Quelque 1.800 personnes ont répondu dimanche après-midi à une manifestation régionale à Lorient “contre l’extrême droite” et “pour une Bretagne ouverte et solidaire” à l’appel d’une centaine d’associations et de collectifs de gauche, a constaté un correspondant de l’AFP.Parmi les pancartes figuraient “Pas de répit pour les fachos” ou “Bretagne anti fasciste”. Sous le soleil, les manifestants ont lancé des slogans comme “le fascisme, c’est la gangrène, on l’élimine ou on en crève” ou encore “pas de fachos dans nos quartiers, pas de quartier pour les fachos”.”Je suis ici pour montrer que les élus sont au côté des citoyens et des associations et des institutions culturelles. Quand l’extrême droite progresse, la culture est attaquée, les minorités, les femmes et les plus vulnérables sont pris pour cible”, a déclaré Rozenn Métayer, conseillère départementale de Lorient, non encartée. “Aujourd’hui, plus d’une centaine d’organisations ont appelé à manifester, c’est encourageant”, a ajouté l’élue. Pour le député du Morbihan Damien Girard (écologiste), il était “évident” d’être “en soutien cette manifestation, portée par la jeunesse”. “Dans une tribune publiée après les élections européennes (de juin 2024, ndlr), je m’inquiétais de la montée de l’extrême droite en Bretagne. On a vu, à l’occasion du centre pour réfugiés de Callac, que l’extrême droite pouvait être présente dans des territoires qui ont besoin d’être revitalisés. La Bretagne a toujours été une terre d’intégration. Si ça bascule en Bretagne, ça veut dire que la France va être submergée par l’extrême droite”, a-t-il dit. Des dégradations ont eu lieu peu après 16H30 visant notamment le local du Parti socialiste (PS) du Morbihan, des agences d’interim ou encore des guichets de banque, a constaté un correspondant de l’AFP. Les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène.
Quelque 1.800 personnes ont répondu dimanche après-midi à une manifestation régionale à Lorient “contre l’extrême droite” et “pour une Bretagne ouverte et solidaire” à l’appel d’une centaine d’associations et de collectifs de gauche, a constaté un correspondant de l’AFP.Parmi les pancartes figuraient “Pas de répit pour les fachos” ou “Bretagne anti fasciste”. Sous le soleil, les manifestants ont lancé des slogans comme “le fascisme, c’est la gangrène, on l’élimine ou on en crève” ou encore “pas de fachos dans nos quartiers, pas de quartier pour les fachos”.”Je suis ici pour montrer que les élus sont au côté des citoyens et des associations et des institutions culturelles. Quand l’extrême droite progresse, la culture est attaquée, les minorités, les femmes et les plus vulnérables sont pris pour cible”, a déclaré Rozenn Métayer, conseillère départementale de Lorient, non encartée. “Aujourd’hui, plus d’une centaine d’organisations ont appelé à manifester, c’est encourageant”, a ajouté l’élue. Pour le député du Morbihan Damien Girard (écologiste), il était “évident” d’être “en soutien cette manifestation, portée par la jeunesse”. “Dans une tribune publiée après les élections européennes (de juin 2024, ndlr), je m’inquiétais de la montée de l’extrême droite en Bretagne. On a vu, à l’occasion du centre pour réfugiés de Callac, que l’extrême droite pouvait être présente dans des territoires qui ont besoin d’être revitalisés. La Bretagne a toujours été une terre d’intégration. Si ça bascule en Bretagne, ça veut dire que la France va être submergée par l’extrême droite”, a-t-il dit. Des dégradations ont eu lieu peu après 16H30 visant notamment le local du Parti socialiste (PS) du Morbihan, des agences d’interim ou encore des guichets de banque, a constaté un correspondant de l’AFP. Les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène.
