit le journal catalan.A eux seuls, les trois joueurs représentent plus de la moitié des 101 buts déjà inscrits par le géant catalan, en seulement 32 rencontres toutes compétitions confondues, soit une moyenne de 3,16 buts par match.Du jamais vu depuis les années 1950, à l’époque du phénomène tchéquo-hongrois Laszlo Kubala, l’une des légendes du club, sous les ordres du coach franco-argentin Helenio Herrera. A titre de comparaison, le trio Messi-Neymar-Suarez avait permis au Barça de Luis Enrique de réaliser un triplé historique Liga-Ligue des champions-Coupe du Roi en 2015, avec 175 buts inscrits en 60 matches.- Maintenir la cadence -Pour atteindre le record dans l’histoire du club, détenu par l’équipe de Pep Guardiola lors de la saison 2011-12, avec 190 buts en 64 matches, les hommes de Hansi Flick doivent poursuivre sur le même rythme jusqu’à la fin de la saison.A commencer donc par mercredi face à l’Atalanta, bien placée dans la course au Top 8 directement qualifié pour les huitièmes (7e, 14 points), malgré une mauvaise série en championnat en ce début d’année (une seule victoire sur les quatre dernières journées).Toujours flamboyants en attaque, capables de remontées fantastiques comme la semaine dernière face à Benfica (5-4) ou le Real en Supercoupe d’Espagne (5-2), les Catalans ont mis fin à la leur en Liga avec la manière (7-1 contre Valence), mais peinent un peu défensivement depuis la blessure du vétéran Inigo Martinez (un but encaissé minimum sur leurs cinq dernières sorties).Pas de quoi inquiéter le coach allemand Hansi Flick, dont les principes de jeu offensifs ont transformé son équipe en véritable machine à marquer, quitte à s’exposer derrière. Une philosophie comparée en Catalogne à celle du génie néerlandais Johan Cruyff, qui assumait préférer gagner “5-4, que 1-0”, et dont l’ex-sélectionneur de la Mannschaft se dit “très proche”.
Déjà qualifié pour les huitièmes de finale, le FC Barcelone accueille mercredi l’Atalanta Bergame lors de l’ultime journée de la première phase de la Ligue des champions pour défendre sa place sur le podium, avec un trio Raphinha-Lewandowski-Yamal qui affole les compteurs.Le Brésilien, métamorphosé, le Polonais, qui a retrouvé son efficacité devant le but, et le prodige espagnol, inarrêtable sur son aile droite, affichent déjà des statistiques exceptionnelles à la fin du mois de janvier: 23 buts et 9 passes décisives pour Raphinha, 29 buts et 3 passes décisives pour Lewandowski et 9 buts et 13 passes décisives pour Lamine Yamal.”Lewandowski, le vétéran polonais, apporte son expérience, son sens du but et sa capacité à transformer n’importe quel ballon en occasion. Lamine Yamal, qui n’a que 17 ans, est l’expression d’un talent pur: sa fluidité, ses dribbles et sa vision du jeu ont déjà fait de lui l’un des joueurs les plus dangereux du football mondial. Quant à Raphinha, sa vitesse et sa précision sur l’aile complètent parfaitement l’équipe de Hansi Flick en ouvrant des espaces et en créant des mouvements décisifs”, résume le quotidien sportif Mundo Deportivo.”Ensemble, ils forment un trio létal, qui incarne le présent et l’avenir du Barça”, écrit le journal catalan.A eux seuls, les trois joueurs représentent plus de la moitié des 101 buts déjà inscrits par le géant catalan, en seulement 32 rencontres toutes compétitions confondues, soit une moyenne de 3,16 buts par match.Du jamais vu depuis les années 1950, à l’époque du phénomène tchéquo-hongrois Laszlo Kubala, l’une des légendes du club, sous les ordres du coach franco-argentin Helenio Herrera. A titre de comparaison, le trio Messi-Neymar-Suarez avait permis au Barça de Luis Enrique de réaliser un triplé historique Liga-Ligue des champions-Coupe du Roi en 2015, avec 175 buts inscrits en 60 matches.- Maintenir la cadence -Pour atteindre le record dans l’histoire du club, détenu par l’équipe de Pep Guardiola lors de la saison 2011-12, avec 190 buts en 64 matches, les hommes de Hansi Flick doivent poursuivre sur le même rythme jusqu’à la fin de la saison.A commencer donc par mercredi face à l’Atalanta, bien placée dans la course au Top 8 directement qualifié pour les huitièmes (7e, 14 points), malgré une mauvaise série en championnat en ce début d’année (une seule victoire sur les quatre dernières journées).Toujours flamboyants en attaque, capables de remontées fantastiques comme la semaine dernière face à Benfica (5-4) ou le Real en Supercoupe d’Espagne (5-2), les Catalans ont mis fin à la leur en Liga avec la manière (7-1 contre Valence), mais peinent un peu défensivement depuis la blessure du vétéran Inigo Martinez (un but encaissé minimum sur leurs cinq dernières sorties).Pas de quoi inquiéter le coach allemand Hansi Flick, dont les principes de jeu offensifs ont transformé son équipe en véritable machine à marquer, quitte à s’exposer derrière. Une philosophie comparée en Catalogne à celle du génie néerlandais Johan Cruyff, qui assumait préférer gagner “5-4, que 1-0”, et dont l’ex-sélectionneur de la Mannschaft se dit “très proche”.