EDF reporte à nouveau le redémarrage de l’EPR de Flamanville, au 21 avril

Le redémarrage de l’EPR de Flamanville (Manche), à l’arrêt depuis le 15 février, a été décalé du 17 au 21 avril, après “plusieurs opérations de maintenance supplémentaires”, désormais terminées, a annoncé EDF mercredi.C’est le 4e report du redémarrage du réacteur nucléaire normand, à l’arrêt depuis deux mois en raison d’aléas techniques. Le redémarrage devait avoir lieu cette semaine, fixé pour jeudi, avait indiqué le groupe sur son site le 10 avril.Il avait toutefois précisé dans un autre message que cet arrêt était “susceptible de se prolonger”.Désormais, “les dernières opérations de maintenance sont terminées”, a indiqué EDF à l’AFP mercredi. “Les équipes de Flamanville 3 (le réacteur EPR, NDLR) procèdent actuellement au redémarrage en toute sûreté du réacteur, dans l’objectif d’un couplage au réseau électrique le 21 avril”, a précisé le groupe. EDF rappelle que le réacteur EPR est à l’arrêt depuis le 15 février “pour réaliser un certain nombre d’interventions”. Cet arrêt “a ensuite été prolongé pour procéder à plusieurs opérations de maintenance supplémentaires”, explique l’entreprise.Mais le groupe maintient son planning prévisionnel d’atteindre “à l’été 2025” la pleine puissance, soit “100% de puissance nominale”.Selon EDF, des “interventions ont été réalisées sur un circuit de refroidissement des équipements par l’eau de mer, sur le groupe turbo alternateur (opérations de reprise des réglages sur trois paliers, pièces portant et guidant les rotors) et sur des matériels requis pour la poursuite des opérations de montée en puissance du réacteur en toute sûreté”.”Les matériels concernés sont situés dans la partie nucléaire des installations”, signale EDF. Le réacteur de 3e génération a déjà connu deux phases d’arrêt, qui étaient programmées, depuis son raccordement au réseau le 21 décembre 2024, réalisé avec 12 ans de retard.EDF avait prévenu que la montée en puissance du 57e réacteur nucléaire français serait un processus progressif, pouvant nécessiter une dizaine d’arrêts de maintenance programmés et, en parallèle, des opérations imprévues.
Le redémarrage de l’EPR de Flamanville (Manche), à l’arrêt depuis le 15 février, a été décalé du 17 au 21 avril, après “plusieurs opérations de maintenance supplémentaires”, désormais terminées, a annoncé EDF mercredi.C’est le 4e report du redémarrage du réacteur nucléaire normand, à l’arrêt depuis deux mois en raison d’aléas techniques. Le redémarrage devait avoir lieu cette semaine, fixé pour jeudi, avait indiqué le groupe sur son site le 10 avril.Il avait toutefois précisé dans un autre message que cet arrêt était “susceptible de se prolonger”.Désormais, “les dernières opérations de maintenance sont terminées”, a indiqué EDF à l’AFP mercredi. “Les équipes de Flamanville 3 (le réacteur EPR, NDLR) procèdent actuellement au redémarrage en toute sûreté du réacteur, dans l’objectif d’un couplage au réseau électrique le 21 avril”, a précisé le groupe. EDF rappelle que le réacteur EPR est à l’arrêt depuis le 15 février “pour réaliser un certain nombre d’interventions”. Cet arrêt “a ensuite été prolongé pour procéder à plusieurs opérations de maintenance supplémentaires”, explique l’entreprise.Mais le groupe maintient son planning prévisionnel d’atteindre “à l’été 2025” la pleine puissance, soit “100% de puissance nominale”.Selon EDF, des “interventions ont été réalisées sur un circuit de refroidissement des équipements par l’eau de mer, sur le groupe turbo alternateur (opérations de reprise des réglages sur trois paliers, pièces portant et guidant les rotors) et sur des matériels requis pour la poursuite des opérations de montée en puissance du réacteur en toute sûreté”.”Les matériels concernés sont situés dans la partie nucléaire des installations”, signale EDF. Le réacteur de 3e génération a déjà connu deux phases d’arrêt, qui étaient programmées, depuis son raccordement au réseau le 21 décembre 2024, réalisé avec 12 ans de retard.EDF avait prévenu que la montée en puissance du 57e réacteur nucléaire français serait un processus progressif, pouvant nécessiter une dizaine d’arrêts de maintenance programmés et, en parallèle, des opérations imprévues.